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(06/08/2007 14:24:54)
Business Objects s'essaie au Web 2.0, avec un succès mitigé
L'éditeur de solutions d'analyse décisionnelle Business Objects a posté la semaine dernière sur son site Business Objects Labs un prototype d'applications Web 2.0, baptisé BI Annotator. Sur ce site, BO propose à ses utilisateurs de tester les idées sur lesquelles il travaille afin de lui retourner leur avis ; des appréciations quelquefois mitigées. Les développements ainsi soumis par l'éditeur sont des prototypes qui ne sont pas destinés à être mis en production dans l'entreprise et qui ne seront pas obligatoirement transformés en produits commercialisés. Au cours des derniers mois, l'éditeur a posté de cette façon un certain nombre d'applications « Web 2.0 », susceptibles de venir enrichir ses logiciels d'analyse décisionnelle. Celles-ci exploitent les outils de collaboration Web ou bien recourent aux mashups (association de plusieurs services disponibles sur le Web). BI Annotator permet par exemple de combiner un apport de données externes avec les informations structurées d'un datawarehouse interne (entrepôt de données) dans un même univers Business Objects, directement accessible dans l'outil de reporting. L'objectif est d'améliorer la prise de décision par l'ajout d'informations contextuelles. BI Desktop permet de son côté de créer de petits programmes, ou des assistants, qui se placent sur le bureau du poste de travail pour afficher de façon rafraîchie des informations décisionnelles. Business Objects Masher sert à combiner des services en ligne et BI Collaborator est un plug-in pour échanger des données d'analyse par l'intermédiaire de la messagerie instantanée Windows Live Messenger. Des idées intéressantes, mais des réalisations qui déçoivent certains consultants Neil Raden, fondateur de Hired Brains, société de conseil en analyse décisionnelle, reconnaît que certains de ces outils illustrent de bonnes idées, mais il s'est déclaré déçu dans l'ensemble.[[page]] « Je trouve que ces capacités combinatoires sont amusantes, mais je ne suis pas certain qu'elles apportent de la valeur dans le temps », a-t-il indiqué dans un commentaire posté sur un blog d'Intelligent Enterprise. Selon lui, les éditeurs d'applications professionnelles ne sont généralement pas assez créatifs, récupérant trop d'idées Web 2.0 qui ont fait leurs preuves sur Internet plutôt que de mettre au point de nouvelles façons de gérer les volumes de données qui se développent de façon exponentielle. Stephen Few, fondateur de la société de conseil Perceptual Edge, trouve de son côté que l'interface de BI Desktop conviendrait mieux au jeu qu'au travail. Il regrette que les éditeurs de solutions décisionnelles en général ne montrent pas une meilleure compréhension de la visualisation de données. Au contraire, Boris Evelson, l'un des principaux analystes de Forrester Research sur les sujets décisionnels, a eu une meilleure impression des prototypes proposés par Business Objects. Il a notamment apprécié « Query as a web service » qu'il considère comme un outil facile à utiliser pour transformer une requête de base de données en service Web pouvant être consommé par toute application SOA (basée sur une architecture orientée services). Boris Evelson a également donné un bon point à BI Annotator et BI Desktop. (...)
(06/08/2007 13:11:51)Semestriels Iliad : les services optionnels de Free tirent le CA vers le haut
Résultats 1er semestre 2007 (comparé à la même période de l'exercice précédent) CA : 574,1 M€ (+ 30,7%) Résultat net : NC Malgré la rétrogradation de Free à la 3e place des FAI français en nombre d'abonnés (place ravie par Neuf grâce à l'acquisition de Club-Internet), Iliad, la maison mère, affiche pour son premier semestre 2007 une hausse du chiffre d'affaire importante (+30,7%) due en partie à la progression du nombre d'abonnés (+ 128 000). Une croissance qui s'est effectuée avec un faible coût d'acquisition marketing d'abonné (50€) et un taux d'attrition de moins de 1% par mois. La bonne santé des services optionnels, avec notamment la mise en place des nouveaux services Free Home Video (VOD) et Free TV Perso n'y est pas étrangère avec un CA spécifique de 120,1 M€ soit une progression de 63,4% par rapport au 1er semestre 2006. Quant à l'Arpu Haut débit (Revenu moyen par abonné), il atteint 35 € HT. En revanche, la téléphonie traditionnelle est en net recul avec un CA en déclin de 49,6%. Au second semestre, Iliad prévoit de dépasser les 2,8 millions d'abonnés, conformément à ses objectifs. Le déploiement de la fibre optique et l'éventuelle entrée sur le marché des télécommunications mobiles pourraient néanmoins quelque peu ralentir cette croissance du CA. (...)
(06/08/2007 12:23:26)Web 2.0 : les réseaux sociaux explosent sur la Toile
D'après une étude publiée par ComScore World Metrix, les réseaux sociaux ne sont pas « un simple engouement éphémère, mais bel et bien une activité sociale en train de se tailler une place permanente dans la structure de l'Internet mondial ». Emblématiques de ce qu'on appelle le Web 2.0, les sites de réseaux sociaux proposent aux internautes de publier du contenu (audio, vidéo, favoris, blogs...) et de le partager avec les autres membres de diverses communautés. En un an, ces sites ont enregistré une croissance record, souligne ComScore. MySpace garde sa place de leader, avec 114 millions de visiteurs uniques au cours du mois de juin dernier (en hausse de 72%), mais son dauphin Facebook pourrait bien le talonner d'ici deux ans s'il garde son rythme exponentiel : + 270% en un an, avec 52 millions visiteurs uniques. Bebo.com, leader européen, affiche une croissance de 172% pour atteindre 18,2 millions de visiteurs, et Tagged.com explose le compteur avec une croissance de 774%, pour atteindre 13,2 millions de visiteurs. Bebo.com plébiscité en Europe La popularité des réseaux sociaux varie fortement d'un continent à l'autre. MySpace.com et Facebook.com enregistrent par exemple leurs plus fortes audiences en Amérique du nord, avec des taux respectifs de 62% et 68%. Ce qui ne les empêche pas d'avoir déjà attiré une importante base de visiteurs internationaux, ni de poursuivre leur expansion mondiale. Bebo.com de son côté est particulièrement fort en Europe, avec environ 63% de ses visiteurs de ce continent. Orkut est solidement achalandé en Amérique Latine (49%) et en Asie-Pacifique (43%), et Friendster rencontre un franc succès (89%) dans la région Asie-Pacifique. Quant à Tagged, le « petit nouveau qui grimpe sur la Toile », il bénéficie d'une répartition relativement équilibrée de son audience dans les différentes régions du monde. Mais jusqu'à quand ? Il est possible qu'en grandissant il se voie accaparé par une communauté linguistique, au même titre que les autres réseaux sociaux. « Les sites qui présentent de bons résultats dans certaines régions communiquent probablement les bonnes informations efficacement aux populations des ces régions, analyse Bob Ivins, vice-président exécutif en charge du développement des marchés internationaux de ComScore. Il sera très intéressant d'observer au cours du développement des réseaux sociaux si ceux-ci pourront franchir les barrières culturelles et réunir des gens des quatre coins du monde, satisfaisant ainsi les vrais idéaux du réseau social. » Tout le monde veut sa part de gâteau « Au cours de la dernière année, les réseaux sociaux ont vraiment pris leur envol, explique encore Bob Ivins. Des millions de personnes visitent ces sites chaque mois, et plusieurs le font régulièrement. Les réseaux sociaux ne semblent pas être une simple mode, mais une activité qui s'imbrique dans l'utilisation d'Internet. » Certains grands des médias et du Web l'ont déjà compris. MySpace a par exemple été racheté par le groupe News Corp, appartenant au milliardaire Rupert Murdoch, en juillet 2005, pour 580 M$. A l'époque, ce rachat en avait fait ricaner plus d'un. Quelques mois plus tard, Google (avec YouTube) et même Nokia (avec le rachat de Twango) se ruent sur le Web 2.0 et veulent se faire une place sur un secteur déjà fortement concurrentiel. (...)
(03/08/2007 17:12:19)Les grandes écoles plébiscitées par les futurs bacheliers
La réputation des grandes écoles de commerce et d'ingénieurs n'est plus à faire auprès des élèves de Terminale. C'est ce que montre le Baromètre Etudiants 2007 réalisé par l'institut de sondage Trendence pour Microsoft Education et Hobsons (spécialiste des services de recrutement d'étudiants et de jeunes diplômés) auprès de 4 800 lycéens qui passaient leur bac cette année. Les principaux points forts identifiés par les futurs bacheliers à propos des grandes écoles touchent à la formation elle-même. Qu'ils considèrent « intellectuellement exigeante et valorisante, préparant bien au monde du travail et proposant un enseignement de qualité grâce à un excellent corps professoral. » Sur chacun de ces points, les répondants à l'enquête estiment que la grande école est supérieure à l'université. Ce qui ne veut pas dire que l'univers des grandes écoles est un monde parfait aux yeux de certains futurs bacheliers, qui y voient plusieurs zones d'ombre : le coût élevé des études, une propension à l'individualisme, pas nécessairement épanouissante, et un modèle pas vraiment en phase avec le modèle européen de l'enseignement supérieur, le fameux LMD (Licence-Master-Doctorat) issu de la réforme de Bologne. En dépit de ces points négatifs, les grandes écoles remportent haut la main le match de l'efficacité face à l'université. Mais elles doivent encore gagner la "bataille du coeur" et pour cela changer l'image d'univers peu ouvert qui leur colle à la peau. Par ailleurs, si les futurs bacheliers s'accordent à reconnaître la très forte internationalisation des grandes écoles, ils s'interrogent sur ce modèle qu'ils estiment assez français et qui devra donc évoluer pour se mettre en phase avec le reste de l'Europe. (...)
(03/08/2007 17:08:59)Bientôt une version gratuite de Works financée par la publicité
Microsoft s'apprête à tester une version gratuite de son logiciel bureautique Works, incluant des fenêtres publicitaires rafraîchies par Internet. L'actuelle version commercialisée de Works est vendue 40 dollars, mais de nombreux vendeurs de PC la fournissent déjà gratuitement avec leurs machines pour dispenser leurs clients d'acheter une version complète de la suite Microsoft Office. La version gratuite de Works, suffixée « SE 9 », sera diffusée dans le cadre d'un programme test mené avec des fabricants d'ordinateurs. Une opération pilote qui devrait démarrer au cours des prochains mois et courir jusqu'au milieu de l'année prochaine. Elle constitue sans doute une réponse de plus à l'offensive de Google et des solutions Open Source dans la bureautique, mais elle vient aussi s'ajouter aux différentes pistes explorées en ce moment par Microsoft pour tenter de diversifier les modes de diffusion et de commercialisation de ses logiciels. Dans ce domaine, la mise à disposition en ligne de certains logiciels et services (professionnels et grand public) constitue parallèlement un projet d'envergure dans lequel l'éditeur investit beaucoup d'énergie. Il a récemment donné des précisions sur sa stratégie sur ce terrain en annonçant la préparation d'une plateforme destinée à accueillir ces services en ligne. (...)
(03/08/2007 15:59:55)Microsoft clarifie ses projets de certification Open Source
Microsoft a fourni des précisions sur son projet, révélé fin juillet, d'obtenir pour ses licences Shared Source la certification Open Source de l'OSI, l'organisation qui valide la marque Open Source. En fait, l'éditeur compte uniquement soumettre les deux types de licences qui autorisent l'utilisation du code source des logiciels sur n'importe quelle plate-forme. Selon Michael Tiemann, président de l'OSI, certaines versions limitées des licences Microsoft contreviennent effectivement aux principes de l'Open Source Initiative car elles requièrent que le code fonctionne seulement sur des PC sous Windows. Or, l'un des principes fondamentaux retenus par l'OSI est justement l'absence de restriction sur la capacité à faire fonctionner le code de quelque façon que ce soit. Une porte-parole de Microsoft a précisé que seules les licences dites Permissive (MS-PL) et Community (MS-CL) seraient soumises et que leurs versions limitées ne le seront pas, pas plus que la Microsoft Reference Licence qui limite aussi l'usage du code aux PC sous Windows. Elle a aussi confirmé que Microsoft n'effectuerait aucune modification sur les licences avant de les soumettre à l'OSI. Depuis sa création, il y a neuf ans, l'OSI a approuvé une cinquantaine de licences Open Source, incluant la GPL (General Public Licence) utilisée par Linux et la Mozilla Public Licence, utilisée par le navigateur Web Firefox, ainsi que de nombreuses autres provenant d'éditeurs traditionnels comme CA, RealNetworks et Apple. Face à la pression de la communauté Open Source déplorant une surabondance de licences, l'OSI a sensiblement réduit ses approbations au cours des dernières années. Toutefois, Michael Tiemann a certifié que la requête de Microsoft serait acceptée ou rejetée uniquement sur la base des mérites des licences Shared Source. La procédure devrait prendre trois à quatre mois. (...)
(03/08/2007 15:17:22)IBM complète sa gestion de données avec le rachat de Princeton
IBM annonce le rachat de Princeton Softech, éditeur d'outils de gestion des données (archivage, test, classification, recherche, etc.), prisé des grands comptes manipulant de larges volumes de données. Princeton compterait 2200 clients. Ses solutions seront versées à la division Information on demand d'IBM, qui explique que la combinaison de ses produits avec ceux de Princeton permettront de réduire les coûts (en distinguant les données à archiver des données courantes) et de mieux sécuriser les informations, dans un objectif de conformité aux nouvelles réglementations. Surtout, cela procure à IBM un moyen d'étendre son offre de management de l'information à un environnement hétérogène. L'acquisition devrait être finalisée d'ici à la fin de l'année. Princeton étant une société non cotée, les détails financiers n'ont pas été dévoilés. (...)
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