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(13/11/2007 12:24:45)
Avec Nexen, Alter Way se dote d'une brique hébergement
La SSLL Alter Way annonce le rachat de Nexen Services, une société spécialisée dans l'hébergement Open Source (applications critiques, comme celles liées au e-commerce), pour un montant non communiqué. Il s'agit là de la quatrième acquisition de la société en l'espace de quelques mois (après Ingeniweb, ECL IP'S Software et Solinux, en juillet dernier). « L'arrivée de Nexen au sein de notre groupe nous permet de proposer à notre clientèle une offre de services complets, de la gestion de contenu à l'infogérance, en passant par le management et l'hébergement, le tout 100% en Open Source », détaille Philippe Montargès, président et co-fondateur de la société. Nexen Services apporte également à la SSLL un portefeuille de quelque 250 clients situés dans les médias et de la presse, un secteur qu'Alter Way n'adressait pas jusqu'à présent. La direction d'Alter Way a par ailleurs précisé qu'elle n'excluait pas l'éventualité de procéder à une cinquième acquisition au début de l'année 2008. « Nous souhaitons nous doter d'expertises en matière de GED (gestion électronique des documents) et étendre notre couverture nationale », a ajouté le président d'Alter Way (pour le moment, la SSLL est essentiellement présente en région parisienne et dans la Somme, via Solinux). Dans ce but de croissance organique, la société compte réaliser une deuxième levée de fonds d'ici l'été 2008 (la première levée lui avait rapporté 2 M€ en février 2008). Du côté de Nexen Services, ce rapprochement permet à la société d'élargir sa palette d'expertises techniques et de renforcer sa présence auprès des grands comptes. Créé en juillet 2006, Alter Way emploie actuellement 65 personnes et devrait réaliser un chiffre d'affaires de 5 M€ en 2007. La société espère doubler ce chiffre en 2008. (...)
(13/11/2007 11:55:38)Integration World 2007 : Software AG se dit à l'abri d'une OPA
A l'occasion de l'édition 2007 d'Integration World, Karl-Heinz Streibich, PDG de Software AG, a souhaité mettre l'accent sur la robustesse de son groupe en rappelant que dans un contexte de concentration acerbe - avec Oracle qui s'est porté acquéreur de BEA -, Software AG était à l'abri d'une OPA hostile. « 30% de Software AG appartient à une fondation financée par Software AG. Nous sommes protégés contre un rachat hostile. C'est très important pour nous car nous sommes en voie de consolidation. » Et d'ajouter, un brin fanfaron : « Nous avons le potentiel de devenir aussi gros que SAP », en se basant sur l'évolution de son compatriote allemand. Qui réalise deux fois et demi le CA annuel de Software AG et WebMethods en un seul trimestre. Si Karl-Heinz Streibich n'exclut pas de petits rachats notamment pour compléter le portefeuille technologique, il prétend ne pas pouvoir prédire une importante opération de croissance extérieure. A l'image du rachat de WebMethods. « Software AG est animé par quatre leviers de croissance : optimisation des ventes, expansion géographique, son réseau de partenaires et enfin les acquisitions. Mais ce dernier point n'est que le quatrième levier. WebMethods a été un gros rachat. Mais vous ne pouvez pas les prévoir. Cela s'est présenté, nous l'avons fait et réalisons une intégration réussie [...]. Oui nous pourrions réaliser de grosses acquisitions, mais cela ne peut pas être prévu. Une chose est claire. La fusion avec WebMethods est idéale pour Software AG en termes de stratégie, de portefeuille technologique et de savoir-faire. Il sera très difficile de trouver une acquisition importante aussi idéale. » Tout en confirmant que Tibco, un des ses principaux concurrents sur le marché avec IBM, n'est pas une cible pour le groupe. (...)
(13/11/2007 11:39:29)OpenWorld : applications composites et virtualisation de serveurs
Pas moins de 42 000 personnes se sont enregistrées cette année pour participer à OpenWorld, la conférence utilisateurs qu'Oracle tient à San Francisco, du 11 au 15 novembre. Pour l'occasion, l'éditeur n'a pas hésité à couper à la circulation automobile une portion de la très passante rue Howard, qui jouxte le Moscone Center, afin d'y planter d'immenses tentes. Lundi matin, devant un auditoire de quelque 8 000 participants, le président Charles Phillips a dévoilé les premières annonces, principalement concentrées sur l'intégration entre applications et sur la toute prochaine disponibilité d'une offre de virtualisation de serveurs. Baptisée Oracle VM, celle-ci exploite une partie de la technologie Open Source de Xen. Téléchargeable gratuitement à partir du 14 novembre, Oracle VM est destinée à agréger les différentes ressources informatiques disponibles. Le produit fonctionne avec une grande partie de l'offre applicative d'Oracle : les progiciels de gestion intégrés E-Business Suite versions 11.5.10 et 12, PeopleSoft Enterprise 9 .0, Oracle Siebel CRM 8, ainsi que l'offre décisionnelle Hyperion 9.3.1. Cette solution de virtualisation s'utilisera avec les bases de données version 10.2.0.3 et 11.1, le serveur d'application maison (v.10gR2 et R3), ainsi qu'avec la console d'administration Oracle Enterprise Manager. Elle s'accompagne d'une offre de support annuelle 24x7 tarifée à 499 $ jusqu'à deux processeurs et à 999 $ pour un nombre illimité de processeurs. Quant aux annonces portant sur l'intégration, elles étendent aux partenaires la portée de AIA (Application Integration Architecture), ensemble d'outils pour constituer des applications composites qu'Oracle a annoncé en avril dernier. Rappelons qu'AIA fournit des packs de processus prêts à l'emploi conçus pour relier entre eux des modules fonctionnels du catalogue d'Oracle et, même, d'offres tiers. L'éditeur a également présenté des packs de processus pré-établis destinés à faciliter l'intégration entre des applicatifs Oracle et SAP pour les entreprises exploitant les deux offres. Parmi les packs déjà disponibles figurent « Siebel CRM to SAP », « Agile PLM to SAP », « Hyperion to SAP », « Oracle Utilities to SAP » (pour les fournisseurs d'énergie) et, enfin, « Oracle communications Billing and Revenus Management to SAP », destiné aux opérateurs de télécommunications utilisant l'offre de facturation d'Oracle. Larry Ellison célèbre les trente ans d'Oracle La veille, c'est Larry Ellison lui-même, co-fondateur d'Oracle en 1977, qui a ouvert l'édition 2007 d'OpenWorld. Pour les trente ans de sa société, il a relaté par le menu, facétieusement, les multiples péripéties qui ont émaillé sa création. La soirée était dédiée à Bob Miner, autre co-fondateur (avec Ed Oates et Bruce Scott), mort en 1994. Larry Ellison a expliqué comment il avait fait le siège du domicile de Bob Miner, pendant des jours, afin de le convaincre de fonder une structure pour développer un logiciel commandé par Precision Instruments. Un premier contrat, signé à un tarif trop bas par les novices qu'ils étaient alors. La base de données fut ensuite conçue à l'occasion d'un contrat avec la CIA, première occasion de mettre un costume pour les nouveaux entrepreneurs ou « au moins, des pantalons », a plaisanté Larry Ellison. Le fondateur a aussi narré les doutes de Bob Miner sur la nécessité d'embaucher un commercial ou encore le recrutement, au poste de directeur financier, du livreur de pizzas qui les sustentaient lors des longues soirées de travail. (...)
(13/11/2007 09:27:56)Weavlink, un réseau social pour les grandes écoles françaises
A l'heure où les réseaux sociaux et les plateformes dédiées fleurissent à tous les coins de rue, un nouvel acteur vient de faire son apparition en France : Weavlink, édité par la société du même nom, est un réseau social orienté grandes écoles. « Au sein des réseaux sociaux, manquait la dimension "annuaire", note Jean Mariotte, co-fondateur de la plateforme. C'est dans cette optique que le projet Weavlink est né : permettre la mise en relation entre les élèves, les anciens élèves et les recruteurs et mettre ainsi le relationnel au coeur du processus de recrutement.» Weavlink permet ainsi de développer un réseau au gré de ses rencontres, le socle de base restant l'école d'origine. L'outil va au delà de sa fonction d'annuaire en ligne, en proposant un service de mise en relation entre les élèves, anciens élèves et les recruteurs pour trouver de nouvelles opportunités professionnelles, décrocher un emploi, et également parrainer ou se faire parrainer. L'objectif est de permettre aux recruteurs de percevoir qui est réellement le candidat, en donnant également à ce dernier la possibilité de connaître la réalité professionnelle qui se cache derrière la description d'une offre. Ainsi, Weavlink offre la possibilité de publier ou de consulter des profils « enrichis » (élèves, anciens élèves, recruteurs, professeurs), d'accéder aux offres sur l'espace emploi, de joindre des vidéos de présentation (profils, activités, offres) et de partager des carnets d'adresses. Mis en place à l'Ensam (Ecole nationale supérieure des arts et métiers), Weavlink devrait équiper les communautés de Supelec, de Telecom INT, et de l'ESC Toulouse, d'ici au mois de décembre. Objectif d'ici un an : mettre en place les communautés des plus grandes écoles de commerce et d'ingénieurs de France. (...)
(13/11/2007 09:30:48)La publicité en ligne, un marché convoité mais limité
A l'occasion du Forum des médias, qui s'est déroulé ce week-end à Monaco, Maurice Levy, patron de Publicis, a mis en garde les annonceurs contre l'engouement du marché publicitaire sur Internet. D'après le Financial Times, « beaucoup trop de gens élaborent des projets basés sur la publicité en ligne. Ils pourraient être déçus, car il n'y a pas assez d'argent pour tout le monde », a déclaré le patron du premier groupe publicitaire français. En d'autres termes, le web 2.0 pourrait bien connaître le même avenir que l'Internet des années 1990-2000. Depuis quelques mois, les ténors du secteur multiplient les investissements dans la publicité en ligne. Microsoft a injecté 250 M$ dans Facebook. AOL a racheté Quigo pour améliorer sa régie publicitaire. MySpace, Yahoo puis Facebook se sont dotés d'outils de publicité comportementale. (...)
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