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(24/10/2007 15:57:00)

La direction d'IBM La Gaude, sommée d'évaluer la souffrance de ses salariés

Les salariés d'IBM à La Gaude seraient-il victimes de souffrance psychologique au travail ? La direction du travail a en tout cas décidé d'en avoir le coeur net, en obligeant la direction du site d'IBM des Alpes-Maritimes à évaluer les risques professionnels de souffrance psychologique de ses salariés. Le chef d'établissement devra remettre, sous quatre mois, une étude exhaustive et détaillée, qui concernera tous les services de l'entreprise. Seront évaluées, la fixation d'objectifs, la notation-évaluation, la surcharge de travail et les contraintes liées à celui-ci, les relations sociales, les modalités de management, ainsi que les mobilités géographiques et professionnelles. A l'origine de cette décision, une procédure d'alerte engagée par le C.H.S.C.T. pour dénoncer des risques de souffrance affectant les salariés d'IBM La Gaude, et une situation dangereuse rapportée par l'inspecteur du travail, résultant du non respect des dispositions visant à la préservation de la sécurité et de la santé des salariés (article L230-2 du code du Travail). La direction du travail des Alpes-Maritimes considère parallèlement que la direction aurait dû donner suite aux solutions préconisées par le médecin. Cette mise en demeure intervient alors que les salariés du site de La Gaude sont sous la menace d'un transfert vers AT&T Une manifestation de protestation, lancée à l'appel de la CGT, aura lieu demain jeudi 26 octobre, à partir de 10 heurs, devant le site d'IBM La Gaude. (...)

(24/10/2007 15:58:21)

IForum 07 : Citrix affiche ses ambitions en matière de virtualisation

C'est un Mark Templeton souriant qui a ouvert hier la conférence iForum de Las Vegas devant près de 4000 personnes. Dopé par des ventes en forte progression (près de 350 M$ au dernier trimestre), mais aussi par l'acquisition récente de XenSource, Citrix servirait désormais près de 70 millions d'utilisateurs en entreprise avec ses outils de livraison d'applications, notamment Presentation Server (ex-Metaframe). Le PDG de la firme estime que près de 800 000 serveurs s'appuient désormais sur ses solutions d'infrastructures (chiffre incluant les serveurs virtualisés avec XenServer), une base sur laquelle elle entend s'appuyer pour poursuivre sa marche en avant. Mark Templeton a largement profité de son discours d'ouverture d'iForum pour afficher les ambitions de Citrix sur le marché de la virtualisation. Après avoir annoncé la finalisation du rachat de XenSource, il a présenté une stratégie ambitieuse couvrant à la fois les besoins de virtualisation côté serveur et côté client ainsi que la chaîne complète de distribution d'applications Windows. Citrix a déjà un pied dans le secteur avec ses technologies de "livraison" de bureau virtuel (Citrix Desktop Server peut ainsi délivrer un bureau Windows tournant sur une ferme de serveurs virtualisés, un serveur Presentation Server ou un PC en lame à n'importe quel PC ou terminal au travers d'un client ICA) et avec ses solutions de streaming applicatif et de streaming OS (issues du rachat d'Ardence fin 2006). Mais jusqu'alors il ne disposait pas des technologies nécessaires pour s'attaquer à la virtualisation d'infrastructures. Choc frontal avec VMWare Le rachat de XenSource change la donne et devrait amener Citrix à engager une bataille frontale avec VMWare. Mark Templeton compte notamment s'appuyer sur des tarifs biens inférieurs à ceux de son concurrent (les solutions de Citrix seront grosso modo 40% moins chères que celles de VMWare). Il parie aussi sur les avantages intrinsèques de XenServer, notamment son modèle de développement Open Source et des performances qui seraient supérieures, du fait de l'architecture paravirtualisée de l'hyperviseur. Citrix entend aussi utiliser son crédit auprès des grands constructeurs de serveurs et des grands éditeurs pour améliorer le support de XenServer par ces fabricants. HP a ainsi profité d'iForum pour annoncer qu'il certifierait désormais XenServer sur l'ensemble de ses serveurs Proliant et de ses serveurs lames. Un représentant de la firme présent sur le salon nous a expliqué que jusqu'à l'acquisition par Citrix, XenSource était vu comme un partenaire de second rang et que le rachat a considérablement amélioré le support par HP avec l'allocation de ressources d'ingénierie dédiées au support du produit. Dell a également annoncé un support similaire de Xen Server sur ses gammes de serveurs x86 PowerEdge, un support qui s'ajoute aux partenariats déjà noués aec Citrix, notamment autour de Provisionning Server. Dans la bataille qui s'engage, Citrix mise aussi sur son partenariat avec Microsoft. XenServer sera compatible avec les technologies de virtualisation de Microsoft, et les "Hypercalls" de l'hyperviseur Windows et de XenServer seront identiques. Microsoft supportera aussi ses solutions sur la plate-forme XenServer, ce qui est toujours loin d'être le cas sur VMWare. Au delà de l'hyperviseur, Citrix entend aussi soigner ses outils d'administration à commencer par XenCenter. Avec le lancement en août de Xen Entreprise v4, l'éditeur a aussi livré des outils de déplacement dynamique de machines virtuelles (XenMotion) et il prépare le lancement pour les mois à venir d'outils d'automatisation du datacenter et de Disaster Recovery. Ces derniers s'appuieront sur la couche de gestion du stockage de Symantec, Veritas Storage Foundation, intégrée depuis la v4 dans XenServer. Il est à noter qu'à terme Citrix indique que ses outils d'administration supporteront aussi bien l'hyperviseur XenServer que Viridian, l'hyperviseur de Windows Server 2008. (...)

(24/10/2007 15:49:25)

Les revenus de Mozilla ont progressé de 26% en 2006

En 2006, la fondation Mozilla et son bras commercial, Mozilla Corporation, ont amassé 66,8 M$, des revenus en hausse de 26% par rapport à 2005. Une progression très nette par rapport aux années précédentes (2,4 M$ en 2003 et 5,8 M$ en 2004). Cette progression du chiffre d'affaires ne serait pas directement liée à la seule augmentation de la base d'utilisateurs des produits de la marque. Winifred Mitchell Baker, PDG de Mozilla, a en effet rappelé que les principaux revenus du projet Mozilla provenaient des partenaires qui paient pour être intégrés à Firefox, tels Google, Yahoo ou encore Amazon. Le kiosque Mozilla Store, qui permet d'acheter une grande variété de produits estampillés Mozilla (du CD regroupant Firefox ou Thunderbird au T-Shirt, en passant pas des sacs à dos et casquettes), a également fortement contribué à cette augmentation. Sur les 66,8 M$ engrangés, Mozilla en consacre 19,7 aux dépenses. Elles sont constituées pour l'essentiel de la rémunération des 90 salariés de la fondation (70% du total), le reste étant imputé à la maintenance de l'infrastructure informatique, dont les serveurs et la bande passante des sites. Enfin, les 47 M$ restants alimentent un fonds de réserve géré par la Mozilla Corp, destiné à assurer l'indépendance et la pérennité du projet Mozilla, selon Winifred Mitchell Baker. En novembre 2006, une polémique sur le montant des rentrées d'argent de 2005 - et son utilisation - Mozilla avait suscité la polémique. Certains reprochaient à la fondation de ne pas publier ouvertement ses résultats. A l'époque, Winifred Mitchell Baker avait dû éteindre les rumeurs d'un trésor de guerre caché en publiant sur son blog quelques chiffres. (...)

(24/10/2007 13:05:31)

Yahoo soutient des projets environnementaux pour compenser ses émissions de gaz carbonique

Soucieux de l'avenir de la planète, Yahoo s'est engagé sur la voie de l'écologie en soutenant des programmes qui favorisent l'utilisation des énergies renouvelables. « La demande en électricité ne cesse d'augmenter en Inde et au Brésil et leur énergie provient pour l'essentiel du pétrole. Nous voulons encourager le développement des énergies hydrauliques et éoliennes », a déclaré Christine Page, directrice de la stratégie de l'énergie et du climat de Yahoo à l'AFP. Yahoo a ainsi annoncé lundi 17 octobre son soutien à des projets hydrauliques au Brésil et éoliens en Inde. La société aurait déjà investi dans un projet hydraulique dans un village à quelques 2000 kilomètres de Sao Paulo (Brésil) et dans une turbine à vent dans l'ouest et le sud de l'Inde. Cette annonce intervient après la promesse faite en début d'année par la société de compenser les quelque 250 000 tonnes de gaz à effet de serre émis par la consommation d'énergie de son siège de la société en Californie. Si on ne peut qu'applaudir l'effort consenti par Yahoo pour l'environnement, on peut toutefois regretter que, de manière générale, ce genre de mesures s'applique principalement aux pays en voie de développement. Concrètement, les initiatives pour promouvoir les énergies « propres » se multiplient dans ces pays pour la simple raison qu'ils ne sont pas encore équipés. C'est donc plus simple. (...)

(24/10/2007 12:58:16)

Gestion de la performance : Microsoft mise sur l'intégration avec Office

Pour le lancement français de Microsoft Office PerformancePoint Server 2007, mardi 23 octobre, les retardataires ont dû se rabattre sur les escaliers, dans cette salle de 500 personnes de l'UGC Ciné Cité retenue par l'éditeur. Cette offre de gestion de la performance économique vient compléter les outils décisionnels que Microsoft livre déjà avec sa base de données SQL Server (reporting, datamining, intégration de données et stockage analytique). Destinée d'abord aux contrôleurs de gestion et aux directions opérationnelles, même si l'éditeur ambitionne de l'étendre au plus grand nombre d'utilisateurs, elle apporte des fonctions de tableaux de bord, d'analyse interactive de données (des outils issus du rachat de ProClarity) et de planification (analyse prévisionnelle de l'activité d'une entreprise). La version française sera disponible le 02 novembre, mais les plus curieux peuvent déjà télécharger une version d'évaluation sur le site de l'éditeur. Une concurrence musclée Microsoft arrive ici sur un marché très convoité, et par les plus grands éditeurs (SAP, Oracle, SAS, Cognos). Les solutions de gestion de la performance, ayant effectivement vocation à sortir des directions financières pour toucher toute l'entreprise, ont fait l'objet de tous les appétits ces derniers temps. Rappelons que ces derniers huit mois ont vu, dans ce domaine bien précis, le rachat d'Hyperion par Oracle, de Cartesis par Business Objects, d'OutlookSoft (une offre basée sur les technologies Microsoft) par SAP, d'Applix par Cognos et, surtout, finalement, de Business Objects par SAP. En dépit de cette concurrence musclée, Microsoft semble avancer avec sérénité sur ce terrain. Comme souvent, le prix de son offre, inférieur à celui des autres solutions bâties surtout pour les grandes entreprises, le conforte dans sa certitude d'attirer l'attention. La tarification d'Office PerformancePoint Server démarre à 20 000 € et va jusqu'à 35 000 € avec une maintenance de trois ans. Elle est assortie d'un droit d'usage de 300 € par utilisateur. L'éditeur, confiant sur ses chances dans le décisionnel, avance une récente étude de Gartner qui vient de le créditer de la plus forte progression des fournisseurs de solutions d'analyse de données d'entreprise (en anglais, Business Intelligence). Mais, comme à l'accoutumée, Microsoft compte surtout pousser son offre de gestion de la performance grâce à l'intégration qu'elle propose avec les logiciels de sa gamme Office. Ainsi, c'est un add-in pour Excel qui permet d'exploiter l'outil de planification et de saisir les prévisions. Et pour partager les outils d'analyse et les tableaux de bord, on recourra au portail Sharepoint. Microsoft affiche ses ambitions. Aujourd'hui, seuls 18 % des utilisateurs ciblés par le décisionnel l'utilisent vraiment. L'objectif, selon Laurent Delaporte, directeur général adjoint de Microsoft, c'est de porter cette proportion à 40 %, en partie grâce à l'intégration des outils avec Office. [[page]] Des démonstrations didactiques Pour convaincre de la facilité d'utilisation de PerformancePoint, l'éditeur a misé sur des démonstrations didactiques. A l'UGC Ciné Cité, les officiants ont décortiqué la constitution et l'exploration d'un indicateur de performance (mixant chiffre d'affaires et prévisions de ventes), l'exploration des données et leur manipulation graphique selon différentes vues (les ventes de l'entreprise par pays, produits, commerciaux, en histogrammes variés et en quelques clics), ou encore, les mécanismes de collecte d'informations entre différents utilisateurs, pour les démarches de prévisions de ventes, par exemple. Microsoft signale un premier client français, signé en fin de semaine dernière. C'est une société de 170 collaborateurs intervenant dans le secteur du service à la personne. Et pour illustrer l'intérêt des grandes entreprises pour ses solutions décisionnelles, Microsoft avait convié TF1, Auchan et Energizer. Ce dernier sera l'un des tout premiers clients à déployer au niveau mondial le module de planification de PerformancePoint. Le fournisseur de piles témoigne de l'importance que revêtent les prévisions annuelles de ventes, définissant la stratégie de son entreprise sur l'année à venir. Combiné à divers autres critères, son catalogue de 2 300 références génère 13 millions de possibilités de prévisions. Energizer entend donc simplifier son processus de planification, lourd et long à réaliser, en s'appuyant sur un référentiel commun à toutes ses entités. (...)

(24/10/2007 12:41:50)

Sage repousse Sage Expo

Comme l'indique notre confrère www.distributique.com, Sage a décidé de décaler de 15 jours son salon partenaires Sage Expo prévu le 13 novembre. La manifestation a été reprogrammée au 27 novembre, toujours au CNIT à la Défense. L'éditeur invoque notamment la nécessité de disposer d'une surface plus grande afin de présenter dans de bonnes conditions ses logiciels et ses services, sans toutefois rejeter le fait que la simultanéité du salon ERP 2007 avec Sage Expo concours au report. (...)

(24/10/2007 11:03:07)

EDF et Télécom Paris créent un laboratoire de recherche sur le décisionnel

GET/Télécom Paris et EDF R&D viennent d'annoncer la création d'un laboratoire commun, le « BILab », qui se consacrera à des travaux sur l'informatique décisionnelle. En août dernier, l'école d'ingénieurs et le fournisseur historique d'électricité avaient signé une convention prévoyant un partenariat de quatre ans entre les chercheurs de leurs deux entités. Les travaux du BILab se focaliseront plus particulièrement sur quatre thématiques : la gestion de contenu dans les entrepôts de données, l'analyse multi-dimensionnelle, la représentation et la gestion de flux de données et, enfin, la fouille d'informations de nature spatio-temporelle. Chez EDF, la recherche sur le décisionnel s'applique, d'une part, aux données issues de la consommation électrique et, d'autre part, à celles provenant de l'exploitation des centrales de production. L'objectif étant, dans le premier cas, d'en tirer profit pour la tarification et la maîtrise de l'énergie et, dans le second cas, de mieux maîtriser les coûts de production. Parmi les travaux déjà amorcés, le laboratoire annonce une recherche sur le traitement des flux massifs de données. Le BILab sera conjointement dirigé par Philippe Chabault, chef du département ICAME au sein d'EDF R&D, et Georges Hébrail du GET/Télécom Paris. (...)

(24/10/2007 11:01:16)

Citrix se campe en champion de la virtualisation de bout en bout

Citrix est le premier acteur de l'industrie à présenter une approche de bout en bout de la virtualisation : du poste client au serveur. Adossé au rachat de XenSource qu'il vient de finaliser, le spécialiste de ce qui fut longtemps appelé le client léger, a depuis progressivement étoffé sa panoplie technologique pour découpler suivant les besoins le matériel du logiciel (OS et applications). Il est désormais question de mise à disposition d'applications (application delivery). Aujourd'hui, le savoir-faire en virtualisation de XenSource permet à Citrix d'annoncer deux lignes de logiciels qui toucheront à la fois le poste client (XenDesktop 2.0, promis pour mi-2008) et le serveur (XenServer, ex-XenEnterprise 4.0). Les 1000 clients de XenServer / XenEnterprise le placent en numéro deux de la virtualisation des serveurs, mais à des années lumière de VMWare et de ses 20 000 clients. Une autre façon de voir les choses, celle qui a fondé le rachat de XenSource par Citrix, est de prendre en compte les 200 000 clients/ 70 millions d'utilisateurs de cet éditeur qui se démarque par un cocktail unique fait de technologies, d'une réputation bien établie et d'un solide réseau de distribution. Sans oublier les liens privilégiés, eux aussi uniques en leur genre, qu'il a su maintenir avec Microsoft. [[page]] Une offre attendue sur le poste client C'est probablement avec XenDesktop 2.0 que Citrix se démarque le plus. D'ici six mois, cette offre de virtualisation du poste client viendra s'insérer dans l'ensemble des solutions déjà existantes qui vont du client écran-clavier au streaming/provisionning d'applicatifs et de système d'exploitation. Sans oublier, non plus, NetScaler, outils d'accélération réseau. Si Citrix parvient à mettre rapidement en place une offre cohérente et modulaire, elle pourra faire pièce à celle de VMWare. C'est d'ailleurs la seule dans ce cas aujourd'hui, tellement la concurrence est absente. A commencer chez Microsoft. Il y a bien sûr l'arrivée de Viridian pour Windows Server 2008 d'ici neuf bons mois, mais aucune vision stratégique d'envergure ne vient étoffer ce produit, en particulier au niveau client. Un tel silence est étonnant. Ailleurs, c'est le même dénuement stratégique apparent. IBM n'a rien annoncé et, chez HP, on ne trouve que le rachat de Neoware, un client léger sous Linux, comme indice. C'est faible. Vers l'explosion du marché Pourtant, les enjeux techniques et économiques sont énormes. Les premières études sur les différents marchés autour de la virtualisation dessinent une explosion qui devrait avoir de profonde conséquence sur l'architecture des systèmes d'information. L'étude réalisée par IDC jusqu'à horizon 2011 fait ressortir d'impressionnants taux de croissance : de moins de 3 Md$ aujourd'hui, l'ensemble devrait dépasser les 7 Md$ en 2011. La virtualisation des serveurs, dont VMware est aujourd'hui le champion s'arrogera une part prépondérante (plus de 3 Md$) en 2011 alors qu'elle oscille autour de 1 Md$ cette année. La virtualisation du poste client, qui arrive en tête aujourd'hui avec près de 1,5 Md$ de CA, dont la majeure partie revient à Citrix, dépassera les 2 Md$ de CA en 2011. Ce que les analystes voient surgir, c'est la virtualisation d'applications. De quelques centaines de millions de dollars aujourd'hui, cette activité devrait se hisser autour de 1,5 Md$ en 2011. Même si ces chiffres risquent fort d'être affinés, ils montrent l'ampleur des bouleversements techniques et organisationnels qui attendent les DSI dans les trois ans à venir. (...)

(24/10/2007 09:32:40)

Oracle/BEA : BEA se dit prêt à se vendre... plus cher

Visiblement, l'ultimatum d'Oracle a porté. Après que la firme de Larry Ellison a déclaré qu'elle mettrait un terme dimanche à son offre de 17 $ l'action sur BEA, ce dernier a réagi par un communiqué stipulant que l'éditeur de middleware n'était pas opposé à la vente. Enfin, cela s'entend, si Oracle relevait son offre : « Le conseil d'administration de BEA n'a pas indiqué qu'il s'opposerait à une transaction qui reflète de façon appropriée la valeur de BEA, à l'issue d'un processus raisonnable. » Oracle relèvera-t-il son offre ? Pour Ray Wang, analyste chez Forrester, « s'ils veulent vraiment dominer le marché du middleware, alors c'est une acquisition qu'ils devraient vouloir mener à terme ». Comme l'expliquaient nos précédents interlocuteurs, si BEA tombait dans d'autres mains, c'est Oracle qui se ferait distancer sur ce marché. (...)

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