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(14/09/2007 17:40:03)
La visioconférence au service des langues du primaire en septembre 2008
Quelque mille écoles primaires devraient être équipées d'un dispositif de visioconférence pour permettre aux élèves de communiquer en direct avec leurs correspondants étrangers. C'est ce qui a été annoncé par le ministre de l'Education Xavier Darcos lors de sa visite de l'Ecole Willy Brandt à Elancourt (Yvelines), son objectif : « faire de la France une nation bilingue ». Le ministère devrait lancer un appel à projet destiner à en régler les modalités techniques. Vingt établissements pilotes devraient être équipés dès janvier 2008. « Il s'agira en fait d'une vingtaine de projets qui seront présentés par des entreprises et des collectivités locales, et que nous auront labellisés d'ici décembre », nous explique Jean-Yves Capul, sous-directeur du service TICE (Technique de l'Information et de la Communication pour l'Education) du ministère de l'éducation nationale. Ces vingt tests grandeur nature serviront à évaluer le type d'utilisation à faire d'un tel outil. Un vaste chantier Car si l'idée de base est bien évidemment de laisser les éléves discuter avec des interlocuteurs anglophones, reste à savoir à qui et comment ils s'adresseront. Plusieurs options sont envisagées. La plus séduisante serait de permettre à des classes entière de pouvoir se parler via une installation HD, qui autorise les conférences à plusieurs, et en temps réel. Il est également possible que les discussions se fassent en « one to one », seuls quelques ordinateurs équipés de web cam suffiraient alors. Reste à trouver des classes européennes jumelles qui soient aussi bien équipées que les classes françaises pilotes. A défaut, le ministére nous apprend que la correspondance pourrait se faire avec un tuteur adulte et non pas une classe entière. Enfin, le TICE souhaite également se pencher sur la possibilité d'intégrer la visioconférence aux tableaux blancs interactifs, les TBI qui commencent à apparaitre dans quelques écoles. De même, l'appel devrait rester ouvert en ce qui concerne les protocoles de transmission (H323 ou voix sur IP). « Une fois ces 20 projets évalués, poursuit Jean Yves Capul, nous choisirons le plus approprié, et il servira de modèle aux installations de la rentrée 2008. » Quoi qu'il en soit, l'Etat ne devrait pas assurer de financement au delà de celui, non précisé encore, nécessaire à la mise en place de ces 1000 "prototypes". Tout appareillage supplémentaire étant à la charge des collectivités locales. Il existe déjà quelques exemples d'utilisation de la visioconférence dans le primaire. C'est le cas de l'école de la Commanderie à Elancourt qui a opté pour le cours à distance via un TBI. « Nous faisons l'experience depuis janvier dernier avec une classe de CM1. Des professeurs leur donnent régulièrement des cours depuis l'Angleterre et le Canada, mais nous avons encore peu de retours, » nous explique Mm Selin, la directrice de l'école. L'école de la Commanderie fera partie des 20 projets labellisés par le ministère. (...)
(14/09/2007 17:37:35)Business Objects intègre ses rachats dans sa suite EPM XI
Moins de cinq mois après le rachat de Cartesis, Business Objects annonce une suite de gestion de la performance financière qui tire profit de cette acquisition, ainsi que de l'apport d'ALG Software, éditeur acquis en septembre 2006. Baptisée Business Objects EPM XI (EPM pour enterprise performance management), la suite s'adresse d'abord aux directeurs financiers, mais elle vise aussi les directions opérationnelles, notamment avec la disponibilité d'une solution analytique complémentaire appliquée à la chaîne logistique. Elle doit être livrée fin septembre. EPM XI apporte des outils de planification, de mise en place de budget, de prévision, d'analyse de profitabilité, de consolidation et de reporting financier, ainsi que des outils de gouvernance et de gestion du risque, des tableaux de bord et du pilotage par 'scorecards' (analyse ne se limitant pas aux axes financiers). Toutes ces fonctions bénéficient des outils de requête, de reporting et d'analyse de données de la suite décisionnelle de BO sur laquelle EPM XI s'appuie. La suite utilise un modèle de données unique (BusinessObjects IDM) destiné à garantir la pertinence des informations traitées sur l'ensemble des processus mis en oeuvre. En complément, l'éditeur propose deux solutions financières spécifiques. La première, The Close, est destinée à assister les opérations de clôture financière et la deuxième, Forecast and Cost Control, à optimiser les prévisions financières. (...)
(14/09/2007 17:25:32)Un projet confidentiel fuite chez Yahoo
Un employé de Yahoo aurait malencontreusement envoyé un mail confidentiel à un journaliste du New York Times. Le courrier comportait une invitation pour visiter le dernier né du géant de l'Internet, Yahoo Mash, son propre réseau social. Brad Stone - le journaliste en question - a tenté de se connecter à partir du lien fourni par le mail, sans succès. Il a ensuite reçu un message de la part de Yahoo, mentionnant qu'il s'agissait d'une « erreur d'envoi ». Interrogé par IDG News Services, un porte-parole de Yahoo a précisé que le nouveau service était actuellement en phase de test « alpha » auprès des salariés de la société, mais aucunement disponible auprès du grand public. Yahoo et le web 2.0 : un train de retard ? Il s'agit là d'un coup dur supplémentaire pour Yahoo dans sa tentative de percer dans le web 2.0. La société avait déjà essayé en mars 2005 de se faire une place au sein de cet univers, avec « Yahoo 360 ». Ce lancement s'était soldé par un échec. La société a ensuite été confrontée aux succès fulgurants de sites communautaires comme MySpace, Facebook ou encore Dailymotion, qui ont avalé dans la foulée une partie de son audience. (...)
(14/09/2007 17:17:15)Google promeut un standard pour la défense de la vie privée
Google souhaite que les gouvernements et les entreprises IT du monde entier adoptent une approche standard du traitement des questions relatives à la vie privée sur le Web. C'est la position que doit défendre Peter Fleischer, le conseiller juridique du groupe, devant une conférence organisée à Strasbourg par l'Unesco. Selon le juriste, les organisations internationales et les entreprises privées doivent dialoguer davantage sur les questions de respect de la vie privée dans le but de définir un standard. Si le groupe esquisse les contours de ce que devrait être ce standard (le produit d'une auto-régulation des entreprises, amélioré par les lois existantes et éventuellement de nouvelles), il refuse d'être trop précis : « nous ne voulons pas décider qui fait quoi, ou ce que sont ces standards car ils doivent être le résultat d'un effort collaboratif », précise ainsi le porte-parole du géant de Mountain View. Google semble prendre modèle sur les travaux de l'Apec, la coopération économique Asie-Pacifique, qui a élaboré un ensemble de neuf règles relatives au traitement de la vie privée. Ces mesures font néanmoins l'objet de critiques en raison de leur caractère flou et ne sont que partiellement mises en place par les membres de l'Apec, explique David Bradshaw, analyste pour Ovum. Les exigences de l'UE en matière de protection de la vie privée vont, en outre, au-delà ces principes posés par l'Apec. De fait « Google ne peut espérer que l'Union européenne et tous les pays qui disposent de standards supérieurs acceptent de les revoir à baisse pour les aligner sur ceux de l'Apec », poursuit-il. L'initiative de Google est d'autant plus remarquable que le moteur de recherche a, encore récemment, fait l'objet de nombreuses critiques sur son traitement des données personnelles de ses utilisateurs. En juin, le groupe acceptait de ramener la durée de conservation des logs à 18 mois après avoir essuyé les foudres d'un groupe de travail de l'Union européenne. Au cours du même mois, l'ONG Privacy International jugeait Google « hostile à la vie privée » et pointait du doigt « la surveillance totale des utilisateurs ». (...)
(14/09/2007 17:13:17)Des plans de continuité d'activité souvent obsolètes
Pour Richard Jones, auteur de l'étude « Survival of the Fittest : Disaster Recovery Design for the Data Center » et vice-président du cabinet d'analyse américain Burton Group, la plupart des plans de continuité d'activité des entreprises ne tiennent compte ni des besoins, ni des capacités techniques actuelles. Il souligne même que plus d'un tiers des sociétés n'ont même pas testé leur DRP (Disaster Recovery Plan) dans l'année écoulée. « Certains événements récents, comme l'ouragan Katrina ou la tempête de neige qui a paralysé la compagnie aérienne Jet Blue (NDLR : le 14 février dernier), montrent combien une interruption de la continuité de services peut être onéreuse pour une société. » Et il avance six causes pour cette situation : un marché global qui met en compétition des sociétés de toutes tailles, une production et une distribution en temps réel, une diminution des budgets alloués à l'IT qui force à utiliser les hommes et le matériel en permanence à 100% de leurs capacités, l'explosion de la quantité de données à traiter, et la multiplication des réglementations qui obligent à conserver leurs données plus longtemps. Sans compter une multiplication par deux en trente ans des désastres humains et naturels. De plus, si la capacité des bandes magnétiques double tous les deux ans, celle des disques durs est multipliée par dix tous les cinq ans. Il est alors tentant de passer à une sauvegarde sur disque. « La croissance du stockage sur disque associée à la consommation de cet espace de stockage par une multiplication du contenu numérique a abouti au pire cauchemar de l'administrateur : une sauvegarde qui ne s'effectue pas dans le temps imparti », affirme Richard Jones. L'une des solutions qu'il propose est de tirer parti d'Internet et des technologies associées pour s'adresser à des centres d'hébergement. Tout en reconnaissant que « la co-location n'est pas valable pour toutes les entreprises, ni pour tous les systèmes à l'intérieur de l'entreprise ». (...)
(14/09/2007 17:03:07)Sun ménage son avenir face à la virtualisation
D'ici trois mois, on pourra commander chez Sun un serveur AMD ou Intel préchargé avec Windows Server. Sun Microsystems partenaire de Microsoft au même niveau que HP, IBM ou Dell, c'est, selon Bruno Hourdel, directeur marketing chez Sun France, une bonne nouvelle à double titre. Tout d'abord, dans l'immédiat, c'est le coup de pouce attendu par les forces de ventes du constructeur et ses partenaires pour démultiplier le succès des serveurs Sun x64 Galaxy. Depuis fin 2005, ces machines de conception totalement nouvelle font une belle percée sur le marché. Le préchargement de Windows Server devrait leur ouvrir bien des portes de centres serveurs. Comme on le fait remarquer chez Sun, 100% de leurs clients ont aussi du Windows Server... Un OS qui représente désormais 70% du marché en volume. Ensuite, et c'est sans doute le plus important pour l'avenir, la collaboration annoncée de Sun et de Microsoft sur la virtualisation parachève la position de Sun Solaris sur ce créneau. Cet OS, déjà supporté par l'hyperviseur ESX Server de VMWare, bientôt par celui de Xen, le sera aussi par Viridian, celui de Microsoft (qui sortira 3 mois après l'arrivée de Windows Server 2008). A l'inverse, les deux sociétés vont aussi optimiser la mise en container (serveurs virtuels) de Windows Server dans Solaris sur processeurs x64. Si l'on fait exception du retrait de Scott Mc Nealy, l'ex-PDG de Sun qui avait toujours une flèche assassine pour Microsoft, et de son remplacement par Jonathan Schwartz beaucoup plus diplomate au point d'avoir retendu la main à Intel début 2007, la principale explication du rabibochage Sun/Microsoft est bien à trouver dans l'arrivée imminente de la virtualisation dans les salles systèmes équipées de serveurs x64. Sous le choc de l'arrivée des hyperviseurs, le monolithe que constituait jusque-là le couple serveur / OS va se briser en deux. En forçant à peine le trait, on pourra changer d'OS comme on change aujourd'hui d'applicatif : sans avoir besoin de choisir un autre matériel. Mieux vaut donc être présent dans toutes les configurations possibles. (...)
(14/09/2007 16:43:17)Sondage flash : 85% des lecteurs n'ont pas confiance en la sécurité des données perso en ligne
Quelques semaines après le vol organisé de données personnelles sur le site d'emploi monster.com, les internautes ont encore la gueule de bois. Une secousse sécuritaire qui a touché dans sa chair non seulement chaque chercheur d'emploi inscrit au service, mais également chaque internaute qui a, en toute bonne foi, donné ses données personnelles en ligne. C'est donc sans surprise que les lecteurs de lemondeinformatique.fr ont fait tomber le couperet, à l'occasion d'un 'sondage flash'. A la question « Le stockage des données personnelles par les sites Internet professionnels vous inspire-t-il confiance ? », presque 85% des répondants ont opté pour un « Non » catégorique (764 votes). Alors que le commerce en ligne s'envole dans l'Hexagone (+38% de ventes en ligne au premier semestre 2007, selon la Fevad), les internautes doutent encore quant à la sécurité des bases de données des grands sites Internet professionnels. D'autant que l'économie du Web 2.0 séduit de plus en plus d'investisseurs. Reste qu'il ne faut pas céder à la panique. C'est ce que pourraient vouloir dire les 137 répondants (15,2 %) à notre sondage pour qui la sécurité des données personnelles semble suffisante. Ce type de larcin restant tout de même peu courant. (...)
(14/09/2007 16:40:04)Salesforce hisse la création d'interface au rang de service en ligne
Visualforce sera l'une des annonces importantes de Dreamforce 2007, la conférence utilisateurs de Salesforce.com qui s'ouvre dimanche à San Francisco. Il s'agit d'outils de création d'interface utilisateur, dernière brique de la plateforme fournie par Salesforce comme un service (dite « Platform-as-a-service », PaaS, par l'éditeur), après le langage Apex et la base de données. En juillet dernier, à l'occasion du lancement de la 23e génération de son logiciel de gestion de la relation client (GRC) hébergé, Salesforce avait décrété « la fin du logiciel ». Logiciel fourni de façon traditionnelle s'entend, par opposition à l'exploitation du logiciel en ligne. Désormais, avec la livraison de son langage Apex, accessible en ligne lui aussi, utilisateurs et développeurs peuvent développer des outils sur les serveurs de Salesforce et les exploiter de la même façon. Pour aller un peu plus loin, Visualforce doit donc permettre aux entreprises et aux éditeurs indépendants de créer des interfaces originales en combinant des blocs HTML et du code Salesforce, ainsi que du code Ajax et Adobe Flex. Sur un blog interne de Salesforce, on apprend que l'éditeur proposera en complément des composants d'interfaces à assembler. Selon Ariel Kelman, directeur marketing de la plateforme, cité par nos confrères d'Infoworld, l'éditeur répond ainsi à la demande de ses clients qui souhaitaient pouvoir diversifier l'apparence des interfaces qu'ils concevaient plutôt que de devoir toujours se conformer au « look and feel » de Salesforce. Une pré-version de Visualforce sera proposée aux développeurs dès la semaine prochaine. L'outil devrait être disponible pour tous au quatrième trimestre de cette année. (...)
(14/09/2007 15:47:04)Microsoft prépare son discours contre les Google Apps
La récente annonce de Capgemini d'intégrer à son portefeuille de services les Google Apps a déclenché l'ire de Microsoft. Une vive critique des services et applications bureautiques de Google dressée à l'encontre des entreprises, pour au final, les en détourner. Que Google façonne une offre de bureautique en ligne, soit. Mais que Capgemini mette son poids dans le support des Google Apps, voilà qui fait réagir l'éditeur d'Office. Notre consoeur américaine Mary Jo Foley, qui tient un blog guettant les moindres faits et gestes de Microsoft, publie un email apparemment envoyé par un porte-parole officiel de l'éditeur. Microsoft dresse dans cet email une liste de « dix questions que doivent se poser les entreprises avant de basculer vers les Google Apps ». Dix questions dans lesquelles l'éditeur de Redmond démontre que les Google Apps ne sont pas forcément adaptées aux besoins des entreprises. Il y a fort à parier que ce mail servira donc de base à l'argumentaire des chefs produits de Microsoft contre les Google Apps. Parmi les points soulevés, on retrouve la contrainte pour les utilisateurs d'être connectés en permanence, l'aspect figé non-personnalisable des outils, l'absence de versions finalisées des applications (en bêta permanente), le manque de fonctionnalités poussées. Mais également, la fragilité du support, et le coût qui peut être parfois plus élevé. Bref, autant de questions dont les réponses sont à chercher dans la suite Office 2007. On pourrait bien sûr s'interroger sur ces critiques, notamment celles portant sur le Saas (Software as a service, logiciel délivré en tant que service en ligne ), dans la mesure où Microsoft, sous l'impulsion de Ray Ozzie, son architecte en chef, a commencé à délivrer des services en ligne, estampillés Live. Mais à l'inverse de Google, qui mise uniquement sur le Saas, Microsoft a opté pour une stratégie mêlant applications desktop et services associées. Alors que l'ensemble des applications bureautiques Google sont en ligne, celles proposées par Microsoft combinent un puissant outil desktop, relié à une somme de services associés. Dans le jargon Microsoft, on parle de S+S (« Software + Services »). Google commercialise auprès des grands comptes une édition Premium des Google Apps (pour environ 40€ par utilisateur et par an), qui renferment un webmail, un client de messagerie instantanée, un éditeur de texte et un tableur, et un calendrier. Le logiciel de présentation qui devra concurrencer Powerpoint est encore en cours d'élaboration. (...)
(14/09/2007 12:36:07)L'Europe investit 750 M d'euros dans la sécurité de ses frontières
Le jour même du sixième anniversaire des attaques à l'encontre du World Trade Center (le 11 septembre), la Commission européenne a annoncé qu'elle souhaitait investir 750 M€ dans la sécurisation de ses frontières, notamment au sein du projet « e-Borders ». Ce dernier comporte la reconnaissance digitale et iridienne. Franco Frattini, vice-président de la Commission, chargé de la justice, de la liberté et de la sécurité, encourage le projet en déclarant : « j'ai moi-même fait examiner mon iris à la place de mon passeport, ce qui a permis d'accélérer les procédures de contrôles frontaliers ». Toujours d'après Frattini, la sophistication de ces nouvelles technologies devraient contribuer à la lutte contre le cyberterrorisme, à condition que l'Europe puisse définir des normes communes. Mis en place en 2004 au Royaume-Uni, le programme e-border se sert de données en provenance d'Internet, d'agences de voyage et de compagnies aériennes pour surveiller les passages frontaliers. (...)
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