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(08/11/2007 18:13:58)
Red Hat se met en grande pompe à la virtualisation
A l'occasion du lancement de la version 5.1 de son RHEL (Red Hat Enterprise Linux), Red Hat a dévoilé une intéressante stratégie autour de la notion de virtualisation prise dans son acception la plus large. Outre l'intégration de l'hyperviseur Xen, l'éditeur annonce ses projets d'appliances virtuelles et de mise à disposition de RHEL 5.1 sur la grille EC2 d'Amazon. Cet ensemble laisse espérer aux dirigeants de Red Hat qu'ils parviendront à plus que doubler leur part du marché des serveurs. Selon eux, à l'horizon 2015, un serveur sur deux devrait tourner sous RHEL. La version 5.1 de la distribution Linux de Red Hat intègre l'hyperviseur de Xen et exploite les dernières extensions du microcode des processeurs d'Intel et d'AMD. Cette 5.1 peut supporter des VM (machines virtuelles) sur Windows XP, 2000 et 2003 Server ainsi que sur la bêta de 2008 Server. C'est sur RHEL 5.1 que reposera Red Hat Appliance Operating System (AOS), une version compactée de Linux pour packager des appliances logicielles virtuelles (voir notre encadré ci-dessous). Red Hat promet RHAOS pour la mi-2008. A noter que chez Ubuntu, l'équivalent de RHAOS s'appelle JeOS (Just Enough Operating System). Linux dans les nuages : entre 21 et 94 cents par heure et par utilisateur Enfin, l'éditeur a signé un partenariat avec Amazon pour mettre à disposition RHEL 5.1 sur son Elastic Cloud Computing (EC2), service d'accès à distance à des ressources système. La bêta de ce service ne sera pas accessible avant la fin de l'année, mais Red Hat annonce déjà des tarifs. L'abonnement sera de 19$ par utilisateur et par mois avec une facturation à l'usage suivant les ressources de traitement, de bande passante et de stockage utilisées. Les prix oscillent entre 21 et 94 cents par heure et par utilisateur. Ces prix devraient avoir beaucoup bougé d'ici à ce qu'il soit possible d'envisager l'accès à RHEL 5.1 via EC2 en France. Probablement vers la fin de l'année prochaine. D'ici là, Red Hat, qui revendique 18 000 serveurs sous RHEL faisant tourner des VM, prévoit que l'intégration de Xen devrait porter ce chiffre à 50 000 dans les mois à venir. (...)
(08/11/2007 17:50:33)La version 6 d'AIX, l'Unix d'IBM, sort de bêta
La très attendue version 6.1 d'AIX, l'Unix d'IBM, arrive avant la fin de la semaine. Les principales améliorations de cette version portent sur le support complet de la virtualisation. AIX 6.1 sait en particulier tirer profit de l'hyperviseur embarqué dans les processeurs Power 6. Il sera possible en particulier de déplacer des machines virtuelles d'un processeur à un autre sans interrompre leur fonctionnement. (...)
(08/11/2007 17:28:53)Nominations et fusion lors de la prochaine AG de GFI
La SSII française GFI Informatique va soumettre trois propositions au vote de ses actionnaires, lors de sa prochaine assemblée générale, le 14 décembre prochain. La première concerne la nomination de trois nouveaux membres au sein du conseil d'administration. Deux d'entre eux, Patrick de Giovanni et Gilles Rigal, font partie du fonds d'investissement Apax Partners, principal actionnaire de la SSII. Cette AG permettra également d'entériner (ou pas) le projet de fusion avec la filiale Algoriel, spécialisée dans le conseil et l'ingénierie en sécurité. Enfin, la troisième résolution à débattre porte sur le passage de 65 à 70 ans de l'âge limite du président du conseil d'administration. Le verdict intéressera plus particulièrement Jacques Tordjman, l'actuel P-dg de la société, âgé de 66 ans. GFI Informatique vient de publier les résultats de son troisième trimestre faisant apparaître une croissance de 9,7 % sur son chiffre d'affaires, à 159,1 M€. Sur les neuf premiers mois de son exercice fiscal, la SSII a enregistré un chiffre d'affaires de 491,1 M€, en progression de 5,6 %. (...)
(08/11/2007 17:25:57)Intel lance avec EMC une offre OEM de stockage pour PME
Intel vient de présenter son nouveau système de stockage NAS (Network Attached Storage) à destination des PME. Baptisé « Helena », ce stockage se présente sous deux versions. La première, la SS4200-EHW, n'est qu'une boîte matérielle sans logiciel. Et la deuxième, la SS4200-E, embarque les logiciels Lifeline d'EMC, soit une distribution Linux et des applications dédiées pour faire fonctionner ce système de stockage en NAS dans un environnement mixte comprenant des PC sous Windows ou des Mac. Dans les deux cas, « Helena » se présente sous la forme d'un boîtier grand comme une mallette. Il est basé sur un processeur Celeron doté de mémoire DDR2 et d'emplacement pour quatre disques durs internes (de 80 Go à 1 To chacun), et d'un port e-SATA pour y ajouter éventuellement des disques externes. Ces deux produits sont fournis comme « boîtes blanches » par Intel à ses partenaires commerciaux, qui pourront les habiller à leurs couleurs. Ils devraient être vendus dès décembre pour un prix commençant aux alentours de 100 dollars. La version nue pourra également être commercialisée pour le grand public, car elle est certifiée compatible avec Windows Home Server. Plusieurs constructeurs ont récemment manifesté un intérêt certain pour le stockage pour les PME. Hitachi a ainsi annoncé son Simple Modular Storage Model 100 hier, pour fournir une solution de stockage sans maintenance informatique obligatoire. Et Dell, qui vient d'acquérir EqualLogic, a lancé en septembre dernier une ligne de stockage dédiée aux PME. (...)
(08/11/2007 17:13:21)Rentrée des premiers correspondants informatiques et libertés à l'Isep
Il existe encore peu de formations autour de la protection des données à caractère personnel en France. Pour contribuer à inverser la tendance, l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris) a ouvert son premier Mastère spécialisé en management et protection des données à caractère personnel, accessible en formation initiale et continue (niveau d'admission : bac +5). L'accent a été mis sur le caractère professionnel et pratique à l'exercice du métier de Correspondant informatique et libertés (CIL), à travers un volume total de 420 heures et un stage de quatre mois minimum. L'enseignement s'articule autour de quatre modules : les fondamentaux techniques, les fondamentaux juridiques, la pratique du métier et les spécificités sectorielles. Une session baptisée « projets transversaux » aborde également l'évaluation du risque et la tenue du registre, ainsi que la préparation d'un contrôle CNIL ou encore de dossiers de déclaration ou d'autorisation en interne. Des experts du secteur - docteur en droit, avocat, CIL, spécialiste en droit des nouvelles technologies, ingénieurs - interviennent dans le cadre de ce cursus, dont les tarifs démarrent à 8 700 € pour les jeunes diplômés. (...)
(08/11/2007 16:12:39)La France, future pépite d'or de l'offshore indien, selon Forrester
Les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à se laisser séduire par les prestations offshore de SSII indiennes (services de maintenance, développement, engineering, implémentation...). Même si, pour l'instant, la majorité d'entre elles trouve plus confortable d'externaliser la gestion de leur service informatique auprès de sociétés compatriotes, voire européennes. C'est ce que révèle une étude publiée par le cabinet d'études américain Forrester. Pour étayer son analyse, ce dernier s'est penché sur le cas de six sociétés de services indiennes parmi les plus en vue : Cognizant, HCL, Infosys, Satyam, Tata Consultancy Services et Wipro. Il a passé au crible l'ensemble de leurs données clés : chiffre d'affaires, stratégie d'investissement, engagement en terme de ressources humaines, et a même interrogé quelques-uns de leurs plus gros clients/prospects. Les conclusions sont « surprenantes » d'après les termes même de l'étude. Si les sociétés de services indiennes s'intéressent depuis des années à l'Europe (notamment en raison de la forte valeur de l'euro), ce qui est plus récent en revanche, c'est leur intérêt grandissant pour la France. A première vue, les chiffres d'affaires réalisés par ces sociétés dans l'Hexagone semblent dérisoires (pas plus de 3% de l'ensemble des revenus enregistrés en Europe, dans le meilleur des cas). Mais ces chiffres ne sont pas révélateurs de la réalité du terrain. Toujours d'après le cabinet d'étude, les revenus des SSII indiennes y sont en constante progression et la France serait même en passe de devenir leur nouvel eldorado. Des sociétés qui s'investissent pour séduire leur clientèle Du côté indien, la raison de cet engouement français est simple. Ces sociétés de services considèrent l'Hexagone comme « une source de revenus encore mal exploitée », contrairement à la Grande-Bretagne, par exemple, qui représente déjà jusqu'à 75% de leurs chiffre d'affaires européen. Forrester pense même que des prestataires comme Cognizant (qui emploie douze personnes à plein temps à Paris), Infosys ou TCS s'apprêteraient à placer le développement du marché français au coeur de leurs priorités. [[page]] D'autres sociétés concentrent leurs efforts sur la France pour des raisons purement logistiques : elles y sont déjà installées. TCS, par exemple, y opère depuis novembre 2006, suite à l'acquisition de 75% du capital de TKS-Teknosoft. De son côté, Wipro a profité de deux acquisitions européennes pour s'y développer rapidement, grâce au portefeuille de clients français apportés par ces rachats. La SSII dispose actuellement de bureaux à Paris, à Lille, ainsi que d'un centre de recherche à Sophia Antipolis. Satyam a, pour sa part, opté pour un roulement du personnel. Quinze collaborateurs sont présents en France, mais changent en fonction des phases des projets en cours. Différences de culture et de langue ne constituent plus une barrière Du côté des entreprises hexagonales, ce sont les niveaux de compétences (jugés élevés), le respect des délais et la compétitivité des tarifs qui remportent les suffrages auprès des DSI. Même les différences culturelles et la barrière de la langue ne représentent plus un obstacle. D'ailleurs la plupart des sociétés de services indiennes mettent un point d'honneur à pratiquer le français. Chez Cognizant par exemple, on dénombre une dizaine de personnes bilingues, et la société a même mis en place un programme d'apprentissage du français. (...)
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