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(09/10/2008 12:58:56)

Verari propose des lames dernier cri avec des composants standards

Sur le marché très concentré des serveurs lames, les seconds couteaux n'ont d'autre issue que d'innover. C'est le cas du Californien Verari, qui a commercialisé ses premières lames avant HP et IBM sous le nom de RackSaver. Il équipe des grands comptes à la recherche de la plus haute densité. Parmi eux, on trouve des sociétés comme Microsoft et Akamai. Le fournisseur y parvient tout en utilisant des composants standards (carte mère, mémoire...). En revanche, le système de ventilation, qui repose sur l'enfichage vertical des lames, est breveté. Le constructeur annonce aujourd'hui des BladeRack 2X dont le châssis peut accueillir trois types de lames. Centré sur la densité, la ligne M permet d'installer 72 lames dans un volume de 8U. Mixant serveur et stockage, elle peut accueillir jusqu'à 864 coeurs (avec des processeurs quadri coeurs) et 672 To de disque. La ligne E se caractérise par la présence d'alimentations redondantes. 66 lames (serveurs -720 coeurs- stockage -576 T- ) prennent place dans un volume de 7U. La ligne L se différencie par la présence de composants redondants. Dans un volume de 8U, elle peut intégrer 96 lames uniquement serveurs (soit 864 coeurs). Verari mixe depuis longtemps serveur et stockage dans ses lames [[page]]Le constructeur combine depuis longtemps les lames serveurs et les lames de stockage. Approche découverte dernièrement par Fujitsu Siemens et IBM. En mai dernier, Verari s'est associé avec Xsigo pour intégrer aussi un commutateur virtuel à ses châssis. Les deux sociétés affirment pouvoir atteindre 32 connexions stockage et 64 connexions réseau par lame dont l'administration est centralisée sur une seule console. Les lames Verari acceptent ESX Server 3.5 et 3i de VMware. (...)

(09/10/2008 12:42:58)

Le WiFi reprend du service dans les bibliothèques parisiennes

Les bornes WiFi installées dans les bibliothèques parisiennes seront bientôt toutes de nouveau fonctionnelles. Le Comité Hygiène et Sécurité (CHS) de la Direction des affaires culturelles (DAC) de la capitale vient en effet de décider de rebrancher les points d'accès désactivés depuis novembre 2007. A l'époque, plusieurs agents municipaux s'étaient plaints de maux de tête et autres troubles liés, selon eux, aux ondes électromagnétiques liées au WiFi. Le mois dernier, la Mairie de Paris publiait pourtant les conclusions d'une expertise selon lesquelles « les niveaux [électromagnétiques relevés dans les bibliothèques sont] 80 à 400 fois inférieurs au seuil réglementaire ». Ces chiffres sont cependant loin de convaincre une partie du personnel municipal, réunis en intersyndicale. « Nous pensons que les normes autorisées sont mauvaises car trop élevées. De plus, les relevés effectués par les experts mandatés par la Ville ne sont pas fiables : ils reposent sur l'extrapolation d'un procédé utilisé pour la mesure des émissions des antennes téléphoniques », explique Marie-Paul Sémel, responsable Supap-FSU et membre du CHS de la DAC. « Mais, puisque les normes sont respectées, alors la Mairie va rebrancher les bornes. Le fait qu'il y ait des gens malades ne semble poser aucun problème ». Les syndicalistes opposés dénonçant la nocivité des bornes WiFi n'ont cependant pas d'étude scientifique sur laquelle appuyer leurs doléances : la Ville a refusé d'entendre les experts qu'ils avaient contactés et les plaignants regrettent « ne pas avoir les moyens de faire réaliser une étude. » Pour la mise en place de zones blanches Selon les agents municipaux opposés à la remise en service des points d'accès, plusieurs de leurs collègues souffriraient d'hyper électrosensibilité. Problème : « cette pathologie n'est pas reconnue par la médecine française, comme c'est le cas en Grande-Bretagne ou en Suède », souligne Marie-Paul Sémel. Le risque serait alors que les symptômes - dont la plupart ont disparu après le moratoire décidé en novembre 2007 - réapparaissent avec le rebranchement des bornes. « Des personnes risquent au final d'être exclues du monde du travail », poursuit la responsable syndicale, qui estime à quarante le nombre d'agents municipaux affectés. L'intersyndicale semble finalement bien démunie dans son opposition. Elle réclame une nouvelle réunion du CHS mais, n'y détenant pas la majorité, ne se berce pas d'illusions quant à son utilité. Tout au plus, les syndicalistes espèrent « que soient préservés certains lieux, qu'au nom du principe de précaution des zones blanches soient mises en place. » (...)

(09/10/2008 12:19:08)

IBM annonce ses bons résultats plus tôt que prévu, pour éviter la chute en bourse

IBM ne communiquera officiellement ses résultats trimestriels que le 16 octobre prochain. Mais face aux inquiétudes des investisseurs, refroidis par les déboires boursiers de certains grands acteurs IT, Big Blue a décidé d'avancer la publication de ses premiers chiffres. Il faut dire que le géant tire brillamment son épingle du jeu, avec des résultats trimestriels en hausse, dans la lignée de ceux publiés au premier semestre. Le chiffre d'affaires de 25,3 Md$, en hausse de 5% par rapport à la même période de l'année dernière, et le bénéfice net grimpe de 20%, à 2,8 Md$. La marge brute s'établit quant à elle à 43,3%, contre 41,3% un an plutôt. « Nos résultats prouvent que la combinaison d'une base de chiffre d'affaires stable et de bénéfices récurrents, d'investissements dans les marchés émergents, d'une gamme de produits et de services à valeur ajoutée, ainsi que des fondations financières souples nous donne un avantage concurrentiel, en période prospère comme en période de crise », a déclaré Sam Palmisano, PDG d'IBM. La société maintient donc ses prévisions pour l'ensemble de l'année, à savoir atteindre un bénéfice par action d'au moins 8,75 $, soit une augmentation de 22% par rapport à l'exercice 2007. IBM n'a toutefois pas fourni d'estimation en ce qui concerne son chiffre d'affaires annuel. IBM a préféré prendre les devants que de subir, comme SAP, la chute des marchés IT [[page]]En prenant les devants sur cette annonce, IBM cherche à éviter les mésaventures arrivées par exemple à SAP. Le 6 octobre dernier, l'éditeur allemand a par exemple lancé un avertissement sur ses résultats, en précisant avoir été touché par « une chute très soudaine et très inattendue de ses activités ». L'action avait alors plongé de plus de 16% le jour même puis de plus de 7% le lendemain. (...)

(08/10/2008 17:32:28)

Des puces à 5 GHz dans les Power 570 d'IBM

IBM annonce un doublement de puissance de certains de ses serveurs pour attirer les utilisateurs intéressés par la consolidation et la virtualisation. Ainsi, le Power 570 est-il désormais disponible avec un Power6 à 5 GHz, une puce qui était jusque là réservée au serveur haut de gamme Power 595. La fabrication des processeurs affichant cette fréquence d'horloge est désormais suffisamment au point pour que Big Blue les intègre dans ses machines vendues en plus grand volume, comme l'a précisé Scott Handy, vice-président de la stratégie et du marketing monde, à l'occasion de cette annonce. Les Power 570 vont aussi accueillir désormais deux fois plus de puces par noeud : jusqu'à huit processeurs à 4,2 GHz ou quatre processeurs à 5 GHz. Et il sera possible d'empiler jusqu'à quatre noeuds (32 puces à 4,2 GHz) dans un seul boîtier. Côté logiciel, IBM teste une nouvelle évolution de son outil de virtualisation PowerVM qui permet aux administrateurs de partager de la mémoire virtuelle entre différentes partitions. L'Active Memory Sharing est encore en bêta et sera disponible au premier semestre 2009. Les serveurs bénéficieront aussi d'une nouvelle version d'Active Energy Manager avant la fin de l'année pour fixer des seuils de consommation énergétique aux applications. La vitesse du processeur et celle du ventilateur seront réduites si une application essaie de dépasser ces limites. Le logiciel sera un 'plug in' de IBM Systems Director. Le contrôle de consommation énergétique sera gratuit, mais il faudra débourser environ 275 $ par serveur sur le Power 570 pour exploiter l'outil de limitation de cette consommation. (...)

(08/10/2008 17:22:44)

Oracle avale Primavera pour muscler son offre PPM

Oracle a annoncé aujourd'hui l'acquisition de Primavera, un éditeur de solution de PPM (gestion de portefeuille et de projet). Ce rachat, dont le montant n'a pas été divulgué, permet à Oracle de se renforcer sur un secteur auquel Forrester promet un bel avenir. Le cabinet estime en effet qu'il générera un revenu de 6,5 Md$ en 2010. En décembre 2007, le cabinet a par ailleurs placé Primavera en cinquième position de son classement des outils de PPM, pas très loin derrière CA, Planview, HP et IBM. Ray Wang, analyste chez Forrester, qualifie même Primavera de « grand-père de la gestion de projet » (la société occupe le secteur depuis 25 ans). Autant dire que cette acquisition est stratégique pour Oracle sur un marché en pleine consolidation, comme le témoignent les différents rachats qui ont rythmé le secteur au cours des derniers mois. En septembre dernier, Serena s'est par exemple offert OpenProj, après avoir déjà repris Pacific Edge en mai 2007. Un portefeuille de nouveaux clients bien rempli pour Oracle Primavera apporte en outre une jolie dot à Oracle, puisque ses solutions sont utilisées par 375 des 400 plus importantes sociétés d'ingénierie dans le monde, ainsi que par l'armée américaine. Une fois la transaction finalisée, les salariés de Primavera rejoindront un nouveau pôle PPM chez Oracle, unité qui sera dirigée par l'actuel PDG de Primavera, Joel Koppelman. L'entreprise, dont le siège se situe à Bala Cynwyd, en Pennsylvanie, a récemment créé des entités dédiées aux secteurs de la santé et de l'assurance. Il y a quelques jours, c'est Advanced Visual Technology, un éditeur de planification d'espace pour détaillants, qu'Oracle rachetait. (...)

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