Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14421 à 14430.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(03/07/2008 12:46:51)
L'accord Yahoo/Google sous la loupe de la justice américaine
Le ministère américain de la Justice a lancé hier, mercredi 2 juillet, une enquête sur le partenariat entre Yahoo et Google, annoncé en juin dernier (quelques heures après le refus de l'offre de rachat faite par Microsoft). Cet accord prévoit l'affichage de publicités en provenance de Google sur les pages de résultats de Yahoo. Le DoJ (Department of Justice) sera chargé de vérifier si cette alliance ne bafoue pas les droits de la concurrence et ne lèse pas le consommateur. Microsoft avait été le premier à s'insurger contre ce rapprochement (qui devait initialement durer deux semaines), en le qualifiant d' « anticoncurrentiel sur le marché de la publicité en ligne », déjà largement accaparé par le mammouth Google. De son côté, Yahoo a du affronter le scepticisme, voire la colère de certains actionnaires - le milliardaire Carl Icahn en tête -, qui auraient préféré que Jerry Yang, PDG de la société, accepte l'offre de rachat de Microsoft pour 44,6 Md$. Jerry Yang et Roy Bostock, président de Yahoo, ont expliqué à leurs actionnaires les raisons de ce refus, ainsi que les bénéfices qu'apporterait l'accord avec Google. Selon eux, celui-ci devrait générer un revenu compris entre 250 et 450 M$ dès la première année, puis 800 M$ par an. (...)
(03/07/2008 12:35:09)L'éditeur de l'ESB Open Source Mule s'attaque à la gouvernance SOA
« Nos clients avaient besoin d'un outil pour gérer leurs services, s'assurer que les déploiements soient conformes à certaines règles... » Ross Mason, cofondateur et directeur technique de Mulesource, est à Paris cette semaine, à l'invitation d'Octo Technology, pour son Université du SI, et de son partenaire sur le marché français, la SSII Ippon Technologies. Le créateur de l'ESB Open Source Mule en a profité pour vanter son tout nouveau produit, Galaxy, un annuaire de services présenté comme un outil de gouvernance des SOA (architectures orientées services). Tout comme le bus de services d'entreprise Mule, Galaxy existe en deux versions : une 'Community Edition', Open Source, sortie en janvier dernier, et une 'Enterprise Edition', commercialisée, qui est sortie lundi dernier. Cette édition de Galaxy fournit des services de haute disponibilité, un moteur de recherche de services, la capacité de stocker des documents bureautiques décrivant les services, ou encore la capacité à gérer les changements de version. Cette dernière fonction est particulièrement appréciable lorsque le nombre de services passant par l'ESB augmente. Une entreprise peut ainsi rendre obligatoire le déploiement des services à partir de l'annuaire, afin d'éviter les conflits de versions et garder une trace claire des événements. Pour Ross Mason, il s'agit de la première offre de gouvernance des SOA en Open Source. Plus prosaïquement, il s'agit d'un ajout essentiel à l'ESB, nous a expliqué Ross Mason, « à un prix abordable pour la grande majorité des utilisateurs ». (...)
(03/07/2008 12:18:08)La v5 du serveur d'applications JBoss conforme à OSGI
La version 5 du serveur d'applications Java Open Source JBoss sera disponible dans quelques semaines. Sacha Labourey, le directeur technique de l'entité middleware de Red Hat, a expliqué sur son blog qu'une première version potentiellement commercialisable (RC1) sortait et qu'une seconde devait venir d'ici 6 à 7 semaines, la version finale (commercialisable, celle-ci) étant attendue ensuite. Sacha Labourey insiste sur le côté modulaire de JBoss 5. Pour preuve, le serveur d'applications adopte désormais sur les spécifications OSGI, le système de connexion de composants logiciels écrits en Java (qui forme déjà la base de l'atelier Eclipse, par exemple). Le découpage se poursuit avec un « microcontainer » qui laisse les utilisateurs choisir les API, langages et services qu'ils souhaitent utiliser. [MAJ : voir les précisions en commentaires] Autrement dit, quels que soient les choix techniques futurs, JBoss 5 devrait pouvoir s'en accommoder. « Cette nouvelle architecture signifie que votre investissement dans JBoss est à long terme », conclut Sacha Labourey. (...)
(03/07/2008 11:07:01)Avec Equipt, Microsoft va proposer Office sur abonnement
Equipt. C'est le nom qu'a choisi Microsoft pour baptiser sa prochaine suite logicielle contenant notamment Office, qui sera proposée sous forme d'abonnement. Dans les cartons de l'éditeur depuis plusieurs mois et désigné jusqu'alors sous le nom de code Albany, le produit illustre la volonté de Microsoft d'investir le champ des offres S+S (software et services) dans le domaine de la bureautique : le pack logiciel rassemble en effet Office Famille et Etudiant 2007, Windows Live Care, Office Live Workspace, Live Mail, Live Messenger et Live Photo. Soit une panoplie d'outils accessibles à la fois en local - pour les briques bureautiques et de sécurité - et en mode hébergé pour les autres services. 70 dollars par an Autre nouveauté, Microsoft s'adresse aux consommateurs en leur proposant une offre sous forme d'abonnement. Il faudra ainsi débourser 69,99 $ annuels pour avoir accès à Equipt, conçu pour aider les consommateurs à « équiper leur PC des services de base », selon Bryson Gordon, chef de produit Office. Le produit sera disponible à partir du 15 juillet aux Etats-Unis, puis rapidement dans d'autres pays. Le montant de son abonnement a été déterminé par ceux de Windows Live OneCare - 49,99 $ par an - et de la licence Office Famille et Etudiant - 149,99 $. Une batterie de bêta testeurs, qui a dû signer une clause de non divulgation, a également participé à la fixation du prix de l'abonnement. Ne pas laisser trop de latitude aux autres offres [[page]] Il ne fait guère de doute que Microsoft, en lançant Equipt, cherche à ne pas laisser trop de latitude aux offres bureautiques concurrentes hébergées, comme Google Docs ou Zoho, ou en mode local, comme OpenOffice ou Lotus Symphony. Autant de produits peu dispendieux, voire la plupart du temps gratuits. L'initiative sera-t-elle couronnée de succès ? Si l'on en croit Louis Naugès, le président de Revevol, la réponse ne fait guère de doute : c'est non. Il nous indiquait ainsi en janvier que le couple services en ligne / client local « est mort. Microsoft continuera à traîner des pieds pour le faire perdurer et ne pas tirer un trait sur les marges énormes issues d'Office. S'il bouge, l'éditeur crédibilise le concept [du tout hébergé, NDLR] sur lequel il n'est pas le meilleur. » Chez Microsoft, on minimise bien entendu cette volonté de concurrencer les Google Docs et autres Symphony. Pour Bryson Gordon, l'idée est plutôt de s'adresser aux consommateurs désireux d'acquérir une suite de sécurité - comme Live OneCare - mais qui pourraient renoncer à acheter Office pour continuer à utiliser une version antérieure, voire piratée, de la suite bureautique. « Nous avons diminué le prix du ticket d'entrée », résume le chef de produit. (...)
(03/07/2008 09:54:45)Un vice-président de HP inculpé pour vol d'informations confidentielles d'IBM
Viré pour avoir volé les secrets... d'un concurrent. HP a mis fin à la carrière d'Atul Malhotra, le vice-président de sa division Imaging and printing, inculpé la semaine dernière pour le vol présumé de secrets commerciaux de son ex-employeur, IBM. De 1997 à 2006, Atul Malhotra occupait un poste de directeur des ventes au sein de la division Imprimante d'IBM. En mars 2006, encore au service d'IBM, il aurait demandé que lui soit remis un document contenant des informations confidentielles relatives à la facturation de certains services de son employeur, selon le Wall Street Journal. En mai 2006, Atul Malhotra rejoint les équipes de HP et, le mois suivant, entreprend d'envoyer un courriel à deux de ses vice-présidents sénior. S'il avait probablement pour dessein de satisfaire sa hiérarchie, le tribunal américain de San Jose lui reproche d'avoir joint à son envoi le document confidentiel récupéré quelques mois plus tôt chez IBM. L'objet des emails contenait certes la mention « seulement pour vos yeux », mais les destinataires n'ont pas fait preuve de la discrétion certainement espérée par Atul Malhotra. Ils se sont ainsi empressés de faire part de l'indélicatesse de leur récent collègue à la justice et à IBM. HP, qui cherche à se poser en champion de l'éthique après le scandale d'espionnage ayant éclaboussé ses plus hautes sphères en 2006, indique avoir ouvert une enquête interne aussitôt après que les faits lui ont été révélés. Le groupe assure avoir « pleinement coopéré avec l'enquête gouvernementale » pour faire la lumière sur des agissements « en totale contradiction avec ses principes de gouvernance ». (...)
(03/07/2008 09:03:54)IBM réduit la concurrence sur le mainframe en rachetant PSI
IBM rachète finalement Platform Solutions (PSI), constructeur de mainframes compatibles, mettant ainsi terme à une bataille juridique entre les deux firmes entamée en novembre 2006. A l'époque, IBM avait intenté une action contre PSI pour contrefaçon de brevet. Le californien propose en des machines à base de processeurs Intel capables d'exécuter Unix, Linux, Windows mais surtout le système d'exploitation z des mainframes d'IBM... De quoi agacer Big Blue. Dès janvier 2007, PSI a contre-attaqué, accusant à son tour IBM de violation des lois antitrust et concurrence déloyale. L'association Computer and Communications Industry Association (CCIA), qui réunit des dirigeants seniors de l'industrie IT américaine pour la promotion d'environnements ouverts, a déploré cette acquisition. Selon elle, il s'agit pour IBM d'un moyen d'avaler un de ses concurrents les plus significatifs sur le marché du mainframe. PSI était en effet un des survivants crédibles du marché un temps florissant des mainframes compatibles. Il faut dire que ses fondateurs sont issus d'Amdahl, un des ex-géants du secteur. « Une acquisition qui conduira à une domination totale d'IBM » «Cette acquisition est comme un « trou noir, s'est ému Ed Black, président de la CCIA, dans un communiqué. Elle aspire toute la vie qui vient de ce marché et en détruit la matière. » Cette opération transforme un marché avec un vrai potentiel concurrentiel en un marché « avec de très faibles perspectives pour autre chose qu'une domination totale d'IBM ». Les termes financiers du rachat n'ont pas été dévoilés. Et son montant pourrait rester sous le seuil qui impose une revue obligatoire par les autorités de régulation antitrust européennes et américaine. Mais la CCIA encourage ces institutions sur les deux continents à bien étudier l'impact potentiel de cette vente sur le marché des grands systèmes. Plusieurs menaces de plaintes pour situation monopolistique planent encore sur IBM, provenant du département de la justice américain mais aussi de T3 Technologies, un autre vendeur de mainframes. Pour IBM, un moyen de renforcer la compétitivité de ses grands systèmes Pour répondre à la CCIA, Tim Breuer, porte-parole d'IBM, a rappelé qu'IBM avait ouvert ses mainframes en y accueillant Linux et Java ainsi qu'un grand nombre d'applications du marché. Selon lui, « IBM évolue dans un marché mondial très concurrentiel avec une grande variété de plateformes proposées par d'autres acteurs. L'acquisition de PSI est un moyen de renforcer la compétitivité de nos grands systèmes vis à vis de ces environnements. » Selon le Gartner, le marché global des mainframes dans le monde (incluant IBM mais aussi Unisys, Siemens, et les autres...) aurait perdu près de 12% en valeur l'an dernier. Politiquement correctes, les deux firmes ont exprimé leur satisfaction liée à cet acquisition. (...)
(03/07/2008 09:04:28)Avec Select Plus, Microsoft veut simplifier l'achat de licences en volume
Microsoft veut amener les entreprises à recourir plus largement à l'achat de licences en volume. Le modèle qu'il a imaginé pour les faire aller dans ce sens sera officialisé la semaine prochaine aux Etats-Unis, lors de sa conférence partenaires annuelle. Concrètement, il s'agit de proposer aux clients dotés de 250 postes et plus un nouveau type de contrat baptisé Select Plus. Sa mise en oeuvre en octobre prochain marquera une évolution du programme Select, le système d'achat massif de licences de Microsoft qui cohabitera avec Select Plus. Ce dernier permet aux entreprises de rassembler facilement l'ensemble de leurs achats de licences, qu'ils soient effectués par plusieurs de leurs département ou filiales, dans un seul contrat afin d'accroître leur niveau de remise. A l'heure actuelle, l'éditeur catégorise les entreprises selon leur niveau d'achat pour leur attribuer des rabais qui varient de 10 à 25%. Select Plus peut en outre être conclu sans date d'expiration, épargnant ainsi aux entreprises de devoir s'engager au bout de trois ans dans des négociations avec l'éditeur. Outre ces premiers avantages, Select Plus apporte aussi une avancée au niveau du seuil d'accès au programme d'achat de licences en volume de Microsoft. Avec Select, les entreprises doivent s'engager à réaliser un niveau d'achat minimum correspondant à 1500 points par famille de produit selon le système de comptage de Microsoft. Dans le cadre de Select Plus, ce seuil est ramené à 500 points. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |