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(26/10/2011 10:38:20)
Infotel veut recruter 50 informaticiens dans la région Ouest
Infotel, SSII et éditeur spécialisé dans les bases de données, l'archivage et la dématérialisation, qui vient de publier ses résultats trimestriels, prévoit de recruter une cinquantaine d'informaticiens dans l'ouest de la France pour se renforcer à Brest, au Mans, à Nantes, à Rennes et également à Niort. Dans cette optique, le groupe organise deux journées de « speed recruiting » d'abord à Niort, à l'occasion de l'ouverture d'un prochain centre de services, puis à Brest où un site devrait ouvrir début 2012. Les profils recherchés, juniors ou confirmés, sont des analystes fonctionnel (AMOA, banque/assurance), des ingénieurs d'études mainframe (z/OS, Cobol, DB2), des chefs de projets, des ingénieur d'études (Java/J2EE, bases de données, décisionnel) et des responsables d'applications web et mainframe.
Faire évoluer les SI des grands comptes
La journée de Niort se déroulera le 15 novembre prochain, de 12h à 14h, puis à partir de 18h au Domaine de la Tuilerie ( 98, route de La Rochelle - RN 11 - 79000 Bessines). Celle de Brest aura lieu le 24 novembre de 12h à 14h, puis à partir de 18h, à La Ronde des vins ( 11, rue de Siam - 29000 Brest). Un buffet est prévu pour permettre aux participants de déjeuner sur place.
Les candidats sont invités à envoyer leur CV et leurs préférences horaires pour le créneau d'entretien individuel à journée_rh@ouest.infotel.com
Dans la région Ouest Infotel gère, développe et fait évoluer les systèmes informatiques et les applications de divers grands comptes de l'aéronautique, l'assurance, la banque, la distribution et l'industrie tels ADP, la MAAF, la MMA, la Banque Populaire, le Crédit Mutuel, le Crédit Agricole, ou le groupe Leclerc.
(...)
Virginia Rometty prochain CEO d'IBM
IBM a choisi Virginia Rometty (53 ans) pour remplacer Sam Palmisano (60 ans) au poste de CEO tandis que ce dernier restera président du conseil d'administration. Auparavant Virginia Rometty était en charge du marketing, des ventes et de la stratégie du groupe informatique d'Armonk. « Ginni Rometty a dirigé avec succès plusieurs des plus importantes activités d'IBM au cours des dix dernières années - depuis la création d'IBM Global Services [suite au rachat de Price Waterhouse Coopers Consulting pour 3,5 milliards de dollars] jusqu'à l'expansion de la division Growth Markets [les Bric]», a déclaré M. Palmisano dans un communiqué. «À chaque poste de direction occupé, elle a fortement renforcé les capacités d'IBM pour mieux répondre aux besoins des clients ».
Sous l'ère Palmisano, qui est devenu PDG en 2002 et président du conseil en 2003, IBM a vendu son activité PC à Lenovo, recentré ses activités sur les services et élargi ses activités aux marchés émergents, dont la Chine, l'Inde, Brésil et la Russie. IBM, avec son large portefeuille de produits axés sur l'entreprise, est un baromètre important de l'informatique professionnelle.
Une croissance soutenue
IBM a annoncé la semaine dernière une augmentation de ses ventes et de ses profits pour son troisième trimestre clos en septembre dernier, même si ses revenus, qui progressent de 8%, se situent un peu au-dessous des prévisions des analystes. Les bénéfices trimestriels d'IBM ont augmenté , d'une année sur l'autre, de 7% aux États-Unis avec 3,8 milliards de dollars, tandis que les ventes ont augmenté de 8% à 26,16 milliards de dollars. La division services a progressé de 8%, à 15,1 Md$ et la division Systems et Technology de 4%, à 4,5 Md$. Parmi les réussites du trimestre, les ventes des systèmes Power ont augmenté de 15%.
«Sam a eu le courage de transformer la société, basé sur sa conviction que la technologie informatique, notre industrie, et même les économies du monde allaient évoluer d'une façon historique », a déclaré Mme Rometty dans un communiqué. « Aujourd'hui, la stratégie et le business model d'IBM sont appropriés. Notre capacité à exécuter et à fournir des résultats cohérents à nos clients et à nos actionnaires est solide. »
Malgré les inquiétudes sur les ventes à venir - avec une récession européenne qui se profile - IBM a affiché la semaine dernière sa confiance dans sa capacité à naviguer dans un climat économique difficile, et augmenter ses prévisions sur les dividendes attendus pour l'exercice 2011 avec 13,35 dollars par action contre 13,25 précédemment.
Crédit photo : D.R.
(...)(26/10/2011 09:57:02)La France dispose d'un haut débit au ralenti selon Akamai
Si aux Pays-Bas, 68% des connexions enregistrées par Akamai sont supérieures à 5 Mbt/s, ce chiffre n'est que de 15% pour la France, en queue de peloton européen derrière l'Italie et devant la Turquie. Tous les pays européens ou presque voient néanmoins leur moyenne augmenter avec par exemple l'Italie qui affiche une progression de 5,4%.
Brno, en République Tchèque est la ville la plus rapide d'Europe, sur la base de la vitesse moyenne de connexion avec 8,3 Mbt/s de moyenne, suivi par Genève avec 8,2 Mbt/s et Riga en Lettonie avec 8,1 Mbt/s.
Au niveau mondial, seules neuf villes européennes font partie des cents villes les plus rapides du monde. L'Asie se taille la part du lion, avec pas moins de 59 villes japonaises, 10 sud-coréennes et Hong Kong présents dans le Top 100.
Toutes ces données ont été établies d'après les données collectées par l'Akamai Intelligent Platform, sur laquelle transite près de 30% du trafic internet mondial.
Trimestriels Infotel : des résultats en pleine dynamique
Infotel n'a pas froid aux yeux, dans l'actuel climat de crise la SSII annonce un chiffre d'affaires trimestriel en progression organique de 16,5% avec 29 millions d'euros (ME) de CA. Sur neuf mois, le chiffre d'affaires a progressé de 13,8%. La société confirme son objectif de CA annuel de 120 ME, hors croissance externe. Elle prévoit une poursuite de sa dynamique de croissance et quelques acquisitions ciblées.
Infotel repose essentiellement sur son activité services, 94,8% du chiffre d'affaires, qui a progressé de 16,4% sur le 3ème trimestre et de 13,8% sur les neuf premiers mois de l'année.
(...)(26/10/2011 09:39:36)Les patrons de PME ont le moral qui flanche selon Sage
Au plan mondial, les patrons de PME ont le moral qui flanche. Le précédent index (février 2011) était de 52,13, celui-ci de 44,47. Il faut interpréter cet index de la manière suivante : au dessus de 50%, c'est plutôt optimiste, en dessous, plutôt le pessimisme qui l'emporte. De toute évidence, cet été, les patrons de PME (en moyenne mondiale) sont passés au rouge. Les allemands ont vraiment flanché, passant de 60 à moins de 50, américains, anglais et français ont aggravé leur dépression au cours de l'été. Ils étaient déjà pessimistes, ils le sont encore un peu plus. Les TPE, moins de 25 salariés, sont les plus pessimistes.
La même question, celle de la confiance dans l'économie, est ensuite posée au plan national. Globalement, l'indice est là aussi en chute, passant de 57 à 47. Les patrons de PME françaises, étaient déjà pessimistes et le sont un peu plus. Les allemands se poussent du col, seuls à rester optimistes avec les canadiens. Les allemands perdent tout de même 20 points de confiance.
35% des PME françaises plus optimistes pour elles-mêmes
Il faut attendre le troisième item pour retrouver des couleurs. Pour leur propre busines, et sur les six derniers mois, les français sont 35% à être plus optimistes, 31% à rester dans le même état, 21% seulement à se montrer pessimistes, 12% à ne pas pouvoir se prononcer. On trouve 40% de plus optimistes en Allemagne, 46% en Autriche, 54% en Malaisie et à Singapour, 42% en Afrique du sud, 30% au Canada. Ils ne sont que 28% au Royaume-Uni et 20% en Espagne.
Dernier aperçu, les perspectives pour les mois à venir et les grands défis à traverser. Pour les PME, les coûts de l'énergie sont le 1er obstacle, suivi de la préservation du chiffre d'affaires et en troisième position de la conquête des clients. Il y a six mois, beaucoup de PME misaient sur la technologie pour se développer, cette fois, la crise est bien là, ce thème est peu cité, sauf par les américains qui le mettent en deuxième position.
Oracle propose une version d'évaluation de sa base NoSQL
Une version d'évaluation de l'édition Enterprise d'Oracle NoSQL Database, récemment annoncée, peut être téléchargée depuis quelques jours sur le site OTN (Oracle Technology Network) de l'éditeur. Cette base NoSQL, qui repose sur Berkeley DB, est l'un des composants clé de l'offre Big Data Appliance que la société va livrer au cours du premier trimestre 2012. Elle conviendra aux clients d'Oracle « qui récupèrent d'importants volumes d'informations sans savoir encore comment ils vont les traiter et veulent capturer ces données de façon plus fluide », a expliqué Marie-Anne Neimat, vice-présidente, responsable du développement des bases de données chez Oracle, et fondatrice de TimesTen. Des propos rapportés par nos confrères d'IDG News Service.
Ces dernières années, les solutions de ce type se sont multipliées afin de contourner l'architecture SQL typique pour permettre aux bases de s'étendre plus facilement et d'améliorer leurs performances. Elles sont utilisées pour stocker des informations générées par l'activité des systèmes informatiques (les logs), ou bien remontées par divers capteurs et compteurs, ou encore tirées des réseaux sociaux et des sites de e-commerce, rappelle l'éditeur. Pour l'analyste Curt Monash, de Monash Research, les bases NoSQL sont également adaptées aux grandes entreprises qui exploitent des bases Oracle, les solutions relationnelles ne constituant pas le meilleur choix pour certains types de tâches. Curt Monash estime qu'il y a bien une place pour une option NoSQL dans les comptes qui ont choisi Oracle. C'est donc tout à fait normal que l'éditeur cherche à la coopter, écrit-il sur son blog.
NoSQL convient aussi pour stocker des données qui ne sont pas essentielles, afin de soulager les bases plus structurées. Curt Monash rappelle à ce sujet un problème récemment rencontré par la banque JP Morgan Chase. Cette dernière avait stocké sur la même base des données financières transactionnelles et des informations sur les utilisateurs. Les transactions financières ont été ralenties par l'afflux sur le site web d'utilisateurs venus effectuer des vérifications sur le site après un crash. En conservant les données de ces derniers sur une base séparée, éventuellement NoSQL, ce problème aurait pu être évité, estime l'analyste.
L'administrateur ajuste la réactivité
Oracle NoSQL repose sur la version Java de Berkeley DB, base Open Source développée par l'Université de Californie Berkeley, très utilisée dans les systèmes embarqués. Elle utilise un modèle de données clé/valeur simple, ce qui signifie qu'un programme peut aller chercher la donnée requise en fournissant la clé appropriée ou un identifiant numérique. Si elle n'offre pas la possibilité d'effectuer des requêtes subtiles et fortement structurées comme on le ferait avec une base relationnelle SQL, elle n'impose pas un schéma sous-jacent figé. Il est donc possible d'ajouter des colonnes au fur et à mesure que de nouveaux types d'informations sont récupérés, explique Marie-Anne Neimat, d'Oracle.
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Le logiciel permet par ailleurs aux administrateurs d'ajuster la rapidité les temps de réponse en fonction du niveau de cohérence qu'ils veulent obtenir sur la base (suivant le temps nécessaire pour stocker les informations afin que chaque utilisateur connecté dispose de la même vue sur les données). « Quand une mise à jour se fait, elle peut être appliquée à un seul noeud, à la majorité des noeuds, ou à la totalité. Cela permet de gérer plus facilement la cohérence, indique Marie-Anne Neimat. La base va pouvoir être dimensionnée à un rythme presque linéaire, ce qui signifie que la capacité peut s'accroître de façon uniforme au fur et à mesure que l'on ajoute des serveurs au cluster. Oracle a construit un cluster de 300 noeuds avec sa base de données, quoique, en théorie, il n'y ait pas de limite à la taille du cluster qui pourrait être construire », a ajouté Marie-Anne Neimat.
La localisation de toutes les données sera tracée et conservée par une bibliothèque cliente qui peut être reliée à une application. La bibliothèque Java dirige les requêtes vers le noeud qui conserve la copie de la donnée. Les programmeurs font interagir leurs applications avec la base de données à travers une API Java.
Clés principales et clés secondaires
Les clés principales peuvent elles-mêmes avoir des clés secondaires qui dirigent vers différents champs au sein du même enregistrement. Ces clés secondaires peuvent être utilisées pour ajouter des champs de données aux enregistrements existants. « Vous disposez de flexibilité sur la façon d'associer les attributs et les enregistrements », indique Marie-Anne Neimat. « Vous n'êtes pas encore sûrs de ce que vous voulez faire des données, mais vous savez que vous souhaitez les conserver pour les analyser plus tard ».
« Les enregistrements qui partagent la même clé racine sont tous sur la même partition, tous sur le même noeud. Vous pouvez mettre à jour un grand nombre d'enregistrements, faire des insertions, y accéder ou les supprimer en utilisant la clé principale », complète-t-elle. Les administrateurs peuvent interagir avec la base de données à partir d'une console web qui permet de gérer et de surveiller la topologie, ainsi que de faire de l'équilibrage de charges entre les différents noeuds.
Oracle va proposer une version communautaire gratuite de la base et une version commerciale qui sera enrichie de fonctions supplémentaires. Pour l'instant, l'éditeur propose gratuitement une version d'évaluation.
Illustration : Oracle NoSQL Database
CICF Informatique et le Munci s'engagent à défendre les intérêts des indépendants
Le syndicat CICF Informatique et l'association professionnelle Munci ont décidé d'unir leurs forces pour faire entendre la voix des 50 000 TPE innovantes répertoriées dans les statistiques de l'INSEE. Les deux organismes ont estimé que les PME n'étaient pas les mieux représentées au Conseil d'administration de la fédération Syntec Numérique, qui selon eux, rassemblerait surtout des grosses SSII et des grands éditeurs de logiciels. Ils ont donc souhaité mieux organiser la défense des intérêts des petites structures et des solos et leur garantir une meilleure visibilité. La synergie produite entre les deux organismes aura notamment pour but de favoriser l'adhésion des travailleurs indépendants et des gérants de TPE (qui constituent 20% des 2 000 membres du Munci) à CICF Informatique. La mutualisation d'actions et d'expertises sur des dossiers pourra par exemple prendre la forme d'un référencement des petits prestataires ou d'une valorisation de leur expertise et certifications. « Nous développerons ensemble une offre de services à l'attention des adhérents de CICF Informatique », a indiqué Marie Prat, présidente du syndicat à l'occasion d'un point presse. « Il pourra s'agir d'effectuer de la veille professionnelle, de mettre en place des ateliers et des formations certifiantes en collaboration avec le Fafiec - l'organisme collecteur de la branche -, et avec le centre de formation professionnelle Iptic. Nous comptons également nouer des partenariats avec des éditeurs de logiciels et proposer des services juridiques à nos futurs adhérents. Enfin, nous travaillons conjointement à l'élaboration d'une Charte de bonnes pratiques des sociétés de prestations intellectuelles, de l'externalisation et de la relation clients-prestataires ».
Une réduction de 50% sur la première année de cotisation
A travers ce partenariat, le Munci entend offrir au CICF Informatique une présence renforcée sur son site. En contrepartie, le syndicat s'engage à offrir aux adhérents travailleurs indépendants de plus de 6 mois, une réduction de 50% sur la première année de cotisation à CICF Informatique, jusqu'au 31 décembre 2011. « En France, le statut des freelances est loin de celui adopté dans les pays anglo-saxons », déplore Régis Granarolo, président du Munci. Là-bas, la régie est surtout laissée aux indépendants qui ont davantage de moyens pour gérer plus efficacement leurs carrières que chez nous et dont les contrats sont passés en directs avec les clients ».
Pour lui, le secteur continue de subir un dé-référencement par les grands comptes au profit des grands prestataires généralistes. Cela signifie que les indépendants ont peu de possibilité de remporter un appel d'offres émanant de ces grands comptes. Le fondateur du Munci dénonce également l'intermédiation à outrance et le fait que les intermédiaires prennent des marges difficilement contrôlables.
Considérant la nécessité de promouvoir les qualités et l'expertise offertes par les TPE et les indépendants, et la vente de leurs prestations au juste prix, le CICF Informatique et le Munci initient une action collective en direction des grands comptes, publics et privés.
Les deux organisations ont décidé d'engager une saisine collective du médiateur national des relations inter-entreprises et de la sous-traitance sur les problèmes rencontrés par les petites entreprises sous-traitantes de prestations intellectuelles et de services informatiques.
Illustration : Régis Granarolo, président du Munci et Marie Prat, présidente de CICF
Informatique. Crédit photo : CICF Informatique
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Téléchargement d'apps : Android devant iOS
Selon une étude de ABIresearch, les parts de marché d'Android atteignent 44% au 2e trimestre 2011, contre seulement 31% pour iOS. «La stratégie open source d'Android constitue une pierre angulaire de son succès», relève Lim Shiyang, associé de recherche chez ABIresearch. Ainsi, alors que la production d'iPhones n'a cru que de 9% au 2e trimestre 2011, celle des smartphones tournant sur Android a pour sa part bondi de 36%, expliquant pourquoi le nombre d'apps Android téléchargées a désormais dépassé celui d'Apps Apple.
Trois fois plus d'apps téléchargées en une annéeNéanmoins, bien qu'en nombre total les téléchargements d'apps Android dépassent désormais ceux de Apple, le nombre d'applications téléchargées par utilisateur reste supérieur chez Apple. En moyenne, un utilisateur d'iPhone possède ainsi deux fois plus d'applications qu'un utilisateur Android. ABIresearch attribue notamment cette popularité des applications Apple à la politique de rémunération de la firme à la pomme, qui attire de très bons développeurs, permettant de proposer un catalogue d'excellente qualité aux utilisateurs.
Au total, le nombre d'applications téléchargées d'ici fin 2011 devrait atteindre 29 milliards, comparé à 9 milliards en 2010.
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