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(03/07/2008 15:04:00)

Solveig Romand (CT Partners) Vers les DSI : comment se faire chasser ?

Comment se prémunir ou anticiper quand un ''contrat'' est lancé pour le remplacer et, pour commencer, le savoir ou le deviner ? (...)

(03/07/2008 15:01:00)

Solveig Romand (CT Partners) Y-a-t-il une tendance siège éjectable pour les DSI en ce moment ?

Qu'est-ce qu'un ''bon'' DSI ? (...)

(03/07/2008 14:52:00)

Solveig Romand (CT Partners) Présentation du cabinet et la pratique de la chasse de tête

(...)

(02/07/2008 18:37:55)

Michel Serres aux informaticiens : «Inventez !»

Le but de l'Université du SI, a expliqué François Hisquin, PDG d'Octo, est de rassembler directions informatiques (le parcours « boss ») et développeurs (parcours « geek ») pour une vision d'ensemble du système d'informations et des innovations à lui apporter. Avant ces parcours aux thèmes plus ou moins techniques, le philosophe Michel Serres était invité à donner le coup d'envoi de l'événement en proposant une définition de l'innovation. « Réponse : je ne sais pas. Et les gens qui prétendent le savoir seraient à la fois Moïse, Jésus-Christ, Einstein... » Le philosophe a toutefois suggéré une piste : l'innovation consisterait à « découvrir une source de totipotence » (En biologie, la totipotence est la qualité d'une cellule capable de devenir n'importe quelle cellule spécialisée)

La révolution informatique assimilée à l'invention de l'écriture et à celle de l'imprimerie

Michel Serres s'appuie sur un raisonnement en trois points, qui explorent chacun à leur façon l'impact de l'informatique sur notre société. D'abord l'impact sur le temps. Pour Michel Serres, les grandes révolutions de l'histoire ne sont pas celles des sciences et techniques - qu'il assimile au « hard », par analogie avec l'informatique -, comme la révolution industrielle, mais celles du « soft » : les signes inscrits sur un support, autrement dit liés à l'écriture. Et de pointer le fait que l'invention de l'écriture a fait passer l'humanité de la préhistoire à l'histoire, et a ouvert la voie à de nombreuses inventions : le droit, les villes, la monnaie, la religion du Livre, la géométrie... « A la Renaissance, avec l'imprimerie, il y a eu le même type de révolution », a-t-il souligné, mentionnant les progrès de la science, les débuts du capitalisme, la Réforme, etc. Avec l'apparition de l'ordinateur et d'Internet, « aujourd'hui il en est de même : cela touche le droit, le commerce est accéléré, les associations humaines transformées, les sciences ont fait des progrès considérables... »

Un espace aux distances abolies

Deuxième partie de l'argumentation, l'informatique bouleverse la notion d'espace. Chacun, a expliqué Michel Serres, possède une adresse, ce qui signifie, selon l'étymologie latine, « un espace de droit ». « Mais aujourd'hui, on ne reçoit quasiment plus rien à cette adresse. Nos vraies adresses, ce sont le courriel et le téléphone mobile ; il s'agit de codes qui n'ont rien à voir avec du dur [hard]. » Pour Michel Serres, nous vivons dans un espace topologique, qui n'a pas de notion de distance. « Nous vivons dans un espace dont nous n'avons pas conscience de la nouveauté », a fait valoir le philosophe. Qui explique qu'il faut donc inventer un nouveau droit pour cet espace. Démonstration étayée par une anecdote : il fut un temps, a-t-il raconté, où les forêts étaient des espaces de non-droit, très dangereuses, donc. Puis un jour, quelqu'un a mis de l'ordre de l'ordre dans la forêt de Sherwood. Robin des Bois, dont la signification étymologique serait : le magistrat (porteur de robe, ou Robin) ayant inventé un droit dans un espace de non-droit.

Les capacités cognitives littéralement à portée de main

Troisième et dernier point, le philosophe s'interroge sur le cognitif. Pour lui, les hommes ont perdu la mémoire. Au fur et à mesure des inventions telles que l'écriture, l'imprimerie et aujourd'hui l'informatisation, une de nos capacités cognitives, celle de pouvoir mémoriser les choses, s'est évanouie, estime Michel Serres. Toutefois, poursuit-il, ce peut être un mal pour un bien. Citant un de ses professeurs, il a rappelé que l'ancêtre de l'homme était un quadrupède. Ses bras ont perdu la fonction de portage, « mais il y a gagné un instrument multipotent, la main ! » De même, « le museau a perdu sa faculté de préhension, mais il a gagné une fonction multipotente : la capacité de parler ». « Chaque perte de la mémoire, note Michel Serres, s'est accompagnée de grandes évolutions. Aujourd'hui, qu'allons-nous gagner ? » Cette question se posait en fait directement aux 250 à 300 personnes présentes dans la salle, que le philosophe a mis en face de leurs responsabilités : devant elles, l'ordinateur représente l'ensemble de leurs facultés cognitives. « Tout est là sur votre table, a-t-il conclu. Vous n'avez plus qu'à inventer. »

(Note de l'auteur : merci à Didier Girard pour la photo de Michel Serres)
(...)

(02/07/2008 17:59:01)

5000 pages pour prouver la volonté d'interopérabilité de Microsoft

Microsoft commence à traduire dans les faits l'injonction de la Commission européenne à ouvrir ses produits. Il met ainsi à disposition 5000 pages de documentation, ce qui s'inscrit dans la nouvelle politique d'ouverture qu'il a annoncée en février. L'objectif officiel ? Simplifier les échanges de données à partir de ses logiciels et faciliter la vie aux éditeurs tiers. L'éditeur entretient deux fers au feu. D'un côté, la compatibilité entre OOXML, le format natif d'Office 2007, et de l'autre, des formats comme html et ODF, le format bureautique qui fut le premier a accédé au rang de standard international. Microsoft avait déjà promis le support d'ODF par Office 2007 dans un Service Pack programmé pour début 2009. La commission avait déjà rejeté ce genre de documents indigestes L'éditeur de Redmond a aussi publié la version 1.0 de sa documentation technique sur les protocoles pour s'interfacer avec les logiciels d'Office et les serveurs Office SharePoint Server 2007 et Exchange Server 2007. A eux seuls, les documents concernant les anciens formats d'Office totalisent la bagatelle de 5000 pages. Dans son bras de fer avec Microsoft pour l'obliger à ouvrir ses logiciels, la Commission européenne a déjà rejeté ce type de documents censé prouver la bonne foi de Microsoft. Les commissaires européens avaient jugé les 30 000 pages de documentation sur les systèmes d'exploitation trop indigestes pour être utiles. Les dernières estimations portent sur un total de 50 000 pages à lire pour s'interfacer avec les produits Microsoft... A noter que certains observateurs ne peuvent s'empêcher de considérer ces annonces d'ouverture de la part de Microsoft comme des retombées positives de la position intransigeante de la Commission européenne sur le maintien de l'interopérabilité des systèmes. (...)

(02/07/2008 17:38:42)

Microsoft tente un retour dans le supercalcul

HPC Server 2008, version de Windows Server 2008 destinée au calcul haute performance, pourrait enfin permettre à Microsoft de rentrer sur le créneau des supercalculateurs. Pour l'instant, il se contente d'y faire de la figuration. Sa première Release Candidate (RC) réduit à 2 millisecondes le temps de latence entre les noeuds qui communiquent à 2 Gbits/s en Infiniband. Une performance clé pour ce type de systèmes distribués. Microsoft parvient à l'atteindre grâce à la technologie NetworkDirect Remote Data Memory Access (RDMA), codéveloppée avec Mellanox Technologies. Il a amélioré le nombre de noeuds gérés (plusieurs milliers), le dispositif de répartition de charge et les outils de maintenance. La version finale d' HPC Server 2008 est attendue pour la fin de l'année. Microsoft est entré dans l'univers du HPC (High performance computing) avec Windows Compute Cluster Server en 2006, mais n'est jamais parvenu à percer. Fin 2006, tous les systèmes sous Windows avaient ainsi disparu du classement du Top 500 , qui recense les 500 plus grands systèmes de la planète, au grand dam de l'éditeur. Un système à la 23ème place du Top500 Depuis, l'éditeur de Redmond s'échine à revenir sur un créneau aussi prestigieux que lucratif. Dans le trente et unième classement semestriel du Top 500 qui vient de paraître, on ne trouve encore que 5 systèmes sous Windows, soit 1% contre 427 calculateurs (85,4%) animés par Linux. Mais sur les 5 machines Windows, 3 utilisent déjà HPC Server 2008 et celle du NCSA se place 23ème sur un système Dell d'un total de 9600 processeurs. (...)

(02/07/2008 17:15:35)

Microsoft cherche des partenaires pour s'emparer de Yahoo

Quand c'est fini, ça recommence. L'inextinguible roman-fleuve Yahoo/Microsoft, qu'on a cru terminé à de multiples reprises, rebondit une nouvelle fois. Selon le Wall Street Journal, Microsoft, toujours aussi pugnace, chercherait désormais des partenaires pour mettre la main sur Yahoo. Parmi ceux-ci, le WSJ cite Time Warner et News Corp., des noms déjà évoqués dans ce dossier au cours des mois précédents pour avoir été approchés par...Yahoo. Selon nos confrères américains, le géant du logiciel souhaiterait s'emparer des activités de recherche du portail, laissant le reste des activités à son futur partenaire, idéalement un spécialiste des médias. Steve Ballmer, le patron de Microsoft, aurait même convenu d'une réunion avec Roy Bostock, président de Yahoo. Prévu pour lundi dernier, cet entretien aurait finalement été annulé. Le même jour, Yahoo avait fait parvenir à ses actionnaires une présentation de 32 pages résumant sa vision de tout l'historique de la négociation avec Microsoft depuis février, tout en défendant la stratégie de l'entreprise vis à vis de la proposition du numéro un du logiciel. Stratégie qui a conduit au refus de l'offre. La présentation de Yahoo qualifiait également de « mauvaise réponse » la suggestion de Carl Icahn de reprendre les négociations avec Microsoft. L'une des pages jetait même le discrédit sur le milliardaire en listant 15 entreprises dans lequel il a récemment investi et dont la plupart ont vu leur action baisser. (...)

(02/07/2008 12:00:28)

Dassault Systèmes transforme sa division commerciale PME en revendeur

Depuis 2006, le numéro un mondial du PLM Dassault Systèmes a récupéré d'entre les mains d'IBM toute la distribution de son offre. Aujourd'hui, il met la dernière touche à l'organisation de son réseau indirect à destination des PME en transformant sa division interne en une société de vente indépendante. Dassault Systèmes Solutions France devient ainsi Keonys. Cette opération entérine un fonctionnement déjà ancien, puisque la direction travaillait déjà pratiquement comme un revendeur à valeur ajoutée (VAR) quand la distribution aux PME était assurée par IBM. Jean-Yves Yung, à la tête de la division, devient président de Keonys et conserve l'équipe actuelle de 120 personnes situées en France, en Belgique et au Luxembourg. Dassault Systèmes et la nouvelle société Keonys ont signé un accord « General VAR Agreement » qui donne à la firme un statut de VAR. Comme les autres membres du réseau commercial, elle pourra revendre l'ensemble des marques de l'éditeur : Catia, Delmia, Enovia et 3dvia en France, en Belgique et au Luxembourg à destination des PME. Elle sera en outre l'un des premiers distributeurs du numéro un mondial du PLM à déployer la V6 de l'offre. (...)

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