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(27/10/2011 12:04:04)

Checkpoint part en chasse contre les botnets

Checkpoint a profité de son 3D Security Tour à Paris pour faire quelques annonces. Le spécialiste de la sécurité a ainsi présenté une extension de son châssis haut de gamme, le 61000. Dévoilée au mois d'août dernier, cette passerelle peut embarquer jusqu'à 12 serveurs en étant capable de gérer des débits de 200 Gbt/s sur une instance de pare-feu unique, ainsi qu'un IPS avec du trafic jusqu'à 85 Gbt/s. Les extensions annoncées concernent la possibilité d'intégrer des solutions de DLP, mais aussi le serveur lame anti-botnet.

La prévention des botnets

La réelle innovation réside dans ce serveur lame (Blade Software) qui est capable de protèger les entreprises contre les botnets, mais aussi les menaces persistantes avancées (APT). L'appliance comprend un moteur de détection baptisé Multi-tier ThreatSpect. Il analyse le trafic sur chaque passerelle, identifie plusieurs millions de types d'intrusions et démasque les botnets grâce à la corrélation de facteurs. Il propose ensuite des solutions de blackhauling (blocage de la communication et mise en quarantaine des échanges corrompus). Amnon Bar-Lev, PDG de Checkpoint constate que « la plupart des entreprises qui ont essayé notre solution ont trouvé des postes de travail infectés ». Cette aplliance sera intégrée dans les différentes passerelles du spécialiste de la sécurité et sera disponible au 1er trimestre 2012.

(...)

(27/10/2011 10:31:02)

L'Epita délivre un master IT pour les étudiants étrangers

Le diplôme national de master (DNM) en sciences et technologies, mention informatique,  dispensé par l'Epita s'adresse à la  quinzaine d'étudiants qui viennent d'effectuer leur rentrée d'automne dans les locaux de l'établissement, Porte d'Italie. Il cible aussi les élèves de la rentrée de printemps, prévue en mars 2012. Le programme, d'une durée de 2 ans, délivré intégralement en anglais, comprend également un enseignement de langue, de culture et de civilisation françaises. La formation peut s'effectuer sur une durée de 2 à 4 semestres, selon le profil initial des candidats. Ce master national peut aussi intéresser, en formation continue, quelques cadres français qui souhaitent s'expatrier ou qui le sont déjà et également certains salariés d'entreprises françaises basées à l'étranger.

Trois types de spécialisations

Après les enseignements de tronc commun (qui s'étalent sur un an), trois spécialisations (de quatre mois) sont proposées aux étudiants : il s'agit des cycles management des systèmes d'information, sécurité informatique, et Ingénierie logicielle.
La formation comprend également un module projet  de recherche et innovation » (d'une durée de 2 mois) et elle  se ponctuera par un stage en entreprise ou en laboratoire de recherche (6 mois).

Les étudiants sont recrutés avec, au minimum, un niveau bachelor ou équivalent. Une première expérience professionnelle (2 à 5 ans) sera un plus dans l'examen du dossier.

Selon l'Epita, à l'issue de ce type de formation, généralement 1/3 des étudiants reste en France, une proportion équivalente retourne dans son pays d'origine, et la part restante décide de changer de pays. Toutefois, l'école indique que l'attrait pour la France reste marqué car selon elle, 80 % des étudiants conservent ensuite un lien professionnel avec le pays dans leurs nouvelles activités.

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(27/10/2011 10:27:16)

Une ferme de panneaux solaires pour le datacenter d'Apple à Maiden

La marque à la pomme aurait-elle finalement une quelconque conscience écologique ? Alors qu'elle refuse toujours de communiquer sur les émissions de CO2 liées à la construction de ses appareils, Apple fait un pas dans le sens de l'écologie. Selon un article paru sur CharlotteObserver.com, elle aurait obtenu un permis pour remodeler la pente d'une partie des 70 hectares de terrains vacants qu'elle possède en face de son centre de données de Maiden, en Caroline du Nord, en vue de la construction d'une ferme solaire.

Une extension du projet Dauphin

A l'heure actuelle, ce centre de données est alimenté principalement par des centrales à charbon et nucléaire. Aucun détail n'est mentionné sur le permis concernant la ferme solaire. Toutefois, il est précisé que de multiples chemins permettront d'accéder aux panneaux solaires et le plan est intitulé « Project Dolphin Solar Farm A Expanded » sachant que le « projet dauphin » était le nom de code donné par Apple pour construire le centre de données de Maiden. La firme de Cupertino n'a toutefois pas confirmé cette information.

ICTjournal.ch

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(27/10/2011 10:13:10)

Les smartphones génèrent 5% du trafic Internet en Europe de l'Ouest

4 Européens sur 10 possédant un téléphone portable utilisent désormais un smartphone. Cela explique en partie pourquoi le trafic mobile ne cesse de progresser, jusqu'à atteindre près de 5% au mois d'aout 2011 en Europe de l'ouest (France, Allemagne, Italie, Espagne et Royaume-Uni), selon une étude publiée mercredi 26 octobre par comScore.

L'iOS d'Apple génère à lui seul plus de 60% du trafic nomade. L'étude des parts de marché des plateformes montre que iOS génère 61,1%, loin devant Android (20,9%), RIM (8,5%) et Symbian (2,7%). Près de la moitié (43%) du trafic total d'iOS provient de l'iPad.

Dans la zone couverte par cette enquête, 38,9% d'abonnés mobiles, soit 91,4 millions de personnes, ont déclaré utiliser un smartphone (+46% par rapport à la même époque en 2010) et cela se ressent forcément au niveau de leur comportement.

Les Européens possédant un mobile sont 82,4% à avoir envoyé des SMS au mois d'août. Mais seuls 34% ont ouvert un navigateur web, 33,5% ont lancé une application, 25,8% ont écouté de la musique et 22,6% se sont connecté à un réseau social.

Tous ces chiffres sont extraits du bilan de l'usage des supports mobiles et connectés dans les cinq principaux pays européens (France, Allemagne, Italie, Espagne et Royaume-Uni).

(...)

(27/10/2011 10:06:56)

Yoolink Pro détaille les difficultés et les bonnes pratiques d'un RSE

« La question juridique a été un écueil que nous n'avions pas prévu lors de la mise en oeuvre de notre réseau social d'entreprise (RSE) » témoigne Valérie Blondeau, directrice de la communication chez Lagardère Publicité. En l'occurrence, un document interne, diffusé via le RSE, a été récupéré par un salarié mal intentionné et diffusé sur Facebook dans l'intention de nuire à une autre personne. Une procédure disciplinaire interne est en cours, gérée par la DRH, mais cet incident a refroidi l'enthousiasme des utilisateurs du RSE de Lagardère Publicité. La nécessaire promulgation d'une charte explicite de bonnes pratiques pour un outil à usage interne a constitué une surprise non seulement chez Lagardère Publicité mais aussi chez l'éditeur Mondadori. La BNP Paribas Personal Finance (Cetelem) avait, quant à elle, anticipé la question en prévoyant d'entrée de jeu une charte d'usage.

Ces trois entreprises se sont exprimées lors d'une réunion de clients et de prospects du prestataire de RSE en SaaS Yoolink Pro le 25 octobre 2011. Selon ce prestataire, la peur de s'exposer et de révéler des informations de façon inappropriée reste l'un des principaux freins à l'usage d'un RSE par les salariés d'une entreprise. Il n'est donc pas surprenant que l'incident chez Lagardère Publicité ait été mal vécu. De la même façon, le possible flicage des activités des uns et des autres par la hiérarchie via les contributions sur le RSE est un autre frein.

De la paranoïa aigüe

Des crises de paraonïa aigüe sont même parfois constatées. Yoolink Pro recommande donc de stimuler les contributions plutôt que de les modérer, même si une administration a posteriori est nécessaire pour régler le plus rapidement possible d'éventuels incidents. Enfin, bien entendu, le RSE étant synonyme d'exposition publique, un autre frein majeur est la réticence de certains à faire preuve de transparence vis-à-vis des autres services voire des collègues.

Au sein du groupe d'assurances MMA, le RSE a été construit autour de communautés privées pour lever cette peur de s'exposer. On ne peut accéder à une communauté que si on en est membre naturel (membre du personnel d'une direction donnée...) ou si on justifie auprès de l'administrateur de la dite communauté d'une bonne raison pour y accéder. « Nous n'avons recours à de telles communautés privées que dans des cas très limités, en lien avec l'organisation d'évènements par exemple » indique Gratiela Biltoc, responsable de l'innovation marketing stratégique de BNP Paribas Personal Finance.

L'animation et la modération sont à prévoir

Si la modération est bien sûr à prévoir, il convient donc surtout d'animer les communautés sur un RSE. En général, ces tâches d'animation et de modération sont confiées à des personnes membres de la communauté dont ce n'est qu'une fonction secondaire. Selon Yoolink Pro, cette personne n'est cependant pas victime d'un surcroit de travail : ce qui était auparavant mené par e-mail ou via d'autres canaux est simplement transféré sur le RSE avec une efficacité accrue.

Cette animation peut être simplifiée quand le RSE vient doter des communautés pré-existantes d'un outil de collaboration. Ainsi le spécialiste des cadeaux promotionnels Groupe Casaque (Anaïk, Stylea, Goodtime...), implanté mondialement, a-t-il construit un RSE pour que ses différents groupes de travail puissent mieux travailler en structurant les échanges et disposer d'annuaires des participants.

Mais le RSE ne remplace pas l'e-mail. « L'e-mail n'est pas mort » s'est ainsi exclamée Valérie Blondeau. Cependant, le volume des e-mails tend à baisser dans le cadre d'une reconfiguration des modalités d'échanges.

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Cette reconfiguration est d'ailleurs l'un des objectifs de l'installation d'un RSE. Ainsi, chez BNP Personal Finance, le RSE a été mis en place pour partager la veille en innovation au sein d'une communauté réduite d'une cinquantaine d'utilisateurs. L'objectif a été largement atteint et l'appartenance au RSE a été virale, sur invitation, permettant son développement en lien avec beaucoup d'autres sujets d'échanges. Aujourd'hui, le RSE a près de 500 utilisateurs.

Chez Lagardère Publicité, l'objectif de simplification des outils de communication et de leur réduction à une seule plate-forme s'est doublé d'une volonté de décloisonnement entre les services, chacun disposant de son propre outil. Le succès a été largement au rendez-vous : 85% des 700 collaborateurs sont utilisateurs actifs. Il est vrai que l'outil a été lancé avec un déménagement des bureaux. Les informations relatives au déménagement n'étaient disponibles que sur le RSE.

Selon Yoolink Pro, sur 100% de collaborateurs inscrits dans le RSE, on constate en moyenne 90% d'utilisateurs ayant au moins activé leur profil en remplissant leur fiche (notamment en mettant leur photographie). Mais il n'y a que 32% de contributeurs. L'implication dans le réseau est plus importante sur les managers et directeurs que sur les employés : la crainte de l'exposition est clairement ce qui explique cette différence.

Les DSI sont de forts contributeurs.

L'attitude des personnels varie beaucoup également selon le métier exercé. Ainsi, les commerciaux sont rarement contributeurs mais se servent du RSE (réseau social d'entreprise) comme outil de veille sur l'actualité interne. A l'inverse, les directions du marketing, de la communication et des systèmes d'information fournissent les principaux bataillons de contributeurs. En lien avec le niveau hiérarchique des principaux contributeurs, l'âge moyen des plus gros contributeurs se situe entre 35 et 40 ans. La « génération Y » est encore trop jeune, même si ses membres maîtrisent parfaitement ces outils.

Le RSE s'utilise plutôt en début de journée et de semaine. Il vise donc à préparer l'action plus qu'à l'accompagner ou la conclure. L'accès mobile est très marginal.

Enfin, le RSE remet les collaborateurs au centre des échanges, ce qui est symbolisé par le fait que 96% des contributeurs ont inclus leur photographie dans leur fiche. A l'inverse, l'intranet collaboratif ou la GED restent centrés sur les contenus.

(...)

(27/10/2011 15:55:10)

La virtualisation devient plus stratégique pour les partenaires de Citrix

Il  y a un an, les revendeurs voyaient dans la virtualisation d'abord un moyen de déployer de manière  accélérée les applications, ensuite la simplicité de migrer Windows 7 et enfin  la possibilité de prise en charge en tout lieu et sur tout périphérique. Leur approche est devenue plus stratégique. Cette année, 70% d'entre eux estiment que cette virtualisation leur permet la prise en charge en tout lieu et sur tout périphérique. A 58%, ils citent le renforcement de la sécurité, des données comme du contrôle d'accès. A 57%, ils placent la réduction du coût de possession.

Les périphériques plus faciles à sécuriser

Pour Citrix, clairement, une étape est franchie, les périphériques sont centralisés donc plus faciles à sécuriser.  D'autant plus nécessaire que l'utilisateur professionnel a de plus en plus recours à ses propres  tablettes ou smartphones et non pas à des appareils confiés par l'entreprise. Ces périphériques favorisent une croissance de la demande en virtualisation de postes.  

De plus, la virtualisation, constate cette étude, concerne un éventail de plus en plus large de fonctions dans l'entreprise. Et celle-ci perçoivent de mieux en mieux l'intérêt économique de la virtualisation.

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