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(01/06/2007 18:29:22)
Google acquiert Panoramio pour la géolocalisation de photos
Google vient de mettre la main sur Panoramio, un site de partage de photos lancé en octobre 2005 permettant aux utilisateurs d'envoyer leurs clichés et de les géolocaliser sur Google Maps ou Google Earth. Les deux sociétés travaillent ensemble depuis le début de l'année. Google avait alors décidé de faire de Panoramio l'outil par défaut permettant d'interfacer les photos des internautes avec ses cartes. Un accord qui a fait bondir le nombre d'utilisateurs et de clichés mis en ligne. Le service compte plus d'un million d'images pour environ 300 000 inscrits. Les termes financiers de l'opération n'ont pas été communiqués. Google se contente d'indiquer que ce rachat lui permettra d'intégrer encore davantage la technologie de Panoramio à ses propres services. Pour les internautes inscrits sur le site de partage, aucun bouleversement ne devrait intervenir dans l'immédiat. Cette acquisition va aider Google à renforcer sa position sur le très convoité terrain de la photo en ligne. Elle s'inscrit en complément de Picasa, l'application acquise par Google en 2004 permettant la retouche et le tri de photos. Le principal rival du moteur, Yahoo, détient Flickr, l'un des grands acteurs du partage de clichés. Les utilisateurs peuvent, eux aussi, localiser leurs prises de vue sur les cartes Google. A lire sur le sujet, notre dossier : Google : un an d'acquisitions stratégiques (...)
(01/06/2007 18:24:18)eBay se paie StumbleUpon
Plus loin dans le Web 2.0. eBay, le n°1 des sites d'enchères sur Internet, se paie StumbleUpon pour 75 M$. Cette société est une icône du web participatif, basé sur le partage et l'évaluation de contenu. Le service phare qu'il propose est l'affichage aléatoire de sites Internet, en fonction d'un profil utilisateur et de la recommandation d'une communauté d'internautes. Dans un communiqué, Michael Burh, directeur chez eBay, explique que ce rachat s'inscrit dans une volonté "de développer de nouvelles communautés liées au commerce, reposant sur la confiance". Sans dévoiler la façon dont s'intégrera la technologie aux multiples services du site d'enchères. Selon eBay, la communauté StumbleUpon totaliserait quelque 2,3 millions d'utilisateurs. (...)
(01/06/2007 18:05:19)Forrester recommande d'analyser les messages des spammeurs pour mieux lutter contre eux
Les Américains adorent se faire peur. Et, pour y parvenir, ils ne reculent devant rien. Dans leur dernière étude sur le pourriel, les analystes du cabinet Forrester Research n'hésitent pas à parler d'une menace à base "d'intelligence artificielle". Excusez du peu ! En réalité, dans la lutte permanente entre la lance (alias pourriel) et le bouclier (alias filtre), une nouvelle étape est en train d'être franchie. Le bon vieux spam à papa, bourré de Viagra et autres joyeusetés pour se sentir plus heureux et/ou plus fort, ne passe plus les filtres depuis belle lurette. L'idée de le dissimuler sous la forme de « Viazac », par exemple, n'ayant pas fonctionné longtemps, on est alors passé à l'image, à l'amalgame de pixels qui ne prend de sens que pour un oeil humain et le cerveau qui le pilote. Déjà, près d'un spam sur deux est une image. Or, juste au moment où apparaissent les outils automatiques pour filtrer ces images, les futés spammeurs commencent à les déformer pour qu'elles échappent à la sagacité des derniers filtres. Où s'arrêtera-t-on ? Pour Forrester Research, s'attaquer au spam en lui-même n'est pas la bonne solution. Au lieu de s'attacher au contenu du message, il faut s'intéresser à son environnement. Par exemple, d'où il est émis et où il invite le lecteur à se rendre procurent des indices difficiles à dissimuler. Il faut donc des outils capables d'identifier ces éléments. Si l'on ajoute à cela une législation américaine qui ne favoriserait pas autant les spammeurs, on peut encore espérer un cyber monde débarrassé des pourriels. P.-S. : Rappelons que le Viazac est un mélange de Viagra et du fameux antidépresseur Prozac. Même si la composante Viagra n'a pas l'effet escompté, la présence du Prozac rend l'échec tout à fait supportable ;-) (...)
(01/06/2007 17:54:38)Skype se déploie dans Salesforce
Les fonctions de téléphonie sur Internet fournies par Skype sont maintenant disponibles sur AppExchange, l'annuaire de logiciels à exploiter en ligne sur la plateforme de gestion de la relation client (GRC) de Salesforce. Ces fonctions peuvent donc être utilisées au sein de l'application de GRC, ainsi qu'avec les autres logiciels disponibles sur AppExchange. Outre la capacité de passer des appels en utilisant la technologie Skype (les communications sont gratuites entre deux utilisateurs du service et facturées à la minute, à tarif réduit, vers les autres interlocuteurs), il est possible d'accéder à des outils de messagerie instantanée (dialogue en direct, « chat » en anglais). Les contacts et les indicateurs de présence seront insérés dans l'application de GRC, manuellement ou de façon automatique. Les utilisateurs de Skype pour Salesforce pourront aussi organiser des conférences (jusqu'à dix personnes au total) que les interlocuteurs aient eux-mêmes recours ou non à Skype. L'adaptateur Skype CTI Connector 2.0 (Basic Edition) permet par ailleurs d'intégrer les fonctions de téléphonie dans les modules de gestion des forces de vente (Salesforce SFA) et de service au client (Salesforce Service & Support) afin de pouvoir appeler sur un clic les clients ou partenaires qui y sont listés tout en faisant remonter à l'écran les fiches d'informations sur les personnes contactées. (...)
(01/06/2007 17:50:16)Avec l'INL, Lyon devient la capitale des nanotechnologies
Le coup d'envoi officiel a été donné le 31 mai à l'INL (Institut des nanotechnologies de Lyon), créé le 1e janvier dernier suite à la fusion de trois laboratoires lyonnais (Leom- Ecole centrale de Lyon, LPM-INSA de Lyon, Lenac-Université Claude Bernard, Lyon 1). UMR (unité mixte de recherche) soutenue dans le cadre du CPER (Contrat Plan Etat-Région), l'INL est un laboratoire de recherche fondamentale et appliquée qui regroupe un peu plus de 200 chercheurs. « Cette masse critique de spécialistes permet à l'INL d'être un bon interlocuteur à l'international, confie Guy Hollinger, son directeur. Nous sommes déjà actifs dans le 7e PCRD européen et travaillons sur des thématiques photoniques avec la Corée. Nous avons également des projets de nanotechnologie avec l'université de Sherbrooke au Québec. » Un premier master international en 2008 L'INL mène des recherches dans le domaine des micro et nanotechnologies et de leurs applications, qui s'étendent des matériaux aux systèmes, en passant par les capteurs. Elles devraient permettre l'émergence de filières technologiques complètes pour plusieurs secteurs d'application : les semi-conducteurs, la microélectronique, les télécommunications, l'énergie, la santé, la biologie, le contrôle industriel, la défense, l'environnement. « Il est important de faire converger toutes les compétences scientifiques disponibles, par exemple en physique ou en chimie, pour servir les différents domaines », poursuit le directeur de l'INL. L'INL se veut donc au centre du maillage local, du cluster « microélectronique, nanosciences, nanotechnologies » de la région Rhône-Alpes, avec des projets s'inscrivant dans les thématiques de plusieurs pôles de compétitivité (Minalogic, Lyon Biopôle, Axelera, Lyon Urban Trucks and Buses, ainsi que dans Institut Carnot Ingénierie@Lyon). Il travaille également avec le Minatec de Grenoble (pôle de recherche en micro et nanotechnologies). Enfin, avis aux amateurs : le nouvel institut va créer un Master dans le cadre du PRES (Pôle de recherche et d'enseignement supérieur) de Lyon qui s'intitulera « Nanoscale Engineering ». Cette formation de niveau international sera ouverte en 2008. (...)
(01/06/2007 17:49:32)Un éditeur de logiciels sur deux devrait recruter cette année
Avec CXP et IDC, le Syntec Informatique vient de présenter sa deuxième édition de la « cartographie de l'édition française du logiciel. » Les résultats montrent une dynamique du secteur qui devrait s'accroître cette année. Ainsi, l'enquête réalisée en 2006, montrait que 24% des entreprises prévoyaient une croissance de leur CA de plus de 20%. La nouvelle cartographie indique que 30% des éditeurs ont effectivement réalisé une croissance de plus de 20% en 2006. Cette croissance devrait se confirmer puisque la proportion des éditeurs interrogés anticipant une croissance de plus de 5% de leur CA est passée de 62% en 2006, à 69% en 2007. De même, ils étaient 24% à prévoir 20% de croissance en 2006, proportion qui atteint 35% pour les prévisions 2007. Cette embellie devrait être répercutée sur la R&D et les emplois pour former un cercle vertueux. Le Syntec Informatique souligne que trois éditeurs sur quatre investissent plus de 10% de leur CA en R&D (plus de 20% pour 43% des éditeurs interrogés). Enfin, 62% des éditeurs prévoient de recruter cette année (12% de plus qu'en 2006). Selon l'enquête du Syntec Informatique, une entreprise sur deux recrutera entre 1 et 5 collaborateurs supplémentaires en 2007, représentant une augmentation significative des emplois du secteur puisque 86% de ces éditeurs comptent moins de 50 personnes. Première inquiétude : les profils les plus recherchés par les éditeurs partent en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis Selon le Syntec Informatique, « les difficultés de recrutement sont une préoccupation majeure des dirigeants interrogés, qui se heurtent à de multiples tensions sur le marché de l'emploi en France dans les domaines IT. Concernant les profils techniques, les responsables évoquent la rareté des développeurs ayant à la fois la connaissance de Java ou DotNet et un minimum d'expérience, malgré un excellent dispositif de formation initiale. Ils déclarent également être pénalisés par l'expatriation croissante des compétences pointues qu'ils recherchent, la Grande Bretagne et les Etats-Unis étant les principaux pôles d'attraction. » Les raisons de ce désamour des talents sont nombreuses : meilleur salaire, meilleures perspectives de carrière, évolution plus rapide, responsabilités plus importantes, meilleures conditions de travail ou prestige de l'entreprise en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis. « Le facteur culturel est lourdement mis en avant : pour les diplômés des grandes écoles, une carrière d'ingénieur commercial en SSII ou chez un éditeur, pourtant riche et prestigieuse dans la pratique, souffre d'une mauvaise image. Ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays francophones comme le Maghreb ou le Canada », insiste le Syntec Informatique. Cet aveu des conditions de travail qui sont sans doute plus favorables à l'extérieur de la France, devrait être analysé par toutes les entreprises qui souhaitent embaucher, afin de renforcer leur attractivité en vue de faire revenir les profils recherchés. Cette pénurie sectorielle pourrait également favoriser la formation d'informaticiens au chômage ou, pour ceux en poste, les promotions internes, notamment par le biais des formations continues. Deuxième inquiétude : le CA réalisé à l'étranger ne décolle pas Autre ombre au tableau : de sérieux manques à l'étranger qui pourraient ralentir le développement de l'activité à moyen et long terme. En effet, dans un secteur aussi concurrentiel que l'édition logicielle, l'activité à l'international qui croît moins rapidement que l'activité globale (notamment pour les petits acteurs) s'avère handicapante car elle génère un risque de rachat par des acteurs mieux implantés. En outre, malgré de bons investissements en R&D, la pro-activité sur le secteur est une condition sine qua non pour éviter l'obsolescence qui mène inévitablement à la disparition. Une présence à l'international est indispensable pour les retours « terrains » des évolutions continuelles du marché. L'importance de l'investissement nécessaire en temps et en ressources est cité comme principal frein à l'expansion internationale. Les éditeurs préconisent donc des mécanismes de mutualisation de ressources entre eux ou de s'adosser à des entreprises disposant déjà d'infrastructures à l'international, en vue d'attaquer les marchés étrangers. Il leur reste à aller au bout de leur raisonnement en discutant des modalités pour mener au plus vite ce dessein et en jouant la carte collaborative pour ne pas se retrouver esseulés. (...)
(01/06/2007 17:47:43)Fedora 7, un avant-goût de Red Hat Enterprise Linux
De Fedora 6 à Fedora 7, Red Hat a abandonné le Core du nom. Plus qu'un simple changement d'appellation, il s'agit d'une nouvelle façon de développer sa distribution Linux avec la communauté. Jusqu'à Fedora Core 6, seuls les développeurs de Red Hat pouvait modifier le coeur du système d'exploitation, la communauté de développeurs extérieurs se contentant des « extras ». Avec Fedora 7, cette séparation a disparu. « C'est un changement fondamental dans la façon dont nous construisons Fedora, ce qui conduira à un meilleur Red Hat Enterprise Linux avec le temps », promet Greg DeKoenigsberg, responsable de la communauté de développeurs chez Red Hat. « Fedora représente le devenir de Red Hat Enterprise Linux, c'est la plate-forme sur laquelle la société continuera à tester de nouvelles fonctions pour les inclure ensuite dans ses produits Linux pour entreprises », précise Max Spevak, le chef de projet Fedora chez Red Hat. Et parmi les nouvelles fonctionnalités, on retrouve notamment deux outils de virtualisation, KVM (Kernel Virtual Manager) et Qemu, qui viennent s'ajouter à Xen. L'ensemble étant pilotable à partir d'une seule interface graphique. (...)
(01/06/2007 17:20:44)Software AG retient le nom WebMethods pour sa gamme SOA
Le rachat de WebMethods par Software AG est officialisé, pour 546 M$. L'éditeur allemand a donc donné quelques détails sur la suite des événements. Tout d'abord, la gamme middleware SOA (Architectures orientées service) de Software AG, Crossvision, va abandonner son nom au profit de celui de WebMethods. Ensuite, Software AG cessera de revendre la solution de BPM (Business process management, gestion des processus métier) de Fujitsu, dans la mesure où WebMethods dispose d'un outil de ce type. L'éditeur s'engage néanmoins à assurer le support du produit pendant cinq ans. Peter Kürpick, responsable de la R&D de Software AG, espère pouvoir fusionner les outils de gouvernance SOA (Centrasite chez Software AG, et l'offre d'Infravio chez WebMethods) d'ici à la fin de l'année. Les autres gammes sont complémentaires et il n'y aura donc pas besoin de migrer d'un produit à l'autre, a promis Peter Kürpick. (...)
(01/06/2007 17:19:01)Salesforce et Google sur le point d'annoncer un partenariat
Salesforce et Google s'apprêtent à dévoiler un partenariat. Une conférence a été programmée par Salesforce pour mardi 05 juin prochain au cours de laquelle Lindsey Armstrong, co-presidente de l'éditeur pour la région EMEA (Europe, Middle East, Africa), fera une annonce stratégique avec « un acteur Internet majeur basé près de San Francisco ». La semaine dernière, le Wall Street Journal du 21 mai avait déjà évoqué des discussions entre Salesforce et Google au sujet d'une possible alliance autour des applications en ligne que proposent les deux fournisseurs : solutions de gestion de la relation client (GRC) pour Salesforce, et pour Google, logiciels bureautiques (les Google Apps), de messagerie et d'analyse de connexions Web. (...)
(01/06/2007 17:17:01)13,5 millions d'abonnés au haut débit en France au premier trimestre
Selon l'Autorité de régulation des télécommunications électroniques et des postes (Arcep), le nombre d'abonnés à Internet à haut débit a progressé de 800 000 clients (+6,3%) au premier trimestre 2007. D'une année à l'autre, la hausse atteint 29%. La France comptait alors au 31 mars dernier 13,5 millions d'utilisateurs, dont 12,8 millions d'abonnements ADSL. Près de 6,55 millions d'accès haut débit étaient, à cette date, loués par France Télécom aux opérateurs alternatifs. Dégroupage total et ADSL nu tirent la croissance Plus précisément, la France (métropole et départements d'outre-mer) recensait 4,31 millions d'accès dégroupés (+ 389 000). Les offres de dégroupage total, permettant aux clients d'opérateurs alternatifs de s'affranchir de l'abonnement à France Télécom, comptent 445 000 accès supplémentaires, à 2,55 millions. De plus, le nombre d'abonnés à l'offre «ADSL nu» de l'opérateur historique a plus que doublé : près de 500 000 clients installés dans les zones non dégroupées ont opté pour cette solution. En revanche, le nombre d'abonnés dégroupés partiellement chute de 56 000, à 1,75 millions d'accès. 62% des foyers éligibles au dégroupage Dans son rapport, l'Arcep indique que la zone de couverture s'étend d'environ 100 nouveaux sites par mois, soit 200 000 nouveaux foyers. Au 31 mars, 2053 répartiteurs étaient dégroupés par les opérateurs alternatifs. Globalement, le régulateur estime que le taux de couverture effective du haut débit DSL est compris entre 91% et 98%. (...)
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