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(31/05/2007 18:03:13)
Après Dubaï, IBM inaugure un second centre mondial d'expertise SOA sur la Côte d'Azur
« Dans les deux ans à venir, 50% des projets de transformation des systèmes d'information qu'assisteront les équipes d'IBM Global Business Services au niveau mondial vont reposer sur une approche SOA», avance Philippe Hedde, directeur général de cette entité GBS pour IBM France, reprenant en cela les propos de l'état-major de la société. C'est dire l'importance que prend, à ses yeux, le choix de la compagnie de fixer en France l'un des deux centres d'expertise servant de tête de pont pour les opérations sur ce terrain. Et pas seulement pour l'Europe. A La Gaude, dans l'arrière-pays niçois, la vitrine et les « démos » sont prêtes. De même que les équipes d'architectes, habituées (depuis la transformation d'une partie du centre de R&D en « e-business Solution Center » qui date de 2000) à recevoir les équipes projets d'entreprises du monde entier (80% d'Europe, 10% Amérique du Nord, 10% Asie) pour des prototypages de projets mêlant problématiques d'infrastructures et d'applicatifs. De l'avis des troupes françaises, pour l'heure, la reprise des investissements pour la refonte des systèmes d'information ou le lancement de projets ex-nihilo SOA en est encore à ses frémissements : moins de 10% des projets accompagnés et des revenus d'IBM GBS de ce côté-ci de l'Atlantique. Sachant que, selon une étude auprès des dirigeants de 250 entreprises (IBM Global CEO Survey, 2006), pour 56% des directions informatiques, le manque de compétences est l'inhibiteur numéro 1 dans l'adoption d'une démarche SOA, le fonctionnement de ce centre d'expertise mondial mise sur la complicité implicite entre entreprises clientes, pionnières de la démarche SOA, et les experts des diverses entités d'IBM (IBM GBS, pour le conseil et les études, IBM GTS pour les aspects techniques, infrastructures, outsourcing, maintenance, IBM Software pour l'expertise autour des technologies revampées SOA) mais aussi, le cas échéant, avec les fournisseurs et intégrateurs partenaires. Et l'exemplarité de certains projets d'ores et déjà bouclés (dans le domaine bancaire) ou en préparation (dans le secteur santé) permet d'exploiter une certaine verticalisation des démos et de l'offre de services (par secteur d'activité, par métier, donc par brique de services, de web services, pour certains avec « appliances » à l'appui). Pour l'heure, la demande se situe surtout en termes de mise au point de feuille de route avec les équipes projets. Par quoi commencer, dès lors que l'on s'intéresse à l'apport de l'orienté services? Avec un petit semestre de recul, Jean-Michel Corrieu, responsable du centre SOA de la Gaude depuis janvier 2007, constate que cette demande est plus avancée dans les secteurs de l'assurance (en quête d'agilité pour la mise sur le marché de nouveaux produits), dans le domaine de l'énergie (systèmes d'information dans les coulisses des réseaux de transport intelligents), chez certains grands industriels (automobile, aéronautique avec l'extension du PLM, gestion du cycle de vie du produit), mais aussi face à des problématiques plus génériques (contrôle de l'usurpation d'identité, par exemple). Pour Olivier Chaffard Luçon, directeur de l'entité IBM Software France, le mouvement est bel et bien lancé, avec une croissance (au niveau mondial) de 42% assurée autour des produits revus et « taggés SOA », soit trois fois plus forte que la progression des revenus logiciels de la société. « Pour le volet services et infrastructures, ce qui relève d'IBM GTS ou des intégrateurs, la percée de l'approche SOA est plus difficile à mesurer, sachant qu'un projet SOA s'appuyant sur un existant n'implique pas forcément rupture », explique Olivier Bérard, architecte senior de IBM GTS. Quoi qu'il en soit, pour le centre de La Gaude, l'accompagnement proposé aux équipes des entreprises clientes se concrétise en trois étapes : une journée de « briefing » (débroussaillage de la question) avec des experts ; un atelier de préparation de la feuille de route (un ou deux jours), un atelier de prototypage (Business Pilot) de 3 à 4 jours. Les trois étapes rapprochant, à divers degrés mais systématiquement, les aspects fonctionnels (et les représentants des métiers concernés) et les aspects techniques (évaluation de la prise de risque). (...)
(31/05/2007 17:53:07)Reconnaissance faciale : les ordinateurs dépassent l'oeil humain
L'agence fédérale américaine, le NIST (National Institute of Standards and Technology) vient de présenter les résultats de son comparatif, Face Recognition Grand Challenge 2006, qui regroupent des logiciels de reconnaissance faciales et d'analyse d'iris. Et les résultats sont impressionnants. La qualité des logiciels testés a décuplé depuis l'ancien comparatif en 2002 et a été multipliée par 100 depuis celui de 1995. Et selon la NIST, six des sept algorithmes testés se sont révélés meilleurs que l'oeil humain : ceux de Neven Vision (récemment acheté par Google), Viisage, Cognitec, Identix, Samsung et de l'universite de Tsinhua en Chine. Pour Jonathan Phillips, responsable du programme de tests pour le NIST, ce succès s'explique par la combinaison d'images fixes de haute définition et le développement d'algorithmes en 3D : « Pour les tests 2006, des photos haute définition de visages, des scans 3D et des images d'iris ont été prises pour les mêmes personnes. Pour la première fois, nous avons mesuré la performance de six algorithmes 3D. Or, l'image 3D permet de capturer directement des informations concernant la forme et la profondeur du visage. » Comme la forme des orbites, du nez ou du menton, les parties où la chair est plus importante et qui évoluent le plus avec le temps. De plus, « un changement dans la luminosité peut générer des erreurs sur des images fixes, ce changement n'affecte pas les scans 3D, » précise Jonathon Phillips. Mais si les logiciels sont devenus meilleurs que les humains, c'est avant tout parce que ces derniers savent parfaitement distinguer leurs proches, et moins les visages inconnus. (...)
(31/05/2007 17:43:54)Motorola et IBM coupent une nouvelle fois dans leurs effectifs
Motorola a annoncé mercredi la suppression de 4 000 emplois supplémentaires, portant le total des réductions de postes en 2007 à 11% de ses effectifs (66 000 salariés fin 2006). Déjà, 3 500 suppressions d'emplois avait été programmées pour le premier semestre. Ces mauvaises nouvelles résultent d'une dégradation de la compétitivité de Motorola face à son concurrent Nokia. Les économies liées à ce nouveau plan de restructuration, conjuguées à d'autres mesures de rationalisation, devraient permettre au groupe d'économiser 600 millions de dollars par an à partir de 2008. IBM a également annoncé 1 570 réductions de postes aux Etats-Unis, dans son unité de services, soit 3 700 suppressions réalisées depuis le début de l'année. Le géant américain, qui pourrait réduire sa voilure de 12 000 postes dans le monde, sur l'ensemble de l'année, aurait parallèlement recruté 19 000 collaborateurs. Une politique liée au transfert accéléré du personnel du groupe dans les pays dits à bas coût. (...)
(31/05/2007 17:28:10)Cegid ouvre sa plate-forme de PGI aux éditeurs indépendants
Sous le nom de Cegid Business Studio, Cegid proposait déjà sa plateforme de développement de PGI (progiciels de gestion intégrés) à ses partenaires revendeurs et à ses clients grands comptes, afin qu'ils puissent ajouter des modules spécifiques ou métiers à leurs applications. Désormais, l'éditeur lyonnais ouvre également cette plateforme aux éditeurs indépendants qui veulent redévelopper la solution qu'ils commercialisent. Avec Cegid Business Platform, ils pourront bénéficier des nouvelles technologies tout en s'appuyant sur des briques fonctionnelles de gestion déjà prêtes : comptabilité/finance, achats/ventes/stocks, production, gestion de la relation client, (GRC), paye et gestion des ressources humaines. « Les mouvements de consolidation que l'on constate en ce moment sur le marché résultent principalement des coûts élevés de recherche et développement, rappelle Christophe Raymond, directeur technique de Cegid. Les plus petites structures ont du mal à absorber les ruptures technologiques. De nombreux éditeurs de niche ont actuellement un produit qui demande à être réécrit parce qu'ils n'ont pas pu suivre les évolutions successives : services Web, architecture multi-niveaux, client léger, client riche, Web 2.0... Toutes avancées que nous avons intégrées à notre plate-forme, les dernières en date étant la prise en compte de Windows Vista et de MS Office 2007 qui constituent de véritables révolutions. » En s'appuyant sur Cegid Business Platform, les petits éditeurs pourront se focaliser sur la mise au point des fonctions métiers dont ils ont l'expertise. L'une des grandes nouveautés de cette annonce, c'est que Cegid est donc prêt à faire profiter de son propre environnement de développement des acteurs qu'il pouvait considérer jusque-là comme des concurrents, même s'ils restent cantonnés sur des marchés verticaux. « Ces éditeurs auront les mêmes avantages que nous et accéderont comme l'ensemble de nos partenaires aux prochaines avancées technologiques que nous intégreront à notre plateforme ». Une ouverture qui s'étend aux éditeurs étrangers puisqu'elle va permettre de verticaliser l'offre de Cegid en Chine, ainsi qu'au Canada pour attaquer des marchés de niche. Une plateforme agnostique Outre les fonctions de gestion de base, Cegid Business Platform apporte des outils de développement, de design, de création de schémas de base de données, de gestion des règles métiers, de workflow, de reporting, de cubes décisionnels, de gestion documentaire et de travail collaboratif (dans le cadre d'une solution de portail). Les solutions développées peuvent convenir à diverses tailles d'entreprise, de la TPE à la grande PME. Cegid dit sa plateforme « agnostique » puisque qu'elle permet d'intégrer nativement plusieurs suites bureautiques du marché (Microsoft Office mais aussi Open Office, Star Office ou encore IBM Lotus Domino) et supporte les principaux systèmes d'exploitation et bases de données (Windows, Unix... Oracle, SQL Server, DB2...). « Elle permet aux partenaires et aux éditeurs de se concentrer sur le développement de fonctions verticales, » résume Christophe Raymond. Un schéma que l'on retrouve chez Cegid lui-même puisque sur les 450 personnes travaillant dans son département R&D, 350 se consacrent aux déclinaisons métiers de ses offres. (...)
(31/05/2007 17:15:48)La croissance de Windows Server plus rapide que celle de Linux
Au dernier trimestre, alors que les ventes de serveurs sous Unix stagnaient en valeur (+0,5%), celles sous Windows (+10,4% à 4,8 Md$) augmentaient plus vite que celles sous Linux (+10%)- source IDC. Même si l'écart est infime, il stigmatise le premier renversement de tendance depuis 1998. Aujourd'hui, Windows Server s'accapare plus de 35% d'un marché des serveurs qui pèse 55 Md$. Le parcours réalisé depuis 1996, lorsque Windows NT pesait moins de 20% d'un marché bien plus petit, est conséquent. Si l'on ajoute à la réussite de Windows Server celle de Linux, dont l'écrasante majorité des installations se font sur des machines X86, l'autre grand vainqueur est bien cette architecture machine qui pousse les autres processeurs à la marginalisation. Parmi eux - ironie de l'histoire- l'Itanium d'Intel est le plus mal placé... Autour de Windows Server, Microsoft a déployé toute une palette d'outils (SGBD, middleware, outils de développement) sur le succès desquels l'éditeur bâtit aujourd'hui son offensive dans le domaine des PGI et du GRC. A se demander si Microsoft, dont l'offre client (Vista + Office 2007) est confrontée à une résistance inhabituelle, ne va devoir son second souffle à son offre pour l'infrastructure et les applicatifs d'entreprise. (...)
(31/05/2007 16:24:29)Fort de ses résultats, BMC s'offre ProactiveNet
Résultats 2007 non audités : Chiffre d'affaires : 1,58 Md$ (+5,5%) Bénéfice net : 216 M$ (+112%) Le BSM semble réussir à BMC. Totalement engagé dans le Business Service Management, dont le but est d'optimiser le fonctionnement de la production informatique en fonction des priorités métier, BMC dit enregistrer les fruits de son positionnement : l'éditeur termine son exercice 2007 sur un chiffre d'affaires en hausse de 5,5% à 1,58 Md$, et estime que ses ventes de licences de produits BSM ont crû de 25%. Dans le même temps, la marge opérationnelle a grimpé de 9% à 13%. L'annonce de ces bons résultats s'accompagne de celle du rachat de ProactiveNet, qui édite un outil d'analyse prédictive concernant le comportement des applications : ses capacités de détection et de corrélation d'événements viendront donc enrichir l'offre BSM de BMC, qui cherche à proposer des éléments différentiateurs par rapport à CA, HP et IBM. Le rachat, pour un montant non dévoilé, devrait être finalisé d'ici un mois. (...)
(31/05/2007 16:04:14)La Cnil lance la phase d'essai du dossier pharmaceutique en ligne
Alors que le dossier médical personnel devrait voir le jour en 2008, la Cnil vient d'autoriser l'ordre des pharmaciens à expérimenter pendant six mois le dossier pharmaceutique. A l'instar du DMP, le projet ayant reçu le feu vert de l'autorité administrative indépendante consiste en un partage d'informations en ligne. En l'espèce, il consiste à permettre aux pharmaciens d'échanger des données relatives à la délivrance de médicaments, afin d'éviter des interactions malheureuses. Les officines de six départements participeront à l'expérimentation : Doubs, Meurthe-et-Moselle, Nièvre, Pas-de-Calais, Rhône et Seine-Maritime. Au-delà de la finalité pratique du dossier pharmaceutique, la phase de test servira essentiellement à juger du bon fonctionnement technique des plateformes mises en place - par un prestataire privé, dont l'identité n'a pas été communiquée - et à jauger l'accueil fait à l'outil par les pharmaciens et les patients. La Cnil - qui a récemment soulevé des problèmes de sécurité relatifs au DMP - entend entourer le dossier pharmaceutique de multiples précautions. En premier lieu, le patient aura le choix d'ouvrir, ou non, un dossier. Une décision qui ne fera peser aucune conséquence sur les remboursements ultérieurs. De même, le titulaire d'un dossier pourra choisir, à tout moment, de le supprimer. Si les pharmaciens seront les seuls à être habilités à alimenter les dossiers (via leur carte professionnelle et la carte Vitale du patient), ce dernier aura l'opportunité de consulter les informations qui le concernent dans n'importe quelle officine. Il aura aussi le loisir de refuser l'inscription d'une donnée dans son dossier. Enfin, la Cnil insiste pour que les dossiers pharmaceutiques détenus par l'hébergeur soient cryptés. Le coût du projet est estimé à 20 M€, dont un cinquième sera à la charge des pharmaciens. A terme, les données contenues dans le dossier pharmaceutique devraient être versées au DMP. (...)
(31/05/2007 15:48:25)Bull ouvre un centre de formation à Massy
Après avoir récemment créé un espace de formation à Paris, situé à quelques minutes de la place d'Italie, Bull ouvre un nouveau centre d'expertise à Massy, au sud de Paris. Inauguré aujourd'hui en présence de Didier Lamouche, PDG du fournisseur pour la France, de Patrick Semlob, directeur de Bull Formation, et de Vincent Delahaye, maire de Massy, l'Open Campus, rassemble, sur une surface de 3 000 m2, 400 stations de travail, 35 plateformes de travaux pratiques et une salle de conférence. Avec plus de 450 stages inter-entreprises, les formations dispensées à l'Open Campus couvrent huit grands domaines de compétences techniques : le développement sur Internet (Eclipse, Java, Perl...), l'Open Source et Linux (Perl, Tomcat, JonAS, Jboss...), les technologies Microsoft (Visual Studio 2005, Exchange Server, SharePoint Portal Server...), les systèmes d'exploitation AIX, la business intelligence et les bases de données (Oraccle, SQL, Datastage, Jasper,etc.), la sécurité/réseaux/stockage, le management du système d'information, et les environnements Bull (serveurs Novascale, GCOS). Dispensées par une centaine de consultants et d'experts, ces formations sont certifiées ISO 9001. Elles sont évaluées à tous les échelons du processus : en amont, lors du déroulement du cursus, et à son issue, grâce à une valorisation des résultats et une mesure d'impact. (...)
(31/05/2007 15:33:24)SAP s'offre un directeur technique
Un peu plus d'un mois après le départ soudain de Shai Agassi du poste de président du groupe technologie et produit, SAP crée le poste de CTO (Chief Technology Officer, directeur technique) qui est confié à Vishal Sikka. Ce dernier était auparavant vice-président architecture et Chief Software architect. Contrairement à Shai Agassi qui supervisait directement tout le développement produit, Vishal Sikka aura surtout un rôle de coordination et de supervision. Il travaillera avec un conseil exécutif, lui aussi créé à la suite du départ de Shai Agassi, et qui regroupe tous les responsables en charge des différentes lignes de produits. (...)
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