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(29/06/2007 17:20:31)

Cegid sur la place de marché Microsoft Office Live

Microsoft France veut créer sur sa plateforme Office Live, conçue pour héberger les sites Web et intranets de TPE, une place de marché accueillant des solutions partenaires. L'éditeur a montré ce matin deux des premières offres bâties pour Office Live. L'une est un catalogue de produits, développé par l'éditeur de logiciels de gestion Cegid, l'autre est une solution collaborative pour consultants, mise au point par le cabinet de conseil Planet Award. Ce n'est qu'un début. Microsoft France compte bien étoffer la place de marché de sa plateforme Office Live. Cette dernière compte déjà 12 000 clients en France - 300 000 dans le monde - alors qu'elle est toujours déclarée en version bêta (« parce que l'on peut encore améliorer le service » explique l'éditeur, visiblement atteint du syndrome Google). Mais pour l'instant, la filiale hexagonale est en phase de recrutement de partenaires et ne donne pas de précisions sur le nombre, la nature et la date de disponibilité d'autres applications à venir. Sharepoint à l'oeuvre Rappelons que la plateforme Office Live propose aux TPE d'héberger leur site Web, qu'elle leur fournit un nom de domaine, des comptes de messagerie, ainsi que différents outils de gestion et de collaboration sur lesquels viennent s'appuyer les éditeurs partenaires. Un socle solide puisque derrière, ce sont les fonctions du portail Sharepoint qui sont à l'oeuvre. La solution de Planet Award, par exemple, est proposée sous forme de « template », un gabarit à télécharger puis à exploiter avec les outils d'Office Live : agenda, messagerie, partage de documents... Elle permet de construire sa base de clients et de missions, de gérer planning des collaborateurs et notes de frais et de suivre l'avancement des projets. Quant au catalogue produits de Cegid, il a été conçu à partir du progiciel de gestion Cegid Business Line pour TPE, l'un des objectifs pour son éditeur étant, à terme, de proposer aux clients d'utiliser conjointement Business Line et Office Live, l'un en mode connecté ou déconnecté, l'autre en ligne. Cegid compte déjà 4 000 clients TPE, utilisant Business Line sur le Web par l'intermédiaire de leur expert-comptable. Pour l'instant, outre Cegid et Planet Award, seuls trois autres éditeurs s'appuient sur les outils d'Office Live pour proposer, respectivement, un outil de conception de plan marketing (Message Business), une gestion pour association étudiante (e-Charlemagne), et une application pour le métier de la médiation (MEG-JIC). (...)

(29/06/2007 16:59:34)

SQLI structure son offre d'accompagnement CMMI

Grâce au rachat d'Alcyonix au mois d'avril dernier, SQLI vient de finaliser son offre de Capability Maturity Model Integrated, autrement dit de CMMI. Cette méthodologie spécifique et standardisée permet aux entreprises d'améliorer leurs développements logiciels, puis d'accélérer leur mise en ?uvre. IdeoProject est le progiciel de pilotage choisi par SQLI. Cette solution optimise les processus d'organisation d'un projet, allège les tâches de gestion (grâce à la construction de tableaux de bord par exemple) et autorise le partage d'un référentiel unique au sein de l'entreprise. Le nouveau pôle de compétences est d'ores et déjà opérationnel. La SSII en a confié la direction à Eric Chanal, qui aura sous sa responsabilité une équipe composée de salariés issus de SQLI et d'Alcyonix. SQLI emploie 1500 salariés en Europe (dont 90% en France), répartis au sein de quinze agences. (...)

(29/06/2007 16:27:55)

Google signe un accord de distribution mondial avec Ingram Micro

La stratégie de vente indirecte de Google vient de faire une avancée significative. Ingram Micro, le premier grossiste mondial, vient en effet d'ajouter à son catalogue les appliances Google Mini et Google OneBox for Enterprise. La première cible les PME qui veulent mettre à disposition de leurs utilisateurs des fonctions de partage de documents et de recherche sécurisée dans les contenus de l'entreprise. Elle est basée sur la Google OneBox qui cible une clientèle d'entreprises de plus grande taille. Pour le moment, Ingram ne propose les solutions du moteur de recherche qu'aux Etats-Unis. Toutefois, Il prévoit déjà de les commercialiser à moyen terme au travers de ses autres filiales dans le monde. (...)

(29/06/2007 16:06:40)

La Chine encore loin d'être une superpuissance technologique, juge l'Ifri

« La Chine est encore loin d'être une superpuissance technologique. » Dans son introduction à une étude pour l'Ifri (Institut français des relations internationales), Frédérique Sachwald, tente de démêler la part du mythe chinois dans l'approche généralement faite par le monde occidental. Elle indique pourtant que la Chine est aujourd'hui le premier exportateur mondial de produits TIC. « Depuis 2000, ces exportations ont augmenté rapidement, et ont dépassé celles des Etats-Unis. Cette forte croissance contraste avec la stabilité des exportations japonaises sur les dix dernières années. L'Allemagne, la Corée du Sud et les Etats-Unis ont également augmenté leurs ventes, mais sans commune mesure avec la Chine, pour qui elles ont plus que triplé depuis 2000. » Premier pays exportateur et premier assembleur de TIC L'étude montre que si on calcule la contribution des industries de haute technologie à la balance commerciale en tenant compte à la fois des exportations et des importations, la Chine paraît clairement dépendante des importations de composants. Ce qui prouve qu'elle doit surtout être considérée comme le « premier exportateur de travail d'assemblage dans les TIC ». A titre de comparaison, au cours de la dernière décennie, le poids des produits de haute technologie dans la balance commerciale a beaucoup varié : en Corée du Sud et au Royaume-Uni par exemple, la spécialisation manufacturière dans les produits de haute technologie a augmenté d'une manière importante, mais elle a diminué au Japon. De son côté, la Chine s'est surtout spécialisée dans des activités de production intensives en travail, répercutant ce dynamisme sur ses exportations de produits TIC, aidée par une monnaie largement sous-évaluée. La Chine absente des autres secteurs de haute technologie En affinant l'analyse, Frédérique Sachwald relève un paradoxe : la Chine demeure absente des autres secteurs de haute technologie, comme l'industrie pharmaceutique ou l'aérospatiale, alors que les taux de croissance des investissements en R&D sur son territoire sont impressionnants. La Chine est en effet le troisième pays au monde pour le volume des dépenses en R&D, juste derrière les Etats-Unis et le Japon et depuis la fin des années 1990, le nombre de chercheurs en Chine a augmenté à tel point qu'il dépasse les effectifs japonais et s'approche du record américain. Toutefois, le nombre de chercheurs rapporté au nombre de Chinois travaillant est très faible, ce qui relativise cette évolution. De plus, la Chine ne se préoccupe que des activités de développement : elle destine seulement 5,7% de ses fonds de R&D en recherche fondamentale, alors que dans le même temps, les Etats-Unis en allouent 18% et la Corée du Sud 13,7 %. Rapporté en PIB, les chiffres montrent un écart plus impressionnant : les Etats-Unis dépensent 0,5% en recherche fondamentale contre 0,1% pour la Chine soit cinq fois moins, alors que l'intensité en R&D de la Chine n'est que la moitié de la capacité américaine. Le rapport indique aussi que la Chine a pris conscience de ce déficit. Elle a mis en place d'importantes réformes du système éducatif avec un budget passant de 2,5 % du PIB en 1997 à 3,3 % en 2002. Avec 19,4 millions d'étudiants en 2004, la Chine forme autant d'étudiants que les Etats-Unis et l'Union européenne et poursuit dans cette voie, puisque le nombre d'inscrits et de diplômés du troisième cycle a été multiplié par 2,6 entre 2000 et 2004. Dans les années qui viennent, son défi va être de former des étudiants et des chercheurs de qualité, pour inverser la tendance et ne plus apparaître comme « l'usine » du monde mais comme son « bureau de recherche ». (...)

(29/06/2007 15:29:33)

Les actionnaires de GFI refusent l'offre de Fujitsu

L'assemblée générale qui a réuni ce matin les actionnaires de GFI Informatique n'a débouché sur aucun accord avec Fujitsu. La SSII a en effet décidé de refuser l'offre publique d'achat du constructeur : à 8,50 euros l'action, celle-ci est jugée « insuffisante par rapport au potentiel de la société ». Mieux encore, afin de contrecarrer les ambitions de Fujitsu, la SSII a même appelé Bull à sa rescousse. Les deux sociétés se connaissent bien, Bull ayant récemment racheté la filiale portugaise de monétique de GFI Informatique. Fujitsu ne se déclare toutefois pas vaincu et a réaffirmé sa volonté d'accroître son offre de services (50% de son activité d'ici 2008). En cas d'échec de son offre publique d'achat, le constructeur a d'ores et déjà annoncé se pencher sur l'acquisition d'autres SSII françaises. (...)

(29/06/2007 15:18:40)

Le créateur d'OpenBSD ironise sur la GPLv3

Le texte final de la GPLv3 sera connu ce soir. Cette troisième version de la licence encadrant les logiciels libres écrite par la FSF (la Free software foundation, présidée par Richard Stallman) prévoit notamment de faciliter les packages de logiciels sous GPL et sous licence Apache. Ce dont n'a pas manqué de se réjouir la fondation Apache. En revanche, Theo de Raadt, créateur du système d'exploitation OpenBSD (un Unix distribué sous licence BSD), estime que la FSF va trop loin, et devrait s'attendre à un retour de bâton. « Ces dix dernières années, le logiciel libre/Open Source est devenu moins libre et moins ouvert, considère Theo de Raadt. La GPLv3 ôte encore plus de liberté aux utilisateurs et aux développeurs. Je crois qu'on ne peut pas ajouter des libertés en imposant davantage de restrictions. » Surestimant peut-être l'étendue et l'influence des communautés BSD, Theo de Raadt conclut ainsi : « Je ne peux pas promettre que ce que nous ferons sera bien pour la FSF. » Pour mémoire, la rentrée de 2006 avait été marquée par une forte controverse entre la FSF d'un côté, et de l'autre Linus Torvalds et les autres développeurs du noyau Linux. Ces derniers s'opposaient aux restrictions sur les DRM (gestion des droits numériques) et sur la propriété intellectuelle. Linus Torvalds s'était même fendu d'une ode à la GPLv2. (...)

(29/06/2007 14:57:28)

Le rachat de Club Internet par Neuf Cegetel serait validé

Selon le quotidien Les Echos, la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) aurait validé la rachat de Club Internet par Neuf Cegetel. La transaction pourrait osciller entre 430 et 460 millions d'euros. Par cette acquisition, Neuf Cegetel dépasse Free en nombre d'abonnés : 2,9 millions contre 2,5 millions. (...)

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