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(07/10/2008 17:06:53)

Microsoft ne veut pas que Steve Ballmer témoigne dans l'affaire 'Vista Capable'

Microsoft n'entend pas laisser Steve Ballmer témoigner dans le cadre de l'action collective lancée contre la campagne de publicité « Vista Capable ». Celle-ci a débuté en février 2008, suite à plusieurs plaintes déposées à partir de 2007 par certains consommateurs. Ils reprochaient à Microsoft d'avoir permis que des étiquettes « Vista Capable » soient apposées sur des machines ne supportant pas les nouveautés proposées par l'OS. La semaine dernière, l'éditeur a demandé au juge américain en charge de l'affaire de décliner la requête des plaignants visant à ce que Steve Ballmer soit auditionné. Selon les avocats de Microsoft, le témoignage souhaité du fantasque CEO n'a d'autre but que de « susciter l'intérêt des médias ». De plus, la défense précise que Steve Ballmer n'a aucune connaissance particulière des faits reprochés et « demande aux plaignants d'expliquer en quoi son témoignage est nécessaire ». Le CEO se dit étranger à toute décision opérationnelle sur 'Vista Capable' Et, si la parole des avocats ne suffisait pas, Steve Ballmer lui-même a tenu à mettre les choses au point : « je ne suis impliqué dans aucune décision opérationnelle relative au programme 'Vista Capable'. Je ne suis impliqué dans aucune stratégie marketing ni aucun message publicitaire concernant ce programme. » Tout au plus, le patron du groupe reconnaît avoir eu de « brèves discussions sur les spécifications techniques et le 'timing' » avec des dirigeants et des partenaires comme Intel. (...)

(07/10/2008 16:45:06)

AMD se sépare de ses usines pour se recapitaliser

Cette fois, c'est fait : AMD est (re)devenu un fabricant de processeurs 'fabless' (sans usine). La rumeur avait couru dès la fin août. La société transfère son outil de production à The Foundry Company détenu à 55% par Atic (Advanced Technology Investment Company ), elle-même contrôlée par le gouvernement d'Abu Dhabi. AMD garde le reste du capital. Par ailleurs, par l'entremise du fonds d'investissement Mubala Development Co, le gouvernement d'Abu Dhabi (Emirats Arabes Unis) porte sa participation au capital d'AMD de 8,1% à 19,3 % moyennant 314 M$. En novembre 2007, ils avaient payé les 8 premiers pour cent 622 M$. Le fondeur trouve des alliés pour la conception en 32 nm Enfin, AMD rejoint le groupe de fondeurs constitué autour d'IBM en vue d'allier leur force dans la conception d'un outil de production de composants en 32nm. AMD est le huitième membre du groupe après Chartered Semiconductor (Singapour), Freescale (Etats-Unis, ex-Motorola), Samsung Electronics (Corée, premier producteur mondial de mémoire) Toshiba, NEC et les Européens Infineon Technologies et STMicroelectronics. C'est là la fine fleur de cette industrie à l'exception d'Intel, qui n'a besoin de personne pour avancer vers le 32 nm, et du Taïwanais TMSC qui a été choisi par Sun pour concevoir ses processeurs en 32 nm. Atic investit dans un premier temps 2,1 Md$ pour prendre le contrôle de The Foundry Company. Sur cette somme, 1,4 Md$ sont directement investi dans la société et 700 M$ versés à AMD. Outre son usine de Dresde en Allemagne et son projet dans l'état de New York, AMD transfère 1,2 Md$ de sa dette dans la nouvelle entité. Forte de 3000 salariés, elle continuera de fournir AMD et proposera ses capacités de production restante à d'autres clients. Atic s'est engagé à investir entre 3,6 et 6 Md$ sur cinq ans dans The Foundry Company. (...)

(07/10/2008 16:36:17)

Microsoft fonce sur le décisionnel avec SQL Server 'Kilimanjaro', prévu pour 2010

Dénommée pour l'instant 'Kilimanjaro', la prochaine génération de la base de données SQL Server, de Microsoft, est placée sous le signe de l'analyse décisionnelle (ou BI, business intelligence), avec une sortie programmée pour le premier semestre 2010. L'analyse de données est un pan de son catalogue que Microsoft entend renforcer sensiblement à l'instar de ce qu'ont fait les grands fournisseurs du marché (SAP, Oracle, IBM...) ces derniers mois. En atteste, notamment, le rachat du spécialiste du datawarehouse Datallegro, cet été. A l'occasion de sa Business Intelligence Conference' (06-08 octobre, Seattle), Microsoft vient de révéler que la version 2010 de SQL Server comporterait des fonctions d'analyse de données et de reporting en 'libre service', des développements menés sous le nom de code 'Projet Gemini'. Ces fonctions permettront aux utilisateurs d'agréger eux-mêmes des données provenant de différentes sources pour constituer des rapports et des représentations graphiques qu'ils pourront ensuite partager par l'intermédiaire de la technologie de portail SharePoint, de plus en plus mise à contribution par Microsoft. L'éditeur a précisé que Gemini sera fortement intégré avec Excel pour accéder aux services d'analyse en self-service depuis les feuilles de calcul. Il a également prévu de favoriser le partage d'informations à l'aide de fonctions de communications unifiées provenant d'Office Communications Server (OCS). Un datawarehouse pour traiter plusieurs centaines de téraoctets[[page]] Un datawarehouse pour traiter plusieurs centaines de téraoctets Quant à la technologie rachetée à Datallegro, Microsoft compte la mettre en oeuvre dans une solution d'entrepôt de données alliant matériel et logiciel (appliance) capable de traiter plusieurs centaines de téraoctets. Un projet qui porte cette fois le nom de Madison. Sur la BI Conference, l'éditeur a effectué une démonstration sur mille milliards de lignes de données. Dell, HP, Unisys, Bull Systems et EMC se sont déjà engagés pour constituer la partie matérielle du datawarehouse. Parmi eux, HP vient déjà d'annoncer, la semaine dernière, une appliance d'entrepôt de données réalisée avec Oracle : la HP Oracle Database Machine. Pour le projet Madison aussi, une version CTP devrait doit être proposée dans une douzaine de mois. Enfin, Microsoft prévoit également d'exploiter la technologie de gestion de la qualité des données acquise de Zoomix. (...)

(07/10/2008 15:13:29)

Formation professionnelle : le nouvel accord Syntec toujours au point mort

Les négociations sur la formation professionnelle entre la fédération Syntec Informatique et les partenaires sociaux semblent au point mort. Alors qu'un consensus s'est dégagé dans les groupes de travail paritaires sur l'essentiel de la réforme, le syndicat professionnel des SSII et des éditeurs de logiciels bloque sur les éléments suivants : la classification (et donc de la rémunération), les contrats de professionnalisation et la prise en charge de la formation hors temps de travail. Blocage sur des points de détail «Même si elles ne sont pas à négliger, ces questions restent somme toute assez marginales par rapport à l'enjeu global du nouveau texte qui régira les entreprises de la branche (études, conseil, informatique et ingénierie)», regrette Ivan Béraud, secrétaire de la F3C-CFDT, le syndicat des métiers de la communication et du conseil. D'ailleurs sur le fond, Syntec et les représentants syndicaux sont en accord depuis la mi-juillet ». Reste que pour régler les quelques points qui fâchent - parmi lesquels la question du transfert du droit individuel à la formation - un nouveau rendez-vous entre la fédération patronale et les syndicats a été fixé le 22 octobre 2008. (...)

(07/10/2008 13:56:19)

Bientôt un kit de développement pour Surface de Microsoft

Lors de la prochaine Professional Developer Conference (PDC2008) de Microsoft qui aura lieu du 27 au 30 octobre à Los Angeles, l'éditeur devrait fournir un kit de développement gratuit réservé à Surface, sa table tactile interactive. Celui-ci sera distribué lors d'une session technique sur l'écriture d'applications pour Surface et la reconnaissance optique d'objets via ScatterView. Cette session devrait également lever, en partie, le voile sur la façon dont le mode tactile « multi-touche » fera partie de Windows 7 et de WPF (Windows Presentation Foundation), la partie graphique de .Net. (...)

(07/10/2008 11:59:58)

Mono 2.0 analyse le code pour migrer du .Net vers Linux

La version 2.0 de Mono, implémentation de .Net pour Linux (et quelques Unix), a été rendue publique par son concepteur, Miguel de Icaza. Sponsorisé par Novell, le projet Mono s'est appliqué à se rendre conforme à la version 2.0 de .Net (support de C# 3.0, de Linq...), le framework de développement de Microsoft. Amélioré, pourvu de fonctions de reporting, l'analyseur de code (Moma, Mono migration analyzer) vient même à la rescousse pour simplifier le portage d'une application .Net sur du Linux. Moma sert à quantifier le nombre de changements à opérer sur les programmes. D'après l'équipe de développement de Mono, sur une analyse de 4600 applications .Net, il s'est avéré que 45% pouvaient tourner directement sur Mono 2.0 sans changement. Pour 24%, le nombre de changements était inférieur ou égal à 6. Moonlight, bel exemple d'application .Net (Silverlight) sur Linux L'intérêt de Mono, explique Miguel de Icaza, est de pouvoir développer une application en .Net une fois et la déployer partout (la vieille promesse de Java). Néanmoins, même si Mono présente parfois quelques avancées par rapport au framework .Net, il ne peut être au niveau de toutes les fonctions des évolutions les plus récentes. Ce qui en fait soit un outil d'appoint pour des entreprises ayant capitalisé sur .Net mais désirant déployer certains développements sur Linux, Solaris ou MacOS X, soit un choix initial pour un développement multi-plateforme et multi-langage. Novell cite ainsi un éditeur de jeux qui l'utilise afin de pouvoir viser simultanément « le Web, Windows, OS X, Nintendo Wii et bientôt l'iPhone ». Mono peut également servir de base à d'autres projets de portage : le projet Moonlight l'utilise afin de rendre compatible la technologie d'animation Silverlight de Microsoft avec le monde Linux. (...)

(07/10/2008 07:40:09)

Dynamics NAV 2009 sera lancé en France début décembre

En France, 2 300 entreprises utilisent un des progiciels de gestion de la gamme Dynamics de Microsoft. C'est le décompte qu'en fait Wim Delbeke, directeur des solutions Microsoft Dynamics pour la filiale française. Cette dernière vient de lancer officiellement la version 2009 du progiciel intégré (ERP) Dynamics AX, à l'occasion du salon ERP 2008 qui s'est tenu à Paris (une première présentation du produit avait été faite avant l'été). Dans quelques semaines, ce sera au tour de Dynamics NAV de bénéficier d'une mise à jour majeure. La version 2009 du produit devrait apparaître dès novembre sur la liste de prix de Microsoft. Le lancement français est prévu pour début décembre. Sur les 2 300 clients français de Dynamics, 1 800 exploitent Dynamics NAV, évolution de l'offre Navision, tandis que 200 clients ont choisi l'ERP Dynamics AX, évolution du logiciel Axapta. Les 300 clients restants utilisent l'application de gestion de la relation client Dynamics CRM dont la version 4.0 est sortie en janvier dernier. Les trois applications reposent sur la même plateforme technologique Avec la prochaine sortie de Dynamics NAV 2009, les trois progiciels s'appuient désormais sur la même plateforme technologique, comme le prévoyait depuis deux ans la feuille de route de Microsoft. Une plateforme qui repose sur quatre piliers, ainsi que le rappelle Wim Delbeke : « une interface utilisateur fortement intégrée avec les logiciels bureautiques Microsoft Office, l'exploitation du portail SharePoint pour les fonctions de collaboration, l'accès aux outils d'analyse décisionnelle de SQL 2008 et une architecture orientée services. L'environnement .Net est désormais la plateforme de développement utilisée pour les trois applications Dynamics qui font largement appel aux services Web. » [[page]]Autour de Dynamics NAV, qui s'adresse aux entreprises de moins de 1 000 salariés et convient aux PME à partir de 50 personnes, Microsoft continue à encourager le développement de solutions verticales par ses partenaires français. En complément, « nous étudions aussi la possibilité de localiser pour la France des offres métiers développées dans d'autres pays », indique Wim Delbeke. Il est vrai qu'au niveau mondial, le catalogue de solutions verticales pour les offres NAV et AX ne contient pas moins de 2 200 références. Le directeur des solutions Dynamics cite en exemple les offres de LS Retail et Pebblestone pour le secteur de la mode et les réseaux de points de vente. Deux offres distribuées en France par l'intégrateur français 3Li. Dynamics AX, jusqu'à 7 500 salariés L'offre Dynamics AX, quant à elle, cible les entreprises « de 200 à 7 500 salariés », comme le précise Wim Delbeke. Des entreprises aux processus métiers plus complexes qui recherchent des solutions ayant des capacités d'évolution. « Dans le cadre du programme 'Industry Solutions', Microsoft prend la main sur les déclinaisons verticales de Dynamics AX pour cinq secteurs d'activité : les services professionnels, l'industrie manufacturière, la distribution, les points de vente et le secteur public », poursuit Wim Delbeke. Ces solutions métiers figurent sur la liste de prix de Microsoft qui en garantit la commercialisation et peut intervenir sur le code en cas de problème. Sur les 160 partenaires français rassemblés autour des trois solutions Dynamics, 130 travaillent sur les ERP, parmi lesquels 60 ayant réalisé un projet l'an dernier. Sur ces 60 partenaires actifs, 17 distribuent Dynamics AX, les autres commercialisant NAV. Sur son exercice 2008, clos fin juin, Microsoft France a vu son chiffre d'affaires Dynamics progresser de 32% (21% au niveau mondial). En 2007, la filiale s'est fixée pour objectif de doubler son revenu sur cette activité d'ici 2010. Pour y parvenir, Microsoft France entend soutenir son réseau de distributeurs dans ses initiatives (trois d'entre eux viennent par exemple de se regrouper dans le réseau CAIRNS) et en l'aidant aussi à recruter des compétences autour de ses logiciels. Dans ce domaine, il devrait annoncer prochainement un partenariat avec une école de commerce pour la mise en place d'une formation spécifique. (...)

(07/10/2008 07:40:13)

Banc d'essai : ESX surpasse Hyper-V sur tous les plans

Les hyperviseurs ESX de VMware et Hyper-V de Microsoft ont été auscultés sous toutes les coutures par notre confrère Network World deux mois durant. Et le premier surclasse nettement le second. Sans surprise. Rappelons que le premier règne en maître sur les serveurs x86/64bits depuis plusieurs années alors que le second sort tout juste de l'oeuf, après une longue et difficile gestation. Alors qu'il aurait dû être disponible en même temps que Windows Server 2008, Hyper-V n'est arrivé que bien plus tard. Quant à Virtual Machine Manager, sa console d'administration, elle tarde elle-aussi à voir le jour. C'est pour la migration que l'écart entre Microsoft et VMware est le plus imposant Le banc d'essai était focalisé sur quatre aspects de l'utilisation des produits : tout d'abord, la mise en service, la compatibilité et la migration, ensuite, l'administration et la gestion, puis les performances et, enfin la sécurité, la supervision et la gestion des événements. Chaque test a compté pour 25% de la note globale. Sur un maximum de 5, ESX a obtenu 4,25 et Hyper-V seulement 3,25. VMware affiche ses meilleurs scores (4,5) avec la performance et la mise en service, la compatibilité et la migration. C'est sur ce dernier point que l'écart est le plus grand avec Hyper-V qui n'obtient que 3. [[page]]Même note de 3 pour Microsoft sur la sécurité, la supervision et la gestion des événements. Il fait mieux avec 3,5 en matière d'administration et de gestion ainsi que sur le chapitre des performances. Hyper-V se démarque en particulier pour la consolidation de machines virtuelles sur des serveurs monoprocesseurs. A la décharge de Microsoft, nos confrères rappellent que la version testée de Virtual Machine Manager, sa console d'administration, restait une version bêta. Cette comparaison entre les hyperviseurs ennemis était une première à deux titres. D'une part, les deux produits n'avaient encore jamais été mis face à face. D'autre part, c'était aussi la première fois que VMware se prêtait à un banc d'essai comparatif. L'éditeur refuse habituellement, par principe, ce type d'exercice arguant de leur manque de pertinence. (...)

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