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(18/02/2008 15:57:56)

SAP et EMC sur le point de s'unir pour une offre en ligne

EMC et SAP sont en pourparlers en vue d'une association sur une offre conjointe de solutions en ligne : du stockage et un PGI. Encore au stade préliminaire, la collaboration des deux géants chacun sur leur marché respectif pourrait se fonder sur le rapprochement de leurs offres en ligne qu'ils viennent d'annoncer. Entre, d'un côté, l'offre de stockage en ligne MozyEnterprise d'EMC et, de l'autre, le PGI en ligne Business ByDesign de SAP, la complémentarité apparaît claire. D'autant plus que, d'entrée de jeu, les deux sociétés avaient dans l'esprit l'idée de viser le marché des PME, autrement dit des entreprises de moins de 1000 salariés. Adossé à EMC, SAP disposerait d'un argument de poids pour convaincre les PME de déporter sur le réseau un logiciel aussi stratégique que leur PGI. Même argumentaire pour EMC qui pourrait profiter de sa collaboration avec SAP pour optimiser l'interface entre l'applicatif et ses données en ligne. (...)

(18/02/2008 15:14:49)

Ericsson cède son activité PABX à Aastra Technologies

Ericsson cède son activité de PABX à Aastra Technologies. Cette activité demeurait relativement modeste au sein du géant suédois puisqu'elle ne représente que 630 personnes sur plus de 70 000. La transaction, conclue pour 650 millions de couronnes suédoises (69,9 millions d'euros), devrait être bouclée en avril prochain. Ericsson se focalise désormais sur les opérateurs et les prestataires de services en ce qui concerne la fourniture de son portefeuille d'applications pour les entreprises. La gamme de PABX de Ericsson comprend des solutions pour les entreprises de toutes tailles, des PABX IP, des systèmes convergents, des solutions de mobilité, des terminaux et des solutions pour les agences. Les ventes en 2007 ont représenté 3 milliards de couronnes suédoises (320 millions d'euros). Deuxième fournisseur de PABX en France Aastra technologies est un groupe canadien. Il s'est fait une spécialité du rachat des activités de téléphonie d'entreprise de grands groupes. Pour mémoire, il a racheté en 2003 l'activité PABX d'Ascom. En 2005, Aastra a acquis l'activité téléphonie d'entreprise de EADS (gamme NeXspan). En France, la société est connue sous la marque Aastra Matra. [[page]] Selon le cabinet Gartner, en 2006, Aastra Matra était le deuxième fournisseur de PABX du marché français avec 29% de parts de marché derrière Alcatel-Lucent (43% de parts de marché). Ericsson arrivait alors en quatrième position avec 5,6% et le troisième était Siemens avec 8,1%. La nouvelle part de marché de Aastra devrait donc se situer aux alentours de 35%. Aastra premier fournisseur européen Au niveau européen, Aastra devient en théorie le premier fournisseur de PABX. En 2006, selon les chiffres de Gartner, il possédait 10,3% de parts de marché et Ericsson en possédait 8,3%. Soit un total cumulé de 18,6% supérieur au premier européen Alcatel-Lucent qui culmine à 17% de parts de marché. Des chiffres plus récents de Gartner montrent que ce rachat de l'activité PABX de Ericsson par Aastra hisse le Canadien à 6,1% de parts de marché au niveau mondial sur les neuf premiers mois de 2007. Alcatel-Lucent atteint les 7,2% et Nec, numéro un mondial des PABX en 2006, atteint 11,5% de parts de marché. Le marché des PABX demeure émietté puisqu'un tiers est détenu par de petits acteurs, aux parts de marché inférieures à 2%, et que dix équipementiers se partagent les deux tiers restant. Ceci sans compter la montée en puissance de Microsoft avec Office Communication Server, et des solutions Open Source au premier rang desquelles figure la plate-forme Asterisk (déjà utilisée par Aastra pour son offre destinée aux TPE). (...)

(18/02/2008 13:17:09)

Les grands actionnaires de Yahoo ont aussi investi dans Microsoft

Après le refus, par Yahoo, de son offre de rachat, Microsoft avait laissé entendre, la semaine dernière, qu'il pourrait bien s'adresser directement aux actionnaires du fournisseur de portail. Il n'avait certainement pas échappé à l'éditeur de Redmond que nombre des investisseurs institutionnels de Yahoo possédaient également des parts dans son propre groupe. Ils sont près de 90% dans ce cas, selon Reuters qui cite RiskMetrics, société spécialisée dans l'analyse du risque financier. Parmi eux figurent la majorité des vingt plus gros actionnaires de Yahoo, des sociétés qui, en outre, ont investi de façon encore plus conséquente dans Microsoft. Voilà donc des vendeurs potentiels qui n'ont pas particulièrement intérêt à ce que l'acquisition de Yahoo soit trop surévaluée. Rappelons que Microsoft a offert 31 dollars par action, ce qui, le jour de la proposition, surpassait de 62% le niveau de l'action Yahoo, la société de Jerry Yang faisant face, ces derniers mois, à des difficultés financières. Depuis le début de l'offre d'achat, le cours de cette action a sensiblement remonté tandis que celle de Microsoft baissait : respectivement 29,58 dollars et 28,39 dollars à la clôture de vendredi soir. [[page]] Legg Mason, numéro deux dans la liste des actionnaires les plus importants de Yahoo, s'est déjà dit favorable au rachat, mais à un prix plus élevé. Bill Miller, l'un de ses gestionnaires, avait estimé que le juste prix s'établissait à 40 dollars l'action. Mais RiskMetrics rappelle que Legg Mason a investi davantage dans Yahoo que dans Microsoft. « Ne vous attendez pas à ce que les autres grands actionnaires de Yahoo suivent Bill Miller », estime la société d'analyse financière dans un récent rapport, toujours cité par Reuters. Les investisseurs ayant également des intérêts dans Microsoft vont plutôt chercher à éviter une surenchère qui pourrait minorer les bénéfices attendus de cette fusion entre les deux acteurs. Rappelons que Microsoft souhaite racheter Yahoo pour renforcer ses positions sur le marché de la publicité en ligne. Sur ce secteur, son portail Web MSN ne pèse que 5,2%, selon les estimations du cabinet eMarketer, contre 5,5% pour AOL, 15% pour Yahoo et 40,4% pour Google. (...)

(18/02/2008 13:17:00)

Annuels Steria : la SSII veut se renforcer en Inde et dans le BPO

La société de services informatiques française Steria a publié un revenu consolidé de 1,416 Md€, en hausse de 12,2% par rapport à l'année dernière. Ce chiffre d'affaire comprend l'intégration des activités de la SSII britannique Xansa, dont l'acquisition s'est finalisée en octobre dernier pour un montant total de 680 M€. A périmètre constant, le chiffre d'affaires de Steria atteint 1,306 Md€, en progression de 4,2%. La SSII, spécialisée dans l'intégration de systèmes et l'infogérance, enregistre sa plus belle croissance organique en Allemagne (+12,1%). La France reste le pays qui lui rapporte le plus de revenu (534,3 M€), mais sa croissance a tendance à se tasser (+1,3% sur l'ensemble de l'année, et -3,3% pour le quatrième trimestre de l'année). Steria ne pense pas pouvoir tirer profit des synergies de chiffres d'affaires liées au rachat de Xansa avant 2009, mais pour 2008, le groupe se déclare « confiant dans sa capacité à générer une croissance organique de son chiffre d'affaires au moins égale à celle du marché des services informatiques européens ». Steria vise une marge opérationnelle de 8% d'ici la fin de l'année. Steria a également confirmé que l'acquisition de Xansa lui permettra d'asseoir sa position en Inde (Xansa y compte 5 000 salariés), d'étendre sa couverture géographique à d'autres régions de l'Asie, mais aussi de compléter son offre de services et de solutions de BPO (externalisation de la gestion de certains processus métiers). Le groupe français a d'ailleurs nommé un directeur général indien, Mukesh Aghi, qui rejoint également le comité exécutif de la SSII. Les résultats annuels complets de la SSII française seront publiés le 25 mars prochain. (...)

(18/02/2008 13:10:33)

Microsoft place le format doc sous son programme OSP

Sous la pression des utilisateurs et des développeurs, Microsoft a enfin décidé de faciliter l'accès aux spécifications des formats binaires de fichiers de ses anciennes versions d'Office. Les données techniques des formats de fichiers binaires de Word, Excel et Powerpoint, à partir d'Office 97, sont désormais disponibles sous le programme OSP (Open Source Promise) de l'éditeur. Un programme débuté en septembre 2006 par l'ouverture de spécifications WS qui garantit aux développeurs un usage sans risque et libre des technologies Microsoft placé sous ce projet. Si l'accès aux binaires était déjà possible sur simple demande par mail, comme l'indique Brian Jones, chef de produit Office, sur son blog, certaines institutions nationales lors du processus de normalisation d'Open XML à l'ISO avaient demandé à l'éditeur de réfléchir à un moyen plus simple d'ouvrir les binaires. L'Afnor, qui représentait la France, en a même fait un de ses chevaux de bataille, préconisant de fragmenter le format en deux parties dont une pour encapsuler le format de référence doc afin d'assurer une compatibilité ascendante. La décision de Microsoft d'en faciliter l'accès fait ainsi sauter un des verrous à la normalisation ISO. L'un des nombreux intérêts de cette initiative est également de faciliter le développement de passerelles entre des applications d'entreprise et Office, dont le format doc fait encore référence. Tout comme le développement de convertisseurs. (...)

(18/02/2008 13:07:02)

JBoss World : Red Hat veut remplacer Tuxedo

Red Hat a Tuxedo dans le collimateur. L'éditeur a annoncé sur JBoss World, conférence annuelle de ses utilisateurs de middleware, une série d'initiatives et de projets pour étoffer son offre, afin de pouvoir présenter au marché une solution Open Source complète. Red Hat veut ainsi offrir des outils de gouvernance Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Le premier projet lié à ce thème, JBoss.org DNA, est un référentiel basé sur les actifs de Metamatrix. Red Hat veut également faire émerger des outils d'administration, et s'est associé pour cela à Hyperic pour fonder RHQ, qui jette les bases d'une plateforme d'administration commune à tous les produits JBoss. Le premier produit à en bénéficier devrait être JBoss Operations Network v2.0, attendu pour ce printemps. L'annonce la plus importante est toutefois celle du projet BlackTie, qui vise rien moins que créer un moniteur transactionnel Open Source capable de remplacer Tuxedo, la star de BEA, au pied levé. La référence à Tuxedo est d'ailleurs explicite dans la communication de Red Hat, qui explique que les langages et protocoles supportés par Tuxedo le seront par BlackTie. D'une part parce que Tuxedo est de loin le leader du secteur, et qu'il faut donc se conformer au standard de fait établi par BEA. D'autre part [[page]]parce que l'objectif est clair : il s'agit de capter une partie des clients qui pourraient désirer se libérer de l'emprise d'Oracle. Et au passage, sachant que Tuxedo représente en revenus de maintenance une vache à lait pour BEA, cela pourrait priver Oracle d'une partie de ces revenus récurrents. Dans son blog, Marc Fleury, créateur de JBoss parti quelques mois après l'avoir vendu à Red Hat, s'enthousiasme pour cette décision « intelligente, opportuniste et agressive ». Qui lui rappelle, dit-il, la façon dont JBoss se comportait à ses débuts. Red Hat a par ailleurs profité de ce JBoss World pour réaffirmer sa volonté de devenir un acteur majeur sur le marché des SOA, en ouvrant un centre de ressources, et en repackageant son offre middleware sous le nom JBoss Enterprise SOA Platform. (...)

(18/02/2008 13:00:26)

L'Epitech ouvre quatre établissements en région

L'école d'ingénieurs en informatique Epitech poursuit sa stratégie de développement en région. Grâce à ce nouveau déploiement local, un étudiant pourra suivre le même enseignement dans dix capitales régionales différentes : le groupe d'enseignement supérieur Ionis Education Group - constitué de 15 écoles de commerce et d'ingénieurs (Ipsa Esme-Sudria, Epita....)- prépare en effet l'ouverture de quatre nouveaux établissements Epitech en région pour la rentrée 2008 : il s'agit de Grenoble, Montpellier, Nancy et Nice. Ces établissements viendront s'ajouter aux six écoles créées l'an dernier en province par l'Epitech, à Bordeaux, Lille, Lyon, et Nantes. Ainsi, les étudiants « Epitech » pourront demeurer dans leur région durant leurs trois premières années de formation en cycle Bachelor, avant d'intégrer le campus parisien pour y effectuer le dernier cycle d'enseignement, et obtenir le titre d'expert en informatique. Des moyens innovants seront parallèlement mis en oeuvre pour que ces élèves travaillent en étroite symbiose avec leurs camarades parisiens, malgré la distance. Le cursus de l'Epitech est divisé en deux parties : le cycle Bachelor Epitech (3 ans) qui a pour objectif de faire acquérir aux élèves la maîtrise de la gestion de projet, et le cycle « expert en informatique » (2 ans) qui prend en compte de manière systématique l'environnement de l'entreprise. Les dernières années impliquent une alternance école-entreprise croissante (2 à 3 jours par semaine), auxquelles s' ajoutent 18 mois de stage et une année entière à l'étranger (Chine, Inde, Russie en 2007), ouverte à tous ceux qui le souhaitent. (...)

(18/02/2008 10:28:33)

Le site de vidéo participative Seesmic lève 6 millions de dollars

Loïc Le Meur est un vrai gourmand de la Toile. L'entrepreneur français ne se contente pas du succès des sociétés qu'il a lancées ou financées (comme Looping, B2L, RapidSite, Tekora, Ublog puis SixApart...). Il vient de remporter un tour de table de 6 M$ pour Seesmic. Cette plateforme collaborative permet aux internautes de monter du contenu vidéo et de le diffuser sur différents sites communautaires ou multimédia. 2000 vidéos sont quotidiennement mises en ligne. Le principal investisseur de cette levée de fonds est Atomico (fondé par les créateurs de Skype Niklas Zennström et Janus Friis), accompagné d'une douzaine de « business angels ». (...)

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