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(07/11/2011 10:20:15)

Trimestriels Alcatel-Lucent : Rechute et tour de vis supplémentaire

Alcatel-Lucent publie les résultats de son troisième trimestre fiscal, une période correspondant à la fin de plan de redressement. Elle correspond aussi à une dégradation de l'économie. Autant dire qu'Alcatel-Lucent, qui avait entamé son redressement il y a trois ans, avec l'arrivée de Ben Verwaayen à sa tête, annonce une rechute.

Le chiffre d'affaires sur ce troisième trimestre se monte à 3,8 milliards d'euros, en baisse de 6,8%. L'activité baisse de 18,4% en Asie-Pacifique et de 11,6% en Europe. La marge d'exploitation ajustée se retrouve à  4% contre 5% attendus. La marge brute se monte à 36,3% au Q3, elle était de 33,8% au même trimestre de 2010 et de 35,8% au 2ème trimestre 2011. Toutefois, le bénéfice net sur le trimestre s'élève à 194 millions d'euros, signe que la rentabilité est préservée.

L'action est en repli et Ben Verwaayen entame un nouveau discours. « Compte tenu de l'incertitude du climat économique, nous allons entamer des actions plus radicales », il a prévu de réduire encore les coûts de 500 ME en 2012, 200 sur les coûts fixes, 300 sur les couts variables.

(...)

(07/11/2011 10:08:10)

Les DSI anglais blasés par le cloud et la consumérisation de l'IT

Voilà un sondage qui va décevoir les éditeurs de logiciels et les constructeurs IT. Dans un article intitulé « Les décideurs IT Britanniques sont blasés par le cloud », notre confrère CRN UK détaille en effet les résultats d'un de ses sondages qui montrent que les entreprises d'Outre-manche ne témoignent pas d'un enthousiasme débordant pour les concepts du cloud et de la consumérisation de l'IT.

Répondant au magazine en ligne qui cherchait à connaître leur intérêt pour le cloud computing sur la base d'une échelle de 1 (pas important) à 5 (très important), les 500 responsables informatiques interrogés(*) ont été 22,9% à répondre « 1 », 20,5% à répondre « 2 » et 25% à opter pour le « 3 ». Autant dire que les 10% de sondés à considérer le cloud comme très important (5) et leurs 20% (environ) d'homologues à le considérer comme important (4) ne forment qu'une minorité.

Peu intéressés par la consumérisation de l'IT

Sur le thème de la consumérisation de l'IT, les réponses ont permis de dégager une tendance assez similaire. Ainsi, seules 3,5% des personnes interrogées ont considéré le sujet comme très important (5) et 16% comme important (4). Elles sont en revanche environ 30% à avoir répondu « 3 », 28,5% à avoir répondu « 2 » et 18,4% à avoir répondu « 3 ».

Le Royaume-Uni étant traditionnellement en avance sur la France dans l'adoption de nouvelles technologies, on peut se demander si les responsables informatiques français auraient répondu différemment à ce sondage.

(*) Le panel interrogé par CRN UK comportait à la fois des responsables des systèmes d'information de grandes et de petites entreprises.

(...)

(07/11/2011 10:02:38)

Avec OnDemand, EMC pousse ses logiciels dans le cloud

Afin de permettre à ses clients de bénéficier en permanence des dernières versions de ses applications, EMC propose désormais un service de cloud hybride sous le nom de EMC OnDemand. EMC souhaite de cette manière aider ses clients à accélérer leur transition vers le cloud. Grâce à ce service, EMC entend également simplifier la gestion d'applications très complexes et offrir un coût de maintenance limité. Développé en utilisant une gamme de technologies best-in-class de VMware, RSA et EMC, l'infrastructure peut contenir un ou plusieurs produits de EMC et de ses partenaires. Elle est également entièrement transférable d'un centre de données à un autre. Les clients peuvent ainsi bénéficier de ce service en quelques heures seulement contre plusieurs mois auparavant.

La version initiale d'EMC OnDemand comprend :

- EMC Captiva: une solution intelligente visant à faciliter la capture, l'indexation et l'archivage des documents de l'entreprise.

- EMC Document Sciences: une solution de communication destinée à automatiser la création, la production et la délivrance sur des canaux multiples (impression papier, e-mail, SMS et web) d'informations personnalisées.

ICTJournal.ch (...)

(07/11/2011 09:59:01)

Les PME innovantes conscientes de la dégradation des aides publiques

Menée de juillet à septembre, l'étude du cabinet Sogedev, a permis d'interroger 206 PME. Elle porte sur l'application depuis janvier 2011, de la Loi de Finances adoptée il y a un an. Les PME innovantes se montrent à la fois très au courant des dispositifs prévus et très conscientes d'être désavantagées (avec les modifications de cette Loi de Finances 2011) par rapport aux grands comptes.

Sur le premier point, 64% des PME interrogées déclarent mener des projets innovants, 73% d'entre elles bénéficiant d'aides publiques en faveur de l'innovation. Des scores élevés. A contrario, 28% des PME estiment ne pas avoir suffisamment de temps pour solliciter ces aides publiques, 11% assurent en pas avoir les compétences internes suffisantes. « C'est en effet chronophage et très complexe, note Thomas Gross, directeur associé de Sogédev,  pourtant, l'impact de ces aides est positif, permettant aux entreprises innovantes de lancer leurs projets et de procéder à des recrutements qu'elles n'auraient pas réalisés».

Malgré cette base solide, la Loi de Finances 2011 est venue créer, par une série d'amendements, une instabilité pour les PME innovantes. Dans l'étude, elles se montrent très conscientes de la dégradation des aides. Les taux du CIR (dispositif fiscal où l'Etat rembourse une partie des dépenses consacrées par l'entreprise à l'innovation) ont été ramenés (pour les entreprises entrants dans le dispositif) de 50 à 40% des sommes engagées la première année, de 40 à 35 la seconde, à partir  1er janvier 2012. Conséquences : des reports de conception de nouveaux produits et des reports d'embauches. 

La trésorerie des PME innovantes pénalisée

Par exemple, le CIR pouvait être remboursé dès le 2 janvier suivant la période du CIR (par exemple au 2 janvier 2011, pour les dépenses de 2010), depuis le 1er janvier dernier c'est seulement au dépôt de la liasse fiscale que peut être demandé le remboursement du CIR (par exemple 2012 sur les dépenses de 2009). Ce n'est plus du tout la même visibilité pour les PME qui témoignent de difficultés de trésorerie, due à ces modifications de la Loi de Finances.

Sur l'aspect JEI (qui porte sur les cotisations patronales de sécurité sociale), les PME doivent faire face à une autre forme d'instabilité. Elle vient du nouveau calcul dégressif d'exonérations sur les cotisations Urssaf et sur le plafonnement des exonérations de charges. Deux tiers des PME interrogées se déclarent impactée. Cette dégressivité des charges se situe maintenant à partir de la 4ème année, avant c'était la 8ème année.  Ce nouveau dispositif  vide le statut de son intérêt. Si le statut de JEI disparaissait, c'est le tiers des entreprises qui pourraient licencier.

Les nouvelles dispositions jouent directement sur la trésorerie des entreprises, elles introduisent une grande instabilité pour des PME jugées pourtant essentielles. Ces dispositions sont jugées injustes car les grandes entreprises (grâce à meilleur lobbying auprès des parlementaires ?) ne sont pas concernées. Tout cela au nom de la réduction des dépenses de l'Etat.  

Les définitions précises du Crédit Impôt Recherche (sur Industrie.gouv.fr) et du statut de la jeune entreprise innovante (sur Urssaf.fr)

Illustration : La fiche pratique de la JEI et le guide du crédit impôt recherche 2011 (crédit : D.R.)
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(07/11/2011 09:51:42)

F-Secure détaille les risques liés à Duqu

Selon l'entreprise de sécurité F-Secure, Duqu est un bot windows (et pas un ver), utilisé pour effectuer des attaques très ciblées contre un nombre limité d'organisations, dans un petit nombre de pays. Il se propage via un document transmis par courrier électronique. La spécificité de Duqu est qu'il exploite une faille découverte dans le noyau de Windows.  Microsoft a livré un premier correctif pour limiter les dégâts de Duqu. Selon F-Secure, pas trop de raisons de s'inquiéter toutefois : en effet le document infecté n'est pas en circulation. Il est tellement ciblé que son transfert révélerait très certainement l'identité de la cible première, raison pour laquelle CrySyS Lab, qui a découvert Duqu, ne peut pas diffuser le document.

Si Duqu ne cible que des cibles stratégiques, pas de raison de s'inquiéter? F-Secure relève toutefois un effet collatéral qui pourrait s'avérer problématique: à savoir que lorsque Microsoft diffusera son patch, les hackers malveillants pourront effectuer une action de reverse engineering sur ce patch, ce qui leur permettra de découvrir où se situait la faille. Ils pourront ensuite exploiter cette faille pour s'attaquer à tout ordinateur Windows n'ayant pas encore fait de mise à jour.

Un malware proche de Stuxnet

F-Secure liste les similitudes entre Duqu et Stuxnet, qui avait permis de perturber les opérations  dans une centrale nucléaire iranienne, mais relève également quelques différences. En l'occurrence, Duqu n'est pas configuré pour agir de manière autonome. Lorsqu'il a infecté sa cible, il se connecte sur un serveur Command and Control (C & C). Deux serveurs sont connus à ce jour, l'un en Inde et l'autre en Belgique.  Dans un cas connu, Duqu a permis de télécharger un logiciel permettant de collecter des données de sa cible. Duqu pourrait également recevoir l'instruction de se propager au sein du réseau de sa cible via des ressources réseau partagées.

De manière générale cependant, les similitudes entre les deux malwares mènent F-Secure à penser que ses auteurs sont les mêmes. Notant l'intelligence et la méthodicité du système, l'entreprise de sécurité laisse entendre que Duqu serait une «action organisée» déployée ou autorisée par un Etat.

ICTJournal.ch (...)

(07/11/2011 09:49:32)

Microsoft propose un correctif partiel contre Duqu

Duqu est un ver espion. Il profite d'une faille encore inconnue de Windows pour infecter les ordinateurs depuis un simple document Word corrompu. Dès lors, toutes les informations sensibles tapées au clavier (formulaires, mots de passes, comptes bancaires, etc.) sont enregistrées puis renvoyés sur des serveurs pirates.

Microsoft propose un correctif (Fix it 50792) à installer sur sa machine, en complément des dernières mises à jour de Windows. Il est censé éradiquer Duqu des fichiers Word infectés mais ne corrige pas encore la faille elle-même.

Nous développerons cette information dans un autre papier.

Installer le correctif de Microsoft : http://support.microsoft.com/kb/2639658

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(07/11/2011 09:39:56)

Christophe Boutonnet, nouveau DSI du Conseil d'Etat

Le Conseil d'Etat a communiqué l'identité de son prochain DSI. Il s'agit de Christophe Boutonnet. Il remplace Joseph Ohayon, devenu DSI du Centre national de la fonction publique territoriale.

A 48 ans, Christophe Boutonnet prend la responsabilité d'une DSI aux attributions très larges puisqu'elle est en charge du maintien et du développement de l'ensemble des moyens informatiques non seulement du Conseil d'Etat mais également d'un ensemble de juridictions associées : cours administratives d'appel, tribunaux administratifs et Cour nationale du droit d'asile (soit 52 sites en France métropolitaine et dans les départements et territoires d'outre-mer).

X-Telecom et ingénieur général des Mines, Christophe Boutonnet a connu un parcours classique de manager IT en consacrant l'essentiel de sa carrière aux management des systèmes d'information, aux projets informatiques et aux réorganisations associées dans des administrations très différentes.

Il a débuté sa carrière dans le domaine en 1994 au ministère des anciens combattants et des victimes de guerre avant de rejoindre, en 1997, le ministère de l'industrie (devenu en 1998 celui de l'Economie, des Finances et de l'Industrie) et enfin, en 2001, le ministère de l'intérieur. Dans ce dernier ministère, il a notamment été sous-directeur des systèmes d'information et de communication de la Préfecture de Police de Paris (2004-2006) puis chef du service de coordination de l'action territoriale à la DSI du Ministère avant de prendre son poste actuel.
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