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(04/07/2008 17:25:49)

Le stress fait partie de la vie des ingénieurs de la IT

Le Conseil national des ingénieurs et scientifiques de France (CNISF) vient de publier les résultats de son enquête annuelle sur l'emploi des ingénieurs, en collaboration avec le Comité d'études sur les formations des ingénieurs (CEFI). L'un des nombreux enseignements de cette étude montre que le niveau de satisfaction professionnelle des ingénieurs a sensiblement baissé en 2008. La proportion d'ingénieurs sans motif d'insatisfaction majeure dans leur travail n'est plus que de 38 % en 2008 alors qu'elle dépassait 46 % en 2007. La proportion des satisfaits a en effet diminué sur tous les points étudiés dans l'enquête : c'est particulièrement net sur le sens et la valeur du travail, la part de créativité, les relations interpersonnelles et l'épanouissement personnel au travail. Parmi les éléments d'insatisfaction, de nombreux éléments liés à l'organisation et à la direction de l'entreprise sont mentionnés par au moins un ingénieur sur quatre, ainsi que le niveau de stress et la charge de travail, la lisibilité de la stratégie et la qualité de la communication. Les ingénieurs sont majoritairement soumis au stress à l'occasion d'échéances et plus d'un sur quatre travaille au moins la moitié du temps dans le stress. Cependant cette situation est plutôt bien gérée par les ingénieurs, ou ne dépasse pas les limites du supportable. Reste que 7 % d'entre eux ont cependant mentionné des problèmes graves de santé suite au stress. Les résultats de cette étude arrivent alors que vient de se tenir la deuxième conférence sociale sur les conditions de travail. Mécontentement sur les salaires, la formation et l'évolution de carrière [[page]] Les écarts entre secteurs d'activité ne sont guère marqués et la taille de l'entreprise ne semble pas être un facteur différenciant le niveau de stress engendré. Les fonctions où l'on est le plus soumis au stress des échéances (55 à 60 %) sont celles des études et recherche, du juridique et des brevets, et de l'enseignement/formation. Le salaire et les primes sont également cités comme sources de mécontentement pour trois ingénieurs sur dix. La formation rassemble également 27% d'insatisfaits et 24% se plaignent d'un manque d'évolution dans leur carrière. Les données de l'enquête du CNISF portent sur la situation des ingénieurs au 31 décembre 2007 et ont été recueillies dans le courant du mois de mars 2008. Plus de 47 500 ingénieurs ont répondu au questionnaire par le relais des associations d'anciens élèves des écoles d'ingénieurs. Parmi les disciplines regroupées par le CNISF figurent notamment les sciences et techniques de l'information et de la communication, l'électronique, les télécommunications, l'électrotechnique, l'automatique, l'informatique, le génie logiciel et les mathématiques appliquées. (...)

(04/07/2008 16:53:56)

Le PDF passe sous contrôle intégral de l'ISO

Le format PDF est sans nul doute le format de documents non-modifiables le plus populaire au monde. Adobe, son créateur initial, avait engagé une démarche de normalisation internationale depuis déjà plusieurs années. L'ISO (International Standard Organisation) vient d'annoncer que non seulement il normalisait la totalité des déclinaisons du format PDF (sous la référence ISO 32000-1) mais qu'il serait également en charge de l'évolution de la norme et de la publication de ses spécificités. Pour mémoire, le format OpenDocument, bien que normalisé ISO, est géré par l'Oasis et Office OpenXML par l'Ecma. (...)

(04/07/2008 16:45:02)

Vente liée : les industriels font de la résistance

Ils étaient environ quarante à s'être déplacés pour l'événement. Quarante représentants des consommateurs, distributeurs et fabricants, réunis hier par la DGCCRF pour une réunion de synthèse sur l'épineux dossier de la vente liée matériel informatique/logiciels. Les observateurs attendaient beaucoup de cette consultation, d'autant que le matin même Luc Chatel, le secrétaire d'Etat à la Consommation, s'était fendu d'une déclaration encourageante auprès de nos confrères du Parisien. Il estimait ainsi souhaitable que « sur le montant des ordinateurs, on précise le prix des logiciels préinstallés, afin que les consommateurs aient le choix et puissent se faire rembourser ». Pas de mesure concrète Quelques heures après l'issue de la réunion, il est difficile de tirer un bilan, aucune mesure concrète n'ayant été annoncée. Deux blocs continuent de s'opposer opiniâtrement : d'un côté, les distributeurs et fabricants ; de l'autre, les représentants des consommateurs et promoteurs du logiciel libre. Alors que ces derniers plaident inlassablement pour que cesse la vente liée - ou, à tout le moins, qu'elle soit encadrée -, les premiers ne rêvent que de statu quo. Il revenait donc à la DGCCRF de trancher le différend en avançant des pistes, sinon en imposant des mesures. Deux voies ont été évoquées : le remboursement et l'optionalité. Dans le premier cas, le consommateur achète un ordinateur sur lequel OS et logiciels sont pré-installés puis se tourne vers le distributeur pour se les faire rembourser. Dans l'autre, la machine est livrée avec des codes d'activation enfermés dans une enveloppe scellée ; l'acquéreur a donc le choix des logiciels qu'il utilisera. Cette solution obtient les faveurs de l'April car « elle poserait le moins de problèmes au consommateur », explique Jérémy Monnet, l'administrateur de l'association de promotion du logiciel libre. « Comme une voiture sans pneu » [[page]] Les industriels, en revanche, ne voient pas les choses du même oeil. Lors de la consultation organisée hier, les fabricants ont en effet botté en touche, estimant que ce concept d'optionalité était évoqué trop prématurément. « Ils se sont retranchés derrière des arguments fallacieux en prétextant qu'ils ne savaient pas que l'optionalité constituait une piste de réflexion et en réclamant du temps pour l'étudier », souligne Jérémy Monnet. Plutôt que de chercher des solutions profitables aux consommateurs, les constructeurs et distributeurs ont cherché à défendre la situation actuelle, en s'appuyant parfois sur un raisonnement peu convaincant. L'un des constructeurs aurait ainsi assuré que vendre un ordinateur sans logiciel serait une hérésie au même titre que proposer une voiture sans pneu. D'autres évoquaient les difficultés auxquelles ils seraient immanquablement confrontés si la mesure était imposée, promettant que les prix allaient doubler ou qu'il leur faudrait doubler le personnel dans les usines pour décoller les autocollants apposés sur les machines. « Face à tant de mauvaise foi, Bruno Parent, le directeur général de la CCRF, a clos la réunion rapidement », relate Jérémy Monnet. Et le patron de l'institution de rappeler que de nombreux procès sont en cours et vont coûter de l'argent aux industriels. S'il a accordé un délai de réflexion aux représentants de la distribution, il a également précisé qu'il n'est pas question d'attendre deux ans avant que l'Etat ne prenne ses responsabilités. Les industriels en restent sans voix En attendant que le gouvernement se décide à imposer le remboursement - peut-être pour la rentrée scolaire - ou l'optionalité, les hérauts du Libre continueront de faire le pressing. « Environ 50 procédures initiées par le groupe Racketiciel de l'Aful sont en cours. Dans un mois, on passe aux assignations : on va ainsi occuper des places dans les tribunaux au détriment de femmes battues ou d'autres citoyens attendant qu'un litige important soit jugé », menace l'April. Les industriels vont-ils se sentir contraints de revoir leurs positions et de respecter les dispositions du code de la Consommation proscrivant la vente liée ? S'il paraît probable que le choix ne leur sera pas laissé et que le remboursement leur sera imposé à brève échéance, il est cependant impossible d'obtenir confirmation de cette assertion. La DGCCRF n'a en effet pas souhaité répondre à nos question, nous expliquant qu'elle n'avait pas terminé ses réflexions, et tous les fabricants et distributeurs que nous avons tenté de contacter sont restés muets. (...)

(04/07/2008 16:33:31)

Google contraint de fournir les identifiants des utilisateurs de YouTube à Viacom

Le juge fédéral de New York a décidé hier d'obliger Google à fournir l'ensemble des informations concernant les vidéos diffusées sur YouTube, y compris celles qui ont été supprimées du site, ainsi que celles de leurs utilisateurs (identifiants et adresses IP). Cela correspond à 12 To de données. Cette décision de la cour intervient dans le cadre de la procédure judiciaire lancée en mars 2007 par Viacom, le géant des médias américains, contre YouTube et sa maison mère Google pour violation massive et intentionnelle du droit d'auteur. La cour a en revanche rejeté la demande de Viacom en ce qui concerne l'ouverture du code source de Video Identification, l'outil de filtrage vidéo lancé en octobre dernier, ainsi que l'accès aux algorithmes de recherche de Google. Viacom reproche à YouTube d'avoir diffusé 160 000 vidéos sans autorisation de sa part. Ces vidéos auraient été visionnées plus d'un milliard et demi de fois par les internautes. Viacom réclame un milliard de dollars de dommages et intérêts. En mars dernier, David Eun, vice-président des partenariats de contenu chez Google avait estimé que ce procès était infondé et constituait une attaque envers l'innovation sur Internet. Google s'est toutefois engagé à se conformer à l'ordonnance du tribunal, mais a demandé à Viacom de garder anonymes les identifiants, dans un souci de protection des données personnelles. Pour rappel, Google a ajouté aujourd'hui un lien à propos de sa politique de confidentialité sur sa page d'accueil. Une partie concerne d'ailleurs YouTube, mais pour le moment l'affaire Viacom n'y est pas mentionnée. (...)

(04/07/2008 15:46:03)

Les blogs institutionnels ennuient tout le monde

Forrester Research s'est penché sur la qualité éditoriale des blogs institutionnels des sociétés. Après avoir passé au crible 90 d'entre eux issus de sociétés du Fortune 500 dans le marché du BtoB, les conclusions du cabinet sont sans appel. Ces blogs ont échoué dans leur quête d'audience et ne suscitent parmi leurs rares lecteurs, que peu d'intérêt ou de réactions, lorsque celles-ci sont autorisées. On les comprend : 71% des sujets abordés portent sur des informations sans grand intérêt sur la société ou le secteur concerné, 16% seulement contiennent une touche personnelle et 56% "régurgitent" des discours déjà émis (communiqués de presse...). D'ailleurs, 53% des responsables marketing des entreprises concernées reconnaissent qu'ils ne tiennent pas compte de leurs blogs institutionnels dans leur stratégie de communication. (...)

(04/07/2008 12:56:32)

OpenText achète des outils de visualisation de fichiers CAO

L'éditeur canadien OpenText, spécialisé sur les solutions de gestion de contenus d'entreprise (ECM), vient d'acquérir la technologie de visualisation de fichiers de son compatriote Spicer Corporation pour 7,45 M€. Il récupère en particulier la gamme de produits Imagenation qui reconnaît des dizaines de formats différents parmi lesquels ceux produits par les principales applications de CAO (celles d'Autodesk, de Dassault Systèmes, de Solidworks, d'Intergraph...). Ces outils viendront compléter la suite ECM d'OpenText. Celle-ci comporte plusieurs déclinaisons métiers, dont l'une s'adresse notamment au secteur de la fabrication et a vocation à s'utiliser avec les solutions de conception et de gestion du cycle de vie des produits.

L'offre acquise comporte aussi des API qui facilitent l'intégration avec la solution de gestion collaborative Lotus Notes d'IBM. Une trentaine de collaborateurs de Spicer vont rejoindre OpenText. Parmi les fournisseurs de solutions documentaires, rappelons qu'Adobe vient de livrer la version 9 de son offre Acrobat Extended Pro qui comporte également des fonctions de visualisation avancée de fichiers de CAO.

(...)

(04/07/2008 12:48:00)

Google joue enfin la transparence sur sa politique de confidentialité

Google a rajouté en toute discrétion un petit lien sur sa page d'accueil, renvoyant sur une présentation de la notion de confidentialité vue par le célèbre moteur de recherche. Il s'agit souvent d'informations qui existaient déjà, mais qui étaient encore moins mises en évidence pour les internautes. Avec ce petit lien, Google se met en réalité au diapason avec une loi californienne datant de 2003, et qui impose à tout site collectant des données personnelles sur ses visiteurs de les en informer clairement. La présentation se divise en trois parties principales : les champs d'application, où Google détaille comment il recueille certaines informations personnelles ou utilise les cookies, en agrémentant ses explications de vidéos ; les utilisations qu'il peut faire de ces données (que ce soit dans un but commercial ou juridique) ; les choix enfin, dont dispose l'internaute, comme celui de modifier ou de supprimer certaines informations. Google saupoudre évidemment le tout d'une rasade de bonnes intentions : les informations personnelles sont utilisées dans le but d'offrir de meilleurs services ou de prévenir les fraudes, et si leur modification est autorisée, elle est toutefois vivement déconseillée, car « certaines fonctionnalités et certains services pourraient en pâtir ». Des détails sur les déclarations de confidentialité Google a également ajouté sur la gauche de la page « confidentialité » une série de liens détaillant les déclarations de confidentialité de certains de ses services (Gmail, Google Talk...) et filiales. Parmi elles on retrouve YouTube, actuellement au coeur d'un conflit qui oppose Google et Viacom, le géant des médias américains, qui lui reproche d'avoir autorisé le visionnage de 160 000 vidéos dont il est propriétaire. Le tribunal fédéral de New York vient d'obliger Google à fournir l'ensemble des données concernant les vidéos diffusées sur YouTube depuis sa création, y compris celles qui ont été supprimées. (...)

(04/07/2008 12:41:03)

La CFDT d'Alcatel-Lucent craint une casse sociale au sein des entités Multicore et Applications

Jeudi 26 juin, s'est tenue la réunion ordinaire semestrielle du comité de groupe France d'Alcatel Lucent. Elle a réuni les syndicats des filiales françaises et des représentants de la direction générale de l'équipementier. Selon la CFDT, le principal désaccord portait sur le rôle dévolu aux équipes françaises dans le groupe, sur le niveau d'emplois en France, les embauches et l'avenir des sites. D'après le syndicat, la direction du groupe mise sur la Chine, où une part importante des produits est développée et fabriquée Il cite pour exemple, le récent contrat TD LTE (norme chinoise pour la 4ème génération mobile) avec l'annonce du recrutement de 400 ingénieurs dans son centre de R&D. Alcatel-Lucent compterait également sur les Etats-Unis, « où les opérateurs ne voient que par les équipementiers implantés dans le pays », selon les termes utilisés par la CFDT. Et l'Europe dans tout cela ? En France, la plus grosse inquiétude viendrait à court terme des activités Multicore, qui traitent de toutes les technologies des réseaux télécoms de nouvelle génération NGN, IMS, et de la division Applications, qui déclinent année après année. Les salariés français sont très impliqués dans ces activités de coeur de réseau et s'attendent à une casse sociale pas encore annoncée mais imaginable. Baisse du niveau d'investissement de la R&D Quant aux prévisions 2008 d'Alcatel-Lucent, elles ne présagent rien de bon pour l'innovation du groupe. L'équipementier aurait ainsi décidé de revoir à la baisse le niveau d'investissement de sa R&D (15,9% du CA en 2007). Pour rappel, il mène actuellement de front deux plans sociaux. Annoncés en février 2007 et 2008, ils se solderont par la suppression de 12 500 postes dans le monde, dont quelque 1.800 emplois en France. (...)

(04/07/2008 07:38:10)

La région Paca, une manne pour l'emploi des informaticiens

Mer, montagne, soleil : la région Provence, Alpes et Côte d'Azur (Paca) bénéficie d'un environnement exceptionnel, et qui plus est, d'une situation économique plutôt satisfaisante. Dans une note sur les recrutements, l'Apec place Paca au 3e rang des régions françaises en nombre d'offres d'emploi cadre. Mieux, les entreprises de la région devraient recruter 12 900 cadres en 2008, selon les prévisions de l'Association. Les neuf pôles de compétitivité et la douzaine de filières que compte la région profitent, en toute logique, aux informaticiens. Locomotives de la région, les technologies de l'information et de la communication contribuent au développement de multiples activités dans le Sud de la France, dans l'électronique, la chimie finie ou les biotechnologies. La technopole Sophia-Antipolis, créée il y a 30 ans qui rassemble des universités, des laboratoires de recherche et des entreprises high-tech, en est le symbole. Les SSII sont fortement représentées dans cette zone d'activité : elles représentent près d'un tiers des entreprises situées à Sophia. S'y sont installés des grands groupes comme Sogeti, Steria, Bull ou Sopra Group. Dans l'informatique, des entreprises comme ST Microelectronics ou Texas instruments y sont également implantées. Un millier d'ingénieurs et de chercheurs pour le projet Iter Pour APC Recrutement, un cabinet de recrutement spécialisé dans l'emploi informatique en région Paca, 80% des profils recrutés à Sophia sont des ingénieurs hautement diplômés, de niveau bac +5 minimum. Amadeus, la plate-forme de réservations touristiques en ligne, recrute uniquement des diplômés de grandes écoles parfaitement bilingues. Mais d'une manière générale, les spécialistes les plus recherchés à Sophia interviennent dans l'informatique décisionnelle et la gestion de projet. Autre vecteur de recrutement pour l'ensemble de la région Paca, le projet Iter, prototype de réacteur nucléaire à fusion en cours de construction à Cadarache dans les Bouches-du-Rhône, et qui devrait être prêt en 2016 A terme, Iter devrait rassembler pas moins d'un millier de chercheurs et d'ingénieurs, spécialisés dans les sciences de la fusion, du plasma, de la cryogénie, mais aussi dans l'informatique, la gestion de projet ou l'électronique. (...)

(04/07/2008 07:38:08)

La facture du stockage explose

Au niveau mondial, le coût total du stockage en entreprise devrait passer de 1,3 Md$ cette année à 2 Md$ en 2009. IDC, qui estime que le coût des infrastructures de stockage augmente annuellement de 50%, prédit aussi que, chaque année, la facture énergétique (alimentation électrique et climatisation) progresse de 19%. Tout cela pousse encore plus les entreprises à optimiser leurs ressources de stockage. La crise énergétique qui s'installe pour durer doit les inciter à rechercher des équipements plus économiques. IDC prédit que les fournisseurs livreront, au cours des cinq à venir, huit fois les capacités qu'ils ont fournies au cours des onze dernières années. (...)

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