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(25/10/2007 16:13:36)
42 000 euros, le salaire annuel des informaticiens selon l'Apec
En 2007, le salaire brut annuel moyen des cadres en poste s'est établi à 47 000 euros. Et celui des informaticiens en activité se situe autour de 42 000 €. C'est ce que montre l'Apec dans son étude annuelle sur les salaires, publiée ce matin. L'association relève cependant d'importantes différences de salaires entre les cadres, en raison d'une grande diversité de situations. En effet, l'âge, le sexe et la fonction, tout comme la taille de l'entreprise, l'origine du diplôme ou la zone géographique, sont des facteurs qui modifient la rémunération. Ainsi, les femmes cadres restent toujours pénalisées dans la course aux salaires. Leur rémunération médiane reste en effet inférieure de 17% à celle des hommes. Parmi les autres critères liés à l'individu, la durée de l'expérience, l'âge et la formation initiale s'imposent comme des facteurs de poids. Les cadres titulaires d'un diplôme de niveau bac + 4/5, qui représentent à eux seuls plus de la moitié de la population étudiée, perçoivent un salaire légèrement supérieur à celui des cadres moins diplômés, soit 43 000 € pour cette catégorie, contre 41 000 € pour les niveaux bac + 2/3. + 35% pour les informaticiens à l'international Les écarts de salaires entre les diplômés d'écoles d'ingénieurs et les universitaires persistent (45 000 € de salaire médian pour les grandes écoles, contre 40 000 € pour les universités). La zone géographique influence également les niveaux de rémunération des informaticiens de manière très sensible. Ainsi, en Ile de France, le salaire médian des informaticiens est supérieur de 18% à celui de leurs collègues des autres régions. L'écart est encore plus marqué entre ceux qui travaillent à l'étranger et ceux qui résident dans l'Hexagone. Ainsi, les informaticiens employés à l'international gagnent 35% de plus que leurs collègues franciliens et 50% de plus que ceux employés en province. Dans la filière R&D, les écarts de salaires entre l'international et l'Hexagone dépasse les 40%. L'association a également dressé une photographie des salaires des cadres à l'embauche. Dans les SSII, 80% des rémunérations se situent dans une fourchette de 24 à 48 000 €. Avec l'expérience, la rémunération augmente. Elle démarre à 28 000 €, en moyenne, pour un jeune diplômé et peut monter à 58 000 € pour les informaticiens ayant plus de 10 ans d'expérience, sachant que ces derniers représentent seulement 9% des recrutés. Enfin, les trois quarts des salaires à l'embauche sont conformes à ce que les recruteurs avaient envisagé en amont de leurs recrutements. (...)
(25/10/2007 16:06:54)Les résultats trimestriels de VMware crèvent les plafonds
Résultats 3e trimestre 2007 (clôture au 30 septembre) Chiffre d'affaires : 357,8 M$ (+ 90%) Bénéfices nets : 64,7 M$ (+ 242%) Sur neuf mois Chiffre d'affaires : 913 M$ (+ 92,6%) Bénéfices nets : 139,98 M$ (+ 154,5%) Pour son premier trimestre public et le troisième de l'exercice en cours, le champion de la virtualisation VMware affiche des résultats mirobolants et au-delà des prévisions. Tant sur trois que sur neuf mois, le CA bondit de 90% et la rentabilité progresse encore plus vite. Les ventes de licences représentent 68% du CA, le reste revient au service. La société pousse à fond les feux du marketing (+106%) mais commence à lever le pied sur la R&D (+57%). Elle dispose déjà d'un milliard de dollars de liquidité grâce aux rentrées d'argent à la suite de son introduction en bourse. VMWare affirme que ses ventes s'envolent grâce à l'adoption de VMware Infrastructure, son outil d'administration, signe d'un enracinement de VMware dans les data centers qui lui permettrait de mieux résister à l'arrivée des concurrents. Dans la même ligne, VMware souligne la bonne tenue des ventes de ses outils de virtualisation pour postes de travail, en particulier de VDI (Virtual Desktop Infrastructure). La société est partie pour atteindre 1,3 Md$ de CA annuel. Cette croissance record la hisserait directement au niveau de Citrix. Aujourd'hui, la bourse estime VMware à près de 40 Md$ et Citrix à seulement à 7,5 Md$. (...)
(25/10/2007 16:02:43)Oracle 11g disponible sous Windows
Trois mois après la version Linux de son SGBD Oracle 11g, Oracle annonce celle pour Windows. Cette version embarque des fonctionnalités propres à cet environnement telle l'exploitation du service Windows Volume Shadow Copy de Windows Server, ainsi que, par rapport à la version précédente, une amélioration de l'intégration à l'environnement de développement Visual Studio, au gestionnaire d'annuaire Active Directory et à Kerberos, le protocole d'identification réseau que Microsoft a retenu par défaut. En même temps que sa disponibilité, Oracle annonce que 11g Windows établit un nouveau record performance/prix à l'aune du test TPC-C avec 102 454 transactions par minute (tpm) et un prix de 0,73$ par transaction. Selon Oracle, l'édition standard de 11g améliore de 47% les performances et de 20% les coûts par rapport au précédent record établi en août dernier. Celui-ci (100 926 tpm à 0,74$ la transaction) était détenu par Oracle 10g sous Oracle Linux dans une configuration quasi identique. Le faible écart entre les deux tests s'explique par le fait que la "gratuité" d'Oracle Linux est "compensée" par un coût de maintenance qui le hisse au même niveau de prix que Windows Server et sa maintenance. Le test de 11g a été effectué sur une configuration estimée à 74 556 $ qui se compose d'un HP Proliant ML350G5 animé par un Xeon quadricoeur à 2,66 GHz avec 24 Go de mémoire sous Windows Server 64 bit SP1 R2 avec un stockage en attachement direct. Plus significatif, Oracle 11g permet d'obtenir un ratio prix/performances selon le TPC nettement meilleur que Microsoft SQL Server 2005. Toujours à configuration comparable, celle sous SQL Server avait atteint 82 774 tpm pour un prix de 0,84$ la transaction en mars dernier. Aux Etats-Unis, les prix des différentes versions calculés par processeur sont : 5000$ (Standard Edition One), 15 000$ (Standard Edition) et 40 000 (Enterprise Edition). En France on paye 3700€, 11 105€ et 29 612€, soit 6% plus cher que le taux de change officiel. Une bonne entrée en matière pour la négociation tarifaire. En savoir plus La page du classement des 10 configurations ayant le meilleur rapport Prix-Performance selon le TPC (Transaction Processing Performance Council). (...)
(25/10/2007 15:24:45)IBM dope son offre de stockage avec le rachat de NovusCG
IBM a annoncé hier mercredi 24 octobre son intention d'acheter Novus Consulting Group (NovusCG), société américaine spécialisée dans les services de stockage aux entreprises, pour un montant non-communiqué. NovusCG intégrera la division « Storage and Data Services » d'IBM Global Technology Services. L'offre de NovusCG se compose de services, de logiciels et de formations liées à l'optimisation d'infrastructure, à la récupération après sinistre ainsi qu'à la gestion de la conformité. L'éditeur fournit notamment des méthodologies pour évaluer et optimiser l'infrastructure de stockage dans un environnement hétérogène multi-système et édite Storage Enterprise Resource Planner (SERP). NovusCG n'est pas un inconnu pour IBM. L'éditeur est un partenaire premium de Big Blue depuis 2003, mais compte également dans son propre réseau HP, EMC, Oracle et Sun. Dans un communiqué, IBM explique que « le rachat de NovusCG suit celui de Softek plus tôt dans l'année, et suit la stratégie d'IBM d'offrir aux entreprises des services standards créateurs de valeur et proposant des résultats plus prévisibles sur leurs activités ». (...)
(25/10/2007 15:17:28)Pierre Chappaz lance un concours de start-up
Le co-fondateur de Kelkoo lance un concours de start-up sur son blog. Encouragé par ses lecteurs, qui l'ont poussé à faire évoluer « kelblog » vers une tribune des entrepreneurs, Pierre Chappazl propose à tous les créateurs de start-up exclusivement tournés vers Internet de réaliser une vidéo de 2 minutes présentant leur société puis de la publier sur n'importe quelle plateforme vidéo (Dailymotion, Youtube, etc.). Le concours commencera le 26 octobre pour se terminer le 23 novembre et les résultats seront publiés le 1er décembre. Les vidéos seront également mises en ligne sur le blog de Pierre Chappaz et toute la communauté devrait participer à l'élection de la meilleure idée. La sélection de la meilleure start-up sera effectuée en fonction de différents critères dont l'expérience de ses fondateurs, le modèle économique mais également la réponse à un besoin clairement identifié, etc. Le gagnant recevra les conseils personnalisés de Pierre Chappaz, voire même une implication financière, pour l'aider à réussir. (...)
(25/10/2007 15:16:39)SCO aurait reçu une proposition de 36 M$ pour sa division Unix
Selon nos confrères de Computer World, l'éditeur américain SCO pourrait céder sa division Unix à JGD Management Corp., une société détenue par un groupe new-yorkais d'investissement. SCO aurait en effet reçu une proposition de 36 millions de dollars pour cette division en plein déclin financier. Pour mémoire, SCO est passé le 14 septembre dernier sous la protection du "chapter 11", soit l'équivalent d'un dépôt de bilan. La société se débat depuis et tente de trouver des solutions pour se réorganiser et faire face à ses créanciers ainsi qu'aux nombreux procès en cours contre IBM et Novell notamment. Pour l'heure JGD Management n'a ni confirmé ni infirmé cette déclaration faite par SCO auprès de l'équivalent de notre tribunal de commerce. (...)
(25/10/2007 12:48:39)Exact Software rachète Longview et sa solution de CPM
L'éditeur de PGI néerlandais Exact Software vient d'annoncer le rachat, pour 51,5 M$, du Canadien Longview Solutions, fournisseur d'une solution de gestion de la performance de l'entreprise (CPM, corporate performance management). Les fonctions de CPM, qui apportent à l'entreprise des outils de pilotage de son activité, focalisent en ce moment l'intérêt de tous les éditeurs de progiciels. Exact Software développe et commercialise une offre de gestion intégrée et de gestion de la relation client qui vise les PME internationales de 200 à 500 personnes. En récupérant ces fonctions d'analyse financière (gestion de budget et des prévisions, tableaux de bord sur l'activité) qui s'adressent avant tout aux grandes entreprises, l'éditeur compte élargir sa base d'utilisateurs avec des clients de plus grande taille. Longview compte notamment des utilisateurs comme Boeing, Cisco, Time Warner et GE Healthcare. Installé à Toronto, l'éditeur racheté emploie 170 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de 29 M$ sur son exercice clôturé le 30 juin 2007. Quant à Exact Software, il a installé des filiales dans une quarantaine de pays et totalise 2 700 salariés. L'éditeur néerlandais a réalisé en 2006 un chiffre d'affaires de 242,1 M€. (...)
(25/10/2007 11:09:25)Les salariés manquent de motivation, en France et dans le monde
Les salariés sont engagés et prêts à s'investir dans leur travail, mais estiment que l'entreprise ne les encourage pas suffisamment dans cette voie. C'est ce que révèle l'édition 2007 de l'enquête mondiale Global Workforce Study sur l'engagement des salariés, réalisée par le cabinet de conseil Towers Perrin. En effet, si les Français, comme les autres salariés dans le monde, affichent un niveau d'engagement à la hausse (12% des personnes interrogées se déclarent fortement engagées contre 9% en 2005), ils ont néanmoins le sentiment que leur entreprise ne fait pas le nécessaire pour stimuler cet engagement, voire qu'elle freine leur élan. Seulement 25% des personnes interrogées estiment que leur entreprise les motive à faire de leur mieux, et moins d'un quart (23%) disent avoir des opportunités de carrière excellentes au sein de leur organisation. « Bien que les salariés français affichent un niveau d'engagement plus favorable que lors de la précédente enquête, ils semblent encore en retrait par rapport à leurs homologues européens dont l'optimisme et la confiance, tant en leur propre avenir qu'en celui de l'entreprise, est plus affirmé », commente Gérard Silve, directeur associé de Towers Perrin. La direction générale constitue le premier facteur d'engagement, tout en étant cependant très critiquée en France, comme dans l'ensemble des pays européens. Bien qu'une grande part des salariés s'accorde à lui attribuer les succès de l'entreprise (40% des personnes interrogées estiment que la direction générale de leur entreprise prend les mesures nécessaires pour garantir la réussite à long terme de cette dernière), un Français seulement sur quatre pense que la direction générale s'adresse à eux de manière franche et honnête. (...)
(25/10/2007 09:58:37)ManageFusion 2007 : un utilitaire gratuit pour déployer Symantec Endpoint Security Solution 11
Premier rendez vous d'Altiris avec ses clients et partenaires après le rachat de la société par Symantec, le ManageFusion 2007, qui se déroule actuellement à Malte, est l'occasion de découvrir les produits issus de la collaboration entre les deux équipes. A commencer par SEPIC (Symantec Endpoint Protection Integration Component), un outil de déploiement gratuit basé sur la plateforme de déploiement Altiris 6. Son but est d'automatiser le déploiement de la suite de protection globale du poste de travail Symantec Endpoint Security Solution 11 sur tous les types de terminaux (PC, clients légers, téléphones mobiles ou PDA). L'objectif est certes de faciliter la vie des clients de Symantec, mais aussi de permettre à la plateforme d'Altiris de faire son entrée chez de nouveaux clients, qu'il faudra ensuite convaincre d'acheter d'autres modules de gestions de système, d'inventaire ou de sauvegarde payants. (...)
(25/10/2007 09:53:55)Microsoft met un pied dans le capital de Facebook
Courtisé par Google et Microsoft, Facebook a finalement décidé de vendre une partie de son capital à l'éditeur de Windows. Le site communautaire va ainsi céder une participation de 240 M$ à Microsoft (soit 1,6% du capital), lequel accroîtra par ailleurs les services de publicités qu'il fournit à Facebook, devenant la plateforme publicitaire tierce exclusive de son nouveau partenaire. A travers cette prise de participation, le site emblème du Web 2.0 est valorisé 15 Md$. « Cela est un pari sur le futur de Facebook et positionne Microsoft pour une éventuelle acquisition, plus tard, tout en plaçant Facebook à l'abri de Google », estime Greg Sterling, analyste pour Sterling Market Intelligence. Sans reconnaître avoir été approchés par Google, les dirigeants de Facebook ont néanmoins affirmé être « chanceux d'avoir tant de personnes qui veulent s'associer avec nous autour de la publicité ». L'argent récolté par Facebook à travers cette prise de participation devrait être consacré à son développement, afin de répondre à l'exponentielle croissance du nombre de ses utilisateurs. Une croissance que le groupe entend voir perdurer au cours des douze mois à venir. « C'est clairement une bonne chose pour Facebook, confirme Greg Sterling, le site met la main sur une somme conséquente pour croître, et Microsoft lui permet d'atteindre la valorisation qu'il espérait. » Facebook, qui compte actuellement 320 salariés, espère faire passer ce chiffre à 700 dans un an. Chaque jour, le site enregistre environ 250 000 nouvelles inscriptions, pour un total avoisinant les 49 millions d'utilisateurs. La moitié de ces derniers se connecte quotidiennement au site. Du côté de Microsoft, l'opération pourrait lui permettre de se renforcer dans le domaine de la publicité en ligne, un domaine dans lequel le groupe de Redmond n'est jamais parvenu à s'imposer comme un acteur de poids. Microsoft avait ainsi vu MySpace et Youtube lui glisser des mains, et signer respectivement avec News Corp. et Google. Reste que le réservoir de publicité que constituent les réseaux sociaux semble fragile, la majorité de leur contenu étant sans véritable intérêt, voire sujet à controverse ou objet de vulgarité. « Il faut se poser ce genre de questions à propos de la viabilité des réseaux sociaux en tant que vecteurs de publicité », estime Allen Weiner, analyste au Gartner. Ce dernier pense néanmoins que les réseaux sociaux devraient évoluer dans les cinq années à venir, devenant, parallèlement à leur coeur de métier, des plateformes de fourniture de contenu. (...)
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