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(08/09/2008 12:43:08)

De gauche à droite, la classe politique tempête contre Edvige

Le décret portant création d'Edvige a beau dater du 1er juillet, la colère contre le fichier recensant de nombreuses données strictement personnelles ne cesse de grandir (voir notre article présentant les enjeux du fichier et les premiers mouvements de grogne ). Après les réserves exprimées par la Cnil et divers représentants de la sphère publique au coeur de l'été, de nouvelles voix s'élèvent en cette rentrée politique. A gauche, Martine Aubry s'interroge notamment sur les dérives d'Edvige (Exploitation documentaire et valorisation de l'information générale), en particulier en ce qui concerne l'accès aux emplois de la fonction publique. Beaucoup plus ferme, François Chérèque, le secrétaire général de la CFDT, insiste : « ce fichier ne doit pas exister dans un pays démocratique ». Le syndicaliste estime que le dispositif n'a d'autre utilité que « de contrôler de manière inadmissible les citoyens de ce pays. » En fin de semaine dernière, Michel Pezet, avocat et vice-président du conseil général des Bouches-du-Rhône, publiait une tribune dans le journal Le Monde, dans laquelle il qualifiait Edvige d'« embastillement électronique ». Il appelait la gauche à « s'extraire enfin du consensus politique aberrant qui consiste, au nom de la sécurité, à sacrifier chaque jour un peu plus de la liberté de chaque individu. » La semaine dernière, toujours, l'Union syndicale des magistrats se tournait vers le Conseil d'Etat pour obtenir l'annulation du décret de création du fichier. Ce recours devant le juge suprême portait à 13 le total des procédures intentées contre Edvige devant la justice administrative. Colère à droite aussi [[page]]Les récriminations ne s'arrêtent cependant pas aux frontières de la gauche. S'il n'est guère surprenant de compter François Bayrou parmi les opposants au texte, le président du Modem appelant à un « mouvement de refus républicain », il est plus étonnant de constater qu'Edvige met aussi à mal l'harmonie gouvernementale. Ce week-end, Hervé Morin, le ministre de la Défense et président du Nouveau Centre, faisait ainsi part d'un « certain nombre de questions ». Lors des Universités d'été de son parti, il se demandait notamment s'il était « bien nécessaire de ficher les personnes jouant un rôle institutionnel, économique, social ou religieux significatif. N'y a-t-il pas là un curieux mélange des genres ? » Ce lundi, c'est au tour de la traditionnelle alliée du gouvernement, Laurence Parisot, présidente du Medef, de partager ses interrogations et de réclamer des explications à la ministre de l'Intérieur : « c'est quelque chose qui me gêne beaucoup, a-t-elle indiqué. Je suis assez troublée par ce que nous sommes en train de découvrir. Je note que nous n'avons pas été consultés alors que nous sommes concernés en tant que militants de l'entreprise. » Toutes ces critiques issues de la classe politique s'accompagnent de toujours plus de récriminations montant de la société civile. Deux pétitions s'enrichissent chaque jour de nouvelles signatures : celle du collectif Malgré tout en compte 4145, dont celles de José Bové et de Noël Mamère ; le regroupement Non à Edvige recense quant à lui 123 378 paraphes. (...)

(08/09/2008 11:56:11)

Syntec Informatique élabore un contrat d'assurance pour les entreprises du secteur

Le syndicat professionnel Syntec informatique a décidé d'accompagner les SSII et les éditeurs de logiciels dans la gestion de leurs risques, avec l'aide d'Aon France, un spécialiste du courtage en assurance et réassurance. Un contrat d'assurance a donc été spécialement négocié par les deux parties pour répondre à toutes les spécificités des quelque 870 entreprises des nouvelles technologies, membres de la chambre professionnelle. « Tous risques sauf » et label SIA Rédigé sous forme de « tous risques sauf » et labellisé par le syndicat professionnel à travers l'association « SIA- Syntec informatique Assurances », ce contrat précise par écrit toutes les garanties contre les conséquences financières résultant des risques suivants : obligation de résultat, engagements de performance, de délai et de réactivité, toute atteinte aux droits de propriété intellectuelle et/ou industrielle, y compris la contrefaçon de brevet, inobservation des règles de l'art et engagements contractuels de toutes natures qu'ils soient ou non formalisés par écrit. (...)

(05/09/2008 18:35:49)

Les utilisateurs américains de BO recréent un club indépendant

Le club américain des utilisateurs de SAP (ASUG) vient de former un nouveau groupe pour les utilisateurs des solutions décisionnelles de l'éditeur Business Objects, racheté par SAP en 2007. Le Global BusinessObjects Network, auquel l'adhésion sera gratuite jusqu'en 2010, espère que les communautés d'utilisateurs BO déjà formées le rejoindront pour constituer des relais locaux, tandis que lui-même fournira le support marketing et opérationnel. La première réunion officielle du GBN se tiendra à Dallas du 20 au 22 octobre 2008. Le club prévoit de sponsoriser des conférences utilisateurs en Europe et en Asie-Pacifique l'an prochain. Marquer son autonomie vis-à-vis du fournisseur Dave Rathbun et Jamie Oswald, membres fondateurs du club, précisent que le GBN est une refonte de la Business Objects Community Alliance et soulignent la nécessité de constituer des groupes d'utilisateurs indépendants des fournisseurs. Jamie Oswald explique notamment que les employeurs sont quelquefois réticents à laisser leurs salariés participer aux événements de clubs qui comportent trop de communication marketing de la part des éditeurs. En France, le club des utilisateurs Business Objects tiendra le 23 septembre prochain son assemblée générale au cours de laquelle plusieurs clients viendront témoigner. « Financé par les cotisations de ses membres, ce club est indépendant de l'éditeur depuis sa création, il y a quinze ans », indique son président, Olivier Le Moing, de Sopra Group.[[page]]Le 15 octobre prochain, Olivier Le Moing interviendra aussi sur la convention de l'USF, le club des Utilisateurs SAP francophones. Assez rapidement après l'annonce du rachat de Business Objects par SAP, leurs groupes d'utilisateurs respectifs se sont rencontrés et, depuis, échangent régulièrement des informations. Récemment, ils ont ainsi commenté la feuille de route des solutions décisionnelles SAP/BO). En revanche, « il n'y a pas d'urgence, ni de volonté à déterminer s'il faut fusionner les deux clubs, affirme Olivier Le Moing, du club BO. Il semble en effet que seuls 30% de nos adhérents -nous le vérifions en ce moment, sont des utilisateurs de SAP ». Il vaut donc mieux consacrer aux clients de BO des événements spécifiques. Des forums actifs en complément des clubs Il n'existe par ailleurs aucun lien formel avec les autres clubs constitués autour des solutions Business Objects dans le monde. « Il y a davantage d'intérêt à partager son expérience sur les forums, ouverts à tous, tandis que nous réservons à nos membres les témoignages d'entreprise et les livres blancs », juge Olivier Le Moing. Parmi les forums actifs figure notamment le Business Objects Board. (...)

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