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(09/04/2009 16:37:25)
OVF 1.0 promet la portabilité totale des machines virtuelles
Le format OVF 1.0 (Open Virtual Machine) vient de voir le jour. Ce conteneur XML, qui assure la portabilité des machines virtuelles (VM), est un pas intéressant vers une véritable virtualisation des applications. OVF est l'indispensable sésame pour que le terme "appliance virtuelle" prenne tout son sens. L'empaquetage d'une machine virtuelle dans une enveloppe OVF est supposé garantir sa portabilité entre différents environnements en assurant son intégrité et l'automatisation de sa manipulation. Le conteneur OVF emballe les formats de machines virtuelles propres aux hyperviseurs de VMware (VMDK), de Citrix, Microsoft et Virtual Iron (VHD) ainsi que celui de KVM, choisi par Red Hat (QCOW pour QEMU Copy-On-Write). OVF y ajoute la description des paramètres nécessaires à l'allocation de ressources pour leur fonctionnement. Le projet Kensho de Citrix repose sur l'exploitation d'OVF Pour l'instant, Citrix est le seul éditeur à avoir fait un usage marketing d'OVF. En juillet dernier, il avait pré-annoncé le projet Kensho, outil de portage des machines virtuelles qui repose sur l'exploitation d'OVF. On notera que Kinsho privilégie les environnements Citrix, Microsoft et Linux (version 1.1 du projet) et qu'il semble exclure celui de VMware. Du côté du libre, depuis l'automne dernier, IBM soutien le projet Open-OVF qui vise à créer une boite à outils sous licence Eclipse. Open-OVF se focalise sur les hyperviseurs Open Source Xen et KVM. Lancé en 2007, le projet OVF a été mené à bien sous la houlette de la DMTF (Distributed Management Task Force), association professionnelle fondée en 1992 qui regroupe les plus grands noms de l'industrie qui y collaborent autour de la standardisation des outils d'administration. Le schéma CIM (Common Information Model) est le standard le plus connu de la DMTF. C'est à travers lui que tous les équipements informatiques transmettent les informations qui les concernent. OVF s'inscrit dans le cadre plus général de VMAN (Virtualisation Management Initiative). (...)
(09/04/2009 16:28:11)Microsoft condamné à verser 388 M$ à Uniloc pour violation de brevet
Microsoft devra verser 388 M$ de dommages et intérêts à l'éditeur Uniloc pour violation de brevet. C'est ce que vient de décider un tribunal de l'Etat de Rhode Island (Etats-Unis). Le juge a estimé que l'éditeur de Windows avait délibérément utilisé un brevet portant sur un système de prévention du piratage permettant d'empêcher la copie de logiciel. La société Uniloc, spécialisée dans les solutions de sécurité, est installée à Singapour et en Californie. Elle a intenté ce procès en octobre 2003. Microsoft se dit déçu par le verdict. Il considère que le brevet en question est invalide et compte demander l'annulation de la décision. Cette dernière vient contredire un précédent jugement en faveur de Microsoft, qui établissait qu'aucune infraction n'avait été commise. (...)
(09/04/2009 15:40:34)Google insère des liens commerciaux sous les vidéos de Youtube
Google a annoncé aujourd'hui qu'il allait greffer sous les vidéos diffusées sur YouTube un outil permettant de trouver et d'acheter des produits (CD, DVD...) en rapport avec le contenu visionné sur le site. Cette fonctionnalité, baptisée Click-to-Pay, existe déjà aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne. Elle est désormais disponible dans huit pays de plus, dont la France. Click-to-buy se présente sous la forme d'un lien placé sous les clips musicaux et qui redirige l'internaute vers des sites de téléchargement légal (comme iTunes) ou des boutiques en ligne. Comme à son habitude, Google ne manque pas de souligner que cette évolution a pour but de faciliter la vie des internautes. Il s'appuie sur une étude réalisée par Ipsos MediaCT auprès de 1 500 Britanniques âgés de plus de 18 ans en mars dernier. D'après cette étude, une personne sur deux achèterait un titre en ligne après avoir visionné un clip de l'artiste sur YouTube. Il y a un mois, Google a lancé sur YouTube un outil de publicité comportementale (en version bêta) afin de personnaliser les messages publicitaires en fonction des sites visités par l'internaute. Pour le géant de Mountain View, Click-to-pay est en réalité une manière supplémentaire de placer des liens publicitaires sur les pages de Youtube. Sur son blog, Google annonce que trois grands labels de musique sont partenaires de ce nouveau service, sans toutefois préciser lesquels ni de quelle manière les gains générés par Click-to-pay seront répartis. (...)
(09/04/2009 14:40:45)Le patron technologique des processeurs Sun part chez Microsoft
Marc Tremblay, Chief Technology Officer de la division processeur (Microelectronics) de Sun, quitte ses fonctions pour rejoindre Microsoft. Il est remplacé par Rick Hetherington, son adjoint depuis deux ans, et chez Sun depuis huit, après avoir travaillé chez Digital Equipment. Marc Tremblay, depuis 18 ans chez Sun et qui compte à son actif une centaine de brevets, rejoint une entité méconnue de la R&D de Microsoft, chargée de la stratégie des architectures logiciel/processeur et des relations avec les industriels du secteur des semi-conducteurs. Ce départ intervient alors que la sortie du processeur Rock, une puce riche de seize coeurs présentée comme révolutionnaire, a été retardée de plus d'un an. Rock est désormais promis pour cet automne. Il ajoute aussi à la lourde atmosphère qui plane sur Sun à la suite de la rupture des négociations sur un rachat par IBM. Ce départ est le troisième en un an à frapper l'élite technologique de Sun. L'an dernier, presque jour pour jour, c'était David Yen, le directeur de Sun Microelectronics, qui quittait Sun pour Juniper Networks à la suite de l'annonce du retard de Rock. En octobre, Andy Bechtolsheim, un des fondateurs de Sun et père des dernières générations de produits serveurs et stockage, prenait aussi ses distances. (...)
(09/04/2009 12:54:19)La Société Générale lance un programme green IT pour l'ensemble du groupe
Du côté des fournisseurs informatiques, réelles ou opportunistes, les annonces green IT sont pléthore. Mais du côté des entreprises utilisatrices, au moins en France, elles restent rares. La Société Générale vient pourtant d'officialiser et de détailler un programme green IT destiné à l'ensemble de son groupe. Pris individuellement, les projets en cours ou à venir ne sont pas forcément tous originaux. Mais l'ensemble fait partie d'une stratégie globale menée conjointement par la direction du développement durable et la DSI. En 2007, la Société Générale a décidé qu'elle atteindrait la neutralité carbone en 2012, en utilisant la compensation carbone mais aussi en réduisant son empreinte. Elle a déjà diminué ses émissions de gaz à effet de serre (GES) de 4,5% pour atteindre 294 000 tonnes aujourd'hui. « Pour y arriver, nous mettons en place des plans de réduction des émissions de GES ainsi que des actions par pôle d'activité, explique Emmanuel Martinez, directeur environnement groupe, mais aussi des initiatives transversales qui couvrent l'ensemble du groupe. » Parmi celles-ci, l'informatique, au coeur du métier de tous les groupes financiers, s'est imposée comme une évidence. Sur les quelque 600 GWh (600 millions de kWh) que consomme la Société Générale chaque année, près de la moitié provient de l'informatique. Et elle est à l'origine de près d'un quart des émissions de CO2. Arrêter de séparer l'environnemental de l'économique Dans le courant de l'été 2008, l'entreprise a demandé à Accenture de conduire une étude en utilisant son « green maturity model », une analyse détaillée de l'informatique à l'aune du développement durable. Cet audit s'organise autour des cinq thématiques que sont les habitudes des utilisateurs, l'équipement des bureaux, l'infrastructure (bureaux et datacenters), les achats et la citoyenneté de l'entreprise. A la fin de l'été dernier, le cabinet de conseil a livré trois types de recommandations : l'optimisation des datacenters, la réduction de l'impact de la bureautique et la collaboration à distance. Objectif : s'attaquer à la consommation et aux émissions de GES de l'IT, mais aussi générer des gains financiers, notamment sur la facture d'électricité du groupe et les frais de transport. Sur la justification économique des projets green IT, Emmanuel Martinez est d'ailleurs très clair : « Parce qu'ils ont une approche morale de l'environnement, beaucoup de gens s'interdisent de parler de l'économie. Mais il faut penser les deux. On ne peut faire que des projets rentables. Mais cela peut aussi vouloir dire des projets plus coûteux, avec de bons ROI. Et de toutes façons, nous allons non seulement devoir payer la consommation électrique, mais aussi les émissions de CO2, donc il faut s'engager dans ces démarches, même si cela coûte. » Un comité de pilotage au plus haut niveau [[page]]« Nous essayons de consolider les actions en cours et de les faire porter par un comité de pilotage de haut niveau, avec des managers pour porter le message, et éventuellement augmenter les objectifs », continue Emmanuel Martinez. Le DSI, le directeur du développement durable, le directeur environnement groupe, des membres du comité de direction, devraient en faire partie. Y seraient aussi intégrées des responsables dans les différents pôles : immobilier, achats, etc. Au départ, le programme est une démarche commune de la DSI et du développement durable. « La direction des systèmes d'information a davantage la main car elle connaît la technique, et le DSI connaît les différents DSI de l'entreprise. Nous, au développement durable, nous sommes là pour leur donner les impulsions, les aider avec nos compétences sur l'environnement. Mais c'est ensemble que nous avons informé le comité de suivi de la neutralité carbone, de notre programme green IT. Nous travaillons en binôme.» Les déplacements professionnels et la consommation de papier sur la sellette Le programme green IT de la Société Générale aborde les deux facettes de la question. Il s'attelle à alléger le poids des TIC sur l'environnement, mais compte aussi les utiliser comme levier pour diminuer l'empreinte carbone de l'entreprise. « Le 2e impact sur les émissions de GES de la société, ce sont les déplacements professionnels et le 3e, c'est le papier. Or l'IT est présente dans les deux, rappelle ainsi Emmanuel Martinez. Il s'agit de dématérialiser pour consommer moins de papier. Et pour jouer sur les déplacements, il s'agit de choisir plutôt le train sur des courtes distances, mais pour les moyennes ou longues distances, d'opter pour la visioconférence ou la téléprésence. » En France le papier recyclé représente un tiers de la consommation. Et, entre 2007 et 2008, l'ensemble du groupe est passé de 15,2% à 21,4%. Et l'entreprise a lancé un appel d'offres dans douze pays dont l'Hexagone pour encourager l'approvisionnement en papier de ce type, ou au moins en papier avec des écolabels relatifs à la gestion durable des forêts et à la fabrication. Des bonnes pratiques et des matériels idoines encouragent aussi la diminution de la quantité utilisée. Et en France, un reporting trimestriel de la consommation sert d'outil de pilotage sur ce sujet. Un questionnaire développement durable dans les appels d'offres IT Le papier n'est pas le seul à faire l'objet de critères environnementaux dans les appels d'offres. L'ensemble des fournisseurs IT sont soumis à un questionnaire développement durable. L'écoconception, la proportion de matériel recyclable, la consommation énergétique font partie de la liste de critères étudiés. Mais « nous venons d'ajouter des questions sur les transports et la prise en compte des émissions de CO2 », précise Emmanuel Martinez. Toujours pour se doter de TIC moins polluantes, la Société Générale a mis en place une politique DEEE (Déchets d'équipements électriques et électroniques) pour le groupe. Classique ? A l'échelle d'une multinationale, pas tant que ça. En France, l'entreprise a confié la mission à ACVO, entreprise dite « adaptée », qui emploie des personnes handicapées et malades mentales. L'effort est donc à la fois environnemental et social. Mais la Société Générale s'est aussi attachée à responsabiliser les DSI de ses filiales dans des pays où la filière du recyclage est inexistante ou peu fiable. Elle a réalisé des guides de bonnes pratiques et mis en place des procédures strictes de reporting. Greenpeace avait mis en exergue les dégâts sanitaires autant qu'environnementaux que pouvait engendrer l'absence de filière, en particulier en Afrique. Quand les matériels sont donnés à des associations par exemple, les DSI sont chargés de vérifier le bon fonctionnement de celles-ci tout au long de la chaîne. Des outils pour les bâtiments intelligents [[page]] Les bâtiments intelligents font aussi partie du programme et constituent un exemple de l'utilisation des TIC au service du développement durable. L'entreprise va lancer une étude pour trouver un outil d'automatisation du reporting des consommations de fluides et d'énergie. Dans ce cadre, l'utilisation de capteurs et de compteurs intelligents permet à la fois de mesurer et d'adapter ces consommations. L'outil facilitera le pilotage technique des bâtiments et adaptera leur gestion en fonction de l'évolution des besoins. Un autre outil ainsi qu'un référentiel sont à l'étude pour réaliser une auto-évaluation de la performance énergétique et environnementale du parc immobilier puis en déduire des objectifs et des actions idoines. « Nous avons créé il y a cinq ans un reporting environnemental et social qui est de plus en plus fiable. 700 employés dans le monde collectent les données sur la consommation, les déplacements, etc. Mais cela reste déclaratif, et pour affiner le rapport, nous devons l'enrichir avec de la mesure directe. » L'équipement des bâtiments pour les rendre 'intelligents' est une des réponses. (...)
(09/04/2009 12:28:32)Palmarès des salaires : les informaticiens gagnent en moyenne 36 000 euros par an
Si vous êtes DSI, en Ile-de-France, doté d'un bagage Bac+6 et d'une expérience de plus de 10 ans vous avez toutes les chances de remporter le jackpot. Mais vous avez plus de chance d'être dans la moyenne des informaticiens, avec un salaire de 36 109 euros. C'est ce que révèle le comparateur de salaires que LeMondeInformatique.fr met désormais à votre disposition. Nourri depuis 2003, il a recueilli les informations de plus de 6 000 personnes (salaire annuel brut, poste occupé, secteur d'activité, expérience, école, niveau d'études...). Au palmarès des postes les mieux payés dans les métiers de l'informatique en 2008 on retrouve sans surprise les directeurs des systèmes d'information, avec une moyenne de 65 535 € par an sur l'ensemble de l'Hexagone. Ils sont suivis par les directeurs de projets (53 417 €) et les responsables de projet architecture et intégration de grands systèmes (51 333 €). En bout de classement on retrouve les techniciens micro/réseau/messagerie, exploitation et téléassistance avec respectivement 24 178 €, 22 388 € et 21 085 €. L'écart se creuse entre l'Ile-de-France et le reste du territoire Pour un même poste il existe d'importantes disparités entre l'Ile-de-France et la province. Un expert en sécurité des systèmes d'exploitation gagne par exemple 60 000 € par an en IDF (deuxième meilleur salaire sur cette région) contre 37 000 € pour le reste de la France. L'Ile-de-France paie en moyenne ses informaticiens 10,46% de plus que le reste de la France . Toutefois, sur l'ensemble du tableau, la profession la plus mal payée est celle de technicien téléassistance... en Ile-de-France. En région, on observe aussi de grandes variations des rémunérations. Le salaire moyen en Ile-de-France paie est de 39 884 € par an. L'herbe est beaucoup moins verte dans le Limousin et ses 20 400 € annuels (43,51% de moins que la moyenne), la Picardie (27 153 €) et la Basse-Normandie (27 289 €), une région qui était pourtant en tête des régions les plus rémunératrices en 2004 (13,68% de plus que la moyenne nationale), devançant même l'Ile-de-France. On remarque d'ailleurs une nette dégradation des salaires en province. En 2004, quatre régions avançaient des salaires supérieurs à la moyenne française (la Basse-Normandie, l'IDF, les régions PACA et la Haute-Normandie), et en 2008 seule l'Ile-de-France était au-dessus de la moyenne. En termes de métier, le conseil, l'administration de la direction informatique, l'expertise et le commerce/marketing proposent tous un salaire moyen de plus de 40 000 €. C'est presque deux fois plus que les métiers du support et de l'assistance aux utilisateurs (22 832 €). (...)
(09/04/2009 12:05:56)Antitrust : Microsoft condamné en Allemagne pour entente illégale sur les prix d'Office
Microsoft, habitué à comparaître devant les instances antitrust de l'Union européenne, sait aussi déplaire aux juridictions nationales du Vieux continent. En témoigne la condamnation que vient de prononcer contre l'éditeur le Bundeskartellamt allemand, le régulateur de la concurrence lié au ministère de l'Economie. En l'espèce, Microsoft s'est vu infliger une amende de 9 M€ pour s'être abusivement entendu avec un revendeur sur les tarifs d'Office Home & Student 2007. Plus particulièrement, des salariés de l'éditeur auraient rencontré « au moins à deux reprises » les représentants du distributeur pour fixer le prix de vente de la suite bureautique, selon le communiqué publié par la juridiction. Le revendeur a, par la suite, organisé une campagne publicitaire avec le soutien financier de Microsoft. Le régulateur germanique ne nie pas le droit qu'ont les fournisseurs et les distributeurs d'engager des discussions sur les stratégies tarifaires des produits mis en vente. Mais l'attitude de Microsoft dans le cas présent est allée au-delà du raisonnable en faisant pression sur son partenaire et, in fine, en adoptant une attitude contraire aux principes de la concurrence. Les bonnes pratiques en la matière ne doivent pas conduire les fournisseurs à « tenter d'influer sur la fixation des prix par les distributeurs, estime le Bundeskartellamt. Dans le cas présent, cette frontière a été franchie. » (...)
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