Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 13491 à 13500.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(08/10/2008 15:48:00)
HP et Itil v3 visiblement en avance sur les utilisateurs
Améliorer l'efficacité de ses processus informatiques tout en réduisant les coûts ne suffit plus. Voilà le constat, un peu décourageant, qu'on pourrait tirer du Forum ITSM organisé par HP ce matin à Paris. Présentant la version 3 d'Itil, le référentiel de bonnes pratiques en matière de gestion des services informatiques (ITSM, IT service management), Stuart Rance, expert Itil de HP, a en effet mis l'accent sur le hiatus existant parfois entre les résultats obtenus avec Itil v2 et le ressenti de la direction générale. Elaboré dans les années 80 par le gouvernement britannique, Itil vise à aider les directions informatiques à mieux s'organiser. Le but global n'a pas changé, mais entre-temps le monde informatique a fortement évolué. « Il y a 10 ou 15 ans, explique ainsi Stuart Rance, les gens étaient prêts à payer davantage pour améliorer l'efficacité de leurs services informatiques. Il y a 5 ans, leur but était de réduire les coûts. Aujourd'hui, ils veulent faire les deux. » Itil a servi à réduire les coûts, mais pas encore à aligner métier et IT La version 2 d'Itil a aidé les entreprises à atteindre cet objectif. Selon l'enquête HP/IDC présentée en ouverture du Forum par Karim Bahloul, directeur du consulting chez IDC, Itil a permis aux entreprises d'améliorer principalement la gestion des changements et la gestion des incidents. Et si les Etats-Unis ont massivement adopté cette méthodologie, l'Europe n'est pas tant à la traîne que cela, puisque, dixit Karim Bahloul, « environ 40% des entreprises européennes se sont lancées dans Itil v2 ». Toutefois, Stuart Rance soulève un paradoxe : certaines directions informatiques ont, grâce à Itil, réussi à améliorer la qualité de leur service et réduit leurs coûts, mais sans parvenir à satisfaire leur direction générale. Car la v2 d'Itil définissait une série de processus mais ne prenait pas en compte l'alignement entre métier et informatique. Le leitmotiv d'Itil v3 : créer de la valeur pour le métier [[page]] « En Itil v3, continue Stuart Rance, un service informatique doit créer de la valeur à la fois pour le métier et pour le client final, diminuer les coûts ou améliorer la productivité, gérer les risques et aider les entreprises à atteindre leurs objectifs. » Prenant l'exemple d'un industriel comme Renault qui n'imaginerait pas mettre en oeuvre des services - comme une chaîne de fabrication de voitures - sans connaître à l'avance le coût de ce service ni sa valeur pour le métier, Stuart Rance enfonce le clou : « En IT, on le fait tout le temps. » Les utilisateurs cherchent avant tout à mieux gérer les incidents Dans sa version 3, Itil répond à cette problématique en définissant un cycle de vie démarrant par une définition de la stratégie à suivre. Bien entendu, Stuart Rance ne conseille pas de tout implémenter d'un coup. Il peut s'agir de plans à long terme comme de projets simples et rapides, dit-il, des « quick wins ». En revanche, sachant que « à quelques petites exceptions près, tout ce qui existe en Itil v2 est aussi dans Itil v3 », il encourage fortement les directions informatiques à se pencher sur le sujet. Visiblement, le conseil n'est pas inutile : un sondage à mains levées dans la salle a montré que si la majorité avait déjà commencé à implémenter Itil, une petite minorité a pris la peine de se renseigner sur la version 3 de ces bonnes pratiques. Cependant, comme l'ont rappelé les participants à la table ronde utilisateurs, l'important n'est pas d'implémenter Itil de façon dogmatique, mais de choisir les bonnes pratiques qui conviennent à l'entreprise et à son existant. Et en l'occurrence, les entreprises se contentent bien souvent d'un outil de gestion des incidents supportant les bonnes pratiques Itil. (...)
(08/10/2008 15:07:12)John McCain verrait bien l'ancienne patronne d'eBay au poste de secrétaire du Trésor
Meg Whitman, l'ancienne patronne d'eBay, pourrait être la prochaine Secrétaire au Trésor des Etats-Unis. C'est du moins l'une des personnes auxquelles pense John McCain pour occuper ce poste s'il accédait à la Maison Blanche. Interrogés lors du deuxième grand débat rythmant la campagne électorale pour la magistrature suprême, Barack Obama et John McCain ont, chacun, indiqué quelle personnalité serait la mieux armée pour diriger le Trésor. A ce poste, l'équivalent du ministère des Finances, Barack Obama estime que le milliardaire Warren Buffet, fervent supporteur du candidat démocrate, « serait un très bon choix ». Warren Buffet devant Meg Whitman Si l'investisseur, qui a proposé de financer 1% du plan Paulson, est également cité par John McCain, le prétendant républicain pense également à Meg Whitman. Celle qui a dirigé eBay de 1998 à 2008 s'est mise au service du sénateur de l'Arizona dans sa campagne présidentielle. John McCain souligne que Meg Whitman « connaît les réalités du marché, elle sait comment créer des emplois. [Elle] était PDG d'une entreprise qui a commencé avec 12 personnes et qui permet aujourd'hui à 1,3 millions d'Américains de vivre grâce à eBay. » Hasard malheureux du calendrier, le site de vente à l'encan, au sein duquel Meg Whitman n'exerce plus aucune responsabilité, vient d'annoncer la suppression de 1000 postes, soit 10% de ses effectifs. (...)
(08/10/2008 14:57:47)Red Hat veut cibler l'ensemble des entreprises
Lors de la réunion annuelle de sa société avec les analystes financiers, Jim Whitehurst, PDG de Red Had, a annoncé son intention de cibler un ensemble plus large d'entreprises. Aujourd'hui, l'éditeur séduit plutôt certains marchés verticaux qui voient dans la technologie un levier de compétitivité. Ainsi est-il très apprécié dans le secteur financier, en crise actuellement. « Au New York Stock Exchange, Red Hat est aussi répandu que l'eau, plaisante Jim Whitehurst. Mais dans la plupart des entreprises classiques, nous n'avons qu'une faible part de marché. Nous devons être sur d'avoir la meilleur offre commerciale pour élargir notre cible au plus grand nombre. » Red Hat incitera les firmes à s'abonner au support technique de RHEL Et pour cela, Jim Withehurst veut s'appuyer sur deux « outils » déjà présents chez Red Hat, son modèle d'abonnement au support technique, et la version gratuite (sans support dédié) issue de la communauté. Tout en convainquant les entreprises qu'il sera moins cher pour eux de finalement prendre un abonnement pour utiliser RHEL (Red Hat Enterprise Linux) plutôt que de laisser leurs services informatiques se débrouiller seuls. (...)
(08/10/2008 14:20:53)Dell lance son tout-en-un pour le stockage et la restauration des données
Le PowerVaultDL2000 de Dell, qui sera lancé à la fin du mois, est une solution tout-en-un pour la sauvegarde et la restauration des données pour les PME. Celle-ci associe un serveur x86 basé sur Windows XP et contenant des logiciels de sauvegarde et de restauration de CommVault ou Symantec, à une baie de stockage MD1000. Les utilisateurs peuvent, s'ils le souhaitent, y ajouter l'un des systèmes de sauvegarde sur bande proposé par Dell. Et préciser quelle offre logicielle exacte ils souhaitent : avec ou sans déduplication pour CommVault, avec ou sans protection des données pour Exchange, SQL, les serveurs de fichiers ou les machines virtuelles de Symantec. Avec ce produit, Dell vise plus particulièrement le marché des PME ne dépassant pas quelques centaines d'employés, et ne disposant pas d'un service informatique étoffé. Il promet de leur faire gagner du temps, tant à l'installation qu'à l'utilisation. A l'installation, Dell assure qu'un informaticien généraliste peut intégrer le système dans le réseau d'entreprise et le mettre en fonctionnement en moins d'une demi-heure. Et à l'usage, toujours selon le constructeur, le PowerVault DL2000 sera 55% plus rapide en sauvegarde, et 77% plus rapide en restauration que les systèmes sur bandes actuels. Livré au départ avec une capacité de stockage de 3 To, le PowerVaultDL2000 peut supporter jusqu'à 144 To d'espace disque utilisable. Il sera commercialisé à partir de 10 000 dollars. (...)
(08/10/2008 12:17:03)IBM ouvre ses services collaboratifs et un réseau social d'entreprise en mode cloud
En toute logique, après avoir construit un réseau de centres serveur réservé au cloud computing, IBM commence à proposer des services sur ces infrastructures aux entreprises utilisatrices comme aux intégrateurs. La vitrine de cette nouvelle offre s'appelle Bluehouse, un condensé de réseau social à la Facebook et de travail collaboratif basé sur les différents logiciels Lotus. A partir de ces outils, les entreprises sont censées pouvoir construire très facilement des extranets de travail avec leurs fournisseurs et leurs clients. Par rapport à des réseaux sociaux classiques, ces logiciels sont néanmoins assortis de systèmes d'administration adaptés pour assurer un minimum de confidentialité aux échanges entre entreprises. Pour l'instant, les services Bluehouse restent en versions bêta et en anglais, et ils sont accessibles gratuitement. Des services de partage de documents et de scan des sites Web visités IBM va proposer quatre autres services dans son offre. Lotus Sametime Unyte servira à organiser simplement des conférences Web et à échanger des documents entre participants sans installer de logiciel sur un serveur local. Sametime Unyte sera intégré avec Lotus Notes et Lotus Sametime, et sera facturé à la demande ou à partir de 48 $ par mois. IBM Rational Policy Tester OnDemand, lui, est destiné à scanner automatiquement le contenu des sites Web visités pour vérifier qu'ils sont conformes aux politiques de sécurité de l'entreprise. Sur le même modèle IBM Rational AppScan OnDemand déboguera à distance les applications Web. Ces deux services seront proposés contre un abonnement annuel dont le prix n'a pas été communiqué. Enfin Telelogic Focal Point permet de répertorier les différents logiciels déjà présents dans l'entreprise en indiquant où ils se trouvent et comment ils sont utilisés. (...)
(08/10/2008 12:11:40)Un co-fondateur de MySQL quitte le navire Sun
Quelques semaines après les rumeurs de départ de Michael Widemius, c'est au tour de David Axmark, un autre co-fondateur de MySQL, racheté en janvier 2008 par Sun Microsystèmes, d'annoncer son départ de la société, le 10 novembre prochain. Sur le blog de Kaj Arnö, vice-président en charge des relations avec la communauté MySQL, on peut lire la lettre de démission de David Axmark : « J'ai réfléchi à mon rôle chez Sun, et j'ai décidé que je serais mieux dans une société plus petite. » Plus loin, Axmark précise encore : « Je déteste les règles que je dois suivre, mais je répugne également à les enfreindre. Il serait donc mieux pour moi de quitter mon poste, et de travailler avec MySQL et Sun sur une base moins formelle. » Autrement dit, à l'instar de son collègue Michael Widemius, David Axmark ne se sent plus à l'aise au sein de l'entreprise. « Figure de proue importante chez MySQL », selon Kaj Arnö, David Axmark a exercé plusieurs fonctions au sein de la société, comme responsable de l'ingénierie, du contrôle interne IT ou encore chef de relations avec la communauté Open Source. Chez Sun, le discours reste le même que pour Michael Widemius : « A ce jour, ces deux personnes sont toujours employées chez nous, nous n'avons aucun commentaire à faire à propos de ces prétendus départs. » (...)
(08/10/2008 11:47:48)Index Freelance.com : les spécialistes d'Unix regagnent la tête du classement
Cette première semaine d'octobre est marquée par une hausse de la demande en spécialistes d'Unix. Cela permet à cette catégorie de devancer Java, et de retrouver ainsi sa place de numéro un du top 10 des compétences les plus demandées sur des missions de courte durée. En effet, les compétences Java - en très léger recul par rapport au mois précédent - et Oracle suivent pour compléter le trio de tête. Elles sont cependant talonnées par les spécialistes de l'ERP SAP.
Freelance relève également une très nette progression des besoins des recruteurs en développeurs PHP. En revanche, les experts d'Aix, de SQL Server et de SQL sortent du classement, tandis que les spécialistes du langage HTML regagnent le top 10, après quelques semaines d'absence.
Au palmarès des spécialités les plus courues, les langages de programmation restent leaders, suivis par les logiciels de gestion et les bases de données. Internet perd une place au profit des réseaux.
Méthodologie : Panel représentatif des 515 offres de projets informatiques disponibles au 06 10 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande).
(...)
Bull se paye s+c et veut la première place du calcul haute performance européen
Bull annonce l'acquisition de science + computing (s+c), une société allemande spécialisée dans le calcul haute performance (HPC). Le montant de l'opération n'a pas été communiqué. Dans le même temps, le groupe français indique qu'il vient de vendre Medicaid, sa filiale consacrée aux solutions médicales, à Ingenix. L'acquisition de science + computing est l'un des investissements les plus importants que Bull ait consacré depuis 2005, date à laquelle il s'est lancé dans l'informatique haute performance. C'est ce qu'a expliqué Didier Lamouche, le PDG de Bull, à ce poste depuis 2005. Bull a aussi été retenu pour un projet de supercalculateur allemand à 200 To Cet achat, espère le groupe hexagonal, lui servira à atteindre son objectif d'occuper la première place du calcul haute performance en Europe. Science + computing bénéficie d'une bonne implantation dans les secteurs automobile et aéronautique et compte comme clients, notamment, BMW, Bosch, Daimler et Porsche. La nouvelle filiale de Bull a publié, l'année dernière, un chiffre d'affaires de 26 M€ et compte 270 salariés. Elle conservera son indépendance opérationnelle à l'issue de la finalisation de l'acquisition. [[page]]Bull a par ailleurs été retenu avec Intel, Sun et Partec pour la construction d'un supercalculateur de 200 To, là encore en Allemagne. Le futur cluster de serveurs est destiné au centre de recherche Forschungszentrum Jülich. En mars 2007, Bull a lancé le programme 7i, censé démocratiser le calcul intensif en permettant aux entreprises d'accéder à des solutions de simulations dans le cadre de leur processus d'innovation. En octobre de la même année, le Français s'est offert son compatriote Serviware, un spécialiste de l'intégration de solutions de HPC. (...)
(08/10/2008 11:23:49)Microsoft livre la R2 de son Desktop Optimization Pack
Microsoft livre aux grands comptes adhérents à sa Software assurance la R2 de MDOP (Microsoft Desktop Optimization Pack), sa suite d'administration des postes de travail. Dans la liste des composants de MDOP R2, la version 4.5 d'App-V occupe la vedette. C'est la première version de cet outil de virtualisation d'applications depuis le rachat de Softgrid, son concepteur. Elle embarque Dynamic Suite Composition (DSC) qui permet aux applications virtualisées de partager les mêmes ressources en middleware. Outre App-V (Application Virtualization), le MDOP se compose d'Asset Inventory Service, de MS Advanced Group Policy Management, de MS Diagnostics and Recovery Tools et de MS System Center Desktop Error Monitoring. Mi-novembre, l'éditeur livrera son outil de vérification des licences Asset Inventory Service (AIS) 1.5. on ne sait jamais. L'an prochain, Microsoft ajoutera à MDOP le logiciel Enterprise Desktop Virtualization (MED-V), suite d'administration des postes clients virtualisés en provenance du rachat de Kidaro en mars dernier. (...)
(08/10/2008 09:11:56)Capgemini confiant face à la crise
Capgemini a beau voir le cours de son titre s'écrouler, comme ne peuvent que le déplorer la quasi-totalité des acteurs français de l'IT, la SSII affiche sa sérénité. Contrairement à SAP, qui vient de faire part d'un ralentissement important de son activité, Capgemini indique que ses objectifs seront atteints malgré la crise mondiale, d'abord inhérente au monde de la finance, puis se propageant aux autres secteurs économiques. L'alerte sur résultat lancé par SAP dépasse les seules frontières des PGI allemands : elle stigmatise les soubresauts qui secouent le monde de l'IT dans son ensemble. La réaction des investisseurs confirme une inquiétude unanimement partagée et illustrée par l'effondrement du cours des titres des géants que sont Oracle, Google ou Microsoft. Des variations qui ne reposent sur aucune réalité Pourtant, Capgemini lui reste serein. La valeur de son action a reculé de près de 13% lundi, puis de 8,8% mardi. Mais selon la SSII, ces variations ne reposent sur aucune réalité. Son directeur général, Paul Hermelin, glisse ainsi à Reuters ne pas avoir « perçu à fin septembre, contrairement à SAP, de discontinuité dans le marché ». L'objectif d'une croissance organique de 4% à 5% pour l'exercice en cours est donc confirmé, et devrait même se situer dans le haut de cette fourchette, selon Paul Hermelin. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |