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(09/04/2008 09:56:04)
2 000 postes menacés par le rapprochement SFR-Neuf Cegetel
Le rachat par SFR de Neuf Cegetel pourrait entraîner dans son sillage de lourdes suppressions d'emplois. C'est du moins ce qui est à craindre selon la Lettre de l'Expansion, qui, sans préciser l'origine de l'information, indique que l'acquisition de l'ensemble des parts du groupe Louis Dreyfus dans Neuf Cegetel par SFR risque de se traduire par la disparition de 2 000 postes. Un plan qui concernerait 600 salariés de SFR oeuvrant pour le déploiement des antennes GSM et 1 400 autres répartis au sein des services clients des deux entités. Aussitôt après la diffusion de ce qui n'est encore qu'une rumeur, SFR s'empressait d'apporter sa réponse, sous la forme d'un démenti catégorique : « Aucun plan de licenciement n'est envisagé et aucun objectif de réduction d'effectif n'est fixé », assure l'opérateur. SFR a pourtant présenté, le 26 mars en comité central d'entreprise, un accord de méthode prévoyant un plan de départs volontaires, qualifié de « plan social déguisé » par la CGT. Dans son communiqué publié en début de semaine, le futur propriétaire de Neuf Cegetel assure cependant que « le dialogue social est permanent au sein de l'entreprise et se poursuit conformément aux pratiques d'ouverture et de concertation en vigueur chez SFR. » (...)
(09/04/2008 09:26:59)4e licence 3G : de la vente à l'encan à la vente à la découpe
Alors que l'annonce de la mise aux enchères de la quatrième licence 3G semblait imminente, le gouvernement pourrait s'engager dans une autre voie et choisir de ne pas voir apparaître un quatrième opérateur UMTS. Selon les informations de la Tribune, la vente à l'encan de la licence pourrait en effet céder la place à une vente à la découpe, permettant à plusieurs acteurs de prendre part au marché de la 3G aux côtés du triumvirat SFR-Orange-Bouygues. Un trio - condamné en 2005 pour entente illicite - peu désireux de voir débarquer un concurrent de poids à ses côtés. Iliad semblait pourtant proche de décrocher la quatrième licence. En février, le Conseil d'Etat rendait ainsi un avis favorable à l'attribution du sésame à Free - filiale d'Iliad. Le juge administratif prenait à contre-pied l'Arcep, qui avait refusé, en octobre 2007, de délivrer la licence au groupe de Xavier Niel en raison de sa volonté d'en étaler le paiement. Si la décision de Matignon - prise à l'Elysée, selon la Tribune - de découper la quatrième licence était confirmée, Iliad pourrait tirer un trait sur ses ambitions de devenir un géant sur le marché de la mobilité. Et il en irait de même pour l'ensemble des opérateurs, placés de fait dans l'impossibilité de faire de l'ombre au trio SFR-Orange-Bouygues. Une situation néfaste pour les consommateurs, selon l'association UFC-Que Choisir qui, dans un communiqué s'emporte contre ce qu'elle qualifie de « très mauvaise nouvelle pour la concurrence ». Le rapport Attali, remis en janvier au Président de la République, préconisait, quant à lui, l'attribution en un seul lot de la licence. Pourtant, une décision de l'exécutif aboutissant à une vente à la découpe aurait des partisans. A commencer par les trois géants qui, en plus d'être à l'abri de l'irruption d'un solide concurrent, pourraient également se porter candidats pour les lots mis en vente après la division du spectre encore disponible. Même Free n'est pas attristé par l'éventualité d'une vente par lots. Le groupe estime ainsi pouvoir composer avec seulement une partie des fréquences : « nous n'avons pas l'obsession de construire un réseau », a même affirmé Maxime Lombardini, le DG d'Iliad, à l'AFP. (...)
(09/04/2008 09:24:52)Annuels Smile : le CA a doublé et l'offre s'est étoffée
Résultats 2007 Chiffre d'affaires : 14,24 M€ (+57,8%) Résultat net : 576 307 € (+38,6%) L'intégrateur de solutions en Open Source Smile a publié des résultats supérieurs à ses prévisions : le chiffre d'affaire a plus que doublé, pour atteindre les 14,24 M€, le résultat net est également en progression à 576 307 € (+38,6%) et la marge opérationnelle s'affiche à 8% (contre 7,1% un an plus tôt). L'actualité de Smile a été marquée cette année par deux acquisitions : la Web agency E-dition en juillet, puisle cabinet de conseil Ingénieurs et Consultants en novembre. Smile a également créé en décembre un Observatoire du Web. Totalement gratuit, cet outil de monitoring permet de placer des sites sous surveillance, afin d'en suivre les performances (temps d'affichage de la page, disponibilité du site, technologie utilisée...). Côté services et produits, l'offre de Smile s'est élargie, avec le lancement de nouvelles gammes d'outils système, de virtualisation, de GED (gestion électronique de documents) ainsi que d'une entité baptisée Agence Media Interactive (e-marketing, conseil éditorial, hébergement de données...). Smile compte 329 clients, soit 101 de plus qu'en 2006. La SSII a également étendu sa couverture nationale en ouvrant trois agences, à Lyon, Nantes et Bordeaux. Elle est déjà implantée à Paris et Montpellier. Smile compte 220 collaborateurs. Pour 2008, la société vise un chiffre d'affaires de 21,3 M€ pour une marge opérationnelle stable, à 8%. (...)
(09/04/2008 12:16:33)Impact 2008 : IBM repeint son SOA en vert
Qu'on se le dise, les architectures orientées services (SOA) peuvent aussi contribuer à lutter contre le réchauffement planétaire. En tout cas, c'est le discours qu'a tenu IBM, qui a placé la deuxième journée de sa conférence utilisateurs sur les SOA (Impact 2008, du 6 au 11 avril à Las Vegas) sous le signe du « Green ». Plusieurs responsables d'IBM ont rappelé les efforts entrepris sur ce thème depuis quelques temps, à commencer par le projet Big Green. Annoncé en mai dernier, Big Green formalise l'engagement de Big Blue de mettre ses datacenters au vert ; concrètement, il s'agit de doubler leur capacité en termes de puissance sans augmenter la consommation énergétique ni l'impact sur l'environnement. « Depuis, est intervenu Rich Lechner, vice-président Systèmes d'entreprise, nous avons aidé 2000 clients à faire de même. [.] Et il est important de noter que pour 1 dollar économisé en énergie, ce sont 6 à 8 dollars économisés sur les coûts opérationnels. » Websphere pour le côté 'green IT', la SOA pour le 'green computing' Dans ce contexte, les SOA auraient un rôle à jouer, tant pour ce qui est du 'Green IT' (en aidant à rendre le service informatique écologiquement correct) que du 'Green computing' (en fournissant les moyens applicatifs de mieux maîtriser son impact sur l'environnement). Côté 'Green IT', IBM met en avant l'édition Virtual Enterprise de Websphere (connu auparavant sous le nom XD, pour Extended Deployment) qui gère les ressources virtualisées, et permet donc une utilisation plus efficiente des serveurs.[[page]] Pour ce qui est du 'Green computing', IBM dit avoir utilisé ses offres de SOA et de BPM (gestion des processus métier) d'abord pour mettre au point des applications de supervision de l'impact environnemental de ses processus, puis pour optimiser certains d'entre eux. John Soyring, vice-président solutions et logiciels, et membre du bureau exécutif d'IBM pour l'énergie et l'environnement, a montré au public réuni dans la salle de spectacle du MGM Grand de Las Vegas des captures d'écran de la console de supervision. il a notamment affiché la consommation énergétique et le degré d'émission de gaz carbonique de chaque processus. Pour lui, il s'agit d'un préalable indispensable : « Si vous ne savez pas ce que consomme un processus, il est certain que votre comportement ne pourra pas changer. » John Soyring a expliqué ensuite comment IBM avait pu réduire sa facture énergétique de sa chaîne d'approvisionnement - mais aussi son efficacité opérationnelle. Un client d'IBM, petit producteur d'électricité du Delaware, a aussi expliqué comment la SOA lui avait permis de suivre en temps réel son activité, et d'ajuster au mieux sa production. Le public a enfin eu droit à l'avant-première du prochain spot télévisé de publicité d'IBM, consacré au 'green IT'. Grand symbole : la couleur y fait son apparition. (...)
(09/04/2008 08:40:42)Impact 2008 : IBM mixe mashups et SOA
Les langages de script, le style Rest et l'assemblage de services (mashups) ont officiellement fait leur entrée dans la famille Websphere. IBM a en effet annoncé lors d'Impact 2008, sa conférence utilisateurs sur les architectures orientées services (SOA), la disponibilité en bêta d'un environnement complet pour produire des services applicatifs de type widgets et permettre à des non informaticiens de les assembler. Un concept déjà exploré par Oracle/BEA, Tibco, Microsoft ou encore dernièrement Serena Software. « Mais avec un atout du côté d'IBM », remarque Mathieu Poujol, consultant chez PAC, présent lui aussi à Las Vegas : sa capacité à manipuler les sources de données grâce aux technologies de sa division Information Management. IBM promet que son Mashup Center, dont la version bêta sortira mi-avril, sera accessible à tout type d'utilisateur métier ayant le désir de créer lui-même une application Web pour un besoin précis. Il devrait être possible, par exemple, d'associer une liste de points de vente avec un service de géolocalisation, sans coder mais en recourant à de simples glisser-déposer. L'idée, explique IBM, est de fournir un outil contrôlé à des utilisateurs qui, sinon, devraient soit attendre le cycle normal des évolutions fonctionnelles, soit passer outre et créer des choses de façon totalement anarchique, donc potentiellement dangereuses. Project Zero débattra des prochaines versions de Websphere sMash Néanmoins, qui dit environnement contrôlé dit aussi participation du service informatique, appelé à exposer les diverses fonctions applicatives et sources de données. Pour les développeurs, IBM propose là encore un outil Web, Websphere sMash (avec un grand M pour bien signifier qu'il s'agit de mash-up). En bêta pour l'instant avant un lancement prévu d'ici juin, sMash est la version 1.0 de Project Zero. IBM avait lancé ce projet en juin 2007, sous forme d'un site Web ouvert à la communauté. Il ne s'agissait pas d'en faire un projet Open Source, mais de recueillir les avis des utilisateurs potentiels, développeurs en entreprise mais aussi éditeurs et intégrateurs. Project Zero restera d'ailleurs ouvert afin de continuer à remplir cette fonction pour les futures versions de sMash. Jason McGee, architecte en chef de Websphere sMash, explique que si la plateforme sMash a été bâtie en Java, il était dès le départ évident qu'elle offrirait aux développeurs la possibilité de coder avec un langage de script. « Pour faire notre choix, explique-t-il, nous avons cherché les communautés les plus nombreuses. Il y en avait deux, PHP et Java. Nous avons donc choisi PHP et Groovy, dont la syntaxe est très proche de celle de Java. » [[page]] Pour Jason McGee, il ne s'agit que d'une étape dans un plan stratégique plus vaste, qui consiste à s'inspirer de ce qui se pratique dans le monde du Web 2.0 pour le diffuser au sein des solutions d'IBM. Y compris dans la famille SOA, d'où cette annonce pendant Impact 2008. « Il a toujours été clair que les SOA étaient bien plus que WS-* », indique ainsi Jason McGee, faisant référence à la pile de standards encadrant les services Web. IBM, grand supporter de ces technologies, s'est mis à apprécier Rest (Representational state transfer), un style de programmation beaucoup moins complexe tirant parti des protocoles déjà en place pour le Web, tels que les liens hypertextes ou les abonnements à des flux XML. « Nous exposerons de plus en plus de services sur un mode Rest, poursuit Jason McGee, qu'il s'agisse d'EJB, de MQ. » IBM adhère maintenant au concept de « Restful SOA » IBM est donc désormais confronté à un double challenge en termes de marketing. D'une part, il lui faut déterminer qui poussera cette solution de mashup auprès des clients, sachant que plusieurs divisions sont impliquées dans sa conception, fait observer Mathieu Poujol : Lotus, pour l'aspect collaboratif, Websphere, pour la plateforme d'exécution, Information Management, pour l'accès aux sources de données (le concept d'Infosphere). Second challenge : le positionnement de cette offre dans une stratégie SOA globale. IBM commence en effet à parler de « Restful SOA », autrement dit de réaliser des développements de type architecture orientée services beaucoup plus simplement que ce qui se fait actuellement. En ce cas, comment justifier les efforts humains et financiers consentis pour mettre un système d'information aux normes de la SOA ? Premier élément de réponse, cette « Restful SOA » ne s'adresse qu'à des applications Web, proches de l'utilisateur. Ensuite, précise Jason McGee, cela convient si le premier critère est la rapidité de développement. « En revanche, si vous misez sur la flexibilité et la longévité, alors cela justifie un temps de développement plus long. » On ajoutera que l'intégrité des transactions, sur laquelle Steve Mills, vice-président d'IBM Software, a lourdement insisté dans son discours d'ouverture la veille, reste l'apanage des solutions de SOA classiques. (...)
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