Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 12761 à 12770.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(05/12/2008 10:20:36)

En France, la dépense informatique offshore pourrait atteindre 1,7 Md d'euros en 2009

En 2008, la dépense informatique en offshore des entreprises françaises s'est montée à 1,2 Md d'euros, en croissance de 40%. Elle devrait atteindre 1,740 Md d'euros en 2009, soit une hausse de 45%. La tendance est forte, mais cette démarche s'est profondément modifiée. Au lieu de la simple réduction de coûts salariaux envisagée il y a quelques années, on se retrouve avec des démarches plus matures. « Le côté économique je n'y crois pas trop, même si on ne peut l'oublier, c'est la flexibilité qui amène à l offshore, plaide Jérôme Hérard, directeur général de l'Ile des Média qui fait développer en Tunisie (*). « Il ne faut plus se focaliser sur les seuls coûts salariaux ». La démarche offshore oblige également les entreprises à être plus rigoureuses. « Avec le nearshore, nos cahiers des charges sont beaucoup plus carrés et gagnent en qualité, poursuit Jérôme Hérard». « Il nous faut par exemple bien séparer le cahier des charges fonctionnel du cahier des charges technique ». Les premières expériences en offshore et les premières déceptions ont en fait amené les entreprises à mieux contrôler ces démarches et d'abord à mieux les définir. « La démarche offshore révèle les défauts de méthodologie d'une entreprise » souligne Eric O'Neil, consultant. Plus facile de recruter en Tunisie qu'en France [[page]]L'offshore et le nearshore amènent pourtant des avantages inattendus, comme la possibilité de trouver plus facilement es compétences pointues, contrairement aux idées reçues qui associent offshore et recherche de ressources de premier niveau. « Ma société de 15 personnes cherchait des développeurs JEE, c'est très difficile à trouver à Bordeaux notre siège, impossible sur Paris, j'ai rencontré GetIT sur un salon, ils m'ont soumis quatre dossiers. J'ai fait affaire avec la société tunisienne Discovery » témoigne Jean-Charles Duplaa, gérant de Afib et président du Syrpin. Même démarche de L'Ile des Médias qui avait besoin de développeurs Dot Net en Saas et n'a trouvé qu'en Tunisie. Après une sélection des CV soumis par Get IT, les premiers entretiens ont eu lieu sur Skype, avant des entretiens approfondis sur place. La Tunisie est à 2h30 de Paris ce qui facilite les relations. Sur place, les ressources sont importantes, avec 6 000 ingénieurs informatiques en Tunisie, 10 000 dans deux ans. Les ingénieurs sont de qualité et apportent les compétences qui peuvent faire défaut en France, mais l'encadrement n'est pas forcément au rendez-vous. « Le gros problème de l'offshore ce n'est pas les compétences mais l'encadrement de ces compétences », témoigne Jérôme Hérard (20 développeurs à Paris, 10 en Tunisie). (*) Les informations de cet article sont issues d'un petit déjeuner organisé par Get IT, un GIE formé par 11 entreprises tunisiennes il y a trois ans pour proposer en nearshore des prestations informatiques. (...)

(05/12/2008 09:59:16)

L'éditeur de Typepad veut faire migrer les utilisateurs de Pownce vers Vox

Le Web 2.0 peut aussi être un monde impitoyable. En même temps qu'il a annoncé l'acquisition du service de 'micro-blogging' communautaire Pownce (partage de pensées, de photos, etc., dont le client présente la particularité d'utiliser la technologie Adobe AIR), Six Apart, l'éditeur du service de blog Typepad, en a annoncé la fermeture (celle-ci sera effective dès le 15 décembre). Pownce n'a en effet jamais réussi à sérieusement concurrencer Twitter et Six Apart dispose de sa propre plateforme communautaire gratuite, Vox, vers laquelle les utilisateurs de Pownce sont fortement invités à migrer. Dans un billet sur leur blog, les auteurs de Pownce expliquent par la voix de Leah Culver être particulièrement réjouis de rejoindre Six Apart. Lequel gagne ainsi de vrais spécialistes du Web 2.0, dont Kevin Rose, qui avait auparavant co-fondé Digg, un site de « contenu social » (où les utilisateurs soumettent et votent pour le contenu). A noter que le 11 novembre dernier, le CEO de Six Apart, Chris Alden, annonçait sur son blog devoir se séparer d'environ 8% de ses effectifs (sur environ 200 employés). (...)

(04/12/2008 18:14:41)

Microsoft livre trois outils d'interopérabilité autour d'Open XML

Microsoft vient de présenter trois outils de conversion de documents Open XML, à l'occasion d'un atelier organisé cette semaine à Bruxelles dans le cadre de son initiative DII (Document interoperability initiative). L'éditeur d'Office (qui s'appuie sur le format Open XML), a constitué le groupe de travail DII en mars dernier avec plusieurs autres fournisseurs dont Novell et DataViz. Alors engagé dans son processus de standardisation de son format OOXML auprès de l'ISO, il ne ménageait pas ses efforts pour prouver sa volonté de faciliter l'interopérabilité entre les différents formats de documents. A Bruxelles, Microsoft a annoncé la version 2.5 de son outil de conversion Open XML/ODF (Open Document Format) qui comporte maintenant des gabarits pour faciliter le passage d'un document à l'autre. Cette version est proposée sur SourceForge sous forme d'add-on pour Microsoft Office 2003, 2007 et XP, comme le précise Peter Galli, senior manager chez Microsoft, dans un billet posté sur Port25, le site consacré par Microsoft aux sujets liés à la communauté Open Source. Convertir des documents Open XML en pages HTML Le deuxième outil présenté, Open XML Document Viewer, traduit les documents Open XML en pages HTML qui peuvent s'afficher dans un navigateur Web (tel que Firefox de Mozilla donne en exemple Peter Galli). Une version bêta (CTP) est cette fois disponible sur le site Codeplex de Microsoft. Enfin, le kit de développement Apache POI Java pour Open XML s'adresse aux développeurs qui conçoivent des applications Java manipulant des documents. Ils pourront inclure dans leurs développements des interactions avec Word, Excel ou PowerPoint, en utilisant le format de document composé OLE2 de Microsoft et Open XML. Microsoft a tout intérêt à se montrer proactif sur le terrain de l'ouverture et de l'interopérabilité entre les différents formats de documents, la standardisation ISO de son format OOXML, intervenue en avril, n'a pas réjoui tout le monde et reste contestée. (...)

(04/12/2008 17:50:53)

Les fondeurs européens Infineon et STMicro sont à la peine

Infineon et STMicroelectronics, les deux derniers acteurs européens d'envergure planétaire du marché des semiconducteurs, affichent tous deux des pertes trimestrielles. Mais la situation est plus critique pour le premier que pour le second. Infinéon est tiré vers le bas par sa filiale Qimonda alors que STMicroelectronics compte sur ses composants télécoms pour être plus performant que le marché en 2009. Il faut dire que les deux industriels évoluent sur un secteur en crise profonde en raison de capacités de production d'autant plus surdimensionnée que la demande s'essouffle. L'organisme World Trade Semiconductor Trade Statitics prévoit, qu'après la faible hausse de 2,5% du marché en 2008, il devrait connaître une baisse de 2,2%. Infineon plus mal en point que son STMicroelectronics Infineon, qui compte 29 100 salariés, clôt son exercice sur des pertes abyssales en grande partie dues à sa filiale à 77% Qimonda (mémoires) pour laquelle elle ne parvient pas à trouver de repreneur. Même constat pour Altis, son usine de Corbeil-Essonnes. Les négociations pour la vendre à Advanced Electronic Systems AG (AES) traînent depuis août 2007. La vente de composants pour l'automobile, l'industrie et les marchés plus généralistes, qui représente près de 70% du CA total, dégage un résultat d'exploitation positif, mais celle des composants télécoms est dans le rouge. Chez STmicroelectronics, la situation déficitaire n'occulte pas autant l'avenir. Fin novembre, la publication des résultats trimestriels a fait baisser le titre de ce dernier de moins de 4% alors que chez Infineon, la publication a fait plonger le titre de 40%. STmicroelectronics tire 40% de son CA de la vente de composants pour les télécoms (avec une part notable pour les produits sans fil). 15% proviennent de l'informatique, 16% de l'électronique grand public et 13% de l'industrie automobile. (...)

(04/12/2008 17:01:35)

AMD anticipe un quatrième trimestre en forte baisse

Dans un communiqué, AMD annonce que son chiffre d'affaires du quatrième trimestre (qui sera clos le 27 décembre) devrait être inférieur d'environ 25% aux résultats de son troisième trimestre qui s'élevait à 1,585 Md$ (sans inclure les licences de process technologiques). Entre les lignes, cette annonce traduit aussi une déception du fondeur quant à ses attentes pour la fin d'année. La période est en effet traditionnellement plus faste que le troisième trimestre. Sans surprise, le fabricant blâme une demande plus faible que prévue dans toutes les régions du monde où il exerce son activité, en particulier sur le marché du grand public. (...)

(04/12/2008 16:31:03)

Représentation du personnel : les salariés sur site voteront dans leur SSII ou chez le client

Désormais, tous les salariés mis à disposition par une SSII, présents dans les locaux d'une entreprise utilisatrice et y travaillant depuis au moins un an, doivent être pris en compte dans le calcul des effectifs de l'entreprise (Article L. 1111-2 du Code du Travail). Syntec informatique engage ses adhérents à faire application de cette solution législative qui découle des nouvelles modalités de la loi du 20 août 2008 portant sur la rénovation de la démocratie sociale Concernant les élections des délégués du personnel, l'article L. 2314-18-1 stipule que ces collaborateurs devront avoir une condition de présence de 12 mois continus pour être électeurs et de 24 mois continus pour être éligibles. Ils devront préciser s'ils exercent leur droit de vote et de candidature dans la SSII qui les emploie ou dans l'entreprise utilisatrice. S'agissant des élections du Comité d'entreprise, le nouvel article L. 2324-17-1 édicte le principe selon lequel les salariés mis à disposition et remplissant la condition de 12 mois de présence continus peuvent être électeurs mais non éligibles dans l'entreprise utilisatrice, « afin de limiter le risque de diffusion d'informations stratégiques par un salarié mis à disposition ». Ils auront également le choix d' exercer leur droit de vote dans la SSII qui les emploie ou le donneur d'ordre. (...)

(04/12/2008 16:09:43)

View 3 de VMware propose une virtualisation à la carte du poste client

L'arrivée de VMware View 3 constitue une avancée notable dans l'offre de virtualisation des postes clients chez l'éditeur. Cette suite logicielle, qui succède à VDI (Virtual Desktop Infrastructure) intègre désormais, au niveau du serveur, un nouveau 'connection broker' (gestion des sessions utilisateurs), une gestion optimisée des images des postes clients, le support de différents types de clients et la virtualisation d'applications. Du côté du poste client justement, View 3 apporte aussi un pilote d'impression "universel", une gestion optimisée des fichiers multimédias et la promesse d'une utilisation déconnectée. En résumé, View 3 permet une virtualisation à la carte du poste de travail en isolant l'OS, les données, et tout ou partie des applications. View 3 regroupe toutes les fonctions décrites sous le vocable vClient présenté lors de l'annonce du système VDC-OS pour datacenter au dernier VMworld à l'exception de l'hyperviseur natif pour les postes clients. Au coeur de VMware View 3, le 'connection broker' View Manager 3 succède à Virtual Desktop Manager 2. C'est lui qui apporte "Unified Access", la gestion de différents types de cessions. Au support des machines virtuelles, vient s'ajouter celui de machines physiques, de postes Terminal Server et de PC en lames, autrement dit, des clients aussi bien légers et lourds. View Composer, lui, permet de créer des images de clients virtuels à partir d'un modèle maître - création de clones. Ainsi, plutôt que de créer une image complète pour chacun des postes, il suffit de partir d'un même modèle (template) et de paramétrer le différentiel pour chaque utilisateur. Selon VMware, cette méthode engendrerait un gain d'espace de stockage de l'ordre de 70%. View Composer, qui peut gérer plusieurs profils types, accélère aussi la création de nouveaux postes et facilite les mises à jour. Bientôt la possibilité d'utiliser le poste virtuel hors ligne [[page]]Thin App (qui reste disponible indépendamment) permet de virtualiser les applications, sans nécessiter aucun agent sur les postes. Les applications, hébergée dans leur propre machine virtuelle, s'exécutent de façon décorrélée du système d'exploitation. Un moyen d'éviter les conflits en cas de mise à jour, par exemple. Par ailleurs, il est possible d'installer les applications dans une machine virtuelle sur un disque externe partagé par les postes virtuels. VMware a aussi intégré à View 3 une version "expérimentale" (sans support pour l'instant) de son Offline Desktop. Comme son nom le laisse deviner, il permet à un utilisateur d'utiliser son poste virtuel de façon déconnecté. L'utilisateur télécharge la machine virtuelle sur son poste physique et travaille en mode déconnecté. Une fois reconnecté au serveur, il lui suffit de se synchroniser avec sa machine en ligne. View 3 propose également une fonction d'impression virtuelle "Virtual Printing", un pilote générique d'imprimante (technologie Thinprint) permet d'utiliser les ressources du poste local pour imprimer un flux compressé à 80% et crypté. L'autre amélioration se nomme Multimedia Redirection. Elle décompresse les fichiers vidéo sur le poste client ce qui dispense de solliciter le serveur et d'avoir à envoyer un flux vidéo. Une méthode qui consomme beaucoup de bande passante pour un résultat rarement satisfaisant. VMware View 3, qui s'appuie sur l'utilisation d'Active Directory de Microsoft, repose sur la version Entreprise de VMware Infrastructure 3, la plus complète. Sur ce socle vient se poser le Connection Broker (View Manager 3) dans la version View Entreprise, avec Virtual Center et View Manager. La version Premier comprend, en sus, la gestion des images (View Composer), la virtualisation des applications (ThinApp) et le Offline Desktop. View Entreprise coûtera 150$ par utilisateur simultané contre 250$ pour la version Premier. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >