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(18/09/2008 09:24:18)
Citrix place la V5 de XenServer au coeur de son cloud
Citrix profite de l'annonce de la version 5 de son hyperviseur XenServer pour proposer C3, pour Citrix Cloud Center, une suite logicielle pour mettre en place et optimiser une virtualisation Wan. Alors que l'éditeur revendique 250 000 XenServer en production, cette version 5, la première entièrement développée maison depuis le rachat de Xen il y a un an, s'enrichit de pas moins de 130 nouvelles fonctions. Les plus notables sont d'une part, le support des principaux OS serveur X86 et X64 dans leur dernière version et, d'autre part, celui d'une kyrielle de logiciels pour la gestion de fichiers et du stockage, la haute disponibilité et le PRA (Plan de reprise d'activité). Côté OS, XenServer 5 accueille Windows Server 2008, Suse LES 10 SP2 et CentOS 5.2 (un clone de Red Hat EL 5.2, difficile de faire mieux quand on est un proche partenaire de Microsoft ). Côté écosystème, XenServer 5.2 est reconnu par les adaptateurs 8 Gbit/s de QLogic et d'Emulex. Il est aussi compatible avec les baies EqualLogic (iSCSI) de Dell. Pour la haute disponibilité, Citrix s'est allié avec Marathon Technologies. XenServer 5 embarque aussi dans ses versions les plus complètes (et les plus chères) le XenCenter Management System pour une administration fine des VM par les administrateurs. L'hyperviseur et trois autres outils constituent une suite de cloud computing prêt à l'emploi Mais surtout, cette version de l'hyperviseur prend désormais place au coeur de C3, une suite logicielle destinée à mettre en place une infrastructure en Cloud Computing. Les autres modules de la suite sont NetScaler (accélérateur de trafic web), WANScaler (gestion et optimisation du trafic réseau) et Citrix Workflow Studio pour coordonner les trois logiciels précédemment cités. C3 s'adresse tant aux entreprises qu'aux fournisseurs de services en ligne. Parmi eux, 3Tera a été retenu par Citrix pour sa plateforme AppLogic sur laquelle il compte pour commercialiser une offre clé en main. (...)
(18/09/2008 09:23:51)Cisco virtualise les switches sous VMware ESX
C'est la main dans la main avec VMware que Cisco annonce VN-Link (Virtual Network Link), une technologie de switch Ethernet en machine virtuelle qui permet de déplacer des applications sur machine virtuelle ESX d'un serveur physique vers un autre, tout en conservant les accès Ethernet. Cela permet aussi la mise en place de VSAN, des Virtual Storage Area Networks. Le Nexus 1000V, premier switch Ethernet logiciel VN-Link, a été codéveloppé avec VMware. Cicso propose aussi le Nexus 5000, qui embarque la technologie VN-Link. Par ailleurs, les Waas (Wide Area Application Services) de Cisco gèrent désormais les virtual desktop images (VDI) de VMware. Ces Waas sont associés à trois appliances pour accélérer les WAN. A noter que, contrairement à 3PAR, IBM et LeftHands, pour ne citer qu'eux, qui soulignent leur capacité à optimiser le stockage des VDI, Cisco reste muet sur le sujet. Au coeur de l'administration des systèmes d'information Ce qui pourrait opposer VMware et Cisco, c'est à dire la gestion des infrastructures, est moins fort que ce qui les rapproche, c'est à dire leur compétition avec Microsoft. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle Cisco est au conseil d'administration de l'éditeur. Cisco n'en continue pas moins de faire évoluer sa stratégie "Data Center 3.0" qui vise à le poser au coeur de l'administration des systèmes d'information. Son SAN OS profite d'une mise à jour, dont le support du FC 8 Gbit/s, pour être rebaptisé NX-OS. Ce nouveau nom est censé refléter la fusion des infrastructures LAN/SAN vers laquelle pousse Cisco. Parmi les autres produits annoncés par Cisco, citons trois switches en lame Fibre Channel à 8 Gbit/s pour ses MDS9000 qui répondent à des produits déjà annoncés chez Brocade. (...)
(17/09/2008 16:03:04)Indicateur Apec : l'emploi informatique progresse encore de 31%
Le dernier indicateur des offres d'emploi cadres diffusées sur Internet et publiée par l'Apec place, une nouvelle fois l'informatique en tête des filières (en volume). Ainsi, le nombre de postes à pourvoir dans la profession a encore progressé de 31% sur la période de septembre 2007 à août 2008, par rapport à cette même période en 2007. Avec quelques 6 000 nouvelles offres déposées le mois dernier, dont la moitié en informatique de gestion, le secteur IT totalise un peu plus de 91 000 offres, en cumul sur douze mois. Les métiers de la R&D, avec près de 15% des offres, affichent une croissance élevée de + 63%, grâce à la très forte augmentation du nombre de postes à pourvoir dans les projets (+71%, soir 1 021 nouvelles offres déposées) et les études techniques (+61%, 2015 nouveaux postes en août 2008). (...)
(17/09/2008 15:31:23)Edvige coupé en trois mais peu de changement sur le fond
Ecarteler Edvige pour calmer ses détracteurs et suivre les consignes du Président de la République. C'est ce à quoi s'atèle Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur. Le fichier - susceptible jusqu'alors de rassembler des informations aussi variées que les préférences sexuelles, les engagements militants ou les risques qu'un individu présente de porter atteinte à l'ordre public - devrait ainsi être scindé en trois parties. Une première listera les délinquants réels et potentiels ; une autre se concentrera sur les enquêtes administratives ; la dernière s'attachera aux informations relatives aux personnalités. Et pour dissiper les critiques axées sur le spectre d'un fichier pantagruélique, les trois entités seront gérées indépendamment, évitant ainsi la création de fiches nominatives qui rassembleraient des données couvrant toutes les facettes de la vie privée. Les préférences sexuelles et religieuses ainsi que l'état de santé disparaissent Certaines informations, pointées du doigt tout au long de la polémique, devraient néanmoins disparaître des bases de données. Ce sera le cas des préférences sexuelles er religieuses, et de l'état de santé des individus. En revanche, les mineurs continueront à faire l'objet d'un fichage, dès lors qu'ils atteignent l'âge de treize ans, soit l'âge de la majorité pénale. Après un délai encore inconnu, les mineurs qui « ont commis des fautes pas très importantes », selon Michèle Alliot-Marie, bénéficieront d'un droit à l'oubli et sortiront du fichier. Ces modifications « ne changent pas beaucoup de choses sur le fond », indique la ministre, qui explique que les retouches apportées au décret du 27 juin portant création d'Edvige, ont pour but principal de dissiper « les craintes infondées et les inquiétudes réelles ». Nicolas Sarkozy semblait pourtant désireux de changements dépassant le cadre du simple maquillage quand il affirmait la semaine dernière : « Tout ce qui est nécessaire à la sécurité des Français, il faut le garder. Tout ce qui n'est pas indispensable à la sécurité des Français, il faut l'enlever, je précise, bien sûr, dans le cadre de ce fichier. » (...)
(17/09/2008 14:15:11)SanDisk rejette l'OPA de Samsung
L'Américain SanDisk a rejeté l'offre officielle de rachat du Sud-Coréen Samsung. Le conseil d'administration de cette société, qui représente 15% du marché de la mémoire flash, a jugé insuffisante l'offre de 5,85 Md$ du numéro un mondial de la production de mémoire Flash NAND, avec 32% du marché. Les deux sociétés étaient pourtant en pourparlers depuis quatre mois, mais Samsung a fait son offre au moment où l'action de SanDisk tombait au plus bas : 15$ contre 60 au plus haut sur 52 semaines. Son dernier trimestre s'est clos sur une perte de 68 M$. Samsung semble vouloir continuer son offensive sur cette base de 26$ par action. La publication de son offre n'a pas fait dépasser les 24$ au cours de l'action de SanDisk sur le marché gris. SanDisk risque toutefois de devenir l'enjeu d'une surenchère entre Samsung, Toshiba, numéro deux mondial des mémoires flash, et Seagate. SanDisk est associé au Japonais dans des usines d'où sortent 27% de la production mondiale de mémoire flash (dont 15% sont utilisés par SanDisk dans ses cartes mémoire, marché dont il est le numéro un). Quant au numéro un mondial des disques durs, il pourrait voir en l'acquisition de SanDisk une excellente opération pour développer son activité dans le domaine des mémoires flash qui commencent à concurrencer les disques magnétiques sur certains segments de marché. Sans être à proprement parler un producteur de mémoire flash, l'Américain possède des technologies clés dans le domaine. Samnsung lui verse ainsi 350 M$ de royalities annuels. Et la R&D de SanDisk semble être en tête dans le domaine du stockage en 3D, technologie promise à un bel avenir. SanDisk a réalisé en 2007 un CA de 3,9 Md$, assorti d'un bénéfice net de 218 M$. (...)
(17/09/2008 09:31:44)Greenpeace : encore trop de retardateurs de flamme bromés
Dans la neuvième édition de son 'Guide to Greener Electronics', Greenpeace explique que les constructeurs de PC ne sont toujours pas parvenus à concevoir une machine dénuée de PVC (polychlorure de vinyle) et d'agents ignifuges bromés (des additifs aux plastiques destinés à résister au feu), deux catégories de substances particulièrement polluantes. Pourtant, certains acteurs de l'électronique grand public sont désormais capables de produire de petits appareils sans ces substances toxiques. Au sommet du classement trône Nokia, une place que le constructeur retrouve après un an passé loin des premières places. Pourtant, le Finlandais n'a pas modifié les substances utilisées dans ses produits : le fabricant profite en réalité de l'amélioration apportée à son programme de collecte des appareils usagés, notamment en Inde. De plus, le classement récompense Nokia pour la faible consommation d'énergie de plusieurs produits, un nouveau critère retenu par Greenpeace. Sur ce terrain de l'économie énergétique, Apple, Sony Ericsson et Samsung sont également félicités par l'organisation. L'institution de défense de l'environnement s'inquiète en revanche de ce que les constructeurs continuent d'utiliser des retardateurs de flamme bromés et d'isolants à base de PVC. Aucun constructeur, indique Greenpeace, ne s'est montré en mesure de produire un ordinateur exempt de ces substances, même si certains tendent à en réduire l'usage. Des constructeurs, tels Dell ou HP, se défendent en arguant de l'absence d'une alternative non polluante qui soit suffisamment efficace pour empêcher la surchauffe. Nintendo abonné à la dernière position Fujitsu-Siemens passe ainsi de la 15e à la 3e position après avoir promis de cesser toute utilisation du PVC ou de brome dans la fabrication de ses produits d'ici à 2010. Même engagement du côté d'Apple : la marque à la pomme promet que sa nouvelle ligne d'iPod ne contient ni PVC, ni brome, ni mercure. Carton rouge en revanche pour le groupe de Steve Jobs, qui rend toujours aussi difficile et onéreux le changement de batterie dans ses baladeurs, ce qui incite les consommateurs à acquérir un nouvel appareil plutôt qu'à simplement remplacer la batterie. En queue de peloton, Nintendo fait figure de mauvais élève et semble abonné de cette dernière place. Les seuls points sur lesquels le constructeur japonais redore partiellement son blason concernent sa gestion des produits chimiques, ses projets pour réduire les substances polluantes (PVC et brome non compris), ses engagements à réduire les émissions de gaz à effet de serre et la publication de son empreinte carbone. (...)
(17/09/2008 09:43:33)Google monte au créneau pour défendre son partenariat avec Yahoo
Alors que les régulateurs américain et européens - pressés par de nombreux annonceurs - s'interrogent sur l'éventuel abus de position dominante susceptible de naître de l'accord publicitaire tissé entre Yahoo et Google, ce dernier reprend la main. Dans un billet publié sur le blog officiel du géant du Web, Hal Varian, son économiste en chef ( 'chief economist', un poste chargé de superviser les analyses financières d'une entreprise) se livre à un démontage de ce qu'il qualifie de « fausses idées » et de malentendus entourant le partenariat entre les deux géants du Web. Si Google restait plutôt silencieux alors que des salves de critiques s'abattaient sur cet accord et que les instances antitrust américaines recrutaient un expert pour préparer une éventuelle action juridique, ce mutisme prend désormais fin. Le gargantuesque moteur prend le pas sur ses détracteurs et présente ses éléments de défense en s'escrimant à démonter un rapport publié en juin par SearchIgnite, l'éditeur de solutions de gestion de campagnes publicitaires en ligne. Dans ce document, SearchIgnite affirmait que l'accord Yahoo/Google pourrait entraîner une augmentation de 22% des coûts de la publicité contextuelle sur Yahoo. Rappelons que ce partenariat prévoit l'affichage des publicités de l'un des acteurs dans les pages de résultats de l'autre. Un rapport qui n'avait pourtant pas fait de bruit [[page]] Les conclusions de SearchIgnite sont erronées, assure Hal Varian. Et d'expliquer en substance que les annonceurs seront les premiers bénéficiaires de l'association. Surtout, Google rappelle qu'il ne sera, pas plus que Yahoo, en mesure de fixer les coûts des publicités. Ils sont en effet déterminés à l'issue d'un processus d'enchères auquel se livrent les annonceurs. Dès lors, « les prix reflètent en définitive la valeur qu'accordent les annonceurs » à ce pour quoi ils enchérissent. Aux yeux de John Timmer, contributeur au blog Ars Technica, spécialisé dans l'analyse de l'actualité IT, il est étonnant de voir Google s'exposer autant pour répondre à des arguments avancés par une entreprise spécialisée dans le marketing. D'autant que le rapport en question n'avait pas vraiment fait sensation : « une recherche rapide sur Google News indique que 'SearchIgnite' apparaît seulement quatre fois, et une seule des réponses concerne l'accord avec Yahoo ([ces chiffres ont augmenté depuis, NDLR] », commente John Timmer. Pour le blogueur, le comportement de Google s'explique par « une hypersensibilité concernant tout ce qui dépeint défavorablement l'accord avec Yahoo, à l'heure où les régulateurs menacent de le saborder. » (...)
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