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(10/04/2008 18:44:10)
Linux continue de croître sur sa base installée
Parrainée par la Fondation Linux à l'occasion de son deuxième sommet annuel, l'étude IDC sur le rôle des serveurs Linux en entreprise révèle que les dépenses devraient passer de 21 milliards de dollars en 2007 à 50 milliards en 2011. Ces chiffres, qui incluent le matériel, les services et les logiciels, ne semblent pas étonner Al Gillen, analyste à IDC, pour qui l'écosystème Linux est aujourd'hui devenu une réalité en entreprises. Pour IDC, cette augmentation des environnements Linux serait essentiellement alimentée par l'accroissement de la base installée existante, les serveurs n'étant plus cantonnés au rôle technique de DNS, DHCP et serveurs Web. Linux serait en effet en passe de s'imposer sur des serveurs de PGI ou encore de GRC et donc de jouer un rôle plus important dans l'hébergement des applications métier de l'entreprise. La croissance des serveurs Linux à caractère applicatif devraient passer de 9 à 17,7% entre 2001 et 2011 selon IDC. Une belle opportunité pour les développeurs, communautés et entreprises soutenant des projets open source. Le cabinet d'étude cite à titre d'exemple le renforcement de la collaboration entre Novell et SAP autour de Suse Linux Enterprise. Une offre logicielle limité à 4% du total Toutefois, l'offre logicielle sur Linux ne représente encore que 4% (10 milliards de dollars) d'un marché total estimé à 242 milliards de dollars. D'ici 2011, cette part devrait atteindre 9%, soit 31 milliards d'un marché global de 330 milliards de dollars. Soit un taux de croissance annuel des dépenses logicielles sur Linux de 35,7% entre 2006 et 2001. Une croissance qui ne dépassera pas celle de Windows, aussi florissante soit elle. IDC estime que le système d'exploitation de l'open source a peu de chance d'atteindre un jour la taille du marché de Windows. Sur le long terme, Microsoft pourrait même se montrer un adversaire redoutable s'il réussi à remporter les projets de migration des plateformes Unix existantes. Linux devra également compter avec la concurrence d'OpenSolaris, autre système d'exploitation libre. Enfin, les entreprises semblent moins intéressées par la compilation de leur propre Linux que par les distributions payantes. Ces dernières tirent en effet la croissance annuelle des environnements Linux, estimée à 8,2% entre 2007 et 2012. (...)
(10/04/2008 18:25:58)La gamme Power d'IBM trouve son haut de gamme
IBM enrichit déjà sa gamme toute fraîchement unifiée de serveurs Power. Après l'annonce de deux premiers modèles d'entrée de gamme la semaine dernière, Big Blue s'attaque au sommet de son catalogue. Le Power 595 comprend 32 Power6, soit 64 coeurs capables de traiter un total de 128 threads - tout comme les derniers Sparc Enterprise de Sun. Bien sur, là où le constructeur californien installe ses Ultrasparc T2 Plus, IBM place son tout nouveau Power6 5.0 GHz. Equipé en option de PowerVM, il peut accueillir jusqu'à 254 partitions virtualisées sous Aix ou Linux. IBM a par ailleurs mis en place un fort sympathique programme de fidélité à destination de ses clients équipés de serveurs de la concurrence. Ceux-ci seront récompensés chaque fois qu'ils remplaceront des coeurs HP ou Sun par des Power... La prime à l'Ultrasparc qui rapportera 1000 points. En échange de ces points, les clients obtiendront des réductions sur le matériel, le logiciel ou le service. (...)
(10/04/2008 16:43:44)Microsoft et Yahoo multiplient les alliances chacun de leur côté
Yahoo et AOL (propriété de TimeWarner) seraient en pourparlers pour nouer un partenariat afin de contrecarrer l'OPA hostile lancée par Microsoft en janvier dernier, selon le Wall Street Journal. Ces dernières semaines, Yahoo a redoublé d'imagination pour échapper à Microsoft, s'adressant à ses actionnaires, ou modifiant les conditions de départ de ses salariés en cas de réussite de l'OPA. Hier, Yahoo trouvait également le soutien de son deuxième plus gros actionnaire, la société Legg Mason. Yahoo estime en effet que la proposition de Microsoft (44,6 Md$) sous-évalue le potentiel de la société. Selon le New York Times, Microsoft pourrait de son côté s'adosser à News Corp pour donner plus de poids à son offre. On ignore en revanche si cette alliance inciterait Microsoft à revoir le prix proposé, ni de quelle manière les deux sociétés se partageraient le butin. Ces deux derniers retournements de situation sont pour le moins surprenants. Rupert Murdoch, patron de News Corp, avait pourtant clairement déclaré que Yahoo ne représentait aucun intérêt pour lui. AOL (propriété de Time Warner) quant à lui s'est récemment payé le réseau social Bebo pour 850 M$. Il doit par ailleurs faire face à des turbulences internes depuis que Jeffrey Bewkes, responsable exécutif de Time Warner, a déclaré lors de la 21e édition de la Bear Sterns Media Conference (qui réunit les grands noms des médias américains) que la société envisageait de se défaire d'AOL. Yahoo n'en est pas à une provocation près pour repousser les avances de Microsoft. Le pionner de la recherche en ligne a annoncé dans la foulée qu'il allait tester le service AdSense de Google, ennemi juré de Microsoft. Durant deux semaines, et aux Etats-Unis exclusivement, les publicités contextuelles de Google s'afficheront ainsi dans 3% des pages de résultats de Yahoo. Yahoo a précisé que ces essais ne signifiaient pas qu'il allait rejoindre le programme AdSense, et qu'ils n'aboutiraient pas forcément à une relation commerciale avec Google. Il s'agit en tout cas d'un énième pied de nez fait à Microsoft, qui s'est empressé de commenter ce partenariat, en le qualifiant « d'anti-concurrentiel sur le marché de la publicité en ligne ». (...)
(10/04/2008 15:49:38)Cegid se renforce sur les logiciels d'hôtellerie et restauration
Déjà implanté sur le marché des logiciels pour l'hôtellerie et la restauration, sur lequel il a réalisé l'an dernier 10 ME (4% de son chiffre d'affaires), le Lyonnais Cegid vient d'acquérir l'éditeur GD Informatique, spécialisé sur le segment de l'hôtellerie indépendante. Cette société iséroise de 18 salariés a réalisé 1,5 ME de chiffre d'affaires en 2007 et compte 350 clients. Ses logiciels WinHôtel+ et WinRestau vont venir renforcer l'offre Cegid Business Line et seront distribués par le réseau d'agences et de partenaires du groupe. GD Informatique a également mis au point un système de réservation de chambres sur Internet. Cette solution hébergée, qui a été référencée par la Fédération Internationale des Logis (Logis de France), s'inscrit tout à fait dans la stratégie SaaS de Cegid qui, depuis deux ans, fait monter en puissance la fourniture de solutions en ligne. Sur son dernier exercice, l'activité « on demand » a représenté environ 5% de son chiffre d'affaires. Cegid entend également offrir un ensemble de services (assurance multirisque, conseil sur la retraite, bilan patrimonial.) aux PME du secteur de l'hôtellerie-restauration, dans la droite ligne de ce qu'il prévoyait de mettre en place en faisant entrer l'assureur Groupama à son capital en décembre dernier. (...)
(10/04/2008 15:30:41)Oracle propose de monter en mémoire cache les données les plus utilisées
Oracle vient d'annoncer la disponibilité de « Oracle In-Memory Database Cache », nouvelle option pour son offre Oracle Database Entreprise Edition. Il s'agit d'une solution de cache automatique, dynamique et de type « lecture/écriture » pour des sous-ensembles de données nécessitant des temps de réponse optimisés. En rapprochant les données fréquemment utilisées de la couche applicative, le cache ramène en effet la communication à quelques millisecondes entre la base et l'application, cette dernière se servant directement dans le cache, monté en mémoire vive. Cette technologie vaut essentiellement pour les données en lecture. En écriture, elle n'a d'intérêt que si les données enregistrées en cache sont aussitôt réutilisées par l'application. Ce type de base en cache suppose que l'application utilise toujours le même jeu de données, son volume ne pouvant excéder la taille du cache. Toutefois, Oracle propose des mécanismes automatiques pour faire monter en mémoire des données fréquemment utilisées, et en faire sortir les données les moins demandées. La solution de cache d'Oracle s'appuie sur la base de données « en mémoire » TimesTen (technologie acquise par Oracle en Juin 2005). Les requêtes SQL sont donc réalisées par cette base de données « en mémoire » sur les données mises en cache. Des mécanismes de réplication transparents pour les applications sont automatiquement mis en oeuvre entre la base Oracle Database et la base TimesTen. Oracle prévoit aussi un enregistrement des transactions afin d'en assurer l'intégrité au cas où le lien entre le cache et la base serait rompu. Compatible avec Oracle Database Enterprise Edition, Oracle Real Application Clusters, Oracle Entreprise Manager, Oracle SQL Manager et les composants middleware d'Oracle Fusion, l'option « Oracle In-Memory Database Cache » est facturée 36 000 dollars par processeur. (...)
(10/04/2008 13:09:47)Matignon charge Eric Besson de planifier le développement des TIC
Eric Besson, fraîchement auréolé de ses nouvelles responsabilités au secrétariat d'Etat chargé du développement de l'économie numérique, dispose d'un peu plus de trois mois pour présenter au Premier ministre un plan de développement devant permettre à la France d'accroître la place des TIC dans son activité économique à l'horizon 2012, date à laquelle expire le bail élyséen. La lettre de mission envoyée par François Fillon à son secrétaire d'Etat déplore ainsi que l'Europe investisse deux fois moins que les Etats-Unis - en proportion du PIB - dans le numérique et que la France soit elle-même en retard par rapport au Vieux Continent. Eric Besson devra donc proposer une batterie de mesures pour contre-balancer ce constat et faire oublier aux tenants du secteur IT - qui le réclamaient à cor et à cri - qu'il aura fallu près d'un an pour que l'élection de Nicolas Sarkozy aboutisse sur la création d'un poste ministériel dédié aux TIC. Bizarrement, les axes de travail concernent surtout la diffusion des technologies numériques plus que le développement des acteurs du secteur, éditeurs de logiciels notamment. Le haut débit pour 100% de la population La priorité fixée par le Premier ministre consiste à accroître le nombre de Français ayant accès au haut débit, qu'il soit fixe ou mobile. Peu de surprise ici : le locataire de Matignon reprend in extenso l'un des (rares) points forts du discours prononcé par Nicolas Sarkozy à l'occasion du Cebit 2008. [[page]]Le Président s'était ainsi engagé à ce que 100% de la population soit couverte en haut débit en 2012. Pour cela, le chef du gouvernement encourage notamment son secrétaire d'Etat à accélérer le déploiement de la 3G, alors même que la 4e licence semble voir son avenir subitement obscurci. Parmi les autres chantiers considérés comme prioritaires figure le développement de la télévision numérique terrestre et personnelle (TNT mobile). Eric Besson devra ainsi mettre en place les mécanismes permettant d'accroître la couverture du territoire et l'équipement des ménages, tout en accompagnant l'arrêt de la télévision analogique. Il aura également pour tâche de proposer des modalités de réutilisation des fréquences ainsi libérées. L'ensemble des formalités administratives en ligne Le secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique aura, par ailleurs, à se pencher sur les contenus et les usages avec, en ligne de mire, la lutte contre les fléaux du Web : cybercriminalité, atteinte à la protection de l'enfance, non respect du droit d'auteurs. Surtout, l'ancien député socialiste devra réfléchir à la promotion des « nouvelles applications des TIC dans les domaines du télétravail, de l'éducation, de la santé et de l'e-administration ». Sur ce dernier point, en particulier, l'IT est censé constituer « le levier essentiel de la modernisation des services publics » avec, notamment, la mise en ligne programmée de l'ensemble des formalités administratives. Enfin, Eric Besson doit plancher sur les moyens permettant d'accélérer la diversification des usages du Web, en permettant par exemple un recours généralisé à la signature électronique ou en garantissant une protection des données personnelles efficiente. La mission confiée au secrétaire d'Etat de la rue Saint Dominique consiste donc à faire en sorte « qu'Internet devienne un formidable espace de liberté et d'échanges, sans devenir une zone de non-droit ». Les mauvaises langues parleront de formule convenue, d'autres se souviendront avoir entendu, au mot près, la même expression dès la fin des années 90. (...)
(10/04/2008 13:01:08)39 390 postes de cadres et ingénieurs informatiques ouverts en 2008
Pour sa septième édition, l'enquête BMO (besoins en main d'oeuvre) réalisée par l'Unédic a dénombré 39 390 projets de recrutement d'ingénieurs et cadres dans l'informatique en 2008, sur un total de 1 298 142. Cette catégorie professionnelle se classe en 6ème position des métiers rassemblant le plus d'intentions d'embauches, derrière l'hôtellerie, les agents d'entretien, les animateurs sociaux culturels, les caissiers et les employés de maison. Chaque groupe se divise en deux catégories - effectifs permanents et activité saisonnière. Pour les cinq premiers groupes, ce sont surtout les embauches saisonnières qui tirent les chiffres vers le haut, alors que pour l'informatique, elles restent anecdotiques (352 à peine, soit 0,9%, contre 25% en moyenne). L'étude souligne par ailleurs que la demande de personnel qualifié est à la hausse, mais difficile à contenter. 62,8% des ingénieurs et cadres de l'informatique sont difficiles à recruter, contre 56% l'an dernier. Des disparités géographiques sont également signalées. Les difficultés de recrutement concernent essentiellement l'Ile-de-France, qui réunit à elle seule deux tiers des intentions d'embauche. Le Munci, association des professionnels informaticiens, met toutefois en garde contre l'optimisme affiché de cette étude, et ce pour trois raisons. D'une part à cause du turn-over en constante progression, notamment dans les SSII. Il ne s'agirait donc pas de véritables créations d'emploi, mais de remplacement de postes régulièrement vacants. Le Munci pointe également du doigt les critères de recrutement, qui sont de plus en plus exigeants, à la fois en termes de formation, de salaire et d'âge (toujours plus jeunes, blindés de diplômes mais sous-payés), d'où les difficultés à dénicher la perle rare. Le Munci relève enfin que l'enquête a été soumise à plus de 1,5 million d'établissements affiliés à l'assurance-chômage, mais n'a obtenu que 355 174 réponses (soit 23,3%)... ce qui peut statistiquement sembler peu fiable. L'enquête Besoins en main-d'oeuvre (BMO) est une initiative de l'Unédic, réalisée auprès de 30 institutions de l'Assurance chômage (Assédic et Garp) et le concours du Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie). (...)
(10/04/2008 13:10:23)Sun présente deux serveurs autour de son UltraSparc T2 Plus
Sun présente ses deux premières machines équipées d'UltraSparc T2 Plus, successeur des T1 et T2. La force des Sparc Enterprise T5140 et T5240 réside dans leur capacité à traiter jusqu'à 128 séquences d'instructions simultanées (threads). Chacun compte deux octocoeurs et chaque coeur peut s'occuper de huit threads en parallèle. Sun devrait proposer des quadriprocesseurs avant l'été. Le constructeur californien parie sur l'équilibre entre la puissance, la consommation énergétique et l'encombrement. Les deux serveurs annoncés sont au format 1U et 2U et consomment moins de 700 watts. Depuis quelques temps, dans le monde des processeurs, chacun choisit sa voie pour éviter la surchauffe, la surconsommation et... le mur de la loi de Moore. Et Sun a opté pour une stabilité de la fréquence et l'utilisation de techniques pour augmenter la puissance sans voir exploser la consommation électrique. Sun promet « un serveur sur une puce » Les deux machines annoncées restent à 1,2 et 1,4 GHz et consomment entre 500 et 700 Watts. La puce UltraSparc T2 Plus se contente de 100 Watts pour une puissance plus que doublée par rapport au T2 pourtant mesuré à 80 Watts. « De nombreuses fonctions sont intégrées directement dans le processeur - deux ports 10Gbps, une connexion PCI Express, par exemple -, détaille Jean-Yves Migeon, responsable de l'offre serveurs chez Sun France. Cela évite d'ajouter ces éléments gourmands en électricité au niveau du serveur et d'augmenter ainsi la consommation globale de la machine. » Au moment de la présentation de la puce, nom de code Niagara 2, Sun parlait d'un serveur sur une puce. Sun destine principalement ses nouveaux modèles à la consolidation de serveurs x86 ou Itanium. Il s'appuie pour cela sur ses deux environnements de virtualisation. L'hyperviseur inscrit dans le firmware des puces permet de créer des domaines logiques (Ldom). Techniquement, il est possible d'en créer un par thread. Une démarche cependant difficilement exploitable dans la réalité, pour cause de dégradation de la performance. Exécuter 128 instances parallèles de Solaris par exemple paraîtrait plutôt déraisonnable... Bien entendu, Sun propose aussi ses containers dans Solaris 10 (théoriquement, jusqu'à 8 000) pour une virtualisation plus classique. Mais au delà de la consolidation, le constructeur annonce également d'excellents résultats pour les traitements transactionnels pour ces T5140 et T5240 avec des applications comme celles d'Oracle, de SAP ou Notes de Lotus. (...)
(10/04/2008 12:51:00)Virtualisation d'applications : Symantec s'offre AppStream
Symantec a annoncé sur sa conférence ManageFusion 2008 (Las Vegas, 08-10 avril) l'acquisition du Californien AppStream. Le spécialiste des solutions de sécurité entend ainsi compléter ses solutions de diffusion d'applications sur les postes de travail. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Les deux éditeurs étaient déjà liés par un partenariat, Symantec revendant le logiciel d'AppStream avec sa gamme SVS Pro (Software Virtualization Solution), issue du rachat d'Altiris. Rappelons que SVS est utilisée pour activer, désactiver ou réinitialiser les applications installées sur le poste tout en évitant les conflits. En intégrant la technologie d'AppStream qui permet de gérer les applications destinées aux postes de travail depuis un serveur central, et de les diffuser par composants, à la demande, Symantec dispose d'une réponse pour concurrencer des produits tels que Softgrid Application Virtualization, récupéré par Microsoft à la suite du rachat de Softricity (et inclus dans le package MDOP -Microsoft Desktop Optimization Pack), ou encore Thinstall Virtualization Suite, arrivé dans le catalogue de VMware avec le rachat de Thinstall, en janvier dernier. (...)
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