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(11/07/2008 15:37:15)

Eric Besson veut relancer la commission de la copie privée (MàJ)

Sauver la commission de la copie privée. C'est l'objectif des propositions dévoilées par Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, et visant à réformer la commission dite d'Albis, chargée d'établir les montants des taxes pour copie privée s'appliquant aux ventes de médias vierges et de matériel électronique. La commission, composée de représentants des industriels, des ayants droit et des consommateurs, fonctionne, il est vrai, de façon chaotique et contestée. Ainsi, les industriels ont-ils claqué la porte en début d'année en reprochant « le mauvais fonctionnement de cette instance ». De même, plusieurs actions devant le Conseil d'Etat ont été entreprises par des associations de consommateurs désireuses de voir annulée la décision établissant une taxe sur les disques durs et médias vierges. Le premier ministre lui-même avait laissé entendre que la commission avait bien besoin d'une remise à plat afin que ses décisions découlent enfin d'une « procédure objective et transparente ». Objectif d'Eric Besson : éduquer les consommateurs Les propositions avancées par Eric Besson prévoient d'améliorer la transparence des mesures touchant les consommateurs, et de modifier la façon dont sont prises les décisions au sein de la commission. Sur le premier volet, le secrétaire d'Etat envisage d'imposer l'affichage du montant de la taxe et d'un message explicatif justifiant son existence sur les produits qui y sont soumis. Une disposition censée permettre aux consommateurs de comprendre l'intérêt de ce prélèvement. « C'est une vieille demande, explique Frédérique Pfrunder, chargée de mission à la CLCV. Il est intéressant de donner une information, se sensibiliser le consommateur sur ce qu'est la copie privée et sur sa justification. » [[page]] Eric Besson suggère également d'augmenter les moyens de la commission d'Albis afin de lui permettre de commander des études indépendantes. Un changement d'envergure puisque, jusqu'à présent, ce sont les différents collèges qui diligentent les études servant de base aux réflexions de la commission. L'objectivité des conclusions n'est donc pas garantie et, si les industriels et les ayants droit disposent des moyens suffisants à l'organisation de telles enquêtes, ce n'est pas le cas des représentants des consommateurs. Enfin, le secrétaire d'Etat souhaite doter les décisions de la commission de la copie privée de davantage de légitimité. Pour cela, il propose de donner à son président le pouvoir de demander une seconde délibération d'une décision, qui devrait être prise à la majorité qualifiée. Une mesure qui laisse Frédérique Pfrunder sceptique : « Ca ne changerait rien. Aujourd'hui, toutes les décisions sont prises avec l'accord du président. Il faudrait plutôt donner à tous les collèges la possibilité de demander une double délibération. Ou imaginer un nombre égal de représentants des différentes parties.» Aujourd'hui, la commission de la copie privée est composée de 12 représentants des ayants droit, 6 représentants des consommateurs et 6 représentants des industriels. Dans le même souci d'apporter du crédit aux travaux de la commission, Eric Besson entend renforcer la représentativité de ses membres en impliquant, pour leur désignation, le ministère de l'Industrie et le secrétariat d'Etat à la Consommation aux côté du ministère de la Culture, aujourd'hui seul décisionnaire. Rien sur le calcul de l'assiette En revanche, Eric Besson n'évoque pas la façon dont doit être évaluée la taxe à l'avenir. En particulier, nulle mention n'est faite du problème crucial de la contrefaçon : l'assiette de la redevance doit-elle continuer à prendre en compte le manque à gagner des ayants droit dû au téléchargement illégal ? A cette question, les industriels et les consommateurs apportent une réponse négative ne souffrant aucune contestation. « C'est le vrai problème de fond, estime Frédérique Pfrunder. Certes, il est appréciable de constater qu'Eric Besson s'intéresse à la copie privée. Mais ce qu'il propose ne va pas assez loin, tout cela est en demi-teinte. » Les industriels, marris depuis le mois de février, font même de la suppression de la prise en compte de la contrefaçon la condition sine qua non de leur retour aux réunions de la commission. Leur politique de la chaise vide pourrait toutefois avoir courroucé Eric Besson, qui prévoit de sanctionner l'absentéisme. Au-delà de trois absences consécutives non justifiées, le mandat du représentant pourrait ainsi lui être retiré. Et les râleurs, écartés. Dernière minute : la commission retoquée par le Conseil d'état Dernière minute : nous apprenons à l'heure où nous publions ces lignes, que le Conseil d'Etat a finalement retoqué la commission d'Albis en annulant, comme le demandait le Simavelec (Syndicat de l'industrie de matériels audiovisuels électroniques), la décision de 2006 fixant le montant de la taxe pour copie privée pour un certain nombre de support. Motif invoqué par le juge administratif : « la détermination de la rémunération pour copie privée ne peut prendre en considération que les copies licites ». Une position conforme aux doléances des industriels et des consommateurs. Nous reviendrons sur cette information la semaine prochaine. (...)

(11/07/2008 14:00:45)

Soldes sur le calcul HPC distant

Pour faire connaître leurs activités, les PME informatiques ont elles-aussi recours aux soldes. C'est le cas d'Oxalya qui propose une promotion jusqu'au 15 septembre prochain sur « Virtual Node », sa prestation de calcul haute-performance (ou HPC) à distance. Elle propose ainsi la location de noeuds de calcul à partir de 1 euro de l'heure. Pour ce prix, l'utilisateur dispose de deux noeuds de huit coeurs chacun (avec des processeurs Intel à 3 GHz) sous Linux. Il lui suffit de les réserver 48 heures à l'avance sur le site de la société, puis d'envoyer les données au moment voulu. Les prix varient en fonction des logiciels à utiliser, et la société offre même des heures d'évaluation gratuites à ses prospects. (...)

(11/07/2008 13:51:45)

L'Emsi délivre une formation de responsable d'activité des SI en alternance

L'alternance, formule qui permet d'accéder au titre d'ingénieur sur les mêmes critères académiques que pour les formations classiques, tout en exerçant une activité salariée, continue à se développer dans les grandes écoles d'ingénieurs de l'Hexagone. Après les annonces récentes de l'Ectei et de l'Isen, c'est au tour de l'Emsi, école du management et des systèmes d'information située à Grenoble (Isère), d'annoncer l'ouverture, en octobre 2008, d'un programme accessible par la voie de l'alternance. La formation de responsable d'activité SI de l'Emsi se déroule, en effet, sous le régime du contrat de professionnalisation au rythme de 14 semaines de cours et de 37 semaines en entreprise, sur une année universitaire. Il propose à des étudiants titulaires d'un bac +2 ou possédant 120 crédits ECTS (European Credits Transfer System - système de points développé par l'Union européenne visant à faciliter la lecture et la comparaison des programmes d'études des différents pays européens), d'obtenir un titre certifié niveau II de responsable d'activité en systèmes d'information, correspondant à un niveau licence professionnelle. Les modules dispensés par le programme répondent à la volonté de privilégier l'acquisition de connaissances pratiques au sein de l'entreprise. Pour respecter cet objectif, l'impact du contrat de professionnalisation est renforcé par la mobilisation d'intervenants qui appartiennent tous aux centres de formation des sites concernés. Le partenariat signé dans la foulée entre l'école et l'éditeur Cegid prendra la forme d'enseignements dispensés par des consultants Cegid qui viendront animer tout au long de l'année les cours de ce nouveau cursus. Les étudiants utiliseront notamment les solutions de comptabilité, d'immobilisations, de gestion commerciale et de gestion de la relation client développées par l'éditeur. (...)

(11/07/2008 13:45:28)

La France en tête des pays ayant adopté l'Open Source

Une étude de Forrester souligne que les Européens, et d'abord les Français, sont plus en avance dans leur recours aux logiciels libres. Mais elle souligne aussi que très peu contribuent aux projets. Les entreprises françaises seraient plus avancées dans l'adoption de l'Open Source que leurs homologues d'Allemagne, du Royaume-Uni, des Etats-Unis et du Canada. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Forrester Research, en deux fois; d'abord à l'occasion d'un sondage au troisième trimestre 2007, puis lors de discussions ouvertes à la conférence IT Forum EMEA 2008. Alors que le public nord-américain se dit surtout inquiet de la sécurité du code des logiciels libres (à 71%), le public européen indique que sa priorité (51%) est la qualité du support associé. Forrester note que les entreprises européennes sont ainsi tout à fait prêtes à payer pour du support de logiciels libres, « à condition de pouvoir en mesurer la valeur ». Entreprises américaines (31%) comme européennes (22%) ne sont en tout cas guère inquiètes à cause des menaces juridiques pesant sur l'utilisation de l'Open Source. Les couches d'infrastructure restent de loin le premier domaine pour l'Open Source en entreprise [[page]] Côté technologies utilisées, Forrester constate le cycle habituel d'adoption, à savoir l'introduction de briques de base éprouvées, comme Linux ou Open Solaris, le serveur Web Apache, puis les outils de développement comme Eclipse et langages comme PHP, ainsi que les serveurs d'applications Tomcat et JBoss. De plus en plus, continuent les auteurs de l'étude, Jeffrey Hammond et Diego Lo Giudice, les entreprises envisagent de faire monter l'Open Source dans les couches d'infrastructure : bus de services (ESB), extraction, transformation et chargement de données (ETL), bases de données, applications de gestion de contenu... En revanche, aucune « n'a immédiatement signalé un intérêt » quant à poursuivre cette stratégie au niveau des applications métier. Autre information notable : les entreprises qui s'associent à des communautés Open Source ou qui simplement donnent du code à la communauté sont des exceptions. « La plupart se contentent de consommer de l'Open Source plutôt que d'en produire », écrivent les analystes de Forrester. « Un seul des participants [aux discussions] a indiqué que son organisation contribue au projet Open Source qu'il utilise avec du code mis à jour. » Un comportement typique, précise Forrester, de la plupart des grands départements informatiques. (...)

(11/07/2008 13:35:08)

Cegid et HP s'allient pour offrir une solution clé en main aux TPE

Partenaires depuis 15 ans, Cegid et HP proposent un package clé en main aux TPE qui souhaitent s'équiper en ordinateurs et en progiciel de gestion intégrée, et qui n'arrivent pas à s'y retrouver parmi la multiplicité des options et des interlocuteurs. Cette offre comprend le matériel (un ordinateur portable HP 6710b ou un PC de bureau HP dc5800) et des logiciels (le Pack Microsoft Office PME ainsi que le progiciel de gestion de Cegid, Business Line). L'ERP se décline en trois versions, Premium, Optimum et Millenium, et les prix démarrent à partir de 797 € pour un pack comptabilité, 887 € si on rajoute la gestion commerciale - ces tarifs prenant en compte un remboursement si le client passe directement par HP ou Cegid. « Avec cette offre, nous allons directement adresser notre clientèle TPE, et développer un canal de distribution complémentaire de notre voie traditionnelle, à savoir la préconisation par des cabinets d'experts comptables », explique Bertrand Gall, directeur marketing opérationnel chez Cegid. L'offre est disponible en mode SaaS (hébergée) ou sur poste de travail. Pour le moment, l'offre d'HP et de Cegid est générique, mais les deux partenaires devraient développer des solutions verticales avant la fin de l'année, afin de répondre aux besoins spécifiques de certains marchés, comme le BTP, l'hôtellerie-restauration ou la mode. (...)

(11/07/2008 11:27:41)

Apple propose aux entreprises un utilitaire de configuration pour iPhone

Apple propose de quoi déculpabiliser les cadres qui voudraient utiliser l'iPhone comme smartphone : un utilitaire de configuration. Compatible avec la version 2.0 du logiciel de l'iPhone, l'iPhone Configuration Utility donne la possibilité au service informatique d'une entreprise de créer un fichier de configuration, au format XML, et de le déployer simplement dans les smartphones d'Apple. Plusieurs éléments peuvent être configurés : - les informations nécessaires pour se connecter à l'utilitaire de synchronisation de Microsoft, Exchange ActiveSync ; - les informations de connexion aux réseaux sans fil de l'entreprise, ainsi qu'aux réseaux privés virtuels ; - les éléments d'authentification pour le serveur de courriels ; - la politique de sécurité (gestion des mots de passe), les certificats et les signatures électroniques... Une fois réalisé, le fichier peut être hébergé sur un site sécurisé - il suffit alors de s'y rendre avec le navigateur de l'iPhone et de lancer la procédure d'installation - ou bien envoyé par courriel aux utilisateurs, qui devront alors accepté l'installation. Le logiciel est disponible en versions MacOS X et Windows, mais aussi utilisable en version Web. (...)

(11/07/2008 11:59:28)

Intel vend son activité RFID

Intel a annoncé la vente de son activité RFID au fabricant californien Impinj de lecteurs RFID. Celui-ci pourra donc concevoir des modèles plus petits et mieux adaptés aux marchés comme l'authentification, ou le suivi des stocks. Les puces RF1000 d'Intel, lancées en mars 2007, rassemblent en effet dans un même processeur près de 90 % des composants électroniques nécessaires pour faire un lecteur RFID. Cet accord, dont le montant n'a pas été dévoilé, s'est fait par échange d'actions. Intel obtient donc un siège au conseil d'administration d'Impinj, et la société reprendra moins de 10 salariés provenant de chez Intel. (...)

(11/07/2008 10:46:32)

Le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques récompense 60 projets informatiques

Cette année, pour sa dixième édition, le concours national d'aide à la création d'entreprises technologiques innovantes a récompensé près de 200 projets sur 1 174 dossiers reçus. Sur 175 lauréats, une soixantaine de projets informatique ont été sélectionnés. Dans la catégorie projets en cours de création ou de développement, l'éditeur Lemonway a été retenu pour sa capacité à innover dans la banque 2.0 et le guichet virtuel. Il s'agit en effet de mettre en oeuvre une plateforme mobile de paiement sécurisée multi-banques, destinée aux institutions financières. Une solution construite autour d'une boîte noire de sécurité permettant le cryptage et la compression des flux de données financières échangées directement entre les téléphones mobiles et les systèmes bancaires sécurisés. 230 000 € obtenus grâce aux subventions perçues à l'issue du concours Mais le projet nécessitait un budget important pour que les transactions puissent se faire directement par téléphone, sans passer par les banques. Dans certains pays, en Afrique par exemple, les établissements financiers ne sont pas toujours présents. « L'application nécessitait 230 000 € supplémentaires, que nous avons pu obtenir grâce aux subventions perçues à l'issue du concours », expose Sébastien Burleat, PDG de Lemonway. Désormais, ce programme innovant pourra compter sur les 400 000 euros de subventions offertes dans le cadre du concours. [[page]] Un label précieux pour attirer les investisseurs Le fait d'avoir été sélectionné à l'issue d'une compétition nationale permettra également au jeune entrepreneur d'augmenter ses chances auprès des investisseurs. « La rigueur des critères de sélection et la réputation d'excellence du concours crédibilisent le projet et lui confèrent un label précieux pour la recherche de financements complémentaires », précise le créateur de projet. Laurent Bourmault, concourait, lui, pour la seconde fois dans la catégorie projets en émergence. Cette fois, la récompense tant espérée a été attribuée à ShareNews Services, sa régie publicitaire en ligne à vocation culturelle destinée à valoriser le rôle des entreprises privées dans le financement de la culture. « L'an dernier, le projet avait pourtant retenu l'attention des organisateurs, se souvient-il. Mais il manquait de maturité et exigeait le renforcement des équipes qui travaillaient à son développement. » Cette année, il a su convaincre le jury. Du coup, Laurent Bourmault se prépare à participer de nouveau l'année prochaine, dans la catégorie création et développement. Ce type de concours est un moyen pour lui d'attirer investisseurs et business angels. Une priorité pour tout porteur de projet, selon lui. (...)

(11/07/2008 07:43:46)

Lyon confie la numérisation d'ouvrages historiques à Google (mise à jour)

La ville de Lyon confie à Google la numérisation de 500 000 documents du fonds ancien de sa Bibliothèque municipale. Elle devient ainsi la première ville française à procéder à cette opération avec le géant américain. Les ouvrages patrimoniaux concernés sont tous antérieurs au XXe siècle et donc libres de droits. Selon le communiqué de la municipalité, « des impressions rares Lyonnaises du XVIème (Maurice Scève, Nostradamus, ...) aux grands récits de voyages du XIXème, en passant par les grands traités scientifiques comme la première édition des Principa de Newton, annotés par Malebranche, des pièces uniques seront maintenant accessibles en ligne aux internautes du monde entier. » L'AFP indiquait hier que Google devrait prendre en charge la numérisation et la mise en ligne la collection dans un délai de 10 ans. Selon LyonCapitale.fr, la municipalité demanderait que 200 000 ouvrages soient traités dans les 4 ans à venir. Le site poursuit en assurant que Lyon ne déboursera pas un centime mais que Google, lui, s'acquitterait de 60 millions d'euros en échange d'une autorisation de l'exploitation de la copie numérique des ouvrages. (...)

(11/07/2008 07:43:42)

Trombi.com franchit le cap des 4 millions d'inscrits en France

Le réseau social français Trombi.com a atteint les quatre millions de membres en France, et revendique 200 000 nouvelles inscriptions par mois. Dans sa dernière étude concernant la popularité des réseaux communautaires en France, le cabinet ComScore Media Metrix le place d'ailleurs en quatrième position du nombre de visiteurs uniques (derrière Skyrock, Facebook et MySpace), en hausse de 68% par rapport à la même période un an plus tôt. Le site est majoritairement utilisé par des personnes de plus de 30 ans. Seuls 1% ont moins de 18 ans et 10% moins de 25 ans. « Nous ne voulons pas nous substituer à un Facebook, nous fournissons un service qualifié pour retrouver d'anciens amis », précise André Pitié, fondateur de Trombi.com. Sur le site, chaque internaute doit obligatoirement fournir son nom et s'inscrire comme ancien élève d'une école. Les photos éventuelles sont triées et validées par l'équipe de Trombi, qui compte 40 collaborateurs en France. Impossible de diffuser de images pornographiques ou de remplacer son portrait par un personnage fictif par exemple. Le modèle économique de Trombi.com repose sur une source de revenus essentielle (90%) : l'abonnement premium. L'inscription et la consultation des autres profils sont gratuites, mais la mise en contact est payante, au tarif de 23,40 € par an. Les 10% restants proviennent de la publicité, dont la régie est confiée à Horizon Media. Trombi.com ne souhaite pas développer davantage ce canal, afin « de ne pas devenir trop dépendant des fluctuations du marché de la publicité en ligne », souligne André Pitié. (...)

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