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(09/04/2008 17:19:38)

Rumeurs de rachat autour de Citrix

La hausse spectaculaire du cours de l'action Citrix (de 30,60 dollars à 32,94 dollars) au Nasdaq hier a de quoi surprendre. « L'action a pris deux dollars, ce qui est plutôt rare. Il y a beaucoup de bavardages sur le marché, » affirme Jeff Gavin, analyste financier chez Avian Securities. Pour lui, les rumeurs autour d'un éventuel rachat de Citrix par IBM ou Cisco ne sont pas étrangères à cette évolution. « Nous ne savons pas si ces rumeurs sont fondées, mais elles sont sensées, » explique-t-il. « Nous pensons que Citrix, notamment depuis qu'il a racheté XenSource, est devenu une véritable menace pour VMware. » Et qu'il serait donc susceptible d'attirer la convoitise d'un des deux géants qui voudrait s'aventurer sur le marché de la virtualisation. Prudence, toutefois En revanche, s'il l'on avait déjà envisagé un rachat par Microsoft après l'absorption de XenSource par Citrix, l'éditeur de Windows n'est plus sur la liste des acquéreurs potentiels. Pour Jeff Gavin, Microsoft est déjà occupé à racheter Yahoo, il a son propre hyperviseur et « il préfère conserver Cisco comme partenaire. » Pour un autre analyste financier, qui tient à rester anonyme, l'acheteur le plus naturel serait IBM qui a « davantage de connexions avec l'activité principale de Citrix. » Il reste toutefois prudent en soulignant qu'il y a déjà eu de nombreuses rumeurs de rachats autour des spécialistes de la virtualisation en raison de la consolidation croissante de ce marché. Et de conclure : « Je n'ai aucune raison de croire ces rumeurs. » (...)

(09/04/2008 17:19:15)

Face à Microsoft, Yahoo reçoit le soutien d'un gros actionnaire

Nouvel épisode dans la saga Yahoo/Microsoft. La future mariée est décidée à résister. Après les échanges de quelques lettres croustillantes, oscillant entre propositions mielleuses, menaces et ultimatum, Yahoo a refusé l'offre d'achat de Microsoft, estimant qu'elle « sous-évalue la société ». Elle trouve aujourd'hui le soutien de poids de son deuxième actionnaire, la société Legg Mason, qui n'entend pas faire baisser le prix, voire chercherait même à l'augmenter. D'après le Wall Street Journal, Ben Miller, en charge du dossier, est prêt à aller jusqu'à s'engager dans un proxy fight (littéralement bataille de mandats, ce mécanisme consiste à obtenir les procurations des actionnaires de l'entreprise cible afin de peser davantage lors des votes en assemblée générale, et de modifier la composition du conseil d'administration), si Microsoft ne revoit pas son offre à la hausse. Toujours aussi placide et en marge de l'OPA de Microsoft, Yahoo a annoncé le rachat de la société de services Web Indextools. Située aux Etats-Unis et en Hongrie, cette entreprise développe des outils de mesure et d'analyse et d'audit de trafic Internet. (...)

(09/04/2008 17:13:02)

Mandriva sort sa distribution de printemps

Le distributeur français Mandriva vient de lancer sa nouvelle version majeur, la Linux 2008 Spring. Plutôt destinée à l'utilisateur final, cette distribution se veut encore plus simple à installer et à utiliser. Le bureau a été entièrement remanié pour adopter un look proche de Mac OS X. RPMdrake, le gestionnaire de paquets gagne en rapidité. Codeina (pour la gestion des codecs) et Elisa (le gestionnaire de fichiers multimédia) simplifient l'usage d'un PC sous Mandrake comme Media Center. Et Coherence permet de partager sans configuration préalable, les fichiers multimédia de l'ordinateur avec un autre PC, une console de jeu ou un media center. Pour les pros, Linux 2008 Spring permet de synchroniser ses smartphones et PDA avec le bureau Gnome ou KDE qu'ils soient de type Windows Mobile, Blackberry ou Nokia. Téléchargeable gratuitement sur le site, la Mandriva Linux 2008 Spring est aussi commercialisée en boîte à 69 euros (59 euros pour la version sur un DVD). (...)

(09/04/2008 16:22:22)

Microsoft dévoile 14 000 pages de code

Toujours dans la ligne de mire de la Commission européenne, Microsoft tente d'apaiser Bruxelles dans le cadre de sa condamnation pour abus de position dominante. En février dernier, l'éditeur entamait donc un processus d'ouverture, rendant public certains documents afin de faciliter l'interopérabilité de ses produits avec ceux de la concurrence. La première étape du processus a pris forme mardi avec la publication de 14 000 pages de documentation concernant ses produits Office 2007 (suite bureautique), Office SharePoint Server 2007 (portail et outils de collaboration) et Exchange Server 2007 (messagerie). Au total, Microsoft en serait à 44 000 pages de documentation livrées sur ses interfaces de programmation (API) et les formats d'Office (OpenXML) et l'éditeur prévoit également, à terme, de dévoiler le code de protocoles sur Windows, client et Server. Une seconde phase, d'ici à juin 2008, devrait permettre à Microsoft de recueillir des retours et commentaires des développeurs. Fin juin, troisième et dernière étape du processus, Microsoft prévoit de fournir des versions définitives, enrichies des commentaires collectés et accompagnées des licences d'utilisation. Insuffisant pour l'April Pour l'April, principale association de promotion et de défense des logiciels non propriétaires, le processus reste insuffisant. Et ce, malgré les engagements pris par Microsoft de ne pas attaquer les développeurs de la communauté qui utilisent ses protocoles, l'éditeur se contentant de réclamer un accord de licence si les produits développés font l'objet d'une exploitation commerciale. Quoi qu'en pense l'April, le mouvement vers l'ouverture et la publication de documentation technique est bien amorcé chez Microsoft. Il devrait même se prolonger avec la prochaine version de Windows Live Messenger qui sera pour la première fois multiplateforme et compatible avec GTalk, ICQ et AIM, Yahoo Messenger étant déjà accepté. Ce mouvement d'ouverture ne date d'ailleurs pas de la pression exercée par la Commission européenne, les développeurs et les entreprises pouvant, par exemple, accéder de longue date au code de Windows, mais sous certaines réserves. De fait, face à la tendance Open Source et à la pression du marché, l'éditeur peut difficilement s'isoler avec des logiciels propriétaires et incompatibles. De là à vouloir faire de Microsoft une société Open Source, il y a peut-être un pas que l'éditeur ne souhaite sûrement pas franchir... (...)

(09/04/2008 15:55:15)

EDS a racheté une SSII britannique spécialisée sur la sécurité

La SSII américaine EDS vient d'acquérir la Britannique Vistorm Holdings, société de services spécialisée dans l'administration de la sécurité informatique et la protection de l'information. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Vistorm gardera son autonomie et sera dirigée par son équipe actuelle. Cette société créée en 1991 emploie 220 personnes outre-Manche et réalise un chiffre d'affaires d'environ 100 M$. EDS a indiqué qu'il fusionnerait ses ressources investies dans la sécurité au Royaume-Uni avec celles de cette nouvelle entité. L'Américain regroupera ainsi 400 personnes pour couvrir la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) sur un marché de la sécurité qu'il juge « stratégique et prioritaire » pour lui à l'échelle mondiale. En 2007, EDS a réalisé un chiffre d'affaires de 22,13 Md$ en 2007. Elle emploie 138 000 personnes dans le monde. (...)

(09/04/2008 10:33:33)

EMC croque Iomega pour 213 M$

[mise à jour] Le spécialiste américain du stockage EMC a, comme prévu, scellé le rachat de son compatriote Iomega, ce qui lui permettra d'étendre son offre sur le marché des petites entreprises et des particuliers. La transaction s'est effectuée en numéraire pour un montant de 213 millions de dollars. EMC souligne l'intérêt d'accueillir une marque qui dispose d'une belle notoriété et de bénéficier de la connaissance du marché grand public acquise par Iomega. Ce dernier constituera le coeur d'une nouvelle division centrée sur les produits grand public et PME/TPE, une entité qui vendra aussi ses logiciels Retrospect et LifeLine pour la sauvegarde des données et la gestion du stockage. Iomega est surtout connu pour ses périphériques de stockage Zip et Rev. Il commercialise également des serveurs de stockage et des services en ligne. Mi-mars, EMC avait manifesté son intérêt pour le fournisseur en proposant 3,25 dollars par action, offre qu'il avait ensuite relevée à 3,75dollars. Le montant définitif sur lequel les deux entreprises se sont mis d'accord valorise l'action à 3,85 dollars. L'acquisition devrait être finalisée au deuxième trimestre. Iomega abandonne le rachat d'ExcelStor Jonathan Huberman, PDG de Iomega, voit dans ce rachat l'opportunité de mieux diffuser ses produits sur le marché professionnel. L'entreprise qu'il dirige emploie 250 personnes. Elle conservera ses locaux de San Diego (Californie). Il est encore trop tôt pour parler des licenciements qui pourraient résulter de la transaction, précise Jonathan Huberman, tout en ajoutant que le nombre de personnes travaillant sur les produits Iomega pourrait, à terme, augmenter. En acceptant le rachat d'EMC, Iomega abandonne le projet d'acquisition de son partenaire chinois ExcelStor Great Wall Technology. Ce dernier, fondé en 2001 par des cadres de Seagate et Counter Peripherals, a fabriqué depuis 2004 certains disques durs externes de Iomega, ainsi que les produits Rev, et vend également ses propres produits de stockage. « Iomega ne peut s'engager que dans une seule transaction et l'offre faite par EMC va dans le sens des intérêts de nos actionnaires », indique John Huberman. L'abandon de ce projet a conduit Iomega à verser 7,5 M$ à ExcelStor. (...)

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