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(14/08/2008 16:59:24)

Semestriels : Logica confiant sur ses prévisions malgré la chute de ses bénéfices

La SSII anglo-néerlandaise Logica (ex-LogicaCMG) a relevé ses perspectives de croissance pour 2008, malgré le recul sévère de son bénéfice net au premier semestre 2008 : en effet, sur les six premiers mois de l'année, le groupe a dégagé 5,2 M£ de profits, en baisse de 97% par rapport à la même période en 2007. Le chiffre d'affaires a en revanche a progressé de 16% sur le semestre, à 1,769 Md£. Quant au résultat opérationnel ajusté, il a également progressé de 16% à 118 M£. L'ensemble des zones géographiques (pays nordiques, France, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne international) affiche une hausse de ses ventes, y compris la Grande-Bretagne, où l'activité de Logica s'est finalement redressée au cours du premier semestre, avec des revenus en hausse de 6%. Le PDG de Logica France confiant pour le 2nd semestre En France (CA à 354 M£, en hausse de 7%), l'activité reste soutenue et représente 20% des revenus de la SSII. « Nous avons fortement investi sur le marché français au cours du premier semestre, commente Patrick Guimbal, PDG de Logica France. Le groupe profite d'un bon niveau de signatures, notamment dans l'industrie, la distribution, le transport et l'énergie, et la tendance se poursuivra sur le second semestre. » Côté perspectives, la SSII s'est fixée différentes priorités pour les six prochains mois : augmenter ses performances opérationnelles, accroître ses forces de vente, se recentrer sur des domaines à forte croissance (édition, banque, transport, mobilité, sécurité, ECM, SOA), accroître ses activités de sous-traitance, décrocher des nouveaux contrats d'outsourcing et poursuivre sa politique de réduction des coûts. Ce qui amène les dirigeants à se montrer plutôt confiants sur le long terme. « Nous tablons sur des revenus au global en hausse de 4% sur l'ensemble de l'exercice, contre des précédentes prévisions à 3% », conclut Patrick Guimbal. En avril dernier, Logica a annoncé un plan de restructuration qui devrait entraîner la suppression de 1 300 emplois en Europe, dont environ 250 en France, et lui permettre d'économiser 80 M£ par an. (...)

(14/08/2008 11:40:41)

France Télécom revoit le poids de ses activités de sous-traitance à la hausse

Chez France Télécom, la sous-traitance pèse plus lourd que prévu. Le bilan social 2007 de France Télécom affichait, en effet, quelque 8 856 « travailleurs extérieurs » et le total de la sous-traitance sur le périmètre de l'Unité économique et sociale FT-Orange était supposé totaliser 9 370 « Equivalents temps pleins » (ETP). Un chiffre pourtant sous évalué puisque la direction a reconnu, lors du CE extraordinaire du 15 juillet dernier, 22 522 ETP sur le même périmètre. Pour le syndicat Sud, la sous-traitance représenterait plus de 25% des effectifs de France Télécom dans les unités d'intervention. « La direction avance des motifs comme des missions limitées dans le temps ou des compétences inexistantes pour légitimer l'appel à la sous-traitance, déplore Sud dans un communiqué. L'existence de métiers furtifs dans notre secteur d'activité est largement discutable et la question des moindres coûts vérifiée uniquement sur les centres d'appel. » Davantage de sous-traitants dans les grandes banques Pour Régis Granarolo, président du Munci, association réunissant des professions informatiques et télécoms (IT), 25% de sous-traitance est un taux peut-être élevé en soi... mais qui ne représente pas grand-chose si on le compare avec celui des grandes banques. « A la BNP, 13 000 informaticiens étaient répartis de la manière suivantes sur l'année 2007, signale-il : 7 500 employés en interne et 6 500 prestataires. Et, sur les 13 000 personnes travaillant pour l'environnement informatique, deux tiers sont de vrais informaticiens qui interviennent au développement, support technique et production, dont une bonne part viennent des SSII. Soit une activité de sous-traitance beaucoup plus importante dans la banque que dans d'autres secteurs.» En fait, le problème soulevé par Sud concerne surtout le paradoxe qu'il y a à recourir à la sous-traitance à grande échelle alors que se profile un plan social drastique (22000 suppressions d'emplois annoncés sur trois ans). (...)

(14/08/2008 10:19:27)

Semestriels : Cegedim dépasse les 25% de croissance

L'éditeur Cegedim, spécialiste de la gestion de la relation client (CRM) et du monde de la santé, annonce un chiffre d'affaires (CA) de 417,8 M€ pour le premier semestre 2008 en hausse de 25,4%. Certaines de ses activités se placent au dessus, comme le secteur « CRM et données stratégiques » qui progresse de 30%, « professionnels de santé » grimpe de 33%. Le CA annuel est toujours prévu entre 840 et 850 ME. Cegedim continue ses acquisitions dans son secteur, le premier semestre a vu les rachats de Protectia et 01 Santé. (...)

(14/08/2008 09:36:42)

Hausse des tarifs SAP : les clubs utilisateurs en ordre dispersé

Dans les clubs utilisateurs de SAP, des voix se font encore entendre : la décision de l'éditeur allemand de basculer tous ses contrats sur le tarif de maintenance le plus élevé a encore du mal à passer. Néanmoins, le ton déjà résigné de certains clubs ne va guère dans le sens d'un recul de SAP. Qui de son côté explique, par la voix de son porte-parole, Bill Wohl : « Nous sommes toujours très satisfaits des réactions des clients que nous voyons sur le marché. Bien que les clients disent ne jamais aimer devoir payer plus, ils voient la valeur ajoutée. » Le caractère incrémental de la hausse déjà négocié par les utilisateurs Le 16 juillet dernier, SAP annonçait qu'il ne proposerait plus que son tarif le plus élevé pour la maintenance, soit 22% du prix de la licence. L'éditeur du progiciel de gestion intégré le plus répandu parmi les grands comptes soulignait alors que tous les clients bénéficieraient ainsi d'un meilleur niveau de support. Pour Bill Wohl, il s'agissait non pas d'améliorer les revenus de SAP, mais de mettre en adéquation le niveau de service offert avec le niveau de complexité actuel des systèmes d'information. Pour les clients déjà sous contrat et payant pour un support basique (17% du prix de la licence), la hausse des tarifs sera incrémentale, entre 2009 et 2012 - sachant que pour les clients français ayant plafonné, par contrat, l'augmentation des tarifs, la hausse pourrait être plus douce et s'effectuer sur une dizaine d'années. Le club américain se refuse à négocier un rabais collectif [[page]] Les clubs utilisateurs ont réagi diversement à cette annonce. Le club américain (Americas SAP Users Group, Asug), qui avait été consulté avant la décision de SAP, dit qu'il veut se donner le temps d'étudier les expériences des utilisateurs, et d'y trouver des preuves de ce qu'avance SAP sur l'amélioration significative du niveau de support. Le club explique qu'il veut déterminer à terme « ce qui fonctionne et ce qui aura besoin d'un ajustement, et ainsi pouvoir s'appuyer sur [son] importante base installée pour influencer SAP, qu'il s'agisse de modifier les tarifs ou les offres, le cas échéant ». Le président de l'USF se dit « déçu mais attentif » Steve Strout, président de l'Asug, souligne qu'il a déjà remporté une bataille, en convainquant SAP de n'augmenter ses tarifs que de façon incrémentale. Quant à demander à SAP de rester à 17%, il ne voit pas comment il pourrait faire ça : « Ce serait agir en tant que négociateur pour un rabais collectif, et nous ne sommes pas légalement autorisés à faire cela. » Interrogé par LeMondeInformatique.fr, le président de l'USF (le club des utilisateurs francophones) Jean Leroux a adopté un ton diplomatique très similaire. Il se déclarait ainsi « déçu » mais « attentif », et affirmait sa volonté de mener un audit sur la valeur réellement ajoutée par l'offre premium : « Tout n'est pas dit dans l'annonce, et chaque client est un cas particulier. Il y a donc certainement des choses à négocier, notamment sur les niveaux de service et les pénalités. Notre rôle est de vulgariser ces aspects et de préparer au mieux les clients à tirer un maximum de valeur de cette augmentation de prix. » Pour l'USF aussi, SAP devra faire ses preuves sur le terrain, et les utilisateurs y veilleront. Le club des utilisateurs germanophones encore très combatif [[page]] La tâche ne sera pas forcément aisée, car, comme le souligne l'analyste de Forrester Ray Wang, il faudra que les entreprises utilisatrices soient transparentes sur leurs relations avec SAP (problèmes survenus, correctifs installés...) et sur leur TCO (coût de possession total). Plutôt virulent au début, le club des utilisateurs du Royaume-Uni se dit aujourd'hui, comme l'USF, « en contact constant avec SAP à propos de cette question du support ». Le DSAG, club des utilisateurs germanophones, le plus important des clubs avec 25 000 membres dans 2 100 entreprises, notamment en Allemagne, Autriche et Suisse, reste en fait le plus combatif. Il continue aujourd'hui encore de déclarer son opposition à ce changement unilatéral des conditions de support. Y a-t-il suffisamment de compétences SAP sur le marché ? « L'impression que nous avons, et le retour que nous avons de nos membres, est que l'opposition reste très forte, explique Andreas Oczko, vice-président du DSAG. Le sentiment qui domine chez les utilisateurs, notamment parmi les PME, est que leurs systèmes sont très simples et qu'ils les connaissent très bien. Ils ne voient donc pas pourquoi ils auraient maintenant besoin d'un support de niveau entreprise. » Malheureusement pour ces utilisateurs, ils ont peu de leviers sur lesquels agir. Ray Wang leur conseille bien de ne pas signer de contrats pluri-annuels, de façon à pouvoir s'orienter vers des tiers, mais les éditeurs tiers proposant du support SAP ne sont pas légion. En outre, il risque de se poser un problème de compétences disponibles sur le marché : si SAP doit assurer pour tous un support premium, les ressources disponibles risquent d'être rapidement asséchées, les experts SAP étant déjà difficiles à trouver. (...)

(13/08/2008 16:03:50)

Semestriels CS : une rentabilité moins forte que prévu

En publiant ses résultats semestriels, la SSII CS a expliqué que sa rentabilité opérationnelle serait « très affectée » sans toutefois « être représentative des tendances de fond qui guident l'évolution du groupe ». En clair, le semestre souffre d'un accident dû à des difficultés particulières sur un contrat dans les transports aux Etats-Unis et « des efforts d'avant-vente très importants consentis par le groupe au cours de ce semestre ». CS a réalisé un chiffre d'affaires de 114,7 millions d'euros au cours de ce premier semestre, en hausse de 4% sur une base organique. (...)

(13/08/2008 15:39:16)

Yahoo propose une API de localisation, à utiliser avec sagesse

Yahoo a officiellement lancé hier son API Fire Eagle. Cette interface de programmation entend simplifier la mise au point d'applications prenant en compte la localisation de l'utilisateur. Cela peut aller de la plateforme de blog, qui se contentera d'indiquer la provenance d'un billet, à des éditeurs d'informations ou de services de proximité. Contrairement à un GPS, Fire Eagle n'est pas un système de géolocalisation. C'est un simple relais d'information, un mécanisme qui donne la possibilité aux utilisateurs de mettre à jour et de partager, quand et s'ils le souhaitent, une information personnelle : leur localisation. Fire Eagle fournit donc une interface de mise à jour, depuis le Web ou un mobile, ainsi qu'une interface de requête pour les applications exploitant ce type d'information. Comme le décrit Tom Coates, qui chapeaute les projets émergents de Yahoo, « Fire Eagle est ni plus ni moins qu'une base de localisation des utilisateurs ». Un code de bonne conduite pour les développeurs exploitant l'API Fire Eagle Depuis la sortie de la version bêta, une cinquantaine de sites a commencé à exploiter le mécanisme. L'API est ouverte et gratuite. Pour l'instant, Yahoo n'a pas encore annoncé de plan de monétisation. [[page]] A noter qu'en plus des conditions d'exploitation qui accompagnent classiquement ce genre de sortie de produit, Yahoo - qui veut sans doute se prémunir contre un houleux débat sur la vie privée et l'exploitation des données personnelles - propose un « code de conduite du développeur ». En cas de manquement à ce code, prévient le moteur de recherches, l'accès à l'API pourrait être révoqué. L'utilisateur devrait théoriquement avoir le contrôle sur l'exploitation de ses données personnelles Le code de conduite insiste surtout sur le degré de confiance à établir avec les utilisateurs. « Dites-leur ce que vous voulez faire de cette information », indique Yahoo. Qui précise que cela doit se faire « dans un langage facile à comprendre ». En particulier, Yahoo demande aux éditeurs de services exploitant Fire Eagle de clairement dire s'ils comptent stocker l'information, la rendre publique, la partager, etc. Les utilisateurs devraient aussi avoir la possibilité de savoir si une application de mise à jour de la localisation est active, et le cas échéant de pouvoir la désactiver. Comme le rappelle la Cnil chez nous, les utilisateurs devraient aussi avoir un accès et un contrôle total sur les données les concernant, et les éditeurs ont une obligation de protection à l'égard de ces données. (...)

(13/08/2008 15:03:26)

IBM prépare iNotes pour l'iPhone et renforce ses accès mobiles

En janvier dernier, sur sa conférence Lotusphere, IBM avait attisé l'intérêt des amateurs d'iPhone en évoquant pour le téléphone portable d'Apple un accès à Domino (DWA, Domino Web Access, désormais renommé IBM Lotus iNotes), le serveur de la messagerie Notes. C'est Jeff Eisen, architecte en chef de Lotus Notes, qui en avait fait l'annonce. Depuis peu, on en sait davantage, notamment que la sortie de cette offre est toujours programmée pour 2008. Le fournisseur détaille en effet sur son site Web les fonctions qu'il prépare pour l'iPhone. Les pages sont illustrées d'une dizaine de captures d'écran présentant l'accès aux courriels, aux contacts, au calendrier... Mobility@Work, une offre de services pour déployer l'accès nomade IBM en profite pour promouvoir sa plateforme de communication Lotus Mobile Connect, conçue pour constituer un réseau privé virtuel ouvrant aux utilisateurs nomades l'accès à la messagerie d'entreprise et aux applications du système d'information (SI). Il y a quelques jours, le fournisseur a par ailleurs annoncé une nouvelle offre de services, Mobility@Work, pour aider ses clients à déployer les technologies de mobilité. Il a aussi indiqué avoir optimisé son offre Rational HATS (Host Access Transformation Services) pour faciliter l'accès des équipements mobiles aux applications mainframes. Enfin, IBM a également mis à jour WebSphere Business Monitor, son logiciel de surveillance des activités métier (BAM), afin qu'il soit possible d'accéder aux informations sur les applications à partir d'un terminal mobile, en temps réel, depuis un tableau de bord personnalisable. L'extension correspondante pour les terminaux BlackBerry est déjà disponible. Elle sortira pour l'iPhone au quatrième trimestre de cette année. IBM est particulièrement concerné par le travail nomade puisque plus de 40% de ses collaborateurs travaillent à distance, chez les clients, sur la route ou bien depuis leur domicile, explique John Dunderdale, vice-président des ventes pour la division Lotus. C'est donc sa propre expérience que Big Blue met à profit pour son offre Mobility@Work. (...)

(13/08/2008 14:29:48)

Linux à l'Assemblée nationale : trois députés racontent

Il y a un an, l'Assemblée Nationale dotait les députés de PC sous Linux (sous Ubuntu). Quel bilan en tirent les intéressés, archétypes des décideurs de haut niveau mais non-informaticiens ? Les trois députés ci-après, avocats de profession, répondent à nos confrères de CIO-online.com. Rudy Salles, vice-président de l'Assemblée Nationale, notamment en charge des questions informatiques, député Nouveau Centre des Alpes Maritimes. Député depuis 20 ans, il revient sur l'évolution de l'informatique et de la bureautique des députés telle qu'il l'a vécue, en particulier sur la bascule Linux de l'an passé. Au premier plan de la prise de décision très politique de la bascule sous Linux, il en explique les conditions. Une bascule vers Linux, pour lui, n'a rien changé de plus qu'une bascule de Windows XP à Windows Vista. Les stages de formation ont même été jugés inutiles... Rudy Salles utilise un smartphone qu'il coordonne avec l'agenda partagé de l'Assemblée Nationale. Sa permanence est restée sous Windows et la mairie de Nice, où il a également un mandat, utilise IBM Lotus Notes sans soucis de compatibilité ou d'échanges de fichiers. Le nouveau SI de l'Assemblée Nationale est plus économique (500 000 euros de moins) et permet de rétablir l'équilibre entre députés de la région parisienne et de province. L'interview de Rudy Salles en vidéo Pierre Lasbordes, député UMP de l'Essonne Député depuis 11 ans, il revient sur l'évolution de l'informatique des députés telle qu'il l'a vécue, en particulier sur la bascule Linux de l'an passé. En circonscription, ses collaborateurs sont sous Windows et la cohabitation se passe bien. Pierre Lasbordes n'utilise pas de smartphone. L'interview de Pierre Lasbordes en vidéo Alain Vidalies, député PS des Landes Député depuis 20 ans, il revient sur l'évolution de l'informatique et de la bureautique des députés telle qu'il l'a vécue, en particulier sur la bascule Linux de l'an passé. Vraiment pas technophile assumé, Alain Vidalies n'a pas rencontré de véritable difficulté. Il n'utilise pas de smartphone. En circonscription, Alain Vidalies a également basculé sous Linux. L'interview de Alain Vidalies en vidéo (...)

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