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(01/06/2007 16:48:11)

Steve Jobs et Bill Gates ensemble pour raconter leurs souvenirs

Pour Steve Jobs, l'enfer, c'est Windows. Après le recours à cette métaphore humoristique, le patron d'Apple a fini par rencontrer sur scène le fondateur de Microsoft. Steve Jobs et Bill Gates ont en effet accepté l'invitation du Wall Street Journal, qui organisait une conférence sur les nouvelles technologies à San Francisco, la D : All Things Digital Conference. Hier matin, dans une session animée par un éditorialiste du Wall Street, Walt Mossberg, Steve Jobs s'est félicité d'avoir distribué plus de 300 millions d'exemplaires de son logiciel iTunes. « Ce qui fait de vous un énorme développeur de logiciels Windows », l'a taquiné Walt Mossberg. « Comment ressentez-vous cela », l'a-t-il alors interrogé. « Nous recevons du courrier de beaucoup de gens disant qu'iTunes est leur application favorite sur Windows. » Marquant une légère pause, le temps d'un haussement d'épaules et d'un sourire, Steve Jobs a enchaîné : « C'est comme donner un verre d'eau à quelqu'un en enfer. » Plus tard dans la journée, Bill Gates et Steve Jobs se sont rejoints sur scène, un événement rare. Leur venue a d'ailleurs été précédée par des vidéos des rencontres passées, en 1984, 1991 et 1997. Les deux hommes sont ensuite entrés chacun à un bout de la scène. Et Kara Swisher, collègue de Walt Mossberg, a lancé la discussion en demandant à chacun de définir la contribution de l'autre à l'industrie informatique. « Bill a construit le premier éditeur de logiciels de l'industrie, a entamé Steve Jobs. Et je crois qu'il l'a fait avant que quiconque dans l'industrie ne sache ce qu'était un éditeur de logiciels, et cela, c'est énorme. Et le modèle économique qu'ils ont fini par adopter a fini par fonctionner plutôt bien. » Le retour de Steve Jobs a marqué le retour de la coopétition « Ce que Steve a fait est phénoménal, a répliqué Bill Gates. 1977, l'Apple II, l'idée que ce serait une machine pour le grand public, et un incroyable outil [...]. Et le Macintosh, c'était tellement risqué. [...] D'une certaine façon, nous construisons les produits que nous avons envie d'utiliser. Il a vraiment poursuivi ce but avec une élégance et un goût qui ont eu un impact énorme sur l'industrie. Apple était littéralement en train de faillir quand Steve est revenu et a insufflé de l'innovation et un goût du risque qui ont été phénoménaux. Donc l'industrie a bénéficié immensément de son travail. » Bill Gates et Steve Jobs ont ensuite raconté leurs débuts, la façon dont le premier a vendu au second un langage Basic capable d'effectuer les calculs en virgule flottante, le pari qu'ils ont fait sur les interfaces graphiques - et comment ce pari a payé, a expliqué Bill Gates, quand les ordinateurs ont commencé à être équipés de processeurs 386. Les deux se sont ensuite attardés sur la « coopétition » (à mi-chemin entre compétition et coopération) entre les deux entreprises. Steve Jobs a ainsi rappelé que lorsqu'il est revenu prendre les commandes d'Apple en 1997, beaucoup de dirigeants d'alors pensaient que la réussite d'Apple se ferait obligatoirement au détriment de Microsoft. Décidé à remettre la société sur les rails, Steve Jobs a pris la décision d'appeler Bill Gates pour essayer d'arranger les choses. C'est depuis ce jour, a repris Bill Gates, que Microsoft a une équipe qui se consacre au développement d'applications pour le Mac, un « gros business » pour Microsoft. [[page]] Alors que Walt Mossberg insistait sur le fait que Microsoft et Apple sont sans cesse en compétition (Zune contre iPod, Vista contre MacOS X, etc.), Steve Jobs a tenu à souligner que son but premier était de concurrencer des fabricants japonais de matériels. La grande différence, a-t-il expliqué, résidant dans le logiciel animant ces matériels. « Le grand secret d'Apple, c'est que nous nous voyons comme un éditeur de logiciels. Il n'y en a plus tant que ça. Microsoft en est un. » L'avenir appartiendrait aux clients riches en fonctionnalités Les deux compères sont enfin tombés d'accord sur le futur des ordinateurs. Bill Gates a longtemps combattu l'idée qu'un terminal puisse suffire, préconisant plutôt un poste client puissant (« client lourd », disent les adeptes du client léger). Le futur, selon lui, est à un poste « riches en fonctionnalités locales », mais sachant aussi utiliser la richesse de fonctions disponibles ailleurs. Steve Jobs a abondé dans son sens, prenant l'exemple du futur iPhone (attendu fin juin), qui permettra d'utiliser les services de Google Maps. « L'expérience utilisateur est incroyable, bien meilleure que sur un ordinateur. Et cette application cliente est le résultat de beaucoup de technologie sur le poste client. Vous ne pouvez pas faire tout ça dans un navigateur. » Pour lui comme pour Bill Gates, l'avenir n'appartient pas à un type d'appareil en particulier : les utilisateurs auront un ordinateur et plusieurs outils « post-PC » plus spécialisés. Le public a pu poser quelques questions à la fin de la session. Interrogé sur ce que chacun pouvait envier chez l'autre, Bill Gates a cité chez Steve Jobs « le goût intuitif, à la fois pour les gens et les produits ». Tandis que Steve Jobs a dit regretter que lui et Steve Wozniak n'aient pas appris plus tôt, à la création d'Apple, à nouer des partenariats comme Microsoft avait su le faire. « Si Apple avait eu ça dans son ADN, cela nous aurait vraiment bien servi. Mais Apple ne l'a appris qu'une vingtaine d'années plus tard. » (...)

(01/06/2007 16:24:07)

Atos Origin perd son numéro deux

Après 14 ans au sein d'Atos Origin, passés à assumer des responsabilités de direction, Dominique Illien, membre du directoire et responsable d'Atos pour la France, l'Allemagne, l'Europe Centrale, l'Italie, l'Espagne et autres pays d'Europe du Sud, l'Amérique Latine et également l'Afrique, a décidé de quitter le groupe. Etant par ailleurs en charge de la coordination des activités d'infogérance de l'entreprise, à l'échelle mondiale, il sera appelé à « poursuivre de nouvelles opportunités », a indiqué la société de services dans un communiqué, sans pour autant fournir d'indication sur son éventuel successeur. « Je souhaite remercier Dominique pour tous ses efforts et son dévouement au groupe et je lui adresse personnellement tous mes voeux de réussite dans le déroulement de ses activités », a déclaré Bernard Bourigeaud, président du directoire d'Atos Origin, à l'occasion de cette annonce. Le départ de Dominique Illien intervient peu après le vote des résolutions concernant les modalités de départ de deux autres membres du directoire : Xavier Flinois, responsable Grande-Bretagne, Amériques, Asie-Pacifique (et Jeux Olympiques) et Giovanni Linari, en charge de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal, de l'Europe du Sud et de l'Afrique. D'après notre confrère Les Echos, sa position de favori pour le remplacement de Bernard Bourigeaud aurait été remise en question par l'arrivée, en décembre dernier, de l'ex-directeur général d'Alcatel Philippe Germond, nommé directeur des régions Asie-Pacifique et Amérique du nord, d'Atos Worldline, et également responsable du plan de transformation des ventes, marchés et grands clients, sur le plan mondial. Dominique Illien a démarré sa carrière au sein du cabinet Deloitte & Touche, puis a travaillé onze ans chez Cap Gemini, avant de rejoindre Axime (devenue Atos) en 1993 en tant que directeur financier. En novembre 1995, il est nommé directeur général de Sligos et, après la fusion d'Axime et de Sligos qui donne naissance à Atos en 1996, il prend la direction générale du groupe. (...)

(01/06/2007 16:07:52)

Cognos développe l'accès aux rapports depuis un Blackberry ou à partir d'Excel

Cognos pousse la consultation de rapports vers la mobilité. L'éditeur de solutions décisionnelles rend disponible Cognos 8 Go! Mobile, un outil permettant de visualiser les rendus d'analyses à partir d'un assistant numérique BlackBerry. Une application qui vient compléter son arsenal d'outils de rendu : l'éditeur avait récemment permis avec Cognos 8 Go! Consumer de consulter les rapports dans des interfaces plus familières, telles une application bureautique MS Office, un navigateur Web ou un moteur de recherche. Certes, la taille réduite de l'écran ne permet pas de bénéficier d'une lecture très confortable, mais elle sera suffisante à un utilisateur pour relire la dizaine de rapports qu'il consulte le plus régulièrement. « D'ici la fin 2007, nous proposerons des solutions équivalentes pour les plateformes Windows Mobile et Symbian », précise Olivier Derrien, président de Cognos France. Si cette solution mobile cible en premier lieu la base installée de Cognos, elle semble aussi susciter l'intérêt de nouveaux clients, notamment de PME françaises exportatrices qui souhaitent équiper des collaborateurs distants et mobiles. Go! Mobile revient à environ 30 000 € HT pour 25 utilisateurs. Construire des rapports depuis Excel L'éditeur annonce par ailleurs la livraison, au second semestre de cette année, d'une nouvelle fonction pour analyser les données à partir d'Excel. On pouvait jusqu'à présent, à partir de cette interface, consulter des rapports déjà créés. Avec Cognos 8 BI Analysis for Microsoft Excel, on pourra aussi préparer un rapport directement depuis le tableur. « Nous visons en premier lieu les contrôleurs de gestion avec cet outil », indique Olivier Derrien. Le président de la filiale française en profite pour rappeler que Cognos dispose depuis un certain temps d'une offre de planification budgétaire, Cognos Planning, déjà intégrée à sa plateforme. Alors que ses principaux concurrents viennent tout juste d'effectuer des rachats dans ce domaine (gestion de la performance économique, en anglais CPM) et qu'ils leur restent encore à intégrer ces acquisitions dans leur plateforme décisionnelle. (...)

(01/06/2007 15:34:04)

Indiana va faciliter l'utilisation d'OpenSolaris, selon Sun

Issu des rêves de Ian Murdock, fondateur de Debian et nouvelle recrue de Sun, le projet Indiana prend forme. Et le constructeur livre peu à peu comment son projet pourrait contribuer à l'adoption d'OpenSolaris. Selon le programmeur Glynn Foster, sur la mailing-list interne d'Indiana : « Ce projet propose de créer une distribution binaire d'OpenSolaris avec le but, à long terme, d'en augmenter la base d'utilisateurs, et d'augmenter sa 'part de marché' en fournissant un accès simplifié à la technologie développée par la communauté. En effet, si les développeurs savent transformer du code source en binaire directement exécutable par un ordinateur, ce n'est pas le cas des utilisateurs ordinaires. En passant par une distribution binaire - Indiana - , OpenSolaris se rapproche des distributions Linux directement utilisables par n'importe qui. Indiana tiendra sur un CD (soit 800 Mo au maximum) et sera mis à jour tous les six mois. (...)

(01/06/2007 15:18:30)

Un champion du pourriel sous les verrous

Robert Alan Soloway, 27 ans, plaide non coupable. Considéré comme l'un des spammeurs les plus prolifiques au monde, il vient juste d'être arrêté à Seattle. Cet Américain, qui disputait âprement sa notoriété parmi tous ces Russes et autres étrangers, avait pour spécialité de vendre un logiciel d'émission de pourriels. Déjà condamné dans deux procès, dont l'un à l'initiative de Microsoft en tant que propriétaire de MSN et de Hotmail, Robert Soloway à l'insigne honneur d'inaugurer des poursuites sous une nouvelle loi fédérale. Il risque de devoir rembourser plus de 770 000 $ indûment gagné, payer 250 000 $ d'amende et passer jusqu'à 65 ans en prison. Les optimistes parlent de procès exemplaire, tous les autres d'une goutte d'eau dans l'océan des 70 milliards de pourriels émis chaque jour. (...)

(01/06/2007 12:30:20)

Developer Day : Google prône le mashup comme modèle de développement

A l'occasion des Developer Day, Google a évangélisé le principe du mashup comme approche de développement. Pour mémoire, un mashup réunit plusieurs services en ligne pour composer une unique application. "Cette méthode devient un modèle pour nombre de développeurs", a précisé Jeff Huber, vice-président de l'ingénierie chez Google, en indiquant qu'elle pouvait diviser par 10 les temps de développements. Pour soutenir ses propos, Huber a dévoilé deux produits de la marque: Google Mashup Editor permet la création en ligne de mashups en alignant quelques simples lignes de XML. Et Google Mapplets, quant à eux, sont une séries de mini-applications (appelées également gadgets) qui se greffent à Google Maps pour manipuler les cartes de l'application. Hier, jeudi 31 mai, Google dévoilait une version bêta de Gears, une technologie qui permet d'exploiter les applications en ligne en mode déconnecté, sur le desktop. Notons par ailleurs que Microsoft a récemment publié une version de test de Popfly, un éditeur en ligne réservé aux non-informaticiens et destiné à la création de mashups, par de simples cliquer-déposer. A lire sur le sujet, notre dossier : Google : un an d'acquisitions stratégiques (...)

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