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(29/10/2007 17:34:27)

Les syndicats d'Alcatel-Lucent appellent à débrayer

Les fédérations syndicales CGT, CFDT et CFTC d'Alcatel-Lucent appellent les salariés du groupe à cesser le travail pendant une heure, mercredi 31 octobre. Cette mobilisation interviendra au lendemain du conseil d'administration de l'équipementier des télécommunications. En effet, mardi 30, la directrice générale Patricia Russo commentera les résultats du 3ème trimestre et annoncera les prévisions du 4ème trimestre. Elle présentera également les grandes lignes d'un nouveau plan d'urgence, à la demande du conseil d'administration. Pour les organisations syndicales, ce plan d'urgence pourrait signifier l'arrêt de projets, l'externalisation ou la vente d'activités, et la fermeture de sites. Ce qui donnerait lieu à une nouvelle vague de suppressions d'emplois. (...)

(29/10/2007 17:08:55)

eBay met aux enchères son espace publicitaire TV

Le moins que l'on puisse dire du processus publicitaire mis en place par eBay, c'est qu'il est ingénieux et probablement lucratif si les clients adhèrent au principe ! eBay aurait en effet acheté des espaces publicitaires sur TF1, M6 et Canal Plus pour les proposer aux enchères sur son site. Le client désireux d'acquérir une partie de cet espace publicitaire pour le produit qu'il a mis en vente sur eBay est invité à surenchérir. L'heureux gagnant obtiendra le droit d'aller tourner un spot dans les studios d'eBay pour présenter son produit. Le spot est ensuite diffusé sur une chaine de télévision. eEBay fait ainsi d'une pierre deux coups en apportant un service novateur à ses clients tout en assurant indirectement sa propre publicité à la télévision. Reste à savoir si l'enchère montera suffisamment pour qu'eBay amortisse son investissement initial ... (...)

(29/10/2007 16:28:54)

Avec Doc@Post, La Poste couvre la chaîne du flux documentaire

Forte d'une expertise dans le domaine de la gestion documentaire, La Poste capitalise sur son savoir faire pour mettre en place, dans le secteur des services aux entreprises, une approche globale allant de la dématérialisation du document reçu jusqu'à l'édition, l'envoi et la distribution de courrier, en prenant en compte le suivi de la vie électronique d'un document, sans oublier les échanges, l'archivage ou encore la traçabilité et la préservation de la valeur juridique. Pour ce faire, La Poste vient de regrouper neuf filiales existantes au sein de Doc@Post. Aux côtés d'Aspheria & Orsid, spécialisées dans l'externalisation documentaire, l'archivage électronique et la publication en ligne, on trouve ainsi CertiNomis pour la gestion des certificats, Dynapost pour l'externalisation du courrier et du document, ou encore LADSERVICES, spécialisée dans le traitement automatisé des courriers par reconnaissance optique. La filiale Maileva expédie des courriers électroniques sous enveloppe à la demande et propose de l'archivage de documents. Seres est spécialisé dans l'échange de données informatisé (EDI) et SF7 sur l'externalisation de la gestion de la relation client. Enfin, ISC (Ingénierie Solutions Courrier) dispense du conseil sur les projets de gestion documentaire. Sur fond d'ouverture totale du marché du courrier en janvier 2011 Avec ce regroupement de moyens au sein d'une seule entité pour accompagner les entreprises sur toute la chaîne des flux documentaires, La poste espère dynamiser ses activités pour devenir l'opérateur leader en Europe du courrier sous toutes ses formes. Une initiative mise en en place pour faire face à l'ouverture totale du marché du courrier prévue en Europe au 1er janvier 2011. Avec cette réorganisation, La Poste espère atteindre 500 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012, soit faire passer ces activités de gestion documentaire de 10% actuellement à 20% du chiffre d'affaires du courrier dans le domaine des services en 2012. (...)

(29/10/2007 14:55:05)

Une opération de maintenance perturbe la billetterie SNCF

(mise à jour en fin d'article) Impossible de payer par carte bancaire sur l'ensemble du réseau SNCF français hier matin, dimanche, tant aux guichets que sur les bornes ou sur le site Web. Une opération de maintenance électrique planifiée, effectuée dans la nuit de samedi à dimanche, a nécessité l'arrêt de tous les systèmes informatiques, explique le service de presse de la SNCF. Au moment de la remise en service des équipements (une phase toujours délicate, reconnaît l'opérateur ferroviaire), deux équipements réseau majeurs ont mal redémarré et généré des dysfonctionnements sur deux applications. L'une d'elles gérait le système d'acceptation des cartes bancaires, ce qui a directement entraîné une gêne pour les voyageurs. « Cela n'a concerné que les 'départs immédiats', c'est-à-dire les billets achetés au dernier moment, minimise le service de presse. Il s'agissait d'un week-end très chargé sur lequel les TGV et les trains Corail affichaient complets, les billets ayant été réservés depuis longtemps par les voyageurs. » L'opération de maintenance avait été programmée pour ce week-end afin de bénéficier de l'heure supplémentaire procurée par le passage à l'heure d'hiver. Les équipes étaient donc mobilisées et la remise en service a pu s'effectuer vers 11 heures, dimanche matin. Néanmoins, des perturbations ont encore eu lieu dans le courant de l'après-midi. Les problèmes n'ont été définitivement résolus qu'après le remplacement d'un équipement réseau et le reparamétrage du coeur de réseau de Mosaïque Plus, l'application de billeterie. Mosaïque Plus est la nouvelle version de l'outil de vente de la SNCF, mise en place à l'occasion du changement tarifaire, le 07 octobre dernier. Rappelons que, parmi les prestataires intervenant autour de l'application Mosaïque, figure Fujitsu Services qui a remporté en janvier 2006 un contrat de cinq ans pour la maintenance de l'infrastructure de vente de la SNCF. Un contrat de 42 millions d'euros gagné avec deux co-traitants, IER et Parkeon. [NDLR : la perturbation du 28 octobre, intervenue -comme indiqué- à la suite de la remise en route des systèmes informatiques après une opération de maintenance électrique, a nécessité une intervention sur le réseau informatique de la SNCF. Elle ne concernait donc pas Fujitsu Services dont le contrat de maintenance s'applique aux terminaux de vente.] (...)

(29/10/2007 12:37:45)

Comment éviter l'écran bleu sur son Mac Leopard

Si les fanatiques de Mac attendaient avec impatience le 26 octobre dernier, date de sortie du dernier Mac OS X, certains ont eu une mauvaise surprise en tentant d'adopter Leopard comme nouveau système d'exploitation. En effet, à la fin de l'installation, au lieu de redémarrer correctement, l'ordinateur se fiche sur un écran entièrement bleu, rappelant à s'y méprendre le « blue screen of the death » des anciennes versions de Windows. Dans la majorité des cas, ces écrans bleus s'éliminent d'eux-mêmes au bout de cinq minutes pour laisser la place au bureau normal. Et ne reviennent plus lors de l'allumage suivant de la machine. Mais pour certains utilisateurs - dont quelques-uns ont patienté jusqu'à six heures devant leurs machines - cet écran ne disparaît pas. A l'origine du problème, il y aurait un logiciel d'un éditeur tiers, APE (Application Enhancer) d'Unsanity, qui permet de personnaliser l'interface graphique de son Mac. Il faudrait désinstaller celui-ci à la main en passant par la console Unix de Tiger (Mac OS X 10.4) avant d'installer Léopard. Pour Rosyna Keller, porte-parole d'Unsanity, ce problème ne concerne toutefois qu'un nombre limité d'utilisateurs : « La seule manière pour que APE soit en théorie impliqué dans ce problème est que les utilisateurs aient une version de plus de deux ans (1.5.1 ou 1.5) et qu'elle tourne sur PowerPC. S'il ont un Mac doté d'un processeur Intel, c'est impossible que leur version d'APE n'inclue pas la vérification de système », dont l'absence expliquerait le blocage de l'installation. Toutefois, la société recommande à tous ses utilisateurs d'installer la version 2.0.3 de son logiciel avant de passer à Leopard pour éviter tout problème. (...)

(29/10/2007 12:31:05)

La faille URI affecte à nouveau les PDF

Jusqu'à récemment considérés comme sûrs et donc non filtrés par les antivirus traditionnels, les fichiers PDF multiplient les corruptibilités. Depuis le 23 octobre, il sont, en effet, la cible du cheval de Troie Gozi. Cette vulnérabilité n'est pas due aux produits d'Adobe, mais à une faille relative aux URI (Uniform Resource Identifiers) dans Windows XP et Internet Explorer 7. Dans une telle configuration, il convient, avant d'ouvrir toute pièce jointe, de télécharger les mises à jour d'Adobe. Et ne pas ouvrir de courriels dont la pièce jointe est nommée « report.pdf » et dont l'intitulé est du type : « your credit report », « your credit file », « Personal Financial Statement » ou « Balance Report ». (...)

(29/10/2007 10:33:55)

Trend Micro absorbe Provilla

Trend Micro, l'un des poids lourds de l'industrie de l'antivirus, vient d'acheter Provilla, éditeur spécialisé dans le « profilage de comportement de la station de travail », et spécialisé dans la lutte contre les fuites d'informations. Techniquement parlant, Provilla repose sur un agent intelligent, installé sur le poste de travail, qui bloque automatiquement tout envoi de données sensibles et prévient l'administrateur de son intervention. Dans un premier temps, Provilla conservera son nom et son système de distribution. Il faudra s'attendre à ce qu'il soit, à terme, intégré tant dans les suites antivirales pour poste de travail qu'au sein des passerelles de filtrage de contenu de Trend Micro. A plus longue échéance, il est prévu d'étendre l'éventail des types de machines protégées par Provilla, notamment du coté de l'informatique mobile, des PDA et des Smartphones. (...)

(29/10/2007 10:31:52)

Kaspersky France se lance dans les services hébergés

Du métier d'éditeur d'antivirus, sous forme logicielle ou purement OEM, Kaspersky devient prestataire de service, sans pour autant sortir de son métier d'origine : antispam, antivirus, protection périmétrique contre les malwares « traditionnels », filtrage de contenu dangereux en 24/7/365. Sa nouvelle offre s'appellera KHSS (Kaspersky Hosted Security Services) et se chargera de la protection -externalisée- des services de messagerie, Web et messagerie instantanée des entreprises. Il est évident que les premiers concurrents visés sont les opérateurs et fournisseurs d'accès - historiquement des grands clients Kaspersky d'ailleurs - qui, eux-mêmes, tentent d'offrir de la sécurité à distance à leurs clients professionnels, PME, TPE, voire aux grandes entreprises. Autres « adversaires » sur ce terrain plus que mouvant des services de sécurité externalisés, les grands du Datacenter qui, par le biais de revendeurs « au détail », lorgnent sérieusement sur la clientèle entreprise en quête de solutions sécurisés. La liste ne serait pas complète si l'on oubliait les « autres » éditeurs, les Symantec, les Sophos, les ISS, qui se sont intéressés à ce marché depuis un certain temps déjà. Reste que l'équipe de Kaspersky bénéficie d'une aura de respectabilité certaine, d'une image de solidité et de rapidité d'intervention forgée à coup de palmarès au top 10 du Virus Bulletin et de « mentions honorables » décernées par l'AV-Test de l'Université de Magdebourg. (...)

(29/10/2007 10:24:58)

Oracle/BEA : Oracle retire - officiellement - son offre

Comme annoncé dans son ultimatum, Oracle a retiré dimanche son offre d'achat à 17$ l'action sur BEA. Ce dernier avait répondu qu'il ne considérerait une proposition d'achat qu'à la somme de 21$ l'action, ce qui aurait valorisé l'éditeur de middleware à 8,15 Md$, au lieu de 6,66 Md$. Il s'agit néanmoins d'une manoeuvre officielle, des négociations pouvant avoir lieu de façon officieuse. Le conseil d'administration de BEA y est poussé notamment par Carl Icahn, qui estime, « avec plus de 58 millions de parts », être « le plus gros actionnaire de BEA ». Dans une lettre ouverte, Carl Icahn accuse le conseil d'administration d'agir au détriment des intérêts des actionnaires en se retranchant derrière un prix définitif de 21$, alors qu'il aurait dû, d'après lui, prendre en considération l'offre d'Oracle et négocier. Carl Icahn, à qui la vente rapporterait à peu près un milliard de dollars, demande donc à BEA de laisser ses actionnaires décider du sort de l'entreprise, et a engagé une procédure devant une cour du Delaware afin que BEA organise une assemblée générale avant toute décision d'ordre financier non approuvée par avance par les actionnaires. (...)

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