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(03/12/2007 18:16:31)
Windows Vista fête son premier anniversaire sans éclat
Le 30 novembre 2006, Microsoft parvenait enfin à lancer Vista auprès de ses grands comptes clients. D'ultimes retards l'empêchaient d'en faire autant auprès du grand public avant le mois de janvier 2007. Malgré cinq années de gestation, le Windows le plus ambitieux d'une dynastie fondée en 1985 avec Windows 1.0 fête sa première année d'existence sans être parvenu à convaincre : trop lent et trop gourmand pour les critiques les plus objectifs, trop paranoïaque et trop hautain pour les opposants plus acerbes. Faute d'alternative facile à prendre (Linux est trop complexe pour les utilisateurs lambda et MacOS reste rivé à une plateforme unique), Microsoft jouait pourtant sur du velours. Sauf qu'il s'avère que, face à un OS aussi décevant - et au parc de logiciels compatibles aussi restreint - c'est Windows XP le concurrent le plus coriace. Microsoft clame avoir écoulé 88 millions d'exemplaires de Vista depuis son lancement. C'est peu à l'aune des plus de 250 millions de micros qui vont se vendre cette année, surtout si l'on se souvient que Microsoft a tout fait pour forcer la main des fournisseurs de PC et portables pour qu'ils ne laissent d'autre choix que Vista à leurs clients. Et 88 millions, c'est une goutte d'eau par rapport au parc installé. On n'entend d'ailleurs plus aucun responsable de Microsoft depuis janvier dernier pour pérorer sur le fait que Vista "outperfom" [fait mieux que] soit ses propres prévisions, soit XP en son temps. Microsoft a longtemps gardé le secret sur la date de sortie de la première mise à jour d'envergure, le Service Pack (SP), expliquant qu'il ne fallait pas l'attendre pour déployer Vista. Maintenant que le SP1 pour Vista arrive, c'est d'autant plus le moment de passer à Vista explique Microsoft. Pourtant, selon une batterie de tests réalisée par Devil Mountain Software, XP est plus performant que Vista, avec ou sans SP1 et quelque soit la quantité de mémoire mise à disposition des deux systèmes d'exploitation. L'écart, de un à deux, est incontestable. Bien sûr, Vista finira sans doute par équiper la majorité des micros. Mais il ne devra pas cette réussite à ses qualités techniques. Plus triste encore, comme le fait remarquer le blog technologie du Wall Street Journal, Vista aura perdu la guerre de l'opinion publique. (...)
(03/12/2007 18:04:20)Terminaux de paiement : Ingenico et Sagem Sécurité se rapprochent
Les fabricants français de terminaux de paiement Ingenico et Sagem Sécurité (filiale de Safran) viennent d'annoncer leur rapprochement. Les deux sociétés présentent leurs activités comme fortement complémentaires, tant du point de vue des gammes de produits, que de l'implantation géographique et des équipes commerciales. A eux deux, les fournisseurs ont réalisé en 2006 un chiffre d'affaires proforma de 646 M€. La transaction est soumise à l'accord des autorités de régulation de la concurrence, à l'approbation du conseil de surveillance de Safran qui doit se rassembler mi décembre, ainsi qu'à l'accord de l'assemblée générale des actionnaires qui sera convoquée en mars 2008. (...)
(03/12/2007 17:49:44)Ed Zander démissionne de Motorola
L'équipementier télécoms Motorola a annoncé vendredi la démission de son directeur général Ed Zander et son remplacement par Greg Brown, directeur général délégué du groupe, à compter du 1e janvier 2008. Ed Zander continuera néanmoins d'exercer ses fonctions de président du conseil d'administration de l'entreprise, jusqu'au mois de mai 2008. Pour Jeff Kan, un analyste indépendant basé à Atlanta, ce départ est la conséquence de l'échec partiel d'Ed Zander en tant que CEO d'une des plus importantes entreprises du secteur, au moment où le secteur des technologies a amorcé un virage, et où le groupe aurait dû être plus en phase avec les transformations des besoins de ses clients. « L'industrie de la téléphonie mobile évolue de plus en plus, sur le modèle de l'industrie de la mode, assure Jeff Kan. Ce qui est commercialement pertinent aujourd'hui, peut ne plus l'être demain. » (...)
(03/12/2007 17:49:52)Accenture craint la stagnation des projets SOA... pour mieux vendre BEA
Dans leur grande majorité, les promesses des architectures orientées services (SOA) ne se sont pas encore concrétisées. La faute reposant en partie sur le fossé qui existe entre directions métier et directions informatiques. Voilà, en résumé, les propos tenus par Donald Rippert, directeur technique d'Accenture, lors d'un séminaire chez BEA à l'occasion de l'ouverture du « Accenture Innovation Center for BEA ». Ce centre d'innovation, sis au siège de l'éditeur, a justement pour but d'aider les entreprises à combler ce fossé. Et cela doit être fait dans les 18 mois, a prévenu Donald Rippert, pour que les SOA ne connaissent pas le destin éphémère du hula hoop. Alfred Chuang, le PDG de BEA, a souligné de son côté avoir recherché cette association avec Accenture, car « de toute évidence, personne n'a conduit autant de changements technologiques qu'Accenture ». Le CTO d'Accenture fonde son analyse sur une vision de l'implémentation des SOA en quatre phases : commencer par écrire les interfaces à l'aide de XML, puis exposer l'existant sous forme de services Web, ensuite connecter ces services avec un ESB (Enterprise service bus), et enfin recourir au langage BPEL (Business process execution language for Web services) afin de pouvoir modifier le comportement d'une application sans entrer dans le code. Et pour Donald Rippert, les projets SOA sont aujourd'hui coincés à la phase deux. Difficile de contredire Donald Rippert quand il explique que les retours d'expérience en SOA ne sont pas encore légion, ou que toutes les promesses n'ont pas été tenues. Néanmoins, on pourra objecter que sa vision est extrêmement réductrice : des SOA sans XML, services Web ou ESB peuvent exister ; de même, baser systématiquement un projet SOA sur l'existant n'est pas forcément une bonne idée. Comme le préconisait le directeur du conseil d'Orchestra Networks lors de notre SOA Forum, il vaut mieux partir sur un projet avec l'idée de tout refondre à terme, car la valeur d'une SOA dépend de la valeur de l'existant informatique - si on se base dessus. Or, soulignait l'organisateur du symposium architectes de Capgemini il y a quelques jours, construire un système à partir des transactions existantes est un non-sens qui risque de mener les projets dans une impasse. (...)
(03/12/2007 17:42:04)Les Google Apps en mode déconnecté, dans les starting-blocks
Les Google Apps pourront bien être utilisées offline. A l'occasion d'une présentation sur l'avenir de la suite de Google relatée sur le blog du site YourSearchAdvisor.com, Scott Johnson, vice-président de Jotspot (outil de wiki social racheté par Google), a confirmé que l'édition de documents pourra être effectuée en mode déconnecté. Les Google Gears, plug-in Open Source pour navigateur, serviront de base pour réaliser cette prouesse. Gmail et Calender profiteront à terme du décloisonnement vers le offline. Scott Johnson assure également que les fonctions de versioning et synchronisation entre documents offline et online seront effectuées en toute transparence. On apprend enfin que Spreadsheet ne proposera jamais d'option analytique avancée « trop lourde pour l'utilisateur moyen ». Aucun calendrier n'est toutefois mentionné. (...)
(03/12/2007 17:32:21)Un Club pour accélérer l'adoption de la IT en TPE
Lancé le 27 novembre dernier, le Club de l'économie numérique a pour vocation de développer l'utilisation des nouvelles technologies dans les TPE françaises (2,5 millions en tout). Et il y a du travail à faire : 2 millions d'entre elles ne possèdent pas de site Web, seules 50 000 d'entre elles ont recours au commerce en ligne, 600 000 souffrent d'un manque évident en équipement informatique et un million ne sont même pas connectées à Internet. Créé à l'initiative d'Olivier Midière, fortement impliqué depuis plusieurs années sur des projets visant le même objectif, le Club de l'Economie Numérique regroupe des acteurs de tous horizons : constructeurs, éditeurs, intégrateurs, chambres consulaires, syndicats, opérateurs... Son but est d'« ancrer définitivement les 2,5 millions de TPE que compte la France dans l'économie numérique », souligne le président fondateur. Déjà créateur des site, salon et magazine « Ma petite entreprise.net », Olivier Midière précise que le club vise également à offrir un cadre de collaboration unique à des acteurs aux logiques souvent opposées. « Les défis à relever sont nombreux et c'est uniquement grâce à des partenariats croisés entre fournisseurs IT et réseaux d'appui que la France sera à même de rattraper son retard en matière d'équipement informatique dans les TPE. Nous sommes tout de même avant-dernier dans l'Europe des 25, juste devant la Roumanie ! », explique-t-il encore. Chaque membre du club reste libre de son implication, et bénéficie de services adaptés à ses besoins. Le club a par ailleurs créé un site Internet (sur lequel travaillent une dizaine de personnes) proposant plusieurs niveaux d'information (techniques de réduction des coûts grâce à Internet, actualités des TPE, dossiers plus généraux...). En fonction des options choisies, les membres du club paient une adhésion dont le montant s'échelonne entre 6 000 à 45 000 euros par an (pour les partenaires officiels, dont le logo apparaît sur le site). Le club s'articule autour de quatre départements : primo, un cercle de lecture numérique, lieu de prospective payant, réservé à dirigeants membres officiels. Secundo, un club de partenaires de l'économie numérique, dont le but est de signer des partenariats stratégiques entre fournisseurs IT et réseaux institutionnels. Tertio, un Forum des ambassadeurs, gratuit, rassemblant 1 000 conseillers d'entreprises variées et, enfin, une Channel Expert, groupe réservé à la distribution et réunissant 500 revendeurs et 2 500 agences Web. Le club compte actuellement 150 représentants (directeurs généraux, responsables commerciaux et marketing) et vise les 300 adhérents d'ici la fin de l'année. Une première rencontre avec le gouvernement devrait avoir lieu en février prochain, notamment en présence du premier ministre François Fillon. (...)
(03/12/2007 16:48:47)Forte demande autour des technologies Oracle et SAP, selon Freelance.com
D'après Freelance.com, prestataire informatique indépendant, les dix compétences demandées par les entreprises sur des missions ponctuelles est marquée, en cette fin d'année, par une prédominance des demandes autour de la mise en place de PGI.
Ainsi SAP et Oracle, avec près de 30% des demandes, sont en tête du peloton, avec des besoins sur des profils de responsables techniques ou chef de projet. Sur des modules achats (MM), gestion des ventes (SD), gestion (CO), ressources humaines (HR) ou encore maintenance (BW).
Sur Oracle, la demande concerne les spécialistes des progiciels de gestion intégrés (e-Business Suite) et de la base de données.
Absents du palmarès, les spécialistes de Windows et de . Net, les entreprises utilisant leurs ressources en interne pour répondre à des besoins ponctuels sur ces environnements Microsoft.
(...)
Activision Blizzard, naissance d'un poids lourd de l'industrie du jeu vidéo
Remous dans la sphère du jeu vidéo. Dans une transaction qualifiée d'historique, Vivendi s'est porté acquéreur, dimanche 2 décembre, de la majorité des actifs d'Activision. Une opération qui donne naissance à la société Activision Blizzard - Blizzard est le nom du studio de développement la plus populaire de la division Games de Vivendi -, mais surtout du plus gros éditeur de jeux vidéo mondial, non-affilié à une constructeur de console. Le montant de la transaction est évalué à 1,7 Md$ via un montage d'action et de numéraire, à l'issue de laquelle Vivendi prendra le contrôle de 68% d'Activision. Cette opération de croissance extérieure est notamment motivée par une fusion des offres, jugées complémentaires, des deux éditeurs. D'un côté, Activision reste le spécialiste des jeux pour consoles (notamment PS3 et Xbox 360) et a à son actif des standards du secteur (Tony Hawk, Call of Duty et Guitar Hero). D'un autre, Vivendi Games, via Blizzard, déteint la perle des jeux de rôle en ligne (MMORPG - Massively multiplayer online role-playing game), World Of Warcraft (WoW), qui se targue de posséder une base d'abonnés riche de quelque 9 millions de comptes. En outre, Activision bénéficiera de la forte présence de Vivendi sur les marchés asiatiques (Corée et Chine), qui viendra « étayer son leadership en Amérique du nord et en Europe », a déclaré Robert Kotick, actuel CEO d'Activision, dans un communiqué. La nouvelle entité devrait générer un CA pro forma de 3,8 Md$ pour 2007. Et ainsi détrôner le n°1 du secteur Electronics arts qui affiche un chiffre d'affaires de 3,1 Md$ lors de son dernier exercice fiscal. Robert Kotick prendra les rênes de la société commune, tandis que Bruce Hack, CEO de Vivendi Games, prendra la position de vice-président et dirigera les opérations liées à la fusion. (...)
(03/12/2007 15:17:36)L'espionnage de Facebook encore pire que ce que l'on croyait
Sous prétexte d'alimenter son moteur à publicité comportementale, Facebook, le dernier réseau social à la mode, a mis en en place un véritable système de violation de la vie privée. C'est ce que vient de découvrir un chercheur en sécurité de chez Computer Associates (CA). Il s'avère que l'outil maison Beacon, censé soi-disant collecter les informations comportementales (et commerciales) des adhérents avides de visibilité, espionne en fait tous ceux qui s'inscrivent à Facebook, qu'ils le veuillent ou non. Et ce en permanence. Les informations collectées sont avant tout destinées aux sites commerciaux partenaires qui bénéficient d'un "profiling" d'autant plus précis qu'il est permanent et secret. (...)
(03/12/2007 15:08:40)Les collégiens des ZEP participent à un projet de téléphonie mobile
Cent vingt collégiens sont devenus les acteurs d'un programme de découverte professionnelle liée à la téléphonie mobile. Ces élèves, issus des collèges du réseau « ambition réussite » situés en zone d'éducation prioritaire, vont pouvoir découvrir, au cours de l'année scolaire 2007-2008, les aspects technologiques, les processus de conception et les professions liées à la création d'un téléphone, grâce au projet Mobi3. Lancé par les associations IMS-Entreprendre pour la Cité et Engage Network, avec Dassault Systèmes, DLA Piper, IBM, Nokia et SFR et le Ministère de l'Education Nationale, ce projet va conduire les collégiens à plancher sur la création d'un mobile en utilisant un logiciel de conception 3D, et à développer une méthodologie liée à la conception du produit. Le programme met en avant le rôle complémentaire joué par l'ensemble des partenaires du projet dans le cycle de vie d'un mobile (du design à la commercialisation et au recyclage). Ainsi, les collégiens devront concevoir un prototype de téléphone mobile en utilisant le logiciel de conception 3D de Dassault Systèmes. De son côté, Nokia apportera sa vision des techniques et des métiers du marketing, ainsi que de la filière production et logistique. Les jeunes apprendront comment commercialiser un produit mobile en définissant son prix, les spécificités du produit, les canaux de distribution et la stratégie de promotion. Egalement au programme, la planification des étapes de production, la gestion des commandes et celle des stocks. IBM, de son côté, montrera aux élèves comment gérer et mettre en place le système d'information, en effectuant parallèlement une présentation des métiers liés à l'ingénierie et aux télécommunications. Enfin, SFR présentera les cycles de vente du produit et de l'offre associée, tandis que le cabinet d'avocats DLA Piper enseignera les aspects juridiques qui encadrent la mise sur le marché des téléphones mobiles, notamment les droits de la propriété intellectuelle. A la fin de l'année scolaire 2007-2008, les équipes présenteront leur projet à un jury constitué des partenaires de ce programme. (...)
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