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(08/04/2008 16:57:13)

Dell se lance dans le support d'infrastructure en SaaS

Dell va proposer aux petites et moyennes entreprises (moins de 1000 employés) de les soulager de la fastidieuse et coûteuse gestion de leurs infrastructures matérielles et logicielles. Certes, il n'est pas le premier à se targuer de ce type d'intentions fort louables. Mais c'est avec sa réponse que le Texan se distingue puisqu'il s'inspire, pour la gestion d'infrastructure, du modèle Salesforce. Le modèle Salesforce appliqué à la gestion d'infrastructure C'est un ensemble de services en ligne qui assurera la surveillance et la maintenance des machines et des logiciels. Dell proposera en mode SaaS une liste de fonctions telles que la gestion de la sécurité, l'archivage des mails, l'installation des patchs, la récupération de données, la surveillance de la performance, etc. Selon le constructeur, dans 70% des cas, les problèmes seront résolus automatiquement et à distance, sans intervention humaine. Mais dans le cas contraire, un technicien prendra systématiquement le relais pour prévenir l'entreprise et l'aider à résoudre son problème. Suivant le choix du client, le système enverra une alerte à l'équipe informatique de l'entreprise, à son revendeur ou au support direct Dell. [[page]]Les revendeurs pourront ainsi définir et packager leur propre offre en fonction de leur spécificité et de leur clientèle. Enfin, des consultants Dell auront aussi accès à ces outils pour réaliser des inventaires détaillés de parcs et procéder à des migrations complexes (stockage, environnements Microsoft, Datacenters, postes clients) par le biais de règles de décision. « Les deux tiers du coût d'une infrastructure proviennent du support et de la maintenance, affirme Stephen Schuckenbrock, président de Global Services et DSI de Dell. Les entreprises, en particulier petites et moyennes, veulent réduire ces coûts sans pour autant passer par de lourds et coûteux contrats de service. » Un service à la carte Ce service est complètement configurable : nombre de fonctions choisies, liste de fonctions différente suivant les utilisateurs, SLA de 2, 4 ou 8h, support assuré par le service informatique, un revendeur ou Dell directement, etc. Toutes les combinaisons sont possibles. Le tarif variera suivant les choix mais s'appuiera sur le principe d'une location mensuelle d'un ensemble de services. Dell s'est appuyé sur les outils des sociétés Everdream et Silverback, qui proposaient une plateforme d'administration de systèmes et d'analyse et d'anticipation des problèmes. A ce jour, seuls douze grands clients américain sont abonnés à ce nouveau service. Mais celui-ci sera rapidement étendu sur tous les Etats-Unis avant d'être déployé en Europe et en Asie avant la fin de l'année. Dell compte bien trouver une importante source de revenu en développant ses activités de service. Elles représentent déjà 6 Md$ et Stephen Schuckenbrock les verrait bien grossir avec sa nouvelle offre. Cet ancien de EDS a pris en charge les services il y a un peu plus d'un an. Et il a profité de son passage en Europe pour détailler cette toute nouvelle offre. En revanche, pas plus que son PDG Michael Dell, il n'a commenté la perspective peu reluisante de licenciements plus nombreux que prévus . Il faut dire que ceux-ci devaient déjà concerner 8800 personnes, soit plus de 10% des effectifs. (...)

(08/04/2008 17:39:15)

Index Freelance.com : les spécialistes PHP dans le top 10

L'indice de l'évolution de la rémunération des Experts Free-lances reste stable depuis le mois de février. Si le quatuor de tête reste inchangé (Unix, Oracle, Java et SAP), on constate néanmoins une augmentation des demandes de compétences en environnement Unix qui peut s'expliquer par une augmentation des projets Oracle et SAP. Les administrateurs, les ingénieurs et les développeurs font partie des compétences les plus recherchées. Concernant les spécialistes JAVA, les profils demandés sont plutôt axés autour du développement et de l'ingénierie. Les spécialistes en langage de programmation COBOL qui revenaient dans le classement la semaine dernière en 8ème position, perdent, cette semaine, deux places au profit des demandes de compétences sur PHP qui font leur entrée à la 8ème place du classement, liées à la recherche de programmeurs. Concernant le top 10 des spécialités demandées, les spécialistes en langage de programmation (C++, Java, J2EE et Cobol) restent en tête du classement. (...)

(08/04/2008 16:22:34)

Annuels Niji : chiffre d'affaires en hausse de 25%

Niji, société de conseil, d'ingénierie et d'intégration des technologies de la convergence, a publié des résultats conformes à ses attentes. La SSII a réalisé un chiffre d'affaires de 20,2 M€, contre 16 M€ un an plus tôt, soit une hausse de plus de 25%. Le résultat opérationnel courant s'établit à 1,8 M€ (+60%) et le bénéfice net à 0,9 M€ (+40%), pour une marge nette de 4,5%. En 2007, Niji a diversifié sa clientèle (historiquement, il s'agit des opérateurs télécoms et des grands compte) en s'adressant également aux organismes publics et aux collectivités locales. Ce changement de stratégie lui a permis de gagner vingt clients. Créée en 2001, la SSII est présente à Rennes, Paris et Lille. Elle a embauché 80 personnes en 2007, ce qui porte ses effectifs à 270 collaborateurs, et compte intensifier sa politique de recrutement. Elle recherche 100 consultants, ingénieurs et experts réseaux et télécommunications. Pour 2008, la société table également sur une croissance de son chiffre d'affaires de 25%. (...)

(08/04/2008 16:01:51)

L'outsourcing rend plus vulnérable, selon Quocirca

« L'externalisation du développement logiciel se généralise. Pourtant, étant donné le peu de visibilité dans les méthodes de développement, cette pratique est fondamentalement non sécurisée », précise le dernier rapport du cabinet d'analyse Quocirca. En effet, d'après un sondage effectué auprès de 250 DSI travaillant pour des compagnies de plus de 1 000 salariés en Europe (Allemagne et Royaume-Uni) et aux Etats-Unis, 90% des sociétés qui ont été victimes d'un piratage externalisent plus de 40% de leur code. Dans le même temps, 78% des sociétés qui considèrent le développement logiciel comme critique pour leur activité en externalisent une bonne partie. Et 60% d'entre elles oublient de spécifier les conditions de sécurité dans le contrat d'externalisation. Pire, 20 % d'entre elles ne s'occupent pas du tout de cet aspect dans leur développement logiciel, qu'il soit externalisé ou non.Or, selon le NIST (National Institute of Standard and Technology), 92% des failles contenues dans les réseaux informatiques se nichent justement dans la couche applicative. Pour l'analyste Fran Howarth, auteur de ce rapport, « ces résultats montrent que les sociétés ne font pas assez d'efforts pour sécuriser les applications dont dépend leur activité. Non seulement cela, mais elles confient une large part de leurs besoins en développement à des tiers. Ce qui leur impose une responsabilité encore plus grande pour tester l'ensemble du code généré. » L'étude de Quocirca a été sponsorisée par Fortify Software, spécialisé dans la sécurité applicative. (...)

(08/04/2008 15:21:26)

RSA Conference : IBM sécurise les environnements virtualisés

IBM s'apprête à dévoiler une technologie de prévention d'intrusion destinée aux environnements virtualisés, à l'occasion de la conférence RSA sur la sécurité qui se tient du 07 au 11 avril à San Francisco. Sous le nom de code Phantom, cette solution est le fruit d'une collaboration interne entre le département de recherche d'IBM et les équipes de XFTAS (X-Force Threat Analysis Service), de sa branche Internet Security Systems. Rappelons que XFTAS est un service de renseignements qui fournit des informations personnalisées sur les menaces susceptibles d'affecter le réseau. Aucune date de sortie n'est encore prévue pour Phantom. La protection des environnements virtualisés constitue un des sujets phares de la conférence RSA. Kris Lovejoy, directrice de la stratégie sécurité chez IBM rappelle d'ailleurs que « la couche hyperviseur (ndlr : plateforme de virtualisation qui permet à plusieurs systèmes d'exploitation de tourner sur un seul poste hôte en même temps) a été conçue pour offrir les meilleures performances possibles. Nos clients ont besoin de s'assurer qu'elle ne deviendra pas une brèche de sécurité ». De fait, les environnements virtualisés ont été surtout utilisés dans un premier temps pour mettre en place des plates-formes de développement. Mais aujourd'hui, afin de rationaliser et optimiser l'utilisation des serveurs ou encore de prolonger la durée de vie de certaines applications fonctionnant sur d'anciens systèmes d'exploitation, de plus en plus d'entreprises utilisent la virtualisation pour les applications en production. Dès lors, la question de la sécurité devient cruciale. Verrouiller l'environnement Phantom serait un système de prévention/protection contre les intrusions (IPS, intrusion prevention system) hébergé au niveau de l'hyperviseur. Il serait donc en mesure de surveiller le trafic réseau, de détecter le code malicieux et de stopper les attaques avant qu'elles ne passent à l'action. Il pourrait même verrouiller l'environnement virtualisé en cas de problème. Phantom reposerait en partie sur les technologies d'Internet Security Systems, société rachetée par IBM en 2006, spécialisée dans les IPS. Ce ne serait d'ailleurs pas le premier produit issu de l'acquisition de l'éditeur ISS puisqu'en août 2007, IBM sortait Virtual E-mail Security Appliance, une solution de protection des courriels pour les environnements virtualisés. Notons que cette annonce intervient après le lancement, hier, de LifeCycle Manager, une solution d'administration de VMware pour gérer le cycle de vie des machines virtuelles. (...)

(08/04/2008 13:03:14)

Trois grands candidats pour le projet informatique de l'AP-HP

Le deuxième appel d'offres lancé par l'AP-HP (Assistance publique et Hôpitaux de Paris), dans le cadre de la mise en oeuvre d'un outil informatique commun à 43 sites, a déjà reçu plusieurs candidatures, selon nos confrères Les Echos. Ce projet, qui serait le plus coûteux jamais réalisé dans le milieu hospitalier français, s'articule autour de la création du « dossier patient unique » (centralisation des données santé du patient : ordonnances, résultats médicaux...). Toujours selon Les Echos, trois grands postulants se pressent au portillon : Capgemini-Agfa, Cerner-IBM et Atos Origin. Le projet avait été attribué en avril 2007 à Thales, GE (General Electric) et Medasys (éditeur de logiciels médicaux), en raison du prix proposé (75 M€), un coût relativement bas par rapport aux sociétés concurrentes. En décembre dernier, l'AP-HP s'est finalement rétractée, arguant que son partenaire ne tenait pas ses promesses en termes de délais et de « concrétisation de sa proposition ». Le cahier des charges n'a pas bougé. Il s'agit de réaliser un « système intégré et communicant pour permettre en 2009 la mise en place du serveur d'identité unique AP-HP et, à partir de 2010, le déploiement sur trois ans du nouveau système d'information patient », selon un communiqué de l'AP-HP. Les tarifs proposés par les prestataires ont sensiblement varié quant à eux. Les Echos mentionnent des contrats compris entre 90 et 100 M€ pour les consortiums Cerner-IBM et Agfa-Capgemini, et 70 M€ pour l'offre en Open Source d'Atos Origin. L'AP-HP précise par ailleurs que la notification officielle du marché est prévue courant juin. (...)

(08/04/2008 13:06:26)

Google accueille les développeurs sur Google App Engine

Google propose la première version de son site Google App Engine qui fournit l'infrastructure et l'espace de stockage nécessaire au développement de nouvelles applications Web. Amateurs d'autres langages que Python s'abstenir ! Le service est en effet réservé au langage interne utilisé par Google. Il ne s'agit d'ailleurs pas des seules restrictions. Un service limité mais gratuit Pour l'instant, Google a réservé aux développeurs 500 Mo de stockage et chaque jour, 200 millions de mégacycles de CPU et 10 Go de bande passante. En contrepartie, le service est gratuit et permet à tout développeur d'héberger son code sur les serveurs de Google, de lancer l'application et de suivre son évolution. Ils bénéficient au passage de services techniques fournis par l'infrastructure Google dont notamment des API pour authentifier les utilisateurs et envoyer des mails ou encore de fonctions de répartition de charge. A terme, Google prévoit de gérer d'autres langages mais, d'ici là, il faut se presser si l'on veut bénéficier de ce service. Encore en version beta, le Google App Engine est en effet pour l'instant réservé aux 10000 premiers développeurs inscrits. Au-delà du service rendu, Google cherche bien entendu à étoffer son offre d'applications Web en s'appuyant sur la communauté des développeurs. Une stratégie aujourd'hui adoptée par la majorité des éditeurs qui comptent beaucoup sur les contributions Web pour promouvoir leurs solutions. (...)

(08/04/2008 12:22:27)

AMD va licencier 10 % de son personnel pour réduire ses coûts

Le fabricant de processeurs AMD prévoit de licencier 10 % de son personnel, soit plus de 1 600 salariés (il en compte 16 800 dans le monde) d'ici à la fin de l'année 2008, pour réduire ses coûts de production. Ces licenciements commenceront mi-avril pour se terminer à l'automne. La restructuration sera « globale et touchera tous les groupes et tous les niveaux au sein de le société, a indiqué Drew Prairie, porte-parole d'AMD. Elle nous aidera à retrouver la profitabilité ». AMD vient d'ailleurs de revoir à la baisse ses résultats prévisionnels pour le premier trimestre 2008, avec un chiffre d'affaires désormais estimé à 1,5 milliards de dollars (contre 1,61 milliards de dollars, précédemment prévu par Thomson Financial). Le fabricant fait face à des difficultés depuis son rachat d'ATI en 2006, principale cause des pertes enregistrées sur cinq trimestres consécutifs. Au quatrième trimestre 2007, il a accusé une perte de 1,772 Md$, supérieure à son chiffre d'affaires (1,770 Md$), incluant une charge de 1,675 Md$ relative à l'acquisition d'ATI. Fin mars, AMD a annoncé la livraison en volume de ses premiers processeurs triple-coeur. (...)

(08/04/2008 10:19:21)

La crise américaine n'influence pas les DSI européens

Pour les DSI européens, les restrictions budgétaires constitueraient un phénomène purement américain. C'est ce qu'il ressort d'entretiens menés par Gartner entre le 12 février et le 12 mars, auprès de 1 011 directeurs des systèmes d'information dans le monde. Dans le cadre de cette enquête, le cabinet d'études a demandé aux responsables interrogés si le montant de leur budget 2008 avait été modifié depuis le dernier sondage, qu'il avait effectué entre septembre et décembre 2007. Globalement, la progression des budgets informatiques reste stable pour 2008, à +3,3%. En revanche, des différences apparaissent par zones géographiques. Aux Etats-Unis, le taux d'augmentation des budgets IT s'est comprimé entre les deux séries d'entretiens, passant de 3,1% à 2,3%. Tandis qu'en Europe, il s'établit à 3,86% et monte même jusqu'à 5,98% en Asie-Pacifique. Pour Gartner, le fait que les DSI européens et asiatiques voient les réductions de budgets comme un phénomène géographiquement délimité indique que ces marchés ressentent un certain niveau d'indépendance par rapport aux conditions économiques américaines. Outre-Atlantique, un DSI sur quatre a vu son budget réduit au premier trimestre 2008, alors que 65% ne l'ont pas changé et que 10% l'ont augmenté. Mais les coupes ne dépassent généralement pas les 10%. « Il s'agit plus de prudence que de réelles restrictions », précise Mark McDonald, vice président de Gartner. Au niveau mondial, l'évolution est légèrement différente. 62% des DSI ont indiqué n'avoir pas modifié leurs budgets, tandis que 23% l'ont revu à la baisse (de 10% en moyenne) et que 15% l'ont augmenté (d'environ 15%). (...)

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