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(29/06/2007 12:24:38)
La France remonte au classement de Shanghai : Paris Sud - Orsay en 24e position
Le très attendu classement de Shanghai vient de sortir. Etablie par l'« Institute of Higher Education, Shanghai Jiao Tong University », cette publication répertorie les meilleurs établissements de l'enseignement supérieur dans le monde entier, selon des critères précis. Bonne nouvelle pour le monde académique hexagonal : la France remonte. L'an dernier, par exemple, elle avait eu à déplorer une place de 99e pour l'Ecole Normale Supérieure de Paris, alors que cette année, ce ne sont pas moins de 9 établissements français qui sont recensés dans cette compétition, la médaille revenant à l'université Paris XI (Paris Sud, faculté des sciences d'Orsay) qui arrive au 24e rang dans la catégorie « sciences de la terre et mathématiques ». Il faut toutefois préciser que pour la première fois depuis 5 ans, les méthodes de ce classement ont été modifiées, car la liste est désormais divisée en cinq grands domaines : les sciences de la terre et les mathématiques ; les sciences agronomiques ; l'informatique et les sciences de l'ingénieur ; les sciences sociales et les sciences médicales et pharmaceutiques. Mais, en dépit de ce changement, les Etats-Unis trustent, une fois encore, ce classement par un nombre impressionnant d'établissement cités. Le classement des universités françaises par catégorie (avec la place obtenue en 2006, dans le classement général et indifférencié) s'établit comme suit : En sciences de la terre et mathématiques : - université de Paris XI (Paris Sud Orsay) : 24ème (64ème en 2006) - université Paris VI : 31ème (45ème en 2006) - ENS de Paris et université de Strasbourg 1 : ex-aequo entre la 51ème et la 75ème place (respectivement 99ème et 96ème en 2006) - université de Paris VII : ex-aequo entre la 76ème et la 110ème place (ex-aequo entre la 102ème et la 150ème place en 2006) Harvard, Berkeley et Princeton aux 3 premières places. La première garde son titre, les deux autres pointaient respectivement aux 4ème et 8ème rang en 2006. Informatique et les sciences de l'ingénieur : - université de Bordeaux 1, ex-aequo entre la 51ème et la 75ème place (entre la 301ème et la 400ème en 2006). - université de Paris VI, ex-aequo entre la 77ème et la 106ème place (45ème en 2006) MIT, Stanford et Urbana Champaign aux 3 premières places. Elles étaient respectivement classées aux 5ème, 3ème et 25ème rang en 2006. Sciences de la vie et agronomiques : - université de Paris VI, ex-aequo entre la 77ème et la 106ème place (45ème en 2006) Harvard, MIT et California San-Francisco aux 3 premières places. Harvard conserve son titre, les deux autres étaient respectivement classées aux 5ème et 18ème rangs en 2006. Sciences sociales : - L'Insead (Institut européen d'administration des affaires) prend la 42ème place (il n'était pas classé l'an dernier). Harvard, Chicago et Stanford aux 3 premières places. La première garde son titre, les deux autres pointaient respectivement aux 8ème et 3ème rang en 2006. Sciences médicales et pharmaceutiques : Aucun établissement français. Harvard, California San-Francisco et Seattle aux 3 premières places. Harvard conserve son titre, les deux autres étaient respectivement classées aux 18ème et 17ème rang en 2006. (...)
(29/06/2007 12:08:00)L'UE autorise Swift à transmettre des données personnelles, sous condition
Ce qui avait commencé comme un scandale l'année dernière, le transfert de données personnelles de citoyens européens par l'institution financière Swift au Trésor américain, se conclut aujourd'hui par des accolades de bon aloi. Swift, dont le rôle est d'assurer les échanges de données informatisées entre plus de 8 000 institutions financières, pourra continuer de transférer des informations relatives aux mouvements de fonds aux Etats-Unis, à condition de signer l'accord dit 'Safe Harbor'. Celui-ci engage le destinataire des données à respecter les critères de protection européens, et oblige également les banques à informer leurs clients de la possibilité de ce transfert. Si ces conditions sont remplies, indique la Commission européenne, le ministère américain du Trésor pourra conserver ces données pendant 5 ans. L'information avait été révélée en juin 2006 par le New York Times. Les Etats-Unis avaient alors expliqué qu'il s'agissait de tracer les mouvements de fonds des réseaux terroristes. Swift s'était défendu pour sa part en prétextant des menaces du gouvernement américain s'il n'obtempérait pas. L'Union européenne s'était ensuite fortement émue, s'inquiétant d'un possible espionnage économique. L'accord trouvé entre l'UE, les USA et Swift met apparemment fin à la polémique. « L'Union européenne aura maintenant les garanties nécessaires que le Trésor américain manipule les données qu'il reçoit du serveur miroir de Swift aux Etats-Unis d'une manière qui prend en compte les principes européens de protection des données », a affirmé Franco Frattini, vice-président de la Commission, responsable des affaires de sécurité, de liberté et de justice. Swift a promis de signer l'accord 'Safe Harbor' dans les jours qui viennent, et les banques se sont engagées à informer leurs clients avant septembre. Reste à voir ce qui se passera si un client refuse que ses données soient transmises. (...)
(29/06/2007 12:06:41)Nette hausse du CA de Red Hat sur une rentabilité moindre
1er trimestre 2007 (clôture au 31 mai) Chiffre d'affaires : 118,9 M$ (+42%) Bénéfices nets : 17 M$ (+16,3%)* *norme GAAP Contraste très net entre la forte hausse de 42% du CA de Red Hat pour son premier trimestre 2007 et celle, nettement moindre, de son résultat net qui n'augmente que de 16% à 17 M$. C'est toutefois mieux qu'au trimestre précédent, lorsque Red Hat avait annoncé une baisse de sa rentabilité, mais cela n'a pas empêché le cours de l'action de perdre nettement du terrain. Il s'agissait d'un trimestre marqué à la fois par l'intégration de JBoss, racheté en avril dernier, et par la transition entre RHEL 4 et 5 (Red Hat Enterprise Linux). Cette dernière version est encore en phase de test chez nombre de constructeurs. Son arrivée ne devrait toutefois pas empêcher un net tassement de la croissance. Pour le prochain trimestre, Red Hat table sur +25% alors que l'on dépassait les 50% l'an dernier. (...)
(29/06/2007 09:51:58)Infosys intéressé par Capgemini, selon la presse indienne
Infosys pourrait faire une offre pour racheter Capgemini. C'est du moins l'avis du Times of India de Bombay, qui cite une source proche de la SSII indienne, en expliquant qu'il s'agirait d'une voie d'expansion naturelle, et d'un moyen rapide de s'implanter en Europe. Infosys a refusé de commenter « ces rumeurs », pourtant alimentées par la SSII elle-même, lors de sa conférence pour les analystes à Bengalore en avril dernier. La SSII, déjà deuxième en Inde sur le marché de l'externalisation, y indiquait qu'elle comptait procéder à une acquisition. En chiffre d'affaires, Infosys est derrière Capgemini : 2,3 MdE contre 7,4 MdE. Mais en capitalisation boursière, la SSII indienne affiche plus de 20 MdE contre 7,9 pour Capgemini (dont le cours est d'ailleurs en hausse, suite à cette rumeur). Si un tel rachat est donc possible sur le papier, au vu des capitalisations respectives, il se heurterait à d'énormes problèmes culturels, tant les gestions d'entreprise sont différentes. En outre, comme nous le rappelait récemment le patron de Sogeti (du groupe Capgemini), les rentabilités sont également très différentes, donc ce rachat entraînerait immanquablement une énorme chute du cours de Bourse de l'acheteur, pas forcément souhaitable pour ce dernier. (...)
(29/06/2007 09:28:37)La v3 de la licence libre GPL dévoilée ce soir
C'est ce midi - heure de la côte Est des Etats-Unis, donc ce soir en France - que doit être enfin dévoilé le texte final de la GPL v3. Richard Stallman avait rédigé la licence originelle en 1989. La version 2 de la licence date de 1991, et la décision de la modifier de décembre 2005. La FSF (Free Software Foundation, auteur de la licence) estimait alors que 75% du code Open Source était distribué sous cette licence. Une évolution était donc indispensable, pour adapter la licence à l'internationalisation (les contextes juridiques se sont multipliés), à l'introduction des mesures de protection technique (MTP, ou DRM en anglais : digital rights management), ainsi qu'à la problématique, rendue prégnante par l'accord Microsoft-Novell de novembre dernier, des droits de propriété intellectuelle. La GPLv3 interdira de tels accords à l'avenir. Parmi les autres modifications importantes, la GPLv3 devrait aussi simplifier la combinaison de logiciels sous GPL avec du code sous licence Apache. Et les fabricants d'appareils de type boîte noire (une box ADSL, par exemple) ne pourront utiliser de code sous GPLv3 s'ils interdisent à leurs clients de modifier ce code. Notons toutefois que les développeurs pourront toujours utiliser la version 2 de la GPL, et qu'il existe de pléthore de licences Open Source - même si la plupart ne correspondent pas à la philosophie du Libre défendue par Richard Stallman, fondateur et président de la FSF. (...)
(29/06/2007 08:47:45)Micropole Univers étend ses compétences vers les PGI
La société de conseil et de services Micropole Univers vient de conclure un accord avec Qualiac, éditeur français de progiciels de gestion intégrés (PGI). Jusqu'à présent, la SSII parisienne se positionnait essentiellement sur les secteurs de la gestion de la relation client (CRM) et de l'analyse décisionnelle (business intelligence). Avec la signature de ce contrat, la société confirme sa volonté de se faire une place dans le monde des PGI. Elle a créé un centre de compétences entièrement consacré à cette catégorie d'applications avec l'objectif de proposer et déployer des interconnexions entre les différents systèmes décisionnels déjà en place dans les entreprises. Micropole Univers compte 880 collaborateurs en France, pour un chiffre d'affaires de près de 70 millions d'euros. (...)
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