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(09/10/2008 18:22:07)
Atos ouvre un centre de compétences ECM à Sophia-Antipolis
Atos Origin inaugurera demain vendredi 10 octobre un centre de compétences ECM (gestion de contenu en entreprise) à Sophia-Antipolis. Ce Business Innovation Center sera installé au sein du bâtiment Millenium que la SSII possède depuis plus de 15 ans dans la technopole européenne, et où travaillent déjà 300 personnes. Avec ce centre, Atos veut conforter son positionnement sur un marché qu'il considère en pleine croissance. « Le volume de données stockées par les entreprises double tous les 18 mois et la gestion de ces flux est de plus en plus complexe », indique Jean-Marc Djian, responsable du site Atos à Sophia. La SSII possède 1000 consultants ECM en Europe, dont 200 en France et 80 à Sophia. Un centre de R&D mais aussi de démonstration et de maquettage [[page]]Ce centre de compétences est à la fois destiné aux partenaires éditeurs et aux clients finaux d'Atos. Avec les premiers (comme IBM Software, Open Text, EMC ou encore Microsoft), la SSII compte plancher sur des projets communs, afin de bâtir des solutions interopérables, en s'appuyant sur des standards comme le tout récent CMIS (content management interoperability services), par exemple, ou le modèle OAIS (Open Archival Information System) pour l'archivage. « Les entreprises sont de plus en plus souvent éclatées en agences et doivent jongler avec des infrastructures informatiques hétérogènes, souligne Jean-Marc Djian. Les éditeurs vont devoir davantage interfacer leurs solutions. » Atos souhaite également profiter du centre pour développer des solutions verticalisées, destinées à des cibles particulières, comme le secteur public, la finance, l'assurance et l'industrie. Quant aux clients d'Atos, ils auront la possibilité de venir dans les locaux pour découvrir les meilleures pratiques et les nouvelles technologies, tester les solutions ou encore maquetter des projets. « In fine, l'objectif consiste à proposer à nos clients une offre ECM globale, allant du conseil jusqu'aux services », précise Jean-Marc Djian. Atos présentera son centre demain à une soixantaine de partenaires et clients. Cinq ateliers leur seront proposés au courant de l'après-midi, avec pour thèmes la chaîne de dématérialisation, la pérennisation des données, « platform as a service » - où comment l'ECM se dirige vers le 2.0 -, la migration et l'archivage. (...)
(09/10/2008 17:05:07)Riposte graduée : Viviane Reding se range du côté des eurodéputés
Une pierre de plus dans le jardin de la riposte graduée. Cette fois, c'est Viviane Reding, la Commissaire européenne à la Société de l'information, qui annonce qu'elle se range aux côtés des députés européens. Lesquels ont récemment étrillé, dans un amendement voté à une large majorité, le principe de la riposte graduée tel que le gouvernement français entend le mettre en place. Dans une lettre adressée à l'ARP (Association des réalisateurs et producteurs) pour justifier de son absence lors des prochaines Rencontres cinématographiques, Viviane Reding explique que « les instances européennes ne doivent pas se laisser instrumentaliser pour obtenir le cautionnement d'un modèle spécifiquement national à l'échelle communautaire. » En filigrane se profile une condamnation de la tentative de Nicolas Sarkozy d'intervenir auprès de José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, pour que soit rejeté l'amendement contesté. Une demande immédiatement repoussée par le patron de l'exécutif communautaire. « Pour respecter le droit des élus du peuple, la Commission se doit de transmettre cet amendement au Conseil, à toutes fins utiles », ajoute Viviane Reding. (...)
(09/10/2008 16:52:01)En France, un tiers des entreprises sont engagées dans le Green IT
Dell vient de dévoiler avec IDC les résultats du premier baromètre européen du Green IT. Cette étude évalue les attitudes et les actions des directions informatiques en faveur du développement durable et de la protection de l'environnement. Elle montre qu'en France, 34% d'entre elles ont déjà mis en place certaines initiatives. Et 12% des firmes ont, quant à elles, planifié le développement d'une politique informatique de préservation de l'environnement pour les prochains mois et les prochaines années. Les entreprises françaises se situent dans la moyenne européenne, mais restent toutefois en retrait par rapport aux sociétés allemandes, anglaises et aux organisations des pays nordiques (Suède, Norvège, Finlande et Danemark), qui sont respectivement 51%, 47% et 36% à avoir entamé de tels projets. L'Hexagone a cependant une plus grande maturité sur le sujet que l'Italie (avec 24% des entreprises), l'Espagne (22%) ou les Pays-Bas (21%). Les principaux leviers sont le respect de la réglementation et la réduction des coûts [[page]]Ce baromètre du Green IT met également en lumière deux facteurs principaux qui incitent les entreprises françaises à investir dans des initiatives « vertes ». Elles souhaitent d'abord être en permanence en accord avec la réglementation en vigueur (85% des grands comptes interrogés). Ensuite, elles cherchent à réduire les coûts de fonctionnement de l'informatique (80%) via, notamment, l'optimisation de la consommation électrique des équipements (78%). Cependant, les motivations varient d'un pays à l'autre : la pression des salariés est un facteur très important dans les pays nordiques (76%) et en Allemagne (58%) alors qu'il ne touche, pour l'instant, que 21% des entreprises françaises. Alors que la demande de leurs clients est un autre facteur incitatif qui pousse les entreprises nordiques (71%) et anglaises (61%) à investir dans des solutions Green IT, celui-ci joue peu pour les entreprises françaises (31%). Mais le levier de l'investissement informatique vert n'est pas uniquement économique, il repose également sur une volonté portée par la Direction Générale de l'entreprise : 69% des directions informatiques interrogées ont été poussées à investir dans des initiatives Green IT par leur direction générale. De même, 61% d'entre elles sont portées par la volonté de respecter les engagements pris par l'entreprise en matière de responsabilité sociétale d'entreprise (RSE). Les freins existent, mais le mouvement vers une informatique verte est lancé [[page]]L'enquête réalisée par IDC montre également les difficultés que les directions informatiques françaises rencontrent lorsqu'elles décident d'investir dans des initiatives Green IT. Les trois principaux obstacles rencontrés sont, dans l'ordre, l'absence de compétences en interne (52%), l'existence de contraintes considérées comme incompatibles avec une stratégie Green IT (42%) et le manque de temps (41%) sont les trois principaux obstacles. Si l'enquête montre que les entreprises françaises et allemandes sont confrontées aux mêmes difficultés, ce n'est pas le cas des entreprises anglaises, principalement freinées par le manque d'orientation insufflée par les acteurs de l'industrie IT (42%). Quant aux entreprises espagnoles et italiennes, elles butent sur des contraintes internes incompatibles avec une stratégie Green IT (respectivement 65% et 56%). Mais malgré tout, les directions des systèmes d'information des entreprises françaises restent persuadées que l'informatique a un rôle important (41%) ou majeur (48%) à jouer au cours des 3 prochaines années pour réduire les impacts environnementaux de l'entreprise. Selon IDC, les entreprises devraient bientôt accélérer leurs investissements dans des initiatives Green IT. Alors que les DSI de l'Hexagone dépensent aujourd'hui 5,9% de leur budget IT dans des projets « Green », ce taux devrait passer à 7,9% dans les 2 prochaines années. (...)
(09/10/2008 16:11:30)Sogeti se renforce sur le test logiciel en Angleterre
La SSII française Sogeti, filiale de Capgemini, vient d'acquérir Vizuri Limited, une société britannique de 90 personnes spécialisée dans le test logiciel et le conseil en sécurité. Ce rachat intervient six mois après celui d'un autre acteur européen du test logiciel, l'Irlandais Insight Test Services. Installée à Londres, Vizuri Limited est organisée en agences locales. Parmi ses 50 clients, outre le gouvernement britannique, figurent des acteurs des services publics, des entreprises du secteur financier, de l'assurance et des nouveaux médias. Très impliquée dans le domaine de la qualité du logiciel, Sogeti a développé ses propres méthodes de test (TMAP et TPI). La SSII dit rassembler à ce jour 2 500 collaborateurs spécialisés dans le test logiciel -2 000 en Europe et 500 en Inde- et 5 000 impliqués sur les applications et disposant d'une expérience significative dans les démarches de test (sur les 20 000 personnes de son effectif total, dont 10 000 en France). En septembre, Sogeti a ouvert une chaire d'entreprise à l'EISTI (Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l'Information) proposant 80 heures de formation aux métiers du test logiciel. (...)
(09/10/2008 16:08:27)Symantec achète MessageLabs
Le dernier éditeur en date à s'intéresser au cloud computing et au SaaS s'appelle Symantec. Celui-ci vient en effet d'acheter le britannique MessageLabs, un spécialiste de la sécurité qui filtre, contre un abonnement mensuel, les accès au Web et à la messagerie électronique des entreprises. « En réunissant MessageLabs et notre offre Symantec Protection Network, nous disposons désormais de l'un des plus puissants portfolios d'infrastructure de service basée sur le cloud et d'une excellente assise pour développer notre croissance, » affirme John W. Thompson, PDG de Symantec. L'éditeur de Brightmail se dote ainsi également d'une nouvelle plateforme de filtrage, mais en mode Saas. L'acquisition de MessageLabs se monte à 695 M$ et sera formellement finalisée à la fin de l'année. (...)
(09/10/2008 15:54:22)CA se pose en gestionnaire de la virtualisation
CA met son offre d'administration à l'heure de la virtualisation. La clef de voûte en est Data Center Automation Manager 11.2 auquel s'ajoutent neuf autres outils d'automatisation des tâches d'administration de l'infrastructure, des performances des applications et des services. Vendu plus de 150 000$, Data Center Automation Manager (DCAM) s'appuie sur un moteur de règles qui, selon CA, gère les machines virtuelles tant actives qu'en sommeil et les ressources systèmes afférentes. En s'appuyant sur CA CMDB (Configuration Management Database), il peut évaluer les ressources disponibles et les allouer. DCAM s'interface avec CA AutoSys Workload Automation, CA NSM 11,2 (CA Unicenter Network and Systems Management), CA Service Desk, et avec CA Wily APM. CA, qui s'affiche en fournisseur des plus grands comptes, veut se différencier de ses concurrents par l'éclectisme de son offre s'étendant du poste client au grand système. Pour les spécialistes de l'administration de systèmes, la virtualisation est un enjeu vital. A plus ou moins long terme, ils devront proposer des outils pour piloter, surveiller, gérer et administrer des VM en environnements multiples. C'est la raison pour laquelle tous se lancent dans des annonces sur le sujet. Outre celles de CA, les dernières en date sont celles de BMC et de Hewlett-Packard. Ils doivent aussi compter sur les velléités de VMware et de Microsoft ainsi que sur celles d'éditeurs spécialistes de la virtualisation comme Vizioncore ou le Français Systar. (...)
(09/10/2008 14:58:01)8 milliards d'euros déjà débloqués pour financer les PME
Sur les 22 milliards d'euros du plan de soutien au financement des PME, décidé le 2 octobre dernier par le gouvernement français, 8 milliards d'euros doivent être débloqués dès aujourd'hui. C'est ce qu'a annoncé François Fillon mardi dernier, lors d'une rencontre à Marly-le-Roi (Yvelines) avec 150 PME de croissance, membres du Comité Richelieu (association française des PME de haute technologie, à l'origine du Pacte PME). Les fonds de cette première tranche proviennent de la collecte du livret de développement durable ou LDD (ancien Codevi). Le Premier Ministre a indiqué que 9 autres milliards seront disponibles le 15 octobre prochain, en provenance du livret d'épargne populaire (LEP), et que la totalité des fonds prévus dans le cadre de ce plan de soutien sera mise à disposition dans deux semaines. Rappelons que cette initiative vise à « prévenir les risques d'assèchement du crédit provoqués par la crise financière internationale ». Oséo dispose de moyens renforcés En dehors des LDD et LEP, les fonds viendront de la Caisse des dépôts et consignations et de l'établissement financier public Oséo, qui soutient l'innovation des PME et dont les moyens viennent d'être renforcés. La capacité de prêt d'Oséo a été accrue de 50% (par le biais de la Caisse des dépôts) et sa capacité à garantir les prêts bancaires a été relevé de 2 milliards d'euros. François Fillon a précisé qu'un système de contrôle sera mis en place, par l'intermédiaire des banques, pour s'assurer que les fonds débloqués seront intégralement consacrés aux petites et moyennes entreprises. Rappelons que, parallèlement, la Banque européenne d'investissement (BEI) a également mis 30 milliards d'euros à la disposition des banques pour financer des PME européennes. Les propositions du Comité Richelieu pour que le plan d'aide atteigne son but [[page]] Afin que ce plan d'aide au financement lancé par le gouvernement français atteigne son objectif, le Comité Richelieu a formalisé plusieurs propositions. L'association suggère que les établissements bancaires signent un Pacte PME pour s'assurer que les crédits bénéficient aux bons destinataires. Elle propose aussi qu'Oseo puisse prêter en direct aux entreprises innovantes. L'organisation rappelle également l'importance d'ouvrir davantage les marchés publics de l'Etat aux PME et pousse à renforcer le programme Passerelle (qui facilite le test de produits innovants par les grandes entreprises). « Les PME ne doivent pas supporter la trésorerie des autres », souligne le Comité Richelieu, qui demande d'appliquer les réductions des délais de paiement et de raccourcir les délais de versement des aides publiques. Il souhaite par ailleurs que les allégements de charges sociales dont bénéficient les JEI (jeunes entreprises innovantes) puissent s'appliquer à toutes les PME innovantes et pas seulement aux « jeunes » entreprises. Enfin, l'association propose d'alléger les contraintes d'utilisation des 600 millions d'euros des FCPI (fond commun de placement dans l'innovation). (...)
(09/10/2008 14:49:47)Internet des objets: l'Europe des 27 demande un « droit au silence des puces »
«Les puces doivent pouvoir être déconnectées». C'est l'un des messages forts qu'ont voulu faire passer Eric Besson, secrétaire d'état français à l'économie numérique, et Viviane Reding, commissaire européen à la société de l'information, lors du sommet qui a réuni lundi 6 octobre les délégations ministérielles des 27 pays de l'Union. A l'heure où l'on prévoit l'extension des usages des technologies RFID et autres puces sans contact, au delà de la seule logistique, il est essentiel que la traçabilité des objets se fasse « dans le respect de la protection des données des entreprises et des citoyens », insiste la commissaire européenne. la souveraineté de l'Union européenne sur les infrastructures critiques de l'Internet du futur « Le développement de l'Internet des objets, lié à son acceptation, ne se fera que s'il est accompagné par ce droit au silence des puces », abonde le secrétaire d'état à l'Economie numérique. L'autre condition, retenue par l'assemblée des 27, est de donner de la consistance à la souveraineté de l'Union européenne sur les infrastructures critiques de cet Internet du futur. La France se pose en leader sur ce plan avec la constitution depuis le printemps dernier d'une toute première « racine » européenne pour un dispositif de nommage des objets (Object Naming Services) à l'initiative du consortium GS1 (30 000 entreprises adhérentes en France) et hébergée par l'opérateur Orange Business Services. Il s'agit de l'équivalent du DNS de l'internet actuel, (l'ONS américain relevant de Verisign). [[page]] «Il est indispensable que les choix technologiques faits aujourd'hui soient compatibles avec les usages envisagés. Les choix à opérer sont de nature politique car les enjeux sont au coeur de nos sociétés », souligne Eric Besson. Le sommet du 6 octobre a ainsi permis d'entériner le consensus des 27 sur cinq prises de position qui seront soumises à l'adoption du conseil européen des ministres télécoms lors de la prochaine réunion prévue pour le 27 novembre. Les cinq décisions retenues sont ainsi : - La nécessité de renforcer la sécurité et la résilience des réseaux, avec une coordination assurée par l'Enisa (Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information), ainsi que le renforcement des dispositifs de protection des mineurs. - La nécessité de coordonner au niveau européen la gestion du spectre de fréquences, aiguillonnée notamment par le passage au tout numérique du secteur audiovisuel. - L'objectif prioritaire de protection des libertés qui passe par la possibilité de désactiver (et réactiver) les puces. - L'affirmation du rôle moteur de l'Europe pour la gouvernance et l'émergence d'une gestion distribuée des infrastructures (et qui ne soit pas centralisée outre-atlantique), pour laquelle la « racine » française peut en quelque sorte servir d'expérience pilote. - Le renforcement de la coordination de la recherche et de l'échange des bonnes pratiques dans tous ces domaines. Tous ces sujets, avec l'accélération de l'accès au très haut débit indispensable à l'essor de l'Internet des objets, reviendront sur le tapis au niveau national dès la semaine prochaine. Nicolas Sarkozy devrait en effet présenter le plan pour le développement de l'économie numérique le 15 octobre. (...)
(09/10/2008 13:34:59)HP EDS : 580 postes supprimés en France, sur 9 330 en Europe (MAJ)
Après l'annonce du 15 septembre 2008 par Mark Hurd, PDG d'HP, de 24 600 suppressions d'emplois dans le monde sur trois ans, soit 7,5% de l'effectif mondial HP/ EDS, les chiffres France viennent de tomber. « Sur les 9 330 suppressions de poste annoncés en Europe, (dont 90% chez EDS), ce sont bien 500 postes supprimés chez EDS concernant la France, et 80 côté HP, soit 25% de l'effectif européen, indiquent de concert Jean-Paul Garagnon, délégué syndical central pour Sud EDS, et Jean-Paul Vouillé, représentant syndical pour la CFTC d'HP. Tous deux assistaient au CE France aujourd'hui jeudi 9 octobre. La Grande-Bretagne reste la plus touchée La répartition des postes supprimés a également été annoncée dans la presse économique européenne, puis publiée sur le blog de la CFTC d'HP. C'est la Grande-Bretagne qui est la plus touchée, avec 3378 postes supprimés chez les ex EDS (17% des effectifs). Suivent l'Allemagne, avec 1400 coupes, soit 11% des effectifs (1150 chez EDS, 250 chez HP), la Hollande, avec 560 suppressions (14% de l'effectif), la Belgique, avec 324 emplois supprimés, la Suisse, avec 275 suppressions de postes (13% de l'effectif). Quel que soit le pays, la majorité des coupes concerne les salariés d'EDS. (...)
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