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(24/08/2007 18:32:49)

Les Etats-Unis disent oui à OpenXML

L'ISO a déjà reconnu un format de document bureautique modifiable de la famille XML, OpenDocument, notamment utilisé par OpenOffice, StarOffice et Google Apps. Mais, depuis des mois, Microsoft tente d'obtenir le même label pour son propre format bureautique XML, Office OpenXML, le format actuellement implémenté uniquement dans Microsoft Office 2007. Dans un premier temps, Microsoft n'a pas obtenu le soutien de l'organisme de normalisation américain. Mais un second vote vient de lui être favorable grâce au changement d'avis de GS1, de Lexmark, de Nist et du ministère de la Défense américain. Le plus surprenant est le revirement du ministère de la Défense américain qui, outre ses réserves en matière de sécurité sur la structure d'OpenXML, format qui peut comporter des données binaires potentiellement suspectes, s'offusquait, lors du premier vote, de l'intégration au standard OpenXML de plages de compatibilité avec les anciens formats bureautiques Microsoft (qui n'étaient pas « libérés » pour autant) et enfin de la possibilité d'intégrer à OpenXML des sous-formats propriétaires. Ce revirement sur le sol américain pourrait influer la définition de la position de la France lors de deux réunions à l'AFNOR, les 28 et 29 août 2007. Sur le même sujet Microsoft perd un point dans sa quête du standard ISO pour Open XML.
(...)

(24/08/2007 17:03:32)

L'email, premier outil de communication en entreprise

Une étude réalisée par Datamonitor pour le compte de l'intégrateur sud-africain Dimension Data pointe le niveau d'utilisation élevé des outils de communication électronique par les salariés : selon le cabinet, le mail est venu remplacer les moyens de communication traditionnels, comme le téléphone. L'enquête, réalisée auprès de 400 responsables informatiques employés dans 524 entreprises de 13 pays différents, montre qu'ils sont désormais 100% à utiliser le courrier électronique, contre 80% pour le téléphone fixe, 76% pour le téléphone portable, et 66% pour la messagerie instantanée. « Il existe aujourd'hui une kyrielle de moyens de communications incluant les plus récents comme la VoIP, la téléphonie mobile et la messagerie électronique, commente Rob Lopez, directeur opérationnel de Dimension Data. Cette enquête montre bien que la messagerie s'est imposée comme le moyen de communication utilisé en priorité par les salariés. » Ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes, selon le directeur des opérations. Une réactivité qui fait baisser la productivité « Les gens ont tendance à recourir aux courriels plutôt que de se parler, ajoute t-il. Du coup, la confiance croissante dans la messagerie électronique peut soulever certaines questions quant à son efficacité en cas de problèmes complexes à résoudre. Sans parler d'un effet négatif sur la productivité à l'heure où les utilisateurs doivent faire face à des volumes d'e-mails de plus en plus importants », estime ainsi Rob Lopez. D'ailleurs, d'autres études montrent que la messagerie électronique aggrave le sentiment de pression éprouvé au travail. D'après les chercheurs des universités de Glasgow et Paisley, 34% des salariés considèrent que répondre immédiatement à leurs emails est générateur de stress. Selon l'étude, un salarié sur trois consulte ses emails toutes les quinze minutes. Certains vont encore plus loin en rafraîchissant leur messagerie jusqu'à quarante fois par heure ! Une réactivité épuisante qui fait baisser la productivité, analyse Karen Renaud, du département de science informatique de la Glasgow University, qui n'hésite pas à qualifier les emails de phénomène harassant, qui représente la principale source de problèmes dans nos vies professionnelles. (...)

(24/08/2007 16:23:34)

Sondage flash : pas d'iPhone en environnement pro

Comme Gartner, la majorité des lecteurs du mondeinformatique.fr n'utiliserait pas l'iPhone dans un environnement professionnel. Quelque 63,3% (520) des personnes ayant répondu à notre sondage de l'été estiment que le téléphone Apple ne correspondrait pas à un cadre d'entreprise, du moins au regard des informations disponibles actuellement. Rappelons que l'iPhone n'est pas encore commercialisé en France. Mais depuis son arrivée aux Etats-Unis, le terminal a déjà déclenché la levée de bouclier d'une association de consommateurs suite à l'impossibilité de changer la batterie. Ainsi que le scepticisme des développeurs sur les possibilités d'extensions jugées trop bridées car uniquement « Web ». Pour les 302 personnes restantes (36,7% des votants), l'iPhone pourrait bien côtoyer Nokia ou Blackberry, ténors de la mobilité professionnelle. Notons toutefois que l'écart entre les deux camps tendait à se réduire fortement ces derniers jours. Le nom d'Orange, pressenti pour rejoindre AT&T (aux Etats-Unis) sur les rangs des opérateurs distribuant l'appareil, s'étant fait entendre. Notre sondage avait été publié le 11 juillet. (...)

(24/08/2007 16:21:27)

Quand la mémoire devient quantique

La physique quantique serait-elle l'avenir de l'informatique ? Alors que des systèmes de cryptographie quantique se commercialisent peu à peu, et que le premier ordinateur doté d'un processeur quantique (conçu par la Nasa) devrait voir le jour en 2008, c'est au tour de la mémoire RAM (Random Access Memory) de céder aux sirènes du monde quantique. Plus exactement, trois scientifiques - deux Italiens des universités de Pise et Pavie et un Américain de l'université de Cambridge - ont trouvé le moyen théorique de stocker des informations au niveau quantique. En effet, à la différence de l'informatique traditionnelle, l'informatique quantique n'utilise pas des bits, successions de « 0 » et de « 1 » pour stocker ses données, mais des bits quantiques ou qubits qui peuvent prendre la forme de « 0 » ou de « 1 » mais aussi d'une superposition à la fois d'un « 0 » et d'un« 1 ». Les chercheurs sont alors confrontés au problème du stockage du bit quantique. Si pour construire une mémoire RAM destinée à un ordinateur quantique, les méthodes actuelles étaient pratiquées, il y aurait un problème d interférences avec le reste du système, ont-ils relevé. Leur constat : le qubit ne peut pas se stocker sur une seule cellule mémoire, mais sur un ensemble, pour tenir compte de tous ses états possibles. Au final, cela équivaudrait à perdre l'information. Pour les chercheurs, la solution serait donc de réduire les possibilités, et de forcer chaque qubit à ne mémoriser qu'un état possible à chaque étape. Réduisant ainsi le risque d'interférence avec les autres blocs mémoire. Comment bloquer le qubit ? Quel support utiliser ? L'histoire ne le dit pas. Pour l'instant, ces travaux ne sont toujours pas passé à la pratique. (...)

(24/08/2007 16:09:29)

Retour en force de Dell sur le créneau des serveurs

IDC souligne le retour en force de Dell sur le marché des serveurs au deuxième trimestre. Son CA a augmenté de 20% à 1,5 Md$. Si IBM et HP continue de caracoler en tête avec, respectivement 31% et 28,8% du marché en valeur, Dell, qui accapare 11,6% du marché, réduit l'écart avec Sun (13%) qui ne progresse que de 5,6%. Tout comme le Gartner, IDC souligne la bonne santé du marché des serveurs au deuxième trimestre 2007. Pour IDC, jamais le marché n'a été aussi bien orienté depuis l'explosion de la bulle Internet il y a sept ans. Ce trimestre, même le CA progresse par rapport à la période correspondante de l'an dernier (+6,3% à 13,3 Md$). (...)

(24/08/2007 16:06:44)

Bourse : Sun Microsystems remplace SUNW par JAVA

Sur le marché boursier Nasdaq, Sun Microsystems ne sera plus côté sous le code SUNW mais JAVA. Selon Jonathan Schwartz, CEO du groupe, ce changement traduit la mutation de son entreprise et exprime, selon lui, l'omniprésence de Java. De plus, SUNW "représente le passé". La note dominante des commentaires à la suite du post de Jonathan Schwartz est plutôt négative. P.S. Pour l'anecdote, Jonathan Schwartz, CEo de Sun a indiqué que SUNW était l'acronyme de Stanford University Network Workstation. (...)

(24/08/2007 16:05:08)

Le Gartner invite les DSI à devenir des directions de l'information

D'ici cinq ans, le Gartner group prédit que 50% des DSI seront devenus des prestataires de services business, alors qu'elles n'étaient que 5% dans ce cas en 2004. De plus, toujours selon le Gartner Group, la DSI dont la mission principale était d'automatiser des tâches répétitives occupe désormais de plus en plus de poids dans le domaine de la prise de décision. Les directions informatiques doivent se départir de leur rôle de fournisseur de ressources technologiques pour se concentrer sur les fondamentaux de l'activité d'une entreprise : l'information, les processus et les échanges. Dans le même temps, le cabinet voit une nette tendance à l'externalisation s'affirmer. Le Gartner estime qu'il faut deux ans pour qu'une DSI opère sa mutation. Plus elles seront nombreuses à muter, plus elles pousseront à la transformation des fournisseurs. Le Gartner constate déjà que, parmi eux, ceux qui vendent des services progressent rapidement aux côtés de ceux qui vendent licences et équipements. Et, parmi les nouveaux entrants, nombre d'entre eux s'attachent à fournir des services sous leur aspect business plutôt que pour leur dimension technologique. D'ailleurs, le Gartner estime que le marché du logiciel en ligne devrait doubler d'ici 2010 pour dépasser 11,5 Md$. Pour illustrer ce changement fondamental, le Gartner invite à changer le nom des actuelles directions informatiques. Le cabinet prône l'adoption du mot "information" ou des vocables anglophones comme "business transformation" voire "corporate transformation". (...)

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