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(25/08/2008 17:22:58)
IBM accueille les Tech'Lotus 2008 à Paris
Les Tech'Lotus qui se tiennent mardi 26 et mercredi 27 août, au siège social d'IBM France (la Défense), accueilliront 550 développeurs et chefs de projets autour d'une cinquantaine d'ateliers consacrés à l'offre Lotus. Deux séances plénières ouvriront ces journées. La première verra la DSI d'IBM partager ses bonnes pratiques pour l'entreprise. La seconde sera conduite par Douglas Heintzman, directeur de la stratégie de Lotus, et Ron Sebastian, architecte technique, qui lèveront le voile sur les recherches en cours dans les laboratoires de Lotus. Dans leurs cartons se trouvent les produits qui devraient être présentés au prochain Lotusphere, grand rendez-vous annuel de la division d'IBM qui se tient traditionnellement à Orlando en janvier. Des éléments sur la stratégie Software as a Service Parmi les projets les plus avancés figure le fameux Bluehouse, déjà évoqué en janvier dernier, qui doit mettre en oeuvre la stratégie « Software as a service » d'IBM. « Nous allons d'abord livrer des services collaboratifs, explique Douglas Heintzman, ainsi que des services de voix sur IP et de connexions qui permettront aux utilisateurs d'avoir des activités de réseaux sociaux professionnels en dehors de l'entreprise ». [[page]]Les services de collaboration (partage de fichiers, réunions en ligne, dialogue en direct, enquêtes en ligne, gestion de contacts et d'activités, outils de visualisation graphique), première étape de cette stratégie, seront commercialisés sous la marque Bluehouse et seront également proposés en marque blanche à des partenaires. Mais « Bluehouse, ce sera aussi une plateforme sur laquelle nous allons livrer des interfaces de programmation afin que d'autres services puissent être appelés. » Pour soutenir cette stratégie de services en ligne qui a vocation à se développer à grande échelle, IBM est en train de construire des centres de données sur différents sites. « Nous avons probablement la plus grande capacité du monde », estime le directeur de la stratégie Lotus. (...)
(25/08/2008 17:14:12)Les télécoms, premier secteur européen touché par les restructurations
En Europe de l'ouest, 1,555 million d'emplois ont été supprimés entre 2002 et 2005, rapporte le cabinet d'études anglo-saxon Alphametrics. En première ligne, le secteur des télécoms, qui enregistre la plus forte concentration des opérations de restructuration (réorganisations, changements de périmètre, délocalisations, cessions, acquisitions, fermetures, modifications de structure du capital) de l'Europe occidentale. En effet, 22,5 % des emplois ont été supprimés dans ce secteur, ce qui le place très loin devant les autres. C'est en Belgique, en Espagne, aux Pays-Bas et en Allemagne que les restructurations ont l'impact relatif le plus élevé (de 20 à 25% des suppressions d'emplois). Mais en valeur absolue, c'est néanmoins en Allemagne et au Royaume-Uni qu'ont eu lieu les restructurations les plus importantes en nombre dans le domaine des télécoms (75 000 emplois supprimés en Allemagne, 70 000 au Royaume Uni, 25 000 en France au cours des années 2002-2005). En France aussi, les télécoms sont les plus touchées [[page]]En France, pays moins marqué par ces opérations que ceux du nord, les quatre secteurs les plus touchés au cours de la même période sont les télécommunications,comme dans la moyenne européenne (après les transports, l'équipement électronique et la métallurgie -au total 40% des emplois supprimés par restructuration-.) Viennent ensuite la construction automobile et les services financiers. Ces six secteurs représentent plus de la moitié (53 %) des 176 000 emplois supprimés. Toutefois, ces données doivent être examinées avec prudence car elles peuvent être sous-estimées, prévient le cabinet. Il précise que seules les restructurations signalées et identifiées sont prises en compte. Les restructurations discrètes, soit de toute petite taille, soit conduites dans le silence ou sans accident, ont peu de chance d'avoir été repérées. (...)
(25/08/2008 17:03:43)Les plateformes de SAP BO et Cognos en tête des offres BI, selon Forrester
Une étude de Forrester datant de fin juillet, compare douze plateformes décisionnelles sur trois axes : l'offre technologique (architecture, développement, fonctions, opérationnel), la stratégie de son éditeur et sa présence sur le marché. Elle place en tête les solutions de SAP Business Objects et de Cognos qui, selon le cabinet, allient la robustesse fonctionnelle à la solidité de la stratégie. Dans leur roue, Boris Evelson, analyste auteur de l'étude, place les plateformes de SAS et d'Oracle. Juste derrière arrivent Information Builders, Microstrategy et Microsoft. Légèrement en-deçà, Forrester situe Actuate et, mais un cran plus avancée au niveau stratégique, l'offre SAP NetWeaver BI. L'étude fait également apparaître trois outsiders : Tibco Software, QlikTech et Panorama Software. Boris Evelson a confronté les versions des produits disponibles en mars dernier, sur la base de quelque 150 critères, et rencontré 24 entreprises clientes. Il rappelle que l'analyse des données de l'entreprise (Business Intelligence, BI) ne s'arrête plus au simple reporting. Forrester définit désormais la B.I, ainsi que les outils qui la mettent en oeuvre, comme un ensemble de méthodologies, de processus, d'architectures et de technologies qui transforme des données brutes en informations utiles chargées de sens, permettant une compréhension accrue, sur les plans tactique, stratégique et opérationnel, pour guider la prise de décision. Un marché de la BI toujours en évolution [[page]]Boris Evelson constate que la BI requiert de nombreux composants différents, quelques fois plus de quarante, pour mettre en place un environnement décisionnel d'entreprise robuste et capable de monter en puissance, fonctionnellement et en nombre d'utilisateurs. Si une part importante de l'étude de Forrester porte sur les outils de reporting, d'analyse et de diffusion de l'information, piliers de la BI, Boris Evelson aborde aussi les autres composantes que sont l'intégration de données et la gestion de la qualité des données. Pour lui, ce marché, quoiqu'en pleine consolidation (en un an, Oracle, SAP et IBM ont respectivement acheté Hyperion, Business Objects et Cognos), n'est pas encore mature. « Contrairement à la croyance populaire, argumente-t-il, ce marché continue à évoluer de différentes façons ». Il cite, entre autres, les nouvelles générations d'interfaces utilisateurs, l'intégration des processus et des règles métiers, les fonctions en self-service tournées vers l'utilisateur, les nouvelles bases de données conçues pour l'analytique (NDLR : au rang dequelles figurant notamment de nouveaux venus comme Illuminate ou Netezza). (...)
(25/08/2008 16:36:22)AMD cherche à vendre ses usines, sans succès
Mis à mal par les retards du Barcelona, AMD continue de mettre en place sa stratégie pour reprendre pied. C'est ainsi qu'il a décidé de se séparer de ses deux usines de fabrication. Certes, l'activité d'AMD dépendrait alors de fabricants de puces externes, mais il n'aurait plus à supporter les dépenses massives associées à ce type d'activité, ni les programmes imposants de R&D requis pour suivre les avancées de la technologie des semi-conducteurs. Cette opération soulagerait aussi avec du cash un AMD encore englué dans 5 Md$ de dettes à long terme. La firme espère ainsi redevenir un concurrent à la mesure d'Intel, qui a encore fait montre de toute sa puissance la semaine dernière à l'occasion de son forum IDF2008. AMD compte deux usines, Fab 36 et Fab 38, toutes deux installées à Dresde en Allemagne. Fab 36, la plus récente, fait des galettes de puces en technologie 300 mm. Un procédé avec de meilleures économies d'échelle que le 200 mm utilisé dans les usines plus anciennes. Fab 38 devrait justement terminer sa transition entre les deux procédés au tout début 2009. Les investisseurs attendent que les prix baissent [[page]]Un seul problème, mais de taille : aucun acheteur ne veut des usines d'AMD ! « Après tout, pourquoi une entreprise voudrait-elle faire une telle acquisition aujourd'hui alors qu'il suffit d'attendre un peu pour payer ces usines moins cher ? », interroge Craig Berger, analyste chez Friedman, Billings, Ramsey & Co. Les investisseurs observent la situation, et attendent. AMD continue en effet de perdre de l'argent. 1,2 Md$ rien qu'au deuxième trimestre. La valeur totale de ses actions a fondu de moitié depuis la fin 2007, passant de 3Md$ à 1,5 Md$. Dans la même période, le montant du cash qu'elle détient est passé de 1,9Md$ à 1,6 Md$. Et les prévisions pour l'avenir ne sont guère plus optimistes. Une technologie et des produits excellents pourraient ne pas suffire Désormais, les problèmes des produits Barcelona sont derrière AMD et, cette année, l'industriel a tenu les promesses de sa feuille de route. La sortie de la plate-forme Puma et des dernières cartes graphiques ATI ont remonté le moral de la firme. AMD a aussi prévu une nouvelle version de son quadri-coeur, Shanghai, avant la fin 2008 et une ligne de processeurs combinant les multi-coeurs et l'accélérateur graphique en 2009. Néanmoins, étant donné l'ampleur des problèmes financiers d'AMD, une technologie et des produits excellents pourraient ne pas suffire. (...)
(25/08/2008 15:49:30)La Russie injecte près de 17 milliards d'euros dans les technologies
Les Russes ont décidé de mettre les bouchées doubles pour favoriser le développement des hautes technologies. Selon nos confrères de l'agence de presse russe Ria Novosti, le pays injectera pas moins de 600 milliards de roubles - soit 16,7 milliards d'euros - dans les industries de hautes technologies jusqu'en 2010. Selon Vladimir Poutine, le premier ministre russe, jamais la Russie n'a autant investi dans ce secteur. Ce dernier a également donné son feu vert pour le lancement d'un programme de 250 milliards de roubles (soit 6,9 M€) sur cinq ans, dédié à la recherche fondamentale. La part des innovations devra également augmenter d'ici à 2020, a également annoncé le premier ministre lors d'une réunion consacrée au développement de la Russie sur le long terme. « La part de la production d'innovation devra pourvoir atteindre jusqu'à 25% du volume global de la production industrielle, a-t-il précisé. Or, elle ne se situe aujourd'hui qu'à 6% ». (...)
(25/08/2008 11:42:13)La croissance du marché des semiconducteurs devrait ralentir
Cette année, la croissance du marché des semiconducteurs sera affectée par le ralentissement des dépenses en électronique grand public, estime un analyste du Gartner. « Nous ne pensons pas que l'industrie des semiconducteurs puisse rester complètement insensible à l'environnement macroéconomique, explique ainsi Richard Gordon. Nous nous attendons à ce que les dépenses des consommateurs en produits électroniques diminuent au cours des prochains trimestres. » Néanmoins, en dépit de ces prévisions alarmistes, l'institut d'études n'envisage pas de revoir la baisse sa précédente estimation, qui tablait sur une croissance de 3,4% en 2008 du marché des semiconducteurs, à 278,4 Md$. Peut-être parce que Gartner avait déjà revu à la baisse ce taux de progression, auparavant estimé à 6,2%. Cette diminution des achats réalisés par le grand public serait la conséquence logique de la crise des crédits immobiliers et de l'inflation des tarifs de l'énergie. Et la tendance est mondiale, frappant aussi bien les économies occidentales que les marchés émergents - notamment la Chine, l'Inde, la Russie et l'Amérique du Sud - pourtant considérés depuis plusieurs trimestres comme les accélérateurs de la croissance globale. (...)
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