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(21/09/2007 17:21:05)

Forte progression des recrutements IT en août, selon l'Apec

Août est généralement la période la plus creuse de l'année sur le front de l'emploi. Pourtant, l'indice de diffusion des offres sur Internet publié par l'Apec a affiché une hausse de 50 points en août 2007, par rapport à la même période l'année précédente. Un autre indicateur, celui des offres d'emploi cadres confiées à l'Apec, relève également une augmentation de 31% du nombre de postes à pourvoir en août 2007 par rapport à août 2006 : ainsi, 15 260 postes étaient à pourvoir au mois d'août 2007 et 209 400 offres ont été publiées au cours des douze derniers mois, de septembre 2006 à août 2007 ( +22%). Une fois encore, c'est l'informatique qui affiche le taux d'augmentation le plus élevé, avec +26%. Les plus fortes hausses concernent l'exploitation et la maintenance (+37%), l'informatique de gestion (+36%) et les systèmes/réseaux/données (+26%). A l'inverse, le nombre de postes à pourvoir dans la filière informatique industrielle (+7%) a fortement baissé depuis le début de l'année. Quoiqu'il en soit, la filière IT reste la première fonction ouverte aux jeunes diplômés : 30% des offres leur étaient destinées en août 2007, contre 29% un an auparavant. En recherche et développement, les offres ouvertes aux jeunes ont légèrement reculé par rapport à l'année dernière (24%, contre 27%), mais restent à un niveau toujours élevé. (...)

(21/09/2007 17:20:21)

A l'IE-Club, les éditeurs réclament des développeurs

Hier soir, l'IE-Club a tenu sa conférence de rentrée dans les locaux parisiens de Microsoft, rue de l'Université. Le thème de la soirée, « la révolution de l'Internet Software », a visiblement plu. Ce fut la meilleure audience depuis la création de l'IE-Club : 325 participants. L'assistance d'hier mêlait capitaux-risqueurs (environ 15 % de l'audience) et éditeurs de logiciels, tout autant aficionados de l'Internet que fournisseurs plus traditionnels. Rappelons que l'IE-Club a vocation à rapprocher les PME du secteur IT des acteurs susceptibles de les aider dans leur essor. La conférence, il est vrai, surfait sur une actualité plutôt chaude, de nombreux éditeurs ne parlant ces temps derniers que de SaaS (software as a service), de « on-demand » ou de « cloud computing ». « Nous avons observé que les nouveaux modes de consommation du logiciel - à partir d'un navigateur Web, d'un téléphone portable ou de widgets - généraient aussi de nouveaux modes de développement, de financement et de commercialisation », explique Julien Codorniou, responsable chez Microsoft France des partenariats avec les éditeurs innovants et organisateur de la conférence (en partenariat avec TechCrunch et l'Afdel). Un coût de développement divisé par dix en six ans En trois tables rondes, la soirée a donc posé les règles de cette nouvelle industrie, avec les acteurs français du logiciel « canal historique » (selon l'expression de Julien Codorniou) et avec les éditeurs pour qui le Web est la seule plate forme possible. Premier constat, il est beaucoup plus facile de créer une société qui fait de l'Internet qu'un éditeur traditionnel. Le coût de développement d'une application Web a été divisé par plus de dix en cinq ou six ans. Le fondateur de « Dis-moi où » a déboursé 350 euros pour [[page]]développer son « encyclopédie des lieux participative et réutilisable ». La richesse de l'Open Source contribue à cette accessibilité, mais les ténors du logiciel y participent aussi. « Chez Microsoft, nous avons un programme pour les start-up, rappelle Julien Codorniou. Pour 300 euros, elles accèdent à l'ensemble de nos outils pour cinq développeurs. » Deuxième constat, plus préoccupant, il y a une vraie pénurie de développeurs sur le marché, ceux-ci étant systématiquement happés par les SSII. Les jeunes sous-estiment l'intérêt de développer chez un éditeur. Pourtant, des acteurs comme Brainsonic et Yahoo souligne l'attrait du poste. Pour eux, cela revient purement et simplement à « intégrer une écurie de Formule 1 ». Contraint à l'innovation permanente Troisième constat, quand on se lance dans l'Internet Software, on est contraint à l'innovation permanente. A la moindre faiblesse, l'éditeur court le risque de voir le client le lâcher. Sur ce front, les nouvelles sont plutôt bonnes. Les intervenants de l'IE-Club jugent très bon le niveau des développeurs français en Europe. Un des atouts hexagonaux semble être la capacité à fabriquer de « la propriété intellectuelle », par rapport à d'autres pays, comme l'Inde, plus axés sur le développement de services. Enfin, les investisseurs soulignent la qualité des dossiers français. Il y a davantage de bons entrepreneurs, qui ont des idées et font du chiffre d'affaires, avec des acteurs à la pointe dans le commerce électronique. Une bonification que l'on doit sans doute en partie au crédit d'impôt recherche ou encore au soutien de l'Oséo et à son label Entreprise innovante. (...)

(21/09/2007 17:16:21)

Toshiba développe une plateforme multimedia basée sur le processeur Cell

En préambule du Ceatec, grand raout technologique japonais qui débute le 2 octobre, Toshiba a dévoilé SpursEngine, une plateforme pour solutions mobiles, reposant sur Cell. Pour mémoire, il s'agit d'un processeur développé par IBM et Sony - et qui équipe notamment la PS3. Toshiba destine sa technologie aux tâches multimédia, comme le traitement de flux vidéo et d'images, via notamment un module mis au point par le constructeur. Ce dernier promet des rendus 3D époustouflants. Le prototype sera cadencé à 1,5 GHz et devrait consommer entre 10 et 20 watts. Il embarquera de la mémoire Rambus XDR Ram, réputée plus rapide dans le transfert de données. Début de la commercialisation prévu après le Ceatec. (...)

(21/09/2007 16:26:47)

Les DSI toujours réservées à l'encontre de Vista

Les utilisateurs professionnels ne se bousculent pas autour du premier gâteau d'anniversaire de Vista. Selon une enquête conduite auprès de 1600 décideurs informatiques membres de la ChangeWave Alliance (10 000 membres répertoriés), 62% des entreprises concernées n'ont pas de projet de déploiement de Vista. Lancée en juillet dernier, cette enquête montre qu'un taux croissant d'entreprises déclarent ne pas planifier le déploiement de Vista. Dans le même sens, le pourcentage des entreprises qui prévoient un déploiement, 14%, et celui de celles qui ont des projets plus informels, 12%, est en baisse par rapport aux 18% atteints en janvier. L'arrivée d'un imposant Service Pack 1 début 2008 suffira-t-il à faire changer les esprits ? Si ce SP est, aux yeux de responsables informatiques expérimentés, indispensable pour envisager un déploiement, certains parlent déjà d'attendre le SP2. La terrible lenteur à démarrer de Vista ne peut qu'inciter à disposer d'une version la plus stable possible. (...)

(21/09/2007 16:15:52)

Les bogues de VMWare soulignent les failles de la virtualisation

Alors que la virtualisation se glisse de plus en plus dans les systèmes d'information, une équipe de chercheurs IBM a mis la main sur une série de failles touchant de près ESX Server. Si VMWare, son éditeur, comblait dans la foulée cette série de douze trous dans une mise à jour livrée hier jeudi 20 septembre, cet épisode mettait en avant les quelques faiblesses d'une technologie très à la mode. Les trois failles, pointées du doigt par IBM et jugées critiques pour les utilisateurs d'ESX Server, frapperait le serveur DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) livré avec l'application. Ce logiciel, qui répartit les adresses IP entre les différentes machines virtuelles, pourrait ainsi servir à prendre la main à distance sur le serveur. Pour Tom Cross, chercheur à l'Internet Security Group d'IBM : « en prenant le contrôle de la machine, l'attaquant peut accéder à n'importe quelle machine virtuelle présente. » Un point gênant car les chercheurs - et les entreprises - utilisent souvent des machines virtuelles pour isoler certaines applications sensibles. Un danger confirmé par Dave Aitel, directeur technique d'Immunity, un éditeur spécialisé dans la sécurité. « Les serveurs font souvent tourner une application vulnérable sur une machine virtuelle et ont des informations confidentielles sur une autre, isolées par VMWare. VMWare ESX est devenu très populaire parmi les environnements hôtes, ce type de bogue peut prendre des proportions effarantes si vous trouvez une faille distante sur une machine virtuelle. » Les machines virtuelles, prochaines bêtes noires des éditeurs Une autre faille, découverte par les équipes de McAfee, permettrait également de prendre le contrôle de machines virtuelles, mais elle serait plus complexe à mettre en place. Toutefois, pour David Marcus, chercheur chez McAfee, l'existence même de ces exploits va pousser les chercheurs en sécurité informatique à s'intéresser de plus près aux machines virtuelles : « si vous pouvez attaquer une machine virtuelle et de là passer sur le système d'exploitation hôte, alors vous avez la mainmise sur toutes les machines virtuelles présentes. » (...)

(21/09/2007 15:37:27)

IDF : Intel veut réduire la consommation d'énergie de Linux

A l'occasion de son Developer Forum, Intel a annoncé l'ouverture d'une communauté baptisée Less Watts, dont le but est de promouvoir la réduction d'énergie de Linux et des applications Open Source sur les plateformes Intel. Outre le fait de réunir utilisateurs, développeurs et constructeurs pour améliorer le noyau Linux, Less Watts offre un ensemble d'outils comme PowerTop ou le Linux Battery Life Toolkit (BLTK), qui mesure l'impact qu'ont les changements de code sur la consommation d'énergie. Une dizaine d'applications sont pour l'heure mises à disposition. Hier jeudi 20 septembre, Intel a annoncé son intention de lancer des UMPC sous Linux, à base d'une version modifiée d'Ubuntu. (...)

(21/09/2007 15:33:29)

Global Knowledge forme les demandeurs d'emploi aux technologies Microsoft

Global Knowledge, organisme privé de formation IT, lance une offre qui vise les personnes en situation de reconversion professionnelle, et les demandeurs d'emploi. Ceux qui souhaitent changer de métier pourront ainsi avoir accès à trois cursus Microsoft, MCDST (technicien support), MCSA (administrateur) et MCSE (ingénieur), et obtenir le soutien financier du Fongécif, le fonds de gestion du congé individuel de formation. A partir de janvier 2008, les personnes au chômage auront elles aussi, la possibilité de suivre des cycles autour des technologies Microsoft : MCSE Windows 2003, Technicien support poste de travail (formation assortie d'une certification), Développeur .net, et Administrateur SQL Server 2005. Enfin, les particuliers, qui auront choisi de suivre les sessions dispensées par Global Knowledge en candidats libres, bénéficieront de tarifs préférentiels ainsi que d'un échelonnement des paiements. (...)

(21/09/2007 15:28:27)

IDF : Avec le prochain Centrino, Intel pourrait démocratiser le Wimax

Alors que les opérateurs semblent bouder la technologie, Intel, à l'occasion de son grand raout réservé au développeurs, l'IDF, a décidé de miser sur le Wimax pour parfaire sa stratégie concernant la mobilité. Et pas uniquement sur les ordinateurs portables. En intégrant en natif, après moult hésitations, la norme à ses plateformes, Intel se montre un allié de poids pour le Wimax. Cela pourrait bien lui donner l'impulsion nécessaire à son décollage. Un peu à l'image du WiFi et des premiers Centrino. Intel a en effet promis d'intégrer à la prochaine génération de Centrino (prévue pour 2008) la norme 802.16, en plus de la 3G. Elle devrait par ailleurs être supportée sur les prochains UMPC (PC ultra-mobiles) Windows et Linux de la marque. Le Wimax est un standard de réseau sans fil qui offre notamment une portée bien plus importante que celle du WiFi. En France, certaines collectivités locales ont adopté la technologie pour alimenter en Internet les zones blanches, comme l'Aveyron ou le Loiret. Reste que, pour l'heure, les offres Wimax sont encore rares, les opérateurs misant pour l'heure sur la 3G, plus lucrative. (...)

(21/09/2007 13:38:43)

Réseaux sociaux : les Français préfèrent Skyblog

Le cabinet ComScore, spécialisé dans les mesures d'audience Internet, vient de publier sa dernière étude concernant les réseaux communautaires en France. Sans véritable surprise, c'est Skyblog qui rafle encore la mise, avec plus de neuf millions de visiteurs uniques au courant du mois de juillet (sur 13,2 millions, pour la totalité des connexions). La raison de cet engouement ? Apparemment la langue. Delphine Gatignol, directrice de développement chez ComScore, souligne en effet que « les sites de réseaux sociaux sont fondés sur leur capacité à permettre aux utilisateurs de communiquer rapidement entre eux. La prédominance de Skyblog en France démontre que la langue est un facteur principal dans leur choix ». Loin derrière Skyblog, on retrouve MySpace (2,2 millions de connectés), Adoo.com (1,3 million), NetLog.com (827 000), Hi5 (754 000), Lexode (675 000) et Dada.net (495 000). Les célèbres Facebook, MSN Group et autres Videao sont quant à eux à la traîne. Si Facebook remporte un franc succès en Grande-Bretagne (7,6 millions de visiteurs, pour la même période), le site, référence des campus universitaires américains, peine nettement à se faire une place en France, avec à peine 300 000 connexions mensuelles. (...)

(21/09/2007 12:22:56)

Pour Gartner, l'Open Source est incontournable

Lors du sommet Gartner sur l'Open Source, Mark Driver, vice-président du cabinet d'analyse, a été très clair : Les sociétés peuvent essayer d'éviter l'Open Source, mais il sera alors plus simple de se passer entièrement d'infrastructures high-tech. « L'Open Source s'intègrera à votre réseau que vous le vouliez ou non. Il est devenu totalement impossible d'éviter le sujet », affirme Mark Driver, soulignant que d'ici 2011, 80 % des logiciels commerciaux contiendront au moins une partie de code Open Source. Il propose également quatre éléments pour juger de l'intérêt d'intégrer un logiciel ouvert dans son organisation. Le premier est l'utilité du logiciel. « L'Open Source, plus que les autres modèles dans l'industrie, a de nombreux promoteurs, à la limite fanatiques [...].» Le deuxième est le ratio risque/amortissement, en s'assurant que le produit est suffisamment stable et dispose d'un support technique. Le troisième est l'autonomie technique de l'entreprise et sa capacité à absorber de nouvelles technologies. Et enfin, le quatrième facteur est l'aspect critique de l'application. Sur ce point, l'Open Source n'est pas forcément une mauvaise solution si l'entreprise est - par rapport aux trois autres facteurs - prête. Selon Gartner, 49,7 % des applications critiques pour les sociétés sont issues de l'Open Source, contre 59 % issues de logiciels commerciaux et 58,5 % développées en interne (ndlr : le total dépasse 100 % car une société a souvent plus d'une application critique). Et Mark Driver de conclure : « Vous devez établir vos critères pour évaluer les logiciels Open Source, ainsi que des procédures pour les adopter et les maintenir. L'Open Source n'est plus un marché de niche ou une mode, c'est devenu un produit courant et qui le restera. » (...)

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