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(03/12/2008 18:12:21)

L'ECE propose des formations aux enjeux de la mobilité durable

L'ECE (Ecole centrale d'électronique) franchit une étape supplémentaire dans l'application des nouvelles technologies aux grandes questions de société, en créant trois nouvelles options en dernière année. La discipline Automobile & transports permettra ainsi de répondre aux enjeux de la mobilité durable en élargissant les compétences des ingénieurs en électronique embarquée, et systèmes communicants. Elle formera également les étudiants aux dernières avancées en matière de télécommunications. Des spécialistes venus de PSA Peugeot-Citroën, du ministère des Transports, de Mines Paristech, ou Brime, notamment, interviendront dans le cadre de cette option. Les réseaux énergétiques intelligents et de la santé numérique au programme Les capteurs et les réseaux énergétiques intelligents constituent quant à eux, la pierre angulaire de l'option Energie & environnement. Les élèves ingénieurs de l'ECE suivront ainsi la question du développement durable en suivant cette option consacrée à l'optimisation des besoins énergétiques et des consommations. Enfin, l'option santé & technologies traitera par exemple de l'harmonisation des systèmes d'information et des réseaux de santé, immense chantier de ce début du 21ème siècle à l'heure du dossier médical numérisé. Mais elle s'intéressera aussi au développement de la télésanté, notamment dans les pays où l'infrastructure hospitalière fait défaut. (...)

(03/12/2008 17:47:10)

Geodis rachète IBM Global Logistics pour 300 M€

Geodis, filiale transport et logistique de la SNCF depuis avril dernier, vient de racheter l'activité logistique d'IBM pour un montant de 300 M€. Partenaire de Big Blue depuis dix ans, Geodis a été choisi parmi d'autres prestataires comme UPS ou Fedex au terme d'une sélection qui a duré neuf mois. Le groupe continuera de gérer l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement d'IBM (transports, formalités douanières, gestion des pièces détachées...) Un contrat juteux qui lui permet d'engranger 1 Md$ par an durant une période de quinze ans. Par ailleurs, Geodis proposera cette plateforme de pilotage à d'autres clients, afin de mutualiser les ressources. « Ce service est opérationnel et offre une parfaite traçabilité de la marchandise. Il correspond aux besoins de secteurs où les flux sont tendus et les stocks réduits, comme les produits high-tech (informatique, imagerie médicale...) ou les biens de consommation à forte valeur ajoutée », explique Jean-Louis Demeulenaere, directeur général délégué de Geodis. A terme, la société devrait décliner ce service pour la gestion des pièces détachées (dans le high-tech toujours, mais également l'automobile). Les équipes d'IBM Global Logistics (1200 personnes, dont une trentaine en France) rejoindront celles de Geodis au courant du premier trimestre 2009. La chaîne logistique d'IBM n'est pas très 'green' Cette opération ne fait toutefois pas l'unanimité. Les syndicats de la SNCF se sont immédiatement insurgés contre cette transaction, qu'ils qualifient de « 'Monopoly' démentiel ». « Ce rachat est complètement incohérent, conteste un syndicaliste de SUD-Rail. Alors que la SNCF manque de fonds pour améliorer son propre service, elle décide de mettre 300 M€ sur la table pour se procurer une branche logistique qui n'a rien de ferroviaire ! » IBM achemine ses produits depuis ses usines d'Asie, d'Irlande ou des Etats-Unis en majorité par fret maritime. Les pièces de plus grande valeur transitent quant à elle par avion. Une fois en Europe, ce matériel est ensuite envoyé dans les points de vente par camions. Selon les syndicats, la SNCF se contredit donc en ce qui concerne sa politique de protection de l'environnement. La vente de sa plateforme logistique permet en revanche à IBM d'améliorer de manière détournée ses pratiques vertes. D'après l'étude « Green IT rapport 2008 » publiée par Capgemini en octobre dernier, la plupart des entreprises interrogées (dont IBM) « soulignent la difficulté d'étendre leur politique verte à l'ensemble de leur chaîne d'approvisionnement, en raison de sa complexité. » IBM explique pour sa part les raisons de ce rachat par un recentrage sur son coeur de métier. « Les entreprises créent d'autant plus de valeur qu'elles se concentrent sur des domaines critiques qui leur permettent de se différencier, tout en cherchant à nouer des partenariats pour les activités qui ne font pas parte de leur coeur de métier », a commenté Gary Smith, vice-président d'IBM Global Logistics. IBM France précise par ailleurs que cette vente est en réalité « la suite logique d'une transformation de la supply chain qui a débuté il y a dix ans par l'externalisation de certains services et qui se finalise aujourd'hui par un transfert complet des compétences. » (...)

(03/12/2008 15:40:44)

IDC ne prévoit plus que 1,2% de croissance des dépenses informatiques en 2009 en Europe de l'Ouest

La croissance de la dépense informatique en Europe de l'Ouest ne sera que de 1,2% en 2009, selon IDC. Avant la découverte de la crise en septembre dernier, IDC tablait sur une hausse de 4%, soit autant que ses dernières estimations pour 2008. L'ensemble de la zone EMEA (Europe Middle Est Africa) devrait connaître une croissance de 3%, soit 1,5 point de moins que prévu auparavant. Ce sont donc les pays (riches) de l'Union européenne qui vont subir le plus fort ralentissement. Les pays de l'Est, tirée par la Russie, connaîtront une croissance de 9,4% (contre une prévision préalable de plus de 13%). Pour l'Afrique et le Moyen Orient, dont les locomotives sont les pays producteurs de pétrole et l'Afrique du Sud, la hausse a été révisée de 12% à 8,5%. Certains investissements devraient toutefois continuer de croître. IDC indique que la téléphonie sur IP et les achats de téléphones intelligents continueront de profiter d'une croissance à deux chiffres. De même, les logiciels libres et les logiciels en ligne (SaaS) devraient profiter des restrictions budgétaires. (...)

(03/12/2008 15:09:45)

Une proposition de loi sur le télétravail qui peine à convaincre

En soumettant fin octobre une proposition de loi visant à promouvoir le télétravail, les députés UMP Jean-Pierre Decol et Bernard Gérard rejoignent l'un des grands axes du plan Besson France numérique 2012. Mais si l'idée paraît séduisante sur le papier, des doutes subsistent quant à sa réelle utilité. D'abord, le texte ne fait que reprendre les termes de l'accord national interprofessionnel de juillet 2005, qui découle d'une directive cadre européenne de 2002. « Cet accord a démontré son inefficacité car les entreprises qui télétravaillent préfèrent employer les termes de mobilité ou d'externalisation pour échapper aux conséquences légales, fiscales, voire sociales qui découlent du travail à distance », estime ainsi Cyril Slucki, fondateur de CyberWorkers.com, un réseau de prestataires en télétravail. Les travailleurs indépendants exclus de la proposition Ensuite, des questions se posent sur la définition même du terme télétravail, qui reste extrêmement flou. «Depuis la généralisation du haut débit, le fait de consulter ses courriels ou d'effectuer une recherche sur Google à distance peuvent être assimilés à du télétravail », ajoute Cyril Slucki, Mais la vraie question qui se pose réside dans la seule prise en compte du travail salarié dans ce projet de loi : « On regrettera la non intégration des télétravailleurs indépendants dans cette proposition de loi, notamment ceux qui ont recours au portage salarial », déplore le PDG de CyberWorkers.com. Le texte propose en effet une réduction d'impôt aux entreprises qui offrent à leurs salariés la possibilité de télétravailler, mais cette déduction ne s'applique pas aux indépendants qui travaillent à distance et qui effectuent leurs missions en s'appuyant sur du portage salarial. (...)

(03/12/2008 14:58:41)

Les principales distributions Linux en ordre de marche pour IPv6

La Linux Foundation vient d'annoncer fièrement que les principales déclinaisons de Linux sont désormais officiellement compatibles avec la norme IPv6, dès l'installation. Alors que le protocole IPv4 d'attribution des adresses IP arrive à saturation dans certaines régions, son successeur IPv6 peine à s'imposer. Face à cette situation, le département de la Défense (DoD) américain avait émis une recommandation pour que ses principaux fournisseurs informatiques soit certifiés compatibles avec IPv6, sous peine d'être exclus de ses prochains appels d'offres. En réaction à cette décision, la Linux Foundation a lancé un groupe de travail dédié à IPv6 sous la direction de Venkata Jagana, architecte en chef réseau au Linux Technology Center d'IBM. Même si certains éléments de Linux étaient déjà dans les faits compatibles avec IPv6, ils n'étaient pas aux normes du département de la Défense. La Linux Foundation a donc remis à niveau des outils comme IPSec for IPv6, le support MIB, ICMPv6 et DHCPv6. « Le mandat IPv6 et ses obligations sont des travaux si lourds qu'il est difficile pour une seule société de les traiter seule dans son coin, explique Jim Zemlin, directeur exécutif de la Linux Foundation. C'est exactement le type de travail et de collaboration que la Linux Foundation peut faire avancer. » Dans les faits, peu d'éditeurs ont déjà annoncé une compatibilité totale avec IPv6. Du côté de Linux, Red Hat Entreprise Linux 5 et Suse Linux Entreprise 10 de Novell ont déjà été reconnus compatibles par le DoD. Et en dehors de Linux, Windows Vista de Microsoft et Solaris 10 de Sun ont également été approuvés. (...)

(03/12/2008 13:59:23)

Adobe Max : SOA, BPM et CEP en toile de fond

Il est le seul évangéliste de son espèce chez Adobe, et court donc animer ici une session, là un cours, et, entre chaque, un entretien avec un analyste ou un journaliste. Malgré tout, Duane Nickull l'assure, les architectures orientées services (SOA) sont une priorité pour Adobe. Le maître ès standards de l'éditeur profite en effet de la conférence utilisateurs européenne, Adobe Max Milan, pour dispenser la bonne parole : Adobe a une stratégie d'orientation services depuis longtemps, et se dirige même vers une architecture orientée événements (EDA). Duane Nickull est, de fait, bien placé pour le savoir car Adobe a commencé à mettre en place cette stratégie en rachetant la société qu'il avait cofondée, Yellow Dragon, en 2003. Yellow Dragon éditait un annuaire de services, désormais au coeur de l'offre LiveCycle ES (Entreprise Suite), la suite d'outils permettant de concevoir des processus orientés documents. LiveCycle est par exemple utilisé pour automatiser l'envoi de formulaires PDF aux internautes, et pour assurer la circulation des PDF remplis au sein de l'entreprise (ainsi que d'autres types de fichiers, grâce aux 'portfolios PDF', des dossiers sauvegardés au format PDF). Ce que les analystes américains décrivent comme un « document-centric BPM (Business process management) », autrement dit une gestion de processus métier orientée documents. Mais le futur, souligne Duane Nickull, appartient aux architectures orientées événements (EDA). Ou, pour reprendre une expression qu'il a lui-même forgée, l'Idea (Intelligence Driven Enterprise Architecture). « Les managers se fichent de savoir ce qu'il y a derrière les interfaces, ils se fichent de savoir s'il y a du Flex, du Silverlight ou autre chose, ce qu'ils veulent, c'est pouvoir prendre des décisions rapidement. » Pour cela, rien de tel que le CEP (Complex event processing, traitement des événements complexes), qui surveille les flux d'informations, analyse l'occurrence de divers événements, opère des corrélations et en tire des conclusions. Cela ne veut pas dire qu'Adobe proposera dans un futur proche des solutions de ce type. Pour l'heure, l'éditeur préconise déjà l'utilisation des services LiveCycle pour réaliser des mash-up (combinaisons de services applicatifs en ligne). Et bataille pour faire reconnaître son rôle sur les marchés des SOA et du BPM. « C'est vrai que nous souffrons d'un problème de perception, reconnaît Duane Nickull. C'est bien pour ça que nous en parlons aux analystes et à la presse ! » (...)

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