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(26/10/2011 17:13:48)

Microsoft s'aligne sur Salesforce.com pour son CRM

« Jusqu'à présent, la facturation et le provisionnement pour CRM Online et Office 365 étaient traités dans des environnements distincts», a déclaré Brad Wilson, directeur général, département gestion produit de Dynamics CRM. Mais désormais, les clients seront en mesure de commander et de faire fonctionner l'application « depuis Office 365 », a-t-il ajouté.

Microsoft s'inspire en cela de Salesforce.com. Les deux versions en ligne et sur site du logiciel Dynamics CRM sont dotées des mêmes outils de micro-blogging et affichent toutes deux les flux d'activité de manière à voir les messages envoyés par les utilisateurs, de suivre les comptes des collègues, plus les opportunités et d'autres informations envoyées par le système CRM. « Ces fonctions sont accessibles depuis le client Outlook, dans l'interface du navigateur et sous Windows Phone 7, » a déclaré le DG du département Dynamics CRM. « Nous avons fait en sorte de traiter l'aspect social comme un outil de productivité et pas uniquement comme une nouvelle technologie sympathique à utiliser, » a-t-il ajouté. « Nous ne sommes pas les premiers à le faire. Mais nous nous sommes fiés à l'expérience que d'autres ont acquis dans le domaine de la productivité. »

Etendre les capacités de l'outil CRM

Microsoft prévoit d'élargir les capacités sociales de son CRM. On ne sait pas très bien encore si l'éditeur va finir par créer son propre modèle de « gestion de l'expérience client», un concept émergent, dont l'objectif est d'améliorer le support client et le service à la clientèle en utilisant plusieurs canaux, depuis les centres d'appels, les sites de médias sociaux, les sites web de l'entreprise, et jusqu'aux portails dédiés. Cette semaine, Oracle a fait une entrée remarquée dans ce marché, en faisant part de son intention de racheter RightNow Technologies pour 1,5 milliard de dollars. Adobe et IBM ont également fait des achats importants pour soutenir leurs propres stratégies dans ce secteur.

En attendant, cette version de Dynamics CRM offre également des fonctionnalités susceptibles d'être appréciées dans l'entreprise, comme le partage du système Active Directory sur site d'un client avec CRM Online, ou encore la mise en place de datascenters redondants dans différentes régions du monde. De sorte que, si le système tombe en panne dans une certaine région, il peut être remis en route depuis une autre zone située à proximité. « Cela devrait aider les entreprises à rester en conformité avec les réglementations gouvernementales, » a estimé Brad Wilson qui a précisé par ailleurs que « Dynamics CRM comptait aujourd'hui 30 000 clients environ et 2 millions d'utilisateurs. » Comparativement, en juillet 2010, Microsoft faisait état de 23 000 clients et 1,4 million d'utilisateurs pour son service.

30 000 clients dans le monde avec 2 millions d'utilisateurs

Selon le directeur général de l'activité Dynamics CRM, « le plus grand déploiement unique sur site comporte 70 000 postes. » Et que les déploiements de CRM Online comportent désormais « plusieurs milliers de postes, » a-t-il indiqué. Le lancement mondial de CRM Online l'an dernier a grandement contribué aux ventes, en fournissant à Microsoft un moyen facile de livrer des versions d'essai de son logiciel à travers le monde. Auparavant, dans les régions non couvertes par CRM Online, le logiciel devait être configuré et mis en place sur site. « Cela nous a permis de faire grandement évoluer notre modèle d'engagement à la clientèle (Consumer Engagement Model - CEM). »

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(26/10/2011 16:59:38)

Suse Cloud mise sur OpenStack pour déployer des clouds privés

Suse, filiale indépendante d'Attachmate qui a racheté Novell, vient de présenter une offre pour faciliter le déploiement de cloud privé pour les entreprises. Ce service s'appelle Sues Cloud, mais ne sera disponible que dans 9 mois voir un an. Elle s'appuiera sur la dernière version d'OpenStack, appelée Diablo. Une première version d'essai de Suse Cloud est accessible en téléchargement, mais l'éditeur recommande aux entreprises de ne pas l'utiliser dans un environnement de production.

Le logiciel est compatible avec les hyperviseurs Hyper-V de Microsoft et ESXi de VMware ainsi que Xen de Citrix et KVM. Il s'exécute sur Suse Linux Enterprise server et peut être utilisé avec Suse Studio, pour créer et déployer des applications en mode cloud. Il est compatible avec les outils d'administration Suse Manager.

La division Suse, comme d'autres sociétés, indique que sa solution facilitera le déploiement de cloud privé en utilisant OpenStack, une tâche qui peut se révéler complexe. Kerry Kim, directeur du marketing solutions pour Suse indique que « les entreprises s'intéressent également à OpenStack pour améliorer la portabilité des applications et déplacer les charges de travail dans le cloud ». Même s'il y a encore du travail sur Suse Cloud, l'éditeur voulait absolument sortir une version d'essai pour montrer son ambition dans le cloud privé.

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(26/10/2011 15:23:06)

EMC veut exécuter des VM dans ses baies de stockage

Un des messages forts porté par plusieurs intervenants d'EMC lors d'une conférence utilisateurs qui s'est déroulée la semaine dernière près de Boston était de dire que le constructeur vendrait du matériel pour les serveurs et supporterait la migration de VM vers ses solutions de stockage. Sur ce dernier point, EMC a indiqué que son objectif était de faire tourner des machines virtuelles basées sur VMware sur les baies de stockage. Cette technologie tire parti des processeurs x86 multi-coeur d'Intel, EMC utilise aussi vSphere pour gérer directement les contrôleurs de stockage, puis s'appuie sur vMotion pour migrer les machines virtuelles depuis les serveurs d'applications vers les baies de stockage, a expliqué Pat Gelsinger, directeur général d'EMC lors d'une table ronde avec un groupe de journalistes. Il a jouté que « lors d'EMC World en mai dernier, nous avions montré des VM fonctionnant sur des baies VNX, mais aussi sur des clusters NAS de la gamme Isilon. En interne, nous avons également migré des VM sur des baies Symmetrix VMAX.

Comme le travail des VM  partage les ressources de la baie de stockage, il est possible d'imaginer des usages ne nécessitant pas beaucoup de puissance de calcul. Un cas d'utilisation des VM sur les baies serait la plateforme d'analyse de données Greenplum, utilisée par les clients pour trier des téraoctets ou pétaoctets de données et en extraire de petites quantités d'informations pertinentes. « Il s'agit d'un exemple de couplage entre beaucoup de données et peu de capacité de calcul. Avec cette technologie, vous n'avez pas à migrer ces pétaoctets à travers le réseau », a déclaré Pat Gelsinger. Par contre, il n'a donné aucun calendrier pour la disponibilité de cette fonctionnalité sur les baies en soulignant qu'il reste encore du travail pour intégrer au mieux les API des solutions de stockage avec les interfaces de VMware. « C'est du travail de plomberie, car aucune de ces baies n'ont été construites avec des capacités de calcul, ce sont des environnements d'exploitation spécialisée et c'est beaucoup de travail pour l'adapter ».

Pat Gelsinger est revenu aussi sur le projet Lightning. Il s'agit d'une carte PCI express pour serveur capable d'accélérer les échanges d'entrées/sorties entre le serveur et les solutions de stockage, comme celles de Fusion I/O. Le dirigeant en avait parlé lors de l'évènement EMC World à Las Vegas en mai dernier et avait laissé entendre qu'il pourrait travailler avec Intel.

Illustration : Pat Gelsinger, DG d'EMC

Crédit Photo: EMC


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Lors de la récente conférence utilisateur, il s'est par contre refuser à nommer le partenaire technologique sur ce projet.  La carte PCIe devrait être disponible à la fin de cette année ou au début de l'année prochaine. Plusieurs cartes ont été fournies en beta test.

Rupture avec Dell et succession de Joe Tucci

D'un côté, EMC s'intéresse depuis plusieurs années  au marché des PME-PMI en fournissant des systèmes abordables (- de 10 000 dollars) comme les VNXe. De l'autre, Dell, au travers d'acquisitions, est venu chasser sur les terres d'EMC sur les produits haut de gamme, d'où quelques tensions. Au final, Dell a annoncé la semaine dernière la fin de son partenariat avec EMC.

Pat Gelsinger a déclaré que les équipes de gestion ont travaillé dur pour « essayer de trouver un modèle pour poursuivre le partenariat avec Dell, même si le chiffre d'affaires généré à la fin était faible ». En effet, les revenus issus du partenariat ont été de 50 millions de dollars lors du 2ème trimestre, une goutte d'eau par rapport au 13 milliards de dollars de CA du constructeur. Il constate néanmoins que « la relation était arrivée à un point où soit elle se transformer, soit elle périclitait. Hélas, elle s'est arrêtée. »

Dans l'optique d'une rupture rapide, EMC a investi dans le recrutement de  «milliers» de nouveaux partenaires notamment des revendeurs de taille plus petite, compensant ainsi les pertes du partenariat avec Dell. Au troisième trimestre d'EMC, les ventes des revendeurs autre que Dell a progressé de plus de 40%, a déclaré Pat Gelsinger. Ce dernier a expliqué qu'EMC cessera de vendre les produits Clariion (élément essentiel du partenariat avec Dell) en janvier 2012, mais continuera à assurer le support pendant 5 ans.

Sur la succession de Joe Tucci, ce dernier a déjà expliqué publiquement qu'il passerait la main à la fin 2012. Il donnerait alors le nom de son successeur. Lors de l'événement d'EMC près de Boston, un porte-parole  d'EMC a déclaré que Joe Tucci passerait du titre de PDG à celle de président du conseil, « à la discrétion du conseil d'administration », pour un mandat de deux ans, ce qui signifie qu'il va continuer à aider à diriger l'entreprise jusqu'en 2014. Ce mandat pourrait être étendu à deux ans supplémentaires soit jusqu'en 2016.

Illustration : Pat Gelsinger, DG d'EMC

Crédit Photo: EMC

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(26/10/2011 12:43:06)

John McCarthy, un des pères de l'Intelligence Artificielle, est mort

Après Steve Jobs, puis Dennis Ritchie, l'informatique vient de perdre une autre de ses figures. John McCarthy, l'un des pères  de l'intelligence artificielle s'est éteint dimanche à l'âge de 84 ans. L'Université de Stanford, où il enseignait les sciences informatiques, a confirmé son décès dans un tweet posté mardi. En 1958, alors qu'il enseignait au Massachusetts Institute of Technology (MIT), il avait inventé le langage de programmation LISP (List Processing), qui est devenu le principal langage utilisé dans les travaux se rapportant à l'intelligence artificielle (IA). Il a également été l'un des co-fondateurs du premier laboratoire d'intelligence artificielle du MIT et le fondateur du laboratoire d'IA de l'université de Stanford Titulaire d'un doctorat en mathématiques, John McCarthy ne s'est pas vu attribué le mérite escompté pour avoir inventé l'intelligence artificielle, bien qu'il soit largement considéré comme l'un des pères fondateurs du domaine et qu'il ait occupé une place importante en raison du développement du langage LIPS dans l'IA.

Parmi  tous les langages de programmation de haut niveau  utilisés aujourd'hui, seul Fortran, avec un an de moins, est plus ancien que LISP.

Etudiant, il s'intéresse à l'IA

John McCarthy a effectué ses années de recherche en IA en partant du fait que l'intelligence humaine pouvait être comprise et décrite de manière suffisamment succincte pour être enseignée à une machine. Lors d'un entretien accordé suite à la sortie, en 1995, de l'ouvrage « Thinking allowed, conversations on the leading edge of knowledge and discovery », co-écrit avec Jeffrey Mishlove, il avait déclaré : « « J'ai commencé à travailler sur l'intelligence artificielle en 1956, mais  je m'étais déjà intéressé  à la question en 1949,  quand j'étais étudiant en mathématiques. « Je considère que l'IA a progressé un peu moins vite que je ne l'espérais, mais je n'ai pas d'opinion précise quant à sa vitesse d'évolution », avait-il ajouté. « Je pense qu'il y a eu et qu'il existe encore des  problèmes conceptuels difficiles à résoudre avant que nous puissions obtenir des programmes informatiques qui soient aussi intelligents que les humains ».

Pour lui, une partie du problème réside dans le fait de pouvoir développer un langage dans lequel il est possible de traduire les raisonnements classiques de l'environnement humain dans des programmes informatiques « Une machine n'est pas la somme de tout »,  avait-il déclaré. « Si quelqu'un possède des pièces de voitures et qu'il vous les donne, cela ne constituera pas une voiture. Les pièces devront être reliées d'une façon spécifique et interagir de la même manière. »

En 1988, John McCarthy avait reçu le prix de Kyoto, considéré comme l'équivalent japonais du prix Nobel, pour ses contributions à l'informatique et l'intelligence artificielle.

Illustration : John McCarthy. Crédit photo : IDG News Service


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(26/10/2011 12:25:36)

Dell ajoute des règles métiers à son service Boomi

Pour Rick Nucci, directeur technique de Dell Boomi, l'ajout de règles de gestion est « une étape entièrement nouvelle dans l'offre de service de Boomi, et va permettre aux utilisateurs d'appliquer à leurs données une logique métier à plusieurs niveaux. » Le service Boomi permet aux entreprises de copier les données entre différents services cloud publics comme Salesforce.com et RightNow (qui sera bientôt dans le giron d'Oracle).

Dell avait acquis ce service lors du rachat, en 2010, de Boomi, une entreprise basée à Berwyn, Pennsylvanie. La nouvelle version du service, en ligne depuis hier, s'enrichit d'un petit moteur de gestion des règles métiers (ou « business rules »), qui permet donc d'appliquer des mesures simples aux données extraites depuis un service cloud. « Dans certains cas, l'utilisation des règles métiers pourront éviter l'usage et l'achat de logiciels BPM (Business Process Management) autonomes » a ajouté le responsable de Dell Boomi.

Un moteur de gestion et des suggestions


Le moteur de gestion peut être utilisé pour effectuer différentes tâches et soumettre les données transitant par le moteur à un certain nombre de décisions. Il peut notamment servir à comparer les données à des valeurs prédéfinies ou à une plage de valeurs, ou à d'autres données stockées dans un autre service cloud. En fonction de la valeur des données, il peut mettre en route différents types d'actions. A titre d'exemple, Rick Nucci a indiqué qu'une entreprise pourrait utiliser le moteur de gestion de règles métiers pour vérifier la région dans laquelle résidaient ses clients, et affiner ses actions en conséquence. Ou encore, le service pourrait permettre de vérifier si le client a des paiements en retard et, si oui, orienter ses données vers le service de recouvrement approprié.

En plus du moteur de gestion, Boomi arrive avec des outils qui facilitent certaines opérations nécessaires dans le déploiement. Le service de Dell est ainsi capable de suggérer certaines fonctions utiles pour améliorer l'intégration. Par exemple, si le logiciel voit que la base de données comporte des colonnes différentes pour le prénom et le nom, il suggérera de les fusionner ensemble dans une entrée « nom » unique. Le service effectue également un suivi de l'usage de Boomi par le client. S'il s'aperçoit que le service n'est pas utilisé, il envoie une alerte au support technique de Dell, qui prend contact avec le client pour résoudre des problèmes éventuels.

Selon Dell, le client moyen de Dell Boomi se connecte à 11 services cloud différents et exécute chaque jour environ 600 transactions entre eux.

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(26/10/2011 11:58:03)

IBM critique l'acquisition d'Autonomy par HP

Dixit IBM, HP devra « lutter » pour réussir à intégrer les solutions de gestion de l'information de l'éditeur Autonomy  et les ressources combinées des deux sociétés ne seront pas une menace sérieuse pour ses offres de gestion et d'analyse des données. Cette déclaration a été rapportée par notre confrère de ComputerWorld UK, Antony Savvas, à l'occasion de la sixième édition de l'événement Information On Demand (IOD) d'IBM (du 23 au 27 octobre à Las Vegas). 10 000 clients et partenaires étaient attendus sur ce salon dédié aux solutions de gestion des données de Big Blue.

Interrogé à cette occasion sur l'impact attendu suite au rachat d'Autonomy par HP, Steve Mills, senior vice-président en charge de l'activité logiciels et systèmes d'IBM, a été particulièrement critique. M.Mills a ainsi déclaré: « Ça va être dur pour HP d'exploiter Autonomy et obtenir un retour sur investissement, ils ont dépensé beaucoup d'argent pour ça [cette acquisition] et il n'y a aucune certitude quant à ce retour. (...) Nous étions déjà en compétition avec Autonomy sur ce marché avant l'acquisition et faire partie de HP sera ou ne sera pas une difficulté pour eux. »

Une course frénétique aux acquisitions

HP a récemment finalisé l'acquisition  d'Autonomy pour un montant de 11,7 milliards de dollars  et même IBM a récemment acquis l'éditeur canadien d'analyses de risques Algorithmics, qui travaille notamment avec HSBC et Société Générale, pour un montant plus modeste, 387 millions de dollars. Steve Mills a indiqué sur ce dernier point : « Nous sommes un peu plus réfléchi quant à la façon de dépenser l'argent des actionnaires ! »  

Cela dit, ces dernières années IBM a effectué une vingtaine d'acquisitions dans le domaine de la gestion de l'information et de l'analyse des données. La firme d'Armonk estime d'ailleurs qu'elle est sur ​​la bonne voie pour capter une bonne partie d'un marché estimé à 16 milliards de dollars en 2015.

Oracle toujours dans le collimateur d'IBM

La compétition avec le duo HP / Autonomy n'était pas la seule cible d'IBM lors de cette discussion avec le dirigeant d'IBM, Oracle est également venu sur le tapis. A la question de savoir si le nombre d'inscrit à événement IOD n'était pas plutôt modeste par rapport aux 45 000 personnes qui participent tous les ans à la manifestation OpenWorld, Arvind Krishna, directeur général d'IBM en charge de l'activité gestion de l'information, a rejeté la comparaison.  « Alors qu'Oracle a choisi d'organiser un grand événement, nous avons cinq manifestations différentes qui se concentrent sur des domaines différents : cet événement IOD, la conférence Impact, Lotusphere, Rational et Tivoli, et nous pensons que cela fonctionne beaucoup mieux ainsi. »


Arvind Krishna, directeur général d'IBM en charge de l'activité gestion de l'information

Pendant la keynote d'Arvind Krishna, Curt Cotner, employé au sein de la division gestion de l'information d'IBM, a tapé sur les capacités de traitement des bases de données d'Oracle, indiquant que le nombre de coeurs et processeurs utilisés dans les résultats publiés par l'éditeur de Redwood  était «incertain».

Un autre dirigeant d'IBM dans le New Hampshire, qui a préféré resté anonyme, a également cogné sur Oracle en affirmant à notre confrère de ComputerWorld UK : « Nous sommes meilleurs quant à l'intégration de technologies issues d'entreprises que nous avons achetées, il suffit de regarder Oracle, ils ont parlé de « Fusion » pendant des années après les acquisitions de PeopleSoft et JD Edwards, et ces technologies ne sont pas encore totalement intégrées. »


Illustration principale : Steve Mills, senior vice-président en charge de l'activité logiciels et systèmes d'IBM, crédit photo D.R.

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