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(26/11/2007 17:45:06)
Le télétravail, c'est bon pour les salariés et leurs employeurs
Deux chercheurs de l'Université de Pennsylvanie ont analysé 46 études portant sur le travail flexible sur les 20 dernières années et publié les résultats de leur recherche dans le journal Applied Psychology, édité par l'APA (American Psychological Association). Ils se sont appuyés sur des données fournies par 12 833 télétravailleurs : « Les résultats montrent que travailler chez soi a un impact positif sur les salariés, car ils ont le sentiment d'avoir plus de contrôle sur la façon dont ils travaillent, commente Ravi S. Gajendran, chercheur à l'Université de Pennsylvanie. Les télétravailleurs ressentent plus de satisfaction dans l'accomplissement de leurs tâches que leurs collègues sédentaires. Ils sont moins stressés, car ils parviennent à bien équilibrer leur job avec leur vie de famille, et atteignent de bien meilleurs objectifs que leurs collègues qui restent au bureau. » Cependant, les travailleurs à distance pensent qu'il est essentiel d'aller au bureau pour entretenir le contact humain En outre, si le télétravail n'a pas d'impact direct sur les relations entre les salariés et leurs managers, les personnes qui travaillent chez elles trois jours par semaine, voire plus, constatent une détérioration de leurs relations avec leur collègues de travail. (...)
(26/11/2007 17:30:49)Rapport Olivennes : les FAI rassurés
Les fournisseurs d'accès à Internet se réjouissent du contenu du rapport Olivennes, qui ne les place pas en première ligne - comme ils le redoutaient - dans le processus de sanctions adressées aux internautes. « On a été entendus, explique Dahlia Kownator, la déléguée générale de l'AFA (Association des fournisseurs d'accès et de services Internet). Les FAI sont désireux de participer à la lutte contre la piraterie sans qu'on leur fasse assumer un rôle de gendarme qui n'est pas le leur et contraire aux principes fondateurs du droit français. » De nombreux observateurs craignaient en effet que les conclusions du rapport prêtent lieu à une privatisation de la justice en faisant reposer sur les FAI le soin de constater les infractions auxquelles s'adonnent certains internautes. « Nous avions mis en garde sur ces éventuelles dérives, poursuit Dahlia Kownator, nous sommes des personnes privées, ce n'est pas à nous à faire appliquer la justice. » De fait, ce rôle incombera à une instance issue de l'Autorité de régulation des mesures techniques (créée dans le cadre de la DADVSI), qui disposera de pouvoirs de sanction pouvant aller jusqu'à la résiliation des abonnements aux FAI. Une mesure à laquelle n'est guère favorable l'AFA : « la suspension ou la résiliation nous semblent un peu extrêmes, nous avions plutôt proposé la mise en place d'une contravention ». Avant d'en arriver à cette mesure, les internautes seront avertis. Des messages « pédagogiques » leur seront adressés via les FAI afin qu'ils cessent leurs agissements. « Nous avons toujours soutenu la mise en place de ces messages. Aux Etats-Unis, 70% des internautes abandonnent leur pratique [délictueuse] après le premier avertissement », souligne la déléguée générale de l'AFA. En ce qui concerne le filtrage des réseaux pair à pair, en revanche, la voix des FAI se fait discordante. Alors que le rapport Olivennes prévoit la mise en place, à titre expérimental, d'une solution de flitrage, les fournisseurs d'accès jugent cette proposition inapplicable. « Elle pose d'abord de gros problèmes de compatibilité avec le droit français et européen, notamment la CEDH (Convention européenne des droits de l'homme). Surtout, dès qu'il y a chiffrement de paquets, on ne peut opérer de filtrage sur les réseaux P2P », précise Dahlia Kownator. Des limites légales et techniques rendraient donc délicate la mise en place du filtrage, pourtant réclamé par les ayants droit. « Le rapport évoque une expérimentation sur deux ans. Ce sera suffisant pour démontrer aux ayant droits que c'est impossible », conclut la délégué générale de l'AFA. (...)
(26/11/2007 17:11:04)BO ajoute le suivi de la performance financière à son offre Edge
Avec BusinessObjects Edge Planning, application de gestion de la performance financière destinée aux entreprises de taille moyenne, Business Objects complète sa gamme d'offres décisionnelles taillées pour les PME (de 100 à 1 000 collaborateurs), lancée à l'échelle mondiale début 2007 et déjà composée de trois produits. Cette fois-ci, l'éditeur apporte des outils de planification, de gestion de budget et d'analyse prévisionnelle (avec des fonctions de type « what if » - « que va-t-il se passer si ? »). La solution peut s'utiliser seule (à partir de 25 000 $ pour dix utilisateurs incluant la première année de maintenance, le support et la formation). Elle peut aussi venir compléter l'une des trois offres précédemment livrées, BusinessObjects Edge Standard, Professional et Premium, constituées d'outils de requête, de reporting et d'analyse de données. Rappelons que l'un des intérêts de ces « packages » pour PME est de se présenter sous la forme d'une suite de logiciels décisionnels déjà intégrés entre eux, ce qui facilite leur mise en place dans des structures qui ne disposent pas toujours d'une équipe informatique très étoffée. Les trois premières offres Edge se différencient principalement par leurs capacités de déploiement et leurs fonctions d'administration. La troisième, Premium, tout juste livrée, dispose aussi de fonctions de tableaux de bord avancées par rapport aux deux autres. (...)
(26/11/2007 16:59:40)Pour Torvalds, la flexibilité est la force de Linux
Pour Linus Torvalds, au-delà de tout argument idéologique, la force de Linux par rapport aux autres systèmes d'exploitation - et notamment Windows - tient en un mot : flexibilité. « C'est la plus grande force de Linux. Quand vous achetez un système d'exploitation chez Microsoft, non seulement vous ne pouvez le réparer seul, mais il a été développé pendant des années en suivant la vision du marché (Ndlr, et de ses besoins) d'une seule entité », affirme-t-il dans une interview accordée par courriel à InformationWeek. « Par contraste, regardez où Linux est utilisé. Des téléphones portables ou des appareils embarqués si petits que personne ne songerait à les appeler ordinateur, jusqu'aux plus gros supercalculateurs du Top 500 ! Et tout cela vient du fait que toute personne intéressée peut participer à son développement et qu'aucune entité ne contrôle la direction qu'il prendra. » Pas même Linus Torvalds. Il se décrit lui-même comme « absolument pas intéressé par la virtualisation », mais reconnaît que ce sera un axe de développement important pour Linux en 2008, tout en affirmant qu'il ne faudra pas s'attendre à un modèle de virtualisation en « taille unique » pour couvrir tous les besoins des entreprises. Un autre axe de développement important pour le noyau est la compatibilité avec les nouveaux matériels arrivant en 2008. « La situation dans les domaines graphiques et les réseaux sans fil évolue vite et je pense que cela sera une part importante de notre travail en 2008. » Personnellement, il s'intéresse plus aux disques SSD à base de mémoire flash : « Je crois fermement à la réduction du temps de latence, et certains des meilleurs SSD changent totalement la donne dans ce domaine, ce qui peut avoir de gros impacts pour le noyau. Bien qu'ils soient actuellement si chers qu'ils ne peuvent être que des acteurs mineurs, cela risque de changer en 2008 et dans les années à venir. » (...)
(26/11/2007 16:43:38)Un programme pour pirater les conversations en VoIP
Pour démontrer les vulnérabilités de la VoIP, Peter Cox, cofondateur et ancien directeur technique de Borderware, fournisseur de solutions de sécurité, vient de mettre au point un programme capable de pirater les conversations téléphoniques sur IP. Baptisé SIPtap, ce programme relève du « proof of concept » ou, traduit littéralement, « preuve par le concept ». Ne vous attendez donc pas à le trouver sur les étagères des magasins, l'idée n'est pas de pousser la population à pirater les conversations téléphoniques mais de prouver que c'est possible. SIPtap permet en effet de contrôler plusieurs flux transitant en VoIP, d'écouter discrètement les conversations et même de les enregistrer sous forme de fichier .wav. Tous les fichiers ainsi récupérés sont classés par utilisateur, date d'enregistrement, heure, etc., soit autant d'informations qui peuvent s'avérer très utiles pour des cybercriminels. Le danger est d'autant plus grand que l'utilisation de ce programme est très simple selon son concepteur : il suffit d'infecter une machine dans un réseau pour avoir accès aux communications en VoIP. Pire, d'après Peter Cox, SIPtap pourrait même être installé directement chez un fournisseur et donc servir à écouter des conversations qui transitent par le prestataire. On imagine aisément le risque que représente ce type de programme s'il venait à se développer. Toutefois, il convient de relativiser ce danger, l'attaque étant somme toute assez similaire à celles que les entreprises connaissent déjà. En d'autres termes, s'il faut retenir une leçon de cette expérience, c'est très probablement que les flux VoIP sont aussi vulnérables que les autres flux IP et que, à ce titre, ils doivent être protégés. (...)
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