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(06/10/2008 17:28:24)
Gemalto veut s'offrir Wavecom pour se renforcer dans le M2M
Gemalto, né de la fusion de Gemplus et d'Axalto, vient d'annoncer le lancement d'une offre publique d'achat sur le Français Wavecom, spécialiste des technologies sans fil. Gemalto propose 7 € en numéraire par action Wavecom, soit une valorisation du titre de 72% par rapport au cours du 3 octobre. L'acquéreur potentiel entend profiter de cette opération pour se renforcer sur le marché de la communication Machine-to-machine, dont Wavecom s'est fait une spécialité. Selon Olivier Piou, DG de Gemalto, le rapprochement des deux entreprises contribuera « au déploiement des solutions M2M à travers la standardisation des logiciels et le développement des services. » L'OPA a été déposée auprès de l'Autorité des marchés financiers ce 6 octobre et sera ouverte quand l'AMF aura déclaré l'offre recevable. (...)
(06/10/2008 16:33:29)Ebay fait chauffer la carte bancaire...et licencie 10% de ses effectifs
Plus d'un milliard de dollars (880 M€), c'est la somme qu'eBay a dépensée ce lundi en se payant trois sociétés : les sites de petites annonces Den Bla Avis (DBA) et Bilbasen, tous les deux danois, pour 280 M€, ainsi que Bill Me Later, un service de paiement en ligne sécurisé pour 600 M€. Ebay possède d'ailleurs déjà un service de ce genre, Paypal. En marge de ces trois grosses acquisitions, eBay a également annoncé la suppression de 1000 postes fixes dans le monde (10% de ses effectifs) et de quelques centaines d'emplois intérimaires, ainsi qu'un ralentissement de sa politique de recrutement. Même si ces mesures entraîneront des frais de restructuration d'un montant estimé à 80 M$, eBay espère qu'elles permettront de réduire les coûts et surtout d'endiguer le gouffre financier engendré par Skype (racheté en 2005) dont eBay a déjà envisagé de se séparer. Ebay publiera ses résultats financiers pour le troisième trimestre le 15 octobre prochain. (...)
(06/10/2008 13:06:35)Riposte graduée : Sarkozy en appelle, en vain, à José Manuel Barroso (mise à jour)
Après que les députés de Strasbourg ont adopté à une immense majorité un amendement étrillant le principe de la riposte telle qu'elle est conçue dans le projet de loi français Création et Internet, l'exécutif français fait feu de tout bois pour que le texte honni soit abandonné. L'amendement, déposé par le socialiste français Guy Bono et le Vert Daniel Cohn-Bendit, dispose qu'aucune restriction à la liberté d'expression et d'information d'un citoyen ne peut être prise sans décision préalable de l'autorité judiciaire. Or, la loi élaborée par le ministère français de la Culture pour endiguer le téléchargement illégal prévoit que les internautes s'adonnant à une telle pratique pourront voir leur abonnement à Internet suspendu ou résilié sur simple décision d'une autorité administrative, l'Hadopi. Si, dans un premier temps, Christine Albanel, la ministre de la Culture, réagit sereinement, estimant que l'amendement ne remet rien en cause, la rue de Valois fait rapidement machine arrière et réalise qu'il sera délicat de voter une loi s'inscrivant en contradiction avec un principe posé par les eurodéputés. Viviane Reding, la Commissaire européenne à la Société de l'Information, entre alors dans l'arène et vole au secours de la ministre: la Commissaire assure qu'elle rejettera l'amendement. Sarkozy demande l'engagement de Reding à Barroso Une assurance de très courte durée car, préoccupée par sa prochaine réélection par les eurodéputés, Viviane Reding n'entend pas se montrer méprisante avec le législatif communautaire. Ses récriminations contre l'amendement Bono font donc long feu. Même les efforts déployés par Christine Albanel, qui propose, pour pérenniser son projet de loi, de définir l'Hadopi comme 'un tribunal', sans référence à la nature administrative ou judiciaire de l'instance. Peine perdue, Viviane Reding ne reviendra pas sur le dossier. [[page]]Nicolas Sarkozy, voyant le projet de loi français se déliter, décide alors de mettre les pieds dans le plat. Puisque Viviane Reding n'entend plus s'opposer à l'amendement, le président français entreprend de s'adresser à l'échelon hiérarchique supérieur, en l'occurrence José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne. En fin de semaine dernière, dans une lettre destinée au chef de l'exécutif communautaire, le locataire de l'Elysée rappelle l'impérieuse nécessité de « protéger les artistes interprètes tout en préservant la santé économique de leurs partenaires (les producteurs, NDLR) ». De fait, le Président français demande à José Manuel Barroso d'intervenir pour que la Commission rejette l'amendement Bono, présenté comme empêchant « les Etats membres d'appliquer une stratégie intelligente de dissuasion du piratage. » Le président de la République ne manque pas, au passage, d'écorner Viviane Reding, dont il sollicite « l'engagement personnel » auprès de José Manuel Barroso. Cette intervention élyséenne est donc un camouflet pour la Commissaire européenne à la Société de l'information, invitée à être rappelée à l'ordre. Elle l'est également pour Christine Albanel : en demandant le rejet de l'amendement, Nicolas Sarkozy contredit sa ministre, qui clamait haut et fort que le vote des eurodéputés ne remettait rien en cause. Enfin, la missive du Président français confirme le peu de considération portée par l'exécutif - national ou communautaire - aux députés européens. Alors que ces derniers siègent dans la seule instance directement désignée par les citoyens de l'UE, leurs décisions n'ont pas de pouvoir coercitif et sont soumises au bon vouloir de la Commission européenne. Ce dont Nicolas Sarkozy veut profiter pour faire disparaître l'amendement Bono-Cohn Bendit. Fin de non recevoir de José Manuel Barroso ((Mise à jour)) La demande de Nicolas Sarkozy n'aura finalement pas ému José Manuel Barroso. Celui-ci oppose en effet une fin de non recevoir à la requête présidentielle, estimant que c'est au Conseil de l'Union européenne de trancher sur l'amendement litigieux. Aussitôt, le prolixe Guy Bono s'est félicité de cette décision : « Le Président français a trop vite oublié le fonctionnement des institutions de l'Union européenne en feignant d'ignorer le principe même de la codécision ». Puis de souligner : « La Commission européenne n'est pas le petit chien de Sarkozy ! Si Sarkozy a ses habitudes de monarque en France, l'Europe n'est pas son royaume ! » (...)
(06/10/2008 12:56:00)Markess : La gestion de contenu devrait croître de 13% en France d'ici 2010
Le marché de la gestion de contenu pèse 660 M€ en 2008 en France, selon la dernière étude du cabinet Markess. Il englobe deux catégories : les logiciels de gestion de contenu proprement dits (200 M€) et les services associés (460 M€). Ce marché représente 1,4% du marché total des logiciels et services IT. Le cabinet d'étude prévoit une croissance de 13% d'ici 2010 pour ce secteur, où il atteindra les 840 millions d'euros. Le panel interrogé par Markess comprend 150 organisations (entreprises privées et administrations publiques). 55% d'entre elles assurent être déjà équipées d'une solution de GED. Toutefois, l'étude enregistre une forte déception : les solutions en place, souvent depuis longtemps, ne prennent pas en compte les nouveaux besoins. Les contenus proviennent en effet de sources multiples et leur volume croit de manière exponentielle. Markess prévoit donc le succès de solutions nouvelles pour une meilleure gestion : des courriers électroniques, des contenus web, des enregistrements, des archives, de la chaîne éditoriale. (...)
(06/10/2008 12:47:18)Orange et le ministère des Affaires étrangères décernent des bourses à des ingénieurs indiens
Orange et le ministère des Affaires étrangères et européennes souhaitent inciter des étudiants indiens à suivre leur cursus de fin d'étude en France. Pour les encourager dans cette voie, l'opérateur et l'organisme public ont décidé d'attribuer une bourse « Orange - ministère des Affaires étrangères et européennes » à une dizaine d'entre eux. Les lauréats de ce programme ont été récompensés, vendredi dernier, au cours d'une cérémonie en présence de l'Ambassadeur de l'Inde. Le montant de la bourse attribuée par Orange s'élève à 10 000 € pour chacun d'entre eux. De son côté, le ministère des Affaires étrangères et européennes leur assure la prise en charge de cours de français, de la cotisation à la sécurité sociale et à une mutuelle, ainsi que de l'inscription pour une aide au logement.. Un mastère spécialisé à l'Isep ou l'Institut Telecom Paristech et six mois de stage [[page]]Cette initiative devrait permettre à cette dizaine de jeunes étudiants de poursuivre une année de mastère spécialisé en France avant de rentrer en Inde. Ils ont pu effectuer leur rentrée 2008 dans l'une des deux écoles partenaires de ce programme de dix mois, à l'Isep, (Institut Supérieur d'Electronique de Paris) et à l'Institut Telecom Paristech. Cette formation sera assortie d'un stage de six mois chez Orange Pour l'opérateur, déjà implanté en Inde avec plus de 2 000 salariés, le programme représente une opportunité pour recruter des cadres étrangers, ingénieurs de haut niveau, dans ses zones offshore. (...)
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