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(08/09/2008 17:49:41)
Offshore : le Vietnam et l'Ukraine ont les salaires les moins élevés
La société Offshore Développement, qui se définit comme un portail d'informations en externalisation et sous-traitance internationales, vient de publier un baromètre 2008 des salaires des informaticiens dans les zones dites offshore. L'étude s'est s'appuyée sur les données fournies entre mars et juin 2008 par des agences de recrutement locales pour dresser un détail de la situation salariale des informaticiens, dans trois zones de destination offshore : l'Europe de l'Est, l'Afrique et la zone Asie-Pacifique. Elle regroupe également les chiffres des études réalisées sur l'offshore à ce jour (Gartner, NeoIT, etc) et des éléments issus de revues de presse. Evidemment, il s'agit là de dresser un état des lieux des pays dans lesquels les salaires sont les plus bas pour d'éventuelles externalisations, sans autre considération. En comparant les salaires pratiqués, à compétences égales, dans les zones offshore, avec le niveau moyen de rémunération des informaticiens en France, l'étude place la Biélorussie, l'Ukraine et la Moldavie en tête des salaires les plus bas d'Europe de l'Est. Dans ces pays, l'écart avec les salaires IT pratiqués dans l'Hexagone dépasse les 60%. Quant aux rémunérations des ingénieurs informatiques en Roumanie, ils varient entre 8376 euros par an pour les informaticiens juniors, 13 856 euros pour les cadres et 22 328 euros pour les managers. L'Afrique du Nord, avec le Maroc (salaires inférieurs de 43% par rapport à la France) et la Tunisie (-51%), figurent également en bonne place des zones à coûts salariaux intéressants. Les salaires sont un peu plus élevés au Maroc et à peu près au même niveau en Tunisie et sur l'Ile Maurice. L'Inde combine qualité et prestations à bas coûts [[page]]Concernant la zone Asie Pacifique, malgré une évolution des salaires à la hausse ces dernières années, l'Inde reste le leader des services offshore, combinant prestations à bas prix et expertise de très haut niveau, précise le baromètre. En Chine, le gouvernement met en place une politique très agressive à grand renfort de défiscalisation pour attirer les grands clients occidentaux. La Malaisie est aussi une destination attractive, mais c'est le Vietnam qui propose les niveaux de rémunération les plus bas, avec pour avantages le soutien du secteur TIC par le gouvernement, le développement rapide des infrastructures. Parmi les obstacles à sa croissance, Offshore Développement a identifié une pénurie de personnel qualifié, et un contrôle médiocre de la qualité. La destination la plus chère en termes d'externalisation est Hong-Kong, néanmoins réputée pour ses prestations informatiques de haut niveau. (...)
(08/09/2008 17:21:25)La pré-version de BizTalk Server 2009 déjà diffusée
Microsoft a renommé 'BizTalk Server 2009' la prochaine version de son offre d'intégration applicative, jusque-là connue sous le nom de BizTalk Server 2006 R3 (la version actuellement disponible étant BizTalk Server 2006 R2). L'éditeur compte toujours la livrer au premier semestre 2009. Il s'agira d'une mise à jour complète qui permettra de tirer parti des dernières versions des produits d'infrastructure de Microsoft : Windows Server 2008 (système d'exploitation serveur), SQL Server 2008 (base de données), .Net Framework 3.5 (modèle de développement) et Visual Studio 2008 (environnement de développement). BizTalk Server 2009 fournira aussi le support d'Hyper-V dans le cadre d'environnements virtualisés. Une pré-version de BizTalk Server 2009, déjà fournie à certains clients, pourrait être plus largement diffusée afin la fin de cette année, Microsoft comptant s'appuyer sur les retours de ses utilisateurs pour valider et peaufiner le produit. Et, déjà, mais dans le lointain, se profile la version suivante, BizTalk Server 7, sur laquelle Microsoft promet des détails dès le début de l'année prochaine. BizTalk 2009 : compatible UDDI v.3 et ouvert sur Oslo Oliver Sharp, responsable de l'offre BizTalk Server, précise sur le site de Microsoft que la version 2009 apportera les améliorations réclamées par les utilisateurs, notamment un registre de services compatible avec la v.3 de l'annuaire de services UDDI, de nouveaux adaptateurs, notamment pour la suite applicative e-Business Suite d'Oracle, une meilleure intégration avec les systèmes CICS, MQ et IMS, des améliorations sur les échanges de données EDI, AS2 et Swift, de nouveaux outils de gestion RFID, etc. Oliver Sharp précise par ailleurs que les utilisateurs des versions 2006 R2 et 2009 de BizTalk Server auront la possibilité de tirer parti d'Oslo. Ce nom de code désigne la future plateforme de modélisation sur laquelle travaille Microsoft afin d'offrir aux développeurs un niveau d'abstraction plus élevé pour écrire leurs applications. (...)
(08/09/2008 16:39:18)Sun peaufine des appliances de stockage virtualisées
Chez Sun, on promet l'arrivée d'ici la fin de l'année d'appliances de stockage virtualisées basées sur le concept FISHworks (Fully Integrated Software and Hardware). L'idée-force est de proposer un ensemble de logiciels associé à des composants matériels standard. Il est même prévu de laisser des OEM intégrer la pile logicielle à leurs propres appliances. Dell, qui commercialise actuellement une appliance baptisée Windows Storage Server ferait un OEM idéal... Ces produits NAS s'adresseront dans un premier temps aux grandes entreprises. La ligne FISHworks (qui devrait être commercialisée sous un autre nom) intègrera en particulier le gestionnaire de fichiers 128 bits ZFS (Zettabyte File System) et un outil d'analyse présenté comme très performant qui utilise la technologie DTrace (Dynamic Tracing). Le tout sous Open Solaris. Annoncée en février 2007, la mise au point de cette plateforme a pris du retard. Sans doute la raison pour laquelle Sun fait un effort de communication pour entretenir l'intérêt. (...)
(08/09/2008 16:33:49)Intel sort quatre Xeon quadri-coeurs moins toxiques pour l'environnement
Intel annonce quatre nouveaux Xeon quadri-coeurs dont la particularité est de ne contenir aucune substance halogène. Le fondeur ne donne aucune précision supplémentaire, mais ce produit est la plupart du temps associé aux retardateurs de flammes présents dans les ordinateurs, y compris au niveau du packaging des puces. Comme leur nom l'indique, ils empêchent les machines de surchauffer et de prendre feu. En contrepartie néanmoins, ils contiennent des substances nuisibles pour l'environnement. Les plastiques intégrant des substances halogènes rejettent des dioxines, une famille de composés chimiques toxiques, dans l'atmosphère quand les puces sont démontées et les résines brûlées. Pour cette raison, la directive DEEE (déchets d'équipements électriques et électroniques) conseille de démonter et de recycler séparément ces matières. Toutes les puces Intel seront concernées avant la fin de l'année Intel s'est fixé pour objectif de ne plus utiliser aucun packaging contenant des substances halogènes dans ses puces d'ici à la fin de l'année. C'est déjà le cas pour toute la ligne Atom depuis sa sortie cette année. Dans le même ordre d'idée, Intel avait déjà ôté tout le plomb de sa famille Penryn l'an dernier. Le plomb appartient à la liste des substances toxiques dont l'utilisation est déconseillée par la directive européenne RoHS (Restriction of Hazardous Substances). (...)
(08/09/2008 15:11:04)Arismore ouvre une école d'architecture des systèmes d'information
La société de conseil et d'intégration en architecture d'entreprise Arismore, spécialisée dans la transformation des systèmes d'information, a décidé d'ouvrir sa propre école d'architecture d'entreprise. Derrière ce vocable, il faut en réalité comprendre architecture des systèmes d'information. Depuis le début septembre, ce centre délivre des formations en interne (pour les architectes d'Arismore) mais aussi en externe (à toute personne ou entreprise concernée par l'architecture d'entreprise et le management du système d'information). Les cursus sont délivrés à raison d'une fois par mois en français, et s'appuient sur des référentiels internationaux et sur des cas d'utilisation opérationnels. Certifications aux bonnes pratiques Togaf et Itil Ces formations sont, en outre, estampillées Togaf (The Open Group architecture framework) une méthodologie permettant de concevoir, de qualifier et d'aligner l'architecture des systèmes d'information sur la stratégie de l'entreprise. Au menu, sensibilisation à l'architecture d'entreprise et au Togaf, fondamentaux du Togaf (avec certification), bonnes pratiques ITIL (également certifiante), et la convergence des télécoms avec IMS (IP Multimedia Subsystem), notamment. Des séminaires d'une demi-journée proposent en parallèle, des cours sur le positionnement des bonnes pratiques ITIL, CMMI, CoBit, TOGAF et sur les outils de l'architecture d'entreprise, ainsi qu'une synthèse sur les bénéfices et l'usage de la gestion des accès et des identités. (...)
(08/09/2008 14:22:25)Oracle Fusion Applications : les développements progressent
Voilà plus de trois ans qu'Oracle travaille sur sa suite Fusion Applications qui doit réunir le meilleur des grands progiciels de gestion qu'il a rachetés depuis 2005 (PeopleSoft, JDE et Siebel , en tête). Sa prochaine conférence Open World (21-25 septembre 2008, San Francisco) devrait permettre d'en savoir un peu plus sur les développements en cours. La livraison de cette suite applicative était à l'origine annoncée pour 2008, avec une première salve prévue pour 2007. Le déroulement de ce calendrier a pour l'instant été respecté puisqu'Oracle a effectivement présenté en novembre dernier, sur l'édition 2007 d'Open World, les premières pièces de Fusion Applications. Celles-ci sont axées sur la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et sont proposées en ligne (sur le mode 'Software as a service'). Fusion Applications embarque l'analyse de données Depuis, l'éditeur a fourni peu de détails sur les étapes suivantes. Il semble toutefois que les développements progressent bon train, selon un billet posté fin août sur le blog de Floyd Teter, un utilisateur américain, familier des applications Oracle depuis une dizaine d'années. Une visite au siège social de l'éditeur a permis à cet utilisateur privilégié de constater « de visu » les avancées fonctionnelles, « bien réelles », de Fusion Applications. « Pas de présentations PowerPoint, ni de prototypes semi-opérationnels », relate Floyd Teter qui affirme avoir vu « d'authentiques applications » et avoir assisté à l'exécution de transactions ainsi qu'à l'exploration de données, à partir d'une application analytique pouvant descendre jusqu'aux détails de la transaction. Il décrit des fonctions inspirées de la démarche Web 2.0, qui mettent l'accent sur la collaboration entre utilisateurs et qui proposent des outils d'analyse au sein du contexte fonctionnel. Espérons qu'Oracle profite d'Open World 2008 pour révéler à un public plus large les progrès réalisés sur Fusion Applications. Une livraison progressive qui prendra du temps En juin dernier, à l'occasion de la présentation des résultats financiers annuels, Larry Ellison, PDG d'Oracle avait annoncé une livraison de la suite sur plusieurs années, à partir de 2008. « Nous allons continuer à livrer des applications Fusion jusqu'à ce que nous ayons une version Fusion de chacune des applications que nous commercialisons. Mais cela nous prendra du temps », avait-il alors reconnu. (...)
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