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(25/10/2007 17:53:24)

Oracle/BEA : BEA fixe son prix à 8,15 Md$

A 21$ l'action, soit une somme globale de 8,15 Md$, BEA se dit prêt à se vendre « à des tiers, y compris Oracle ». Sous le coup d'une offre de la part d'Oracle à 17$ l'action, BEA avait d'abord répondu qu'il n'était pas à vendre, puis que le prix fixé ne reflétait pas la valeur réelle de l'entreprise. Finalement, comme dans toute transaction, la proie a elle-même fixé un prix - établi après avoir pris conseil auprès de Goldman Sachs, a précisé BEA - afin de pouvoir entamer des négociations. Pour Massimo Pezzini, analyste du Gartner, cela ne fait aucun doute que les actionnaires de BEA soient prêts à se vendre, 17$ l'action constituant déjà « un bon prix ». Pour lui, le délai avant la transaction est dû à une raison relativement simple : il faut s'entendre sur les 'golden parachutes', ces compensations financières qui seront accordées aux dirigeants de BEA. Quant aux dernières rumeurs disant qu'IBM pourrait intervenir, « j'ai du mal à l'envisager, dit-il, dans la mesure où IBM est de loin le numéro un du marché, et BEA le numéro deux : cela poserait des problèmes vis-à-vis des autorités chargées de la régulation de la concurrence ». (...)

(25/10/2007 17:38:08)

Microsoft réunit son écosystème français sur les SOA

Microsoft France a réuni ses clients et partenaires à Paris aujourd'hui, pour une Conférence SOA. Sous cet intitulé, il s'agissait en fait pour l'éditeur d'évangéliser son écosystème sur sa stratégie S+S (Software plus services). Celle-ci vise à embrasser la mode du service applicatif (Saas, software as a service) tout en la reliant à la nécessité de déployer en interne des logiciels d'infrastructure (Biztalk Server, SQL Server, Sharepoint Server...) et des clients riches (Internet Explorer, Silverlight...). Le public a ainsi eu droit aux exemples du pétrolier BP, qui utilise notamment Virtual Earth et SQL Server pour visualiser sur une carte le déploiement de ses collaborateurs, et de Quiksilver, qui a monté un site communautaire à l'occasion d'une compétition de surf, afin d'attirer le chaland vers son site de e-commerce. En introduction de la journée, Massimo Pezzini, analyste et vice-président du Gartner, a pour sa part donné des conseils très utiles, empreints de pragmatisme. Ainsi, dit-il, il serait stupide de s'enfermer dans une vision extrémiste de la SOA : mieux vaut définir son propre style d'implémentation. De même, afin de ne pas succomber à la complexité, Massimo Pezzini conseille de découper l'architecture de l'entreprise en domaines, joints par une plateforme commune. Et comme le soulignait ensuite au 'village partenaire' un représentant de l'éditeur Amberpoint, soulagé, Gartner estime qu'il faut faire intervenir relativement tôt la gouvernance dans un projet SOA, sous peine que cela devienne trop complexe ensuite. Microsoft a ensuite expliqué quels avantages on peut tirer de la version R2 de Biztalk. Mais aucune annonce majeure n'a été faite ; l'évolution de son offre SOA (nom de code Oslo) devrait pourtant être annoncée dans peu de temps. (...)

(25/10/2007 17:28:12)

Les technologies doivent mieux faire pour servir l'environnement

Alors que s'engage la phase finale du « Grenelle de l'environnement », la dernière note de veille du Centre d'analyse stratégique souligne le caractère ambivalent des technologies de l'information en matière d'environnement. Jean-Luc Pujol, du département de la recherche, des technologies et du développement durable, rappelle dans une note publiée le 22 octobre 2007 que « les technologies de l'information et de la communication génèrent 2 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, soit l'équivalent de l'aéronautique, selon le Gartner Group. Et que le milliard et demi d'ordinateurs individuels en fonction dans le monde disperse jusqu'à 50 % de l'énergie qu'il consomme. » Si les espoirs suscités par les nouvelles technologies en matière d'environnement se sont peu concrétisés, des éléments peuvent néanmoins conduire à envisager une amélioration. Des systèmes de transport intelligents (STI) pourraient ainsi améliorer la sécurité et les performances des réseaux en rendant le transport plus écologique. Grâce à des logiciels embarqués, les individus intègreraient les enjeux environnementaux en temps réel (le GPS calculant le trajet le plus économique en fonction de la circulation). Dans l'énergie, des bâtiments « intelligents » pourraient ajuster leur consommation d'énergie aux besoins, mais aussi l'orienter en fonction d'informations économiques en temps réel (prix du carbone, etc.).Tous les équipements (ordinateurs, infrastructures, etc.) pourraient disposer de piles à combustible et s'articuler entre eux via un système d'information décentralisé autour d'Internet. Le Web, après avoir suscité des capacités de calcul décentralisées, pourrait appliquer le même principe à l'énergie en permettant un fonctionnement en réseau, sur une production dispersée mobilisant des ressources très diverses. (...)

(25/10/2007 16:39:56)

France Télécom annonce des résultats trimestriels supérieurs aux attentes

Résultats 3e trimestre Chiffre d'affaires : 13,5 Md€ (+3,5%) Marge opérationnelle : 5 Md€ (+4,3%) « Les chiffres annoncés aujourd'hui traduisent la très bonne performance du groupe et reflètent le dynamisme de l'ensemble de ses activités sur la quasi-totalité de ses marchés », soulignait Didier Lombard, président de France Télécom dans un communiqué à l'occasion de la publication des résultats trimestriels de son groupe. Avec un chiffre d'affaire de 13,5 Md€ au troisième trimestre 2007, France Télécom ne peut en effet qu'être satisfait de ses résultats. En hausse de 3,5% par rapport à la même période en 2006, les revenus sont supérieurs aux prévisions du groupe. La marge opérationnelle brute est également en progression de 4,3% sur le troisième trimestre en données historiques et de 5,1% à base comparable. Elle s'établit à 5 Md€ sur le trimestre et à 14,5 Md€ sur les neufs premiers mois de l'année, ce qui représente une progression de 2,6% en données historiques et de 3% à base comparable par rapport à 2006. En conséquence, France Telecom revoit ses objectifs de marge à la hausse pour l'année et prévoit "un clash flow organique de 6,8 à 7,5 milliards d'euros pour l'année". Au passage, le groupe en a profité pour provisionner 755 M€, montant correspondant à la somme réclamée par la Cour de justice des communautés européennes dans le cadre du conflit qui l'oppose à l'Etat français. (...)

(25/10/2007 16:15:41)

Groupama devrait entrer au capital de Cegid

C'est donc Groupama qui devrait entrer au capital de l'éditeur lyonnais Cegid. Rappelons que ce dernier avait révélé, début octobre, avoir engagé des discussions avec un groupe de services hors du secteur informatique en vue d'une prise participation et d'un partenariat industriel. Ces pourparlers viennent de déboucher sur une lettre d'intention, signée par Cegid et le groupe d'assurance et de banque (30 000 collaborateurs, 11 millions de clients et 14,2 Md€ de chiffre d'affaires en 2006), en vue de développer des logiciels collaboratifs et des contenus informatifs destinés aux experts comptables et aux professionnels du conseil. Il est prévu qu'ICMI, l'un des trois actionnaires principaux de Cegid, cède une partie de ses actions à Groupama qui, à l'issue de cette opération, détiendra alors 17,25 % du capital de Cegid Group. Deux postes d'administrateurs (sur douze) seront occupés par Groupama au conseil d'administration de l'éditeur. Rappelons qu'ICMI est majoritairement détenu par Jean-Michel Aulas, président de Cegid. Une présidence que le fondateur de Cegid s'engage d'ailleurs à conserver pendant une période minimum de quatre ans, dès que l'accord avec Groupama sera finalisé. Cegid sur le développement, Groupama sur le fonctionnel Les deux sociétés prévoient de créer une co-entreprise dont l'unique vocation sera de porter le droit de propriété des solutions conjointement mises au point. Ces futurs produits se concrétiseront, par exemple, par l'ajout dans les logiciels de paie de Cegid de fonctions de simulation et de calcul d'optimisation sur la retraite, la protection santé, le statut du dirigeant, la prévoyance, l'épargne salariale ou encore, la gestion des risques. Il s'agira d'outils collaboratifs qui permettront aux experts comptables de partager des informations avec leurs clients en PME, ainsi qu'avec la compagnie d'assurance de ces clients. « L'objectif est d'apporter des outils complémentaires sur l'ensemble d'une chaîne de traitement, la paie par exemple », rappelle Patrick Bertrand, directeur général de Cegid, qui se déclare très satisfait du processus d'accord engagé avec Groupama. Une opération qu'il espère voir se finaliser avant la fin de cette année. Des portails d'informations La collaboration pourrait démarrer au début de l'année prochaine. Les solutions logicielles seront élaborées par les actuelles ressources de développement de Cegid, en particulier les équipes travaillant sur les logiciels de paie, de fiscalité et de gestion de la relation client. De leur côté, les collaborateurs de Groupama, chargés des aspects fonctionnels de la conception du produit, apporteront aux développeurs de Cegid leurs connaissances métiers. En complément, il est également prévu de développer des portails d'informations. « Par l'intermédiaire de notre portail Comptanoo, nous proposerons du contenu fiscal et légal fourni par Groupama, explique Patrick Bertrand. Un contenu qui pourra également être repris sur les portails que nos clients experts comptables peuvent créer avec les solutions que nous leur proposons. » Accélérer la pénétration de nouveaux secteurs et le déploiement international L'arrivée de Groupama dans l'entité Cegid va aussi permettre à l'éditeur d'accroître son activité sur des terrains où l'assureur s'est imposé (avec l'appui d'une force commerciale de 7 000 personnes) : les collectivités territoriales et le transport, ainsi que les secteurs agricoles et associatifs. Cegid devrait également disposer d'un fort soutien à l'international, Groupama ayant développé sa présence en Europe, en Turquie et en Asie (notamment en Chine, où Cegid déploie en ce moment ses offres axées sur les métiers de la mode et de la distribution, et au Vietnam). « En Europe, en particulier en Espagne et en Italie où nous sommes déjà implantés, l'appui de Groupama nous permettra d'accélérer notre développement. » (...)

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