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(25/09/2008 16:24:01)

HP supprime 9 330 emplois en Europe dont 90% chez EDS

L'annonce est tombée aujourd'hui lors d'un comité d'entreprise européen à Londres : Hewlett-Packard va supprimer 9330 emplois en Europe, qui se répartiraient de cette façon : 8400 pour EDS (soit 90% !) et 930 chez HP (10%). Pas encore de détails par pays Aucun chiffre par pays n'est communiqué mais la CFTC estime que les projets de licenciements en Europe liés au rachat d'EDS frapperont par ordre d'importance l'Angleterre, l'Italie, l'Allemagne et la France. Le géant américain avait annoncé la semaine dernière 24 600 suppressions d'emplois sur trois ans dans le monde, partiellement compensées par des embauches, suite à la récente acquisition d'EDS cet été. (...)

(25/09/2008 15:01:07)

OpenWorld : pas de progiciel Fusion avant 2010

Avec un middleware Fusion qui vient à peine d'être redéfini et après le rachat de BEA, il était clair que la refonte de l'offre progicielle prendrait un peu plus de temps que prévu. Un dirigeant d'Oracle l'a confirmé, au cours d'une session de questions-réponses avec la presse durant OpenWorld, la conférence utilisateurs de l'éditeur à San Francisco. Steve Miranda, vice-président senior responsable du développement des applicatifs Fusion, a prévenu que la première suite estampillée Fusion Applications ne sortirait pas avant 2010. « Nous commencerons avec les premiers clients à la fin de l'année prochaine, et nous comptons être très, très prudents quant à la date de disponibilité générale », a expliqué Steve Miranda. L'objectif, constamment répété, est d'atteindre un niveau de qualité irréprochable. Toutefois, cela n'empêche pas Oracle de livrer au compte-gouttes quelques modules applicatifs Fusion. Steve Miranda a ainsi présenté un logiciel de gestion de projet, et précisé que des outils de gestion des ressources humaines et de gestion financière devraient voir le jour avant la fin de l'année. Les fonctionnalités de tous les progiciels Oracle exposés pour une SOA [[page]] A terme, les applications Fusion proposeront sous forme de modules l'ensemble des fonctionnalités offertes par les progiciels d'Oracle, qu'il s'agisse de son offre historique ou de produits venant de Siebel, Peoplesoft ou JD Edwards. Le tout pourra être déployé sur un middleware ouvert, l'idée étant de proposer une architecture progicielle conforme aux canons des architectures orientées services (SOA). Tout comme SAP a réarchitecturé son progiciel pour lui donner une orientation services, et acheté Business Objects pour le teinter de BI (Business intelligence, ou décisionnel), Steve Miranda a également précisé que les fonctions décisionnelles seraient omniprésentes dans tous les modules de l'offre Fusion : « Dans chaque transaction, il y a des informations nécessaires aux utilisateurs métier pour leurs prises de décision. Et il ne s'agit pas d'informations venant après les événements, mais de faits venant éclairer directement ce qu'il faut faire dans la transaction en cours. » Jusqu'à présent, d'après une présentation de Steve Miranda, ce seraient 700 clients qui auraient participé depuis trois ans à la mise au point de Fusion Applications. Parmi eux, des sociétés comme FedEx, Coca-Cola, Kodak, Sears ou Toshiba. (...)

(25/09/2008 14:47:26)

Le Gartner liste neuf grands axes d'évolution des serveurs lames

Pour les cinq ans à venir, le Gartner Group promet une progression fulgurante aux serveurs lames. Il dresse une liste de neuf axes d'évolution pour ces serveurs modulaires de plus en plus prisés. - L'agrégation physique entre les lames permettra une fusion de ces serveurs au niveau logique pour qu'ils ne fassent plus qu'un. Selon le Gartner, cela deviendra une caractéristique de base des serveurs lames dès 2010. - A l'aube de l'Ethernet 10 Gbit/s et du Fiber Channel qui lui emboîte le pas, les entrées/sorties iront bien au delà de ces performances. agréger et désagréger la bande passante des entrées/sorties - Pour la gestion de ces entrées/sorties, l'avenir promet d'agréger et de désagréger la bande passante ainsi que de la prioriser sans contrainte physique. Et ce, pour les machines tant virtuelles que physiques, du moment qu'il s'agit de lames. Le Gartner prévoit ce type de fonctions en standard dès 2011. - Pas de date en revanche coté stockage. Mais le Gartner évoque une évolution vers plus de souplesse. La même ressource pourra passer d'un emplacement interne à une baie en NAS ou en SAN, voire à une baie en attachement direct. - Du côté de la virtualisation, les hyperviseurs, déjà préinstallés sur les lames, s'intégreront dans le silicium des machines. Ceux-ci embarqueront des outils d'administration capables d'intervenir aussi sur les machines virtuelles. Une administration système plus riche et des chassis interconnectés(25/09/2008 14:43:17)

Seagate filialise ses activités de services autour du stockage

Seagate, numéro un mondial des disques durs, crée i365, une filiale dans laquelle il regroupe toutes ses activités ayant trait aux services associés au stockage. i365, dont le nom fait allusion à une fiabilité 365 jours / 365, rassemble les activités résultat des rachats réalisés par Seagate au cours des deux dernières années : EVault (sauvegarde à distance), MetaLINCS (spécialiste de la recherche de preuves) et Seagate Recovery Services (ActionFront). i365 s'adresse en priorité aux PME, et Seagate lui prédit à un bel avenir : les activités regroupées dans i365 croissent de 39% par an, soit mieux que le créneau des services en ligne concernés (+12,6%, selon IDC) et de la sauvegarde en ligne (+38%). (...)

(25/09/2008 13:41:03)

Christine Albanel sereine face au non des eurodéputés à la riposte graduée

Christine Albanel est sereine et le fait savoir. Quelques heures après que les députés européens ont largement adopté un amendement qui torpille le principe de la riposte graduée, le ministère de la Culture s'est ainsi fendu d'un communiqué acéré pour faire taire ses détracteurs. Selon les termes employés par la rue de Valois, Guy Bono, l'un des eurodéputés à l'origine de l'amendement (et membre des instances dirigeantes du PS), ferait preuve d'« acharnement » contre le projet français. « En avril, cet élu avait déjà présenté un amendement poursuivant le même but, explique Olivier Henrard, conseiller juridique de Christine Albanel. Il avait également tenté d'introduire cet amendement en juin dans un vote en commission, mais s'était fait retoquer. Son objectif est très clair : il entend s'opposer au projet de loi français sur la riposte graduée. Il utilise les instances européennes pour mener un combat franco-français. » Un amendement qui ne remet rien en cause Rappelons que l'amendement adopté hier par les édiles de Strasbourg précise qu'aucune « restriction aux droits et libertés fondamentales des utilisateurs finaux ne doit être prise sans décision préalable de l'autorité judiciaire ». Une façon de souligner que le projet français ne prévoit pas d'intervention du juge judiciaire dans le mécanisme de riposte graduée - aboutissant in fine à la résiliation des contrats des internautes coupables de téléchargement illégal - mais uniquement la justice administrative. Le texte soutenu par Guy Bono « se contente de rappeler un principe général du droit qui n'apporte aucun élément nouveau », commente Olivier Henrard. Et le conseiller juridique de la ministre de souligner qu'« emprunter le parcours tortueux du paquet télécom, loin du discours politique national, est une façon étrange de procéder ». La voie empruntée par l'eurodéputé est même qualifiée d'« ésotérique » et choisie à dessein pour « entretenir une confusion préjudiciable au bon déroulement du débat démocratique que les Français attendent ». Au final, alors que Guy Bono clame que « l'Europe interdit la copie privée », le ministère de la Culture affiche sa sérénité. « Pas un Etat en Europe ne soutiendra cet amendement, pas plus que la Commission, assure Olivier Henrard. Et, à supposer que la procédure parvienne à son terme, ça ne remet en rien en cause ce qu'on prépare. » (...)

(25/09/2008 12:36:20)

Iliad assignée en justice par le CE pour délit d'entrave

Depuis que le groupe Iliad a racheté Alice en juin dernier, les négociations de l'accord de méthode continuent entre les organisations syndicales de Telecom Italia et la direction d'Iliad (maison mère de Free). Devant l'opacité du plan présenté par la direction, suite à l'annonce de la suppression de presque tout l'effectif du siège social parisien d'Alice (ex Liberty Surf), le comité d'entreprise a décidé de saisir la justice en attendant que les informations demandées lui soient transmises. Pendant ce temps, la CFDT exige la création d'une unité économique et sociale. En effet, devant la nébuleuse que représente le groupe Iliad, auquel sont rattachés Free et Centrapel (entre autres), la création d'une telle entité permettra de faire un peu plus de clarté, d'autant plus que les accords qui se négocient actuellement entre la direction et les organisations syndicales de Telecom Italia seront applicables à l'ensemble des salariés du groupe. (...)

(25/09/2008 12:03:04)

Digg lève 28,7 millions de dollars

Digg, site communautaire sur lequel les internautes peuvent publier et noter des articles dans différentes catégories (technologies, politique, loisirs..), vient de réaliser une troisième levée de fonds, d'un montant de 28,7 M$, auprès de quatre sociétés d'investissement. Les levées précédentes datent d'octobre 2005 (2,8 M$) et de décembre 2006 (8,5 M$), le site ayant été créé en 2004. Digg se servira de ces fonds pour doubler ses effectifs, en passant de 75 à 150 salariés, pour s'étendre à l'international en déclinant le site dans d'autres langues que l'anglais, ou encore pour améliorer l'ergonomie du site. Le réseau communautaire poursuit donc son chemin en préservant son indépendance, et semble démentir les rumeurs de rapprochement avec Microsoft ou Google, qui avaient inquiété les membres du site en mars dernier. Digg affirme que son trafic a doublé en un an et qu'il attire 30 millions de visiteurs uniques chaque mois. En raison de son succès, Digg a été copié à maintes reprises par d'autres sites, baptisés des Digg-like. Même Yahoo s'y est mis, en ouvrant son service Buzz à tous les internautes. (...)

(25/09/2008 10:13:33)

Semestriels : le CA de Neurones progresse de 19%

La SSII Neurones a enregistré un chiffre d'affaires de 89,4 M€ au premier semestre de l'année, soit une hausse de 19%, dont 16,5% en organique. Le résultat opérationnel gagne 30%, à 7,3M€, ce qui représente 8,2% du CA de la société. Le premier semestre de Neurones a été marqué par le rachat de RS2I, qui lui a permis d'enrichir son pôle applicatif (SOA, intégration SAP et BPM, projets Web Java et .Net, décisionnel...) ainsi que d'étendre sa couverture clientèle à des grands comptes dans les secteurs de la banque, de l'assurance et des médias. Neurones a d'ailleurs créé l'an dernier Finaxys, une filiale spécialisée dans le conseil pour le secteur financier. Les cinquante salariés de RS2I viennent donc renforcer cette filiale avec leur expertise. RS2I a réalisé un chiffre d'affaires de 7 M€ en 2007, pour un résultat opérationnel de l'ordre de 15%. Neurones emploie actuellement 2300 personnes, et compte passer le cap des 2500 salariés d'ici la fin de l'année. Luc de Chammard, PDG de la société, déplore d'ailleurs que l'embauche constitue un frein de taille à la croissance, en raison du turn-over et de la pénurie de cadres. La SSII confirme ses objectifs annuels, à savoir atteindre les 179 M€ de chiffre d'affaires, pour un taux de résultat opérationnel oscillant entre 8 et 9%. (...)

(25/09/2008 09:32:57)

OpenWorld : Oracle s'attaque à Teradata avec une solution matérielle

(crédit photo : wicho / licence Creative Commons) Larry Ellison, fondateur d'Oracle, apprécie le spectacle et la démesure. Et il n'a jamais rechigné à ménager ses effets. Sur la scène du Moscone Center de San Francisco, après avoir fait défiler les images de son yacht engagé dans l'America's cup, l'emblématique patron a littéralement fait surgir sous ses pieds la « HP Oracle Database Machine », promise, selon ses voeux, à révolutionner l'univers des entrepôts de données. Autrement dit à faire vaciller Teradata, l'acteur dominant du secteur. Cette armoire rack, conçue avec HP, contient le serveur de stockage Exadata, « première solution matérielle » de l'histoire d'Oracle, a plaisanté Larry Ellison. Une judicieuse combinaison de logiciel et de matériel, spécialisée dans le stockage et le traitement de l'information. Améliorer les performances en réduisant la distance entre le stockage et le moteur du SGBD « Les grandes bases de données triplent de taille tous les deux ans. Or, les performances des datawarehouses faiblissent dès qu'ils atteignent le téraoctet, et même le plus véloce tombe complètement autour de 10 To », assène Larry Ellison en pointant du doigt le goulet d'étranglement entre bases de données et serveurs de stockage. « Pour résoudre le problème, il faut réduire le volume des flux entre la base de données et le système de stockage, ou bien élargir les tuyaux. » Et de conclure : Oracle a fait les deux, en permettant aux requêtes de s'exécuter au plus près des données. SGBD et stockage en grille [[page]] La « HP Oracle Database Machine » combine donc des serveurs de bases de données Oracle, reliés en grille, avec les tout nouveaux serveurs de stockage Exadata, également reliés en grille. L'ensemble est packagé dans la même armoire rack, et commercialisé par Oracle. Le support du matériel est assuré par HP. 1 400 fois la capacité du plus gros iPod La configuration est musclée. A lui seul, le serveur de stockage Exadata, muni du logiciel Oracle Parallel Query Database sous Oracle Enterprise Linux, est équipé de deux processeurs Intel (huit coeurs) et de douze disques durs apportant jusqu'à 12 To. Quant à la « machine HP Oracle », aujourd'hui disponible sous Enterprise Linux (d'autres environnements suivront, promet Larry Ellison), elle réunit huit serveurs de base de données Oracle (64 coeurs Intel), le logiciel de clustering RAC (Real application clusters) et 14 serveurs de stockage Exadata (soit 112 coeurs Intel) qui offrent une bande passante de 14 Go de données par seconde et jusqu'à 168 To. « Sa capacité est 1 400 plus importante que celle de l'iPod le plus musclé », ironise Larry Ellison. Sans cacher sa jubilation, le dirigeant a aussi comparé (à son profit) sa configuration aux solutions avancées par Teradata et Netezza, ses principaux concurrents sur ce terrain, avec les fournisseurs de systèmes de stockage, EMC, IBM et NetApp en tête. Trois ans de R&D pour cette première machine Oracle Cette nouvelle offre, sur laquelle rien n'a rien filtré, ou si peu (d'immenses banderoles annonçant un mystérieux « X » ont été déroulées hier dans le Moscone Center), est pourtant le fruit d'un développement de trois ans. Un projet qui s'inscrit dans le cadre d'un programme de recherche de plus longue haleine sur les architectures massivement parallèles. Des performances multipliées par 30 chez certains clients [[page]] En toute discrétion, la solution est testée depuis octobre dernier chez une poignée de clients. Sur le papier, les résultats obtenus retiennent l'attention. Avec une demi-configuration de la « machine HP Oracle », l'opérateur bulgare de téléphonie mobile M-Tel annonce des performances multipliées par 28, en moyenne, sur 4,5 To, par comparaison avec sa précédente configuration (2 serveurs IBM p570 couplés à un système de stockage EMC). Chez LGR, investi sur trois continents dans l'infogérance de datawarehouses, on avance des performances multipliées par 30. Moins édifiant, le distributeur américain Giant Eagle annonce tout de même un facteur x16 sur 5 To de données. Larry laisse la vedette à sa machine Cette année, contrairement à son habitude, Larry Ellison a quitté discrètement la scène, pendant la vidéo déroulant les commentaires des premiers clients. D'ordinaire, il se fait un plaisir, non dissimulé, de répondre au vol aux nombreuses questions de la salle, pourtant archi-pleine cette fois-ci encore : 11 000 places, nombre de personnes debout ou assises par terre et bien plus à l'extérieur de la salle, face aux écrans géants. Mais, une fois n'est pas coutume, il a préféré laisser la vedette à sa « machine », sur laquelle le public s'est précipité, le flash crépitant, dès la fin du show. A l'étage, les machines étaient déjà installées sur le stand d'Oracle. (...)

(25/09/2008 09:10:57)

HP publie les émissions de carbone de sa chaîne logistique de rang un

3,5 tonnes d'équivalents carbone. C'est ce qu'émettent 80% des prestataires de rang un d'HP (pour la production). L'entreprise vient de publier ces chiffres, comme elle l'avait promis. Pour obtenir ce montant, HP a multiplié les émissions de carbone de chacun de ses prestataires par le pourcentage qu'il représente dans leur CA avant d'additionner les résultats. Pour l'instant, le géant Californien ne tire pas de conclusions directes du résultat affiché par ses prestataires, qui pourraient se traduire en actions concrètes. Bien entendu, il explique vouloir exploiter ces éléments pour améliorer l'efficacité énergétique de ses prestataires de rang un. Il souhaite aussi « propager l'information au reste de sa chaîne logistique [supply chain] pour identifier d'autres moyens de réduire les émissions de gaz à effet de serre dès lors qu'il réalisera un reporting de telles émissions pour ses prestataires au delà du rang un ». A bon entendeur... Mettre au point des outils de mesure cohérents des émissions des sous-traitants Enfin, HP n'en restera pas là en matière de chaîne logistique. Il travaille par exemple avec l'Electronic Industry Code of Conduct (EICC) sur un outil de calcul cohérent et unique pour les rapports d'émission de CO2 des sous-traitants. Il participera aussi à la Greenhouse Gas (GHG) Protocol Supply Chain Initiative pour mettre au point une méthodologie de mesure des émissions de gaz à effets de serre liées au cycle de vie des produits et à la chaîne logistique des industriels. (...)

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