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(18/05/2007 16:06:28)

Publicité en ligne : Microsoft se paye aQuantive pour 6 Md$

Quand Microsoft décide de refaire une partie de son retard sur Google sur le terrain de la publicité en ligne, il s'en donne les moyens. En témoigne l'acquisition que le géant du logiciel vient d'annoncer : le groupe de Redmond déboursera 6 Md$ pour mettre la main sur aQuantive, l'un des principaux acteurs de l'e-marketing américain. Une opération qui valorise l'action de la cible à 85% au-dessus de sa dernière cotation. aQuantive, qui compte 2600 salariés, sera intégré dans la division des services online de Microsoft dans le but de voir progresser les rentrées publicitaires issues du portail MSN, des services Windows Live, de la plateforme Xbox Live et d'Office Live. L'acquisition ouvre également les portes de nouvelles formes de publicité à Microsoft, notamment dans le secteur de la VoD (video on demand) et de la télévision sur IP. A travers ses solutions Avenue A Razorfish, Atlas et Drive, aQuantive maîtrise l'ensemble de la chaîne publicitaire, de la vente et l'achat d'espace à la gestion de campagnes. Adtech, DoubleClick et Right Media déjà rachetés L'initiative de Microsoft s'inscrit dans la foulée d'opérations de grande envergure intervenues au cours des dernières semaines dans le domaine de la publicité en ligne. Le 16 mai, AOL se payait Adtech, l'éditeur allemand d'un outil de gestion des campagnes. Mi avril, Google dépensait 3,1 Md$ pour mettre la main sur la régie publicitaire DoubleClick, coiffant sur le poteau Microsoft, également candidat au rachat. Toujours en avril, c'était au tour de Yahoo de procéder à une acquisition : la cible, Right Media, est spécialisée dans la vente d'e-réclame. (...)

(18/05/2007 15:17:48)

Gouvernement Fillon : les défis IT qui attendent les promus

Le premier gouvernement Fillon vient d'être officiellement désigné. Lemondeinformatique.fr dresse la liste des projets IT qui attendent quelques-uns des (pas toujours) nouveaux venus. Alain Juppé : ministre de l'Ecologie, du Développement et de l'Aménagement durables. Seul ministre d'Etat du gouvernement, l'ancien professeur à l'ENA canadienne aura à organiser le système des droits à polluer. Depuis une directive européenne de 2003, chaque Etat fixe les quantités de gaz carbonique que ses industriels ont l'autorisation d'émettre. Le numéro deux du gouvernement devra donc établir ces limites pour concilier le respect de l'environnement et le développement des acteurs IT. Eric Woerth : ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique. Il hérite d'un programme chargé avec, entre autres, le suivi du projet Chorus (progicialisation de l'Etat dans le cadre de la Lolf) récemment mis en place, de Copernic (refonte du SI de l'administration fiscale), plus le lancement de Concerto en 2008 (système d'information des ressources humaines) et le déploiement d'Hélios (gestion des collectivités locales par le Trésor public). Michèle Alliot-Marie : ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales. Elle devra s'attacher à la poursuite du chantier du passeport biométrique et à la mise en place de la carte d'identité électronique, dont l'Assemblée nationale devrait discuter au cours du second semestre. Brice Hortefeux : ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement. Il lui faudra préparer la mise en place de la base européenne de visas Schengen (VIS), décidée il y a quelques jours. Elle rassemblera l'ensemble des visas délivrés par les 3500 postes consulaires européens dans un but de lutte contre l'immigration clandestine. Christine Albanel : ministre de la Culture et de la Communication, porte-parole du Gouvernement. Elle aura à répondre aux défis de la culture numérique. Une tâche qui ne coïncide pas avec le parcours de celle qui est plus habituée aux dorures du château de Versailles (dont elle était jusqu'alors la présidente) que des problématiques de DRM ou d'interopérabilité. Xavier Bertrand et Roselyne Bachelot-Narquin : respectivement ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité et ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports. La répartition de leurs charges reste énigmatique sur deux points : qui s'occupera de la diffusion de la carte Vitale 2 et de la mise en place du dossier médical personnel ? (...)

(18/05/2007 14:13:57)

Sybase et RedHat concurrencent la solution d'appliance logicielle d'Ingres

Sybase s'est associé à Red Hat pour fournir une « appliance logicielle », constituée de ses systèmes de gestion de bases de données (SGBD) reposant sur Red Hat Linux Enterprise 5 (RHEL). D'ici à la fin de l'année, Sybase ASE, le SGBD transactionnel, et Sybase IQ, le SGBD décisionnel seront certifiés pour le Linux de Red Hat, et l'appliance disponible. L'offre recourt aux technologies de Symantec pour le clustering et de VMWare pour la virtualisation. Bien que Sybase utilise le terme d'appliance, il s'agit d'une pure solution logicielle, sans base matérielle, reflétant le fait que les deux produits sont étroitement intégrés, que les mises à jour seront communes et qu'il y aura un seul fournisseur pour le support, au travers du programme « Cooperative resolution center » de Red Hat. L'éditeur reprend ainsi le vocabulaire - et l'idée - d'Ingres, qui a lancé son offre en février dernier sous le nom Icebreaker, en association avec rPath. Ingres insistait alors sur le fait que sa solution combinait uniquement du code sous licence GPL, alors que l'offre de Sybase n'est pas Open Source. (...)

(18/05/2007 13:34:12)

L'alternance, une piste pour les travailleurs handicapés

L'Agefiph (Fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées) a beau multiplier les démarches, les personnes handicapées souffrent toujours d'ostracisme lorsqu'elles sont en recherche d'emploi. Certes, les employeurs sont probablement plus sensibilisés qu'autrefois à cette forme de discrimination. Pourtant, à l'instar de François Samson, DRH d'Asterion France (spécialisé dans la gestion de la chaîne de traitement du document d'entreprise), une démarche volontariste suffirait à développer l'emploi des personnes handicapées. « Nous employons 13 collaborateurs reconnus handicapés sur nos sites de Caen, Carquefou, Fontenay-sous-Bois, Lyon et Saint-Denis. Ils occupent des postes compatibles avec leur handicap : des activités de numérisation, de mise sous pli manuelle, d'édition ou d'informatique. Nous avons également régulièrement des stagiaires car Asterion a signé des accords avec des associations et des sociétés d'intérim pour favoriser leur présentation dans notre société. » Seul « hic » relatif : les salariés reconnus Cotorep ne le mentionnent pas forcément dans leur CV. « Lorsqu'ils déposent leur candidature chez nous, ils ne doivent pas hésiter à le dire, car nous voulons vraiment intégrer des nouveaux collaborateurs sur tous nos métiers », insiste le DRH d'Asterion. L'alternance comme tremplin pour l'emploi Les exemples comme celui d'Asterion sont malheureusement encore trop rares, même si les chiffres plaident plutôt en faveur d'une prise de conscience se traduisant sur le terrain : selon l'Agefiph, les entreprises recrutaient 7 000 personnes handicapées par an en 1987, contre près de 110 000 en 2005. Ce flux entrant est cependant compensé par les 100 000 départs de salariés handicapés qui, chaque année, quittent leur emploi (majoritairement pour cause de départ à la retraite). Une solution : l'alternance, qui permet à la fois d'acquérir des connaissances théoriques et une expérience pratique en entreprise. L'Agefiph croit beaucoup à ce modèle qui permet au salarié de s'implanter en douceur au sein d'une structure, en dépassant les craintes d'un recruteur qui ne possède pas forcément la même démarche éthique qu'Asterion. Et le message semble passer : dix grandes entreprises dont Air France, Areva, IBM ou Thales proposent des contrats en alternance à des candidats handicapés. Et pour convaincre davantage employeurs et futurs collaborateurs, l'Agefiph lance des nouvelles newsletters : pro (état des lieux des dernières mesures et avancées en matière d'emploi), pour les entreprises et pour les personnes handicapées. Sur le même sujet Handimanagement : des futurs managers sensibilisés à la question de l'emploi des personnes handicapées Deux sites pour faciliter l'emploi des personnes handicapées (...)

(18/05/2007 13:33:09)

Teamlog se met au diapason de la décentralisation

Il aura fallu quelques années d'intenses efforts en matière de décentralisation, mais le monde informatique parvient peu à peu à rattraper le retard des régions sur Paris. Dernier exemple : Teamlog (société spécialisée dans le conseil, l'intégration de systèmes et l'infogérance) a annoncé le recrutement de 750 collaborateurs cette année. Elle organise la semaine prochaine des « journées portes ouvertes » dans six villes de France (Grenoble, Lannion, Lyon, Nantes, Paris et Rennes). Lors de cette rencontre, les candidats auront la possibilité d'assister à des conférences (l'informatique et les marchés financiers, la monétique, les nouvelles perspectives pour la sécurité des systèmes d'information, l'Open Source, le métier de consultant) ou à des ateliers plus techniques (la mobilité, l'architecture n-tiers, le SI portail, la 3D, la TV 2.0...). En outre, ils pourront découvrir des démonstrations de projets en cours ou rencontrer des managers. Cette rencontre directe avec une entreprise en phase de recrutement est une initiative intéressante, qui permet de multiplier les pistes d'embauche avant l'été. Elle permet également de mettre en relief sa candidature dans des régions où l'emploi informatique est parfois plus rare qu'en région parisienne. Enfin, en cherchant à rendre moins anonyme les CV et en proposant des horaires adaptés aux personnes en poste (rencontres organisées en début de soirée), Teamlog propose une approche du recrutement qui devrait être examinée par ceux qui peinent à trouver la perle rare. Sur le même sujet - Ouverture des inscriptions pour participer au 15ème salon des ingénieurs - Recrutements de cadres : excellentes prévisions dans l'ouest et en Midi-Pyrénées (...)

(18/05/2007 13:35:10)

Brocade fait de la pub écolo-comparative contre Cisco

L'écologie étant de plus en plus à la mode, chaque constructeur informatique ou équipementier télécoms souhaite se montrer plus « vert » que son voisin. Après Big Blue qui a annoncé récemment vouloir dépenser un milliard de dollars pour se transformer en Géant Vert, c'est au tour de Brocade - qui vient d'ailleurs de rejoindre le Green Grid - d'enfourcher le cheval de bataille de l'environnement. De manière un peu cavalière d'ailleurs, en publiant un communiqué de presse affirmant qu'un client Brocade polluerait moins qu'un client Cisco. L'assertion de ce spécialiste des solutions de stockage s'appuie sur une étude comparative réalisée au cours du salon Storage Decisions, qui vient de se dérouler à Chicago, entre le Brocade 48000 Director et le Cisco MDS 9513. Selon ce benchmark, le directeur de stockage Brocade rejetterait 2 à 3 fois moins de CO2 que son concurrent, lequel enverrait chaque année plus de 12 tonnes de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Un écart qui se répercuterait bien entendu sur la facture d'électricité du client. Le constructeur cite d'ailleurs le témoignage de Chad Smykay, ingénieur stockage chez Rackspace Managed Hosting, un fournisseur de services hébergés en ligne, qui affirme avoir divisé sa consommation électrique par deux depuis l'installation d'une solution SAN bâtie autour du Brocade 48000 Director. Selon Brocade, un Cisco MDS 9513 consommerait tellement d'énergie et dégagerait tant de chaleur qu'on ne pourrait pas en installer plus d'un dans une baie standard. « Les baies ad hoc nécessitent quant à elles beaucoup plus de place », insiste-t-on chez Brocade. Qui n'hésite donc pas à...brocarder son concurrent. Lequel ne devrait sans doute pas tarder à réagir. (...)

(18/05/2007 13:20:56)

Microsoft et la Fondation Clinton s'associent pour limiter les émissions de gaz à effet de serre

Microsoft va développer des programmes et des services gratuits en coopération avec la Fondation Clinton à destination des métropoles mondiales afin qu'elles puissent contrôler leurs émissions de carbone. Dès la fin de l'année, Microsoft devra fournir aux villes sélectionnées par la Fondation Clinton un logiciel en ligne capable de traquer et de déterminer les pistes éventuelles et effectives de réduction d'émissions de gaz à effet de serre. En outre, les outils mis en ligne permettront un partage d'informations entre les villes rattachées au programme, d'analyser des projets et d'estimer leur impact sur l'environnement. Microsoft collaborera avec deux organisations environnementales : l'ICLEI (International Council for Local Environmental Initiatives) et le CNT (Center for Neighborhood Technology). Rappelons que la Fondation Clinton s'occupe de projets dédiés principalement à la santé dans des régions mondiales défavorisées, à l'amélioration économique du continent africain et à la lutte contre l'effet de serre. (...)

(18/05/2007 12:57:23)

AMD répond au Santa Rosa d'Intel avec sa plateforme mobile Puma

AMD vient de boucler une semaine riche en annonces majeurs. Après avoir présenté ses futurs processeurs quadri-coeurs Phenom pour machines de bureau, le fondeur lève le voile sur Puma, sa prochaine plateforme mobile. Qui aura la lourde tâche de concurrencer Santa Rosa, la dernière génération de la plateforme Intel Centrino. Puma reposera sur l'association d'un processeur bi-coeur surnommé Griffin, gravé en 65 nm et disposant de 1 Mo de mémoire cache de second niveau, et du chipset RS780. Une combinaison qui, selon AMD, permettra aux constructeurs de bâtir des portables bénéficiant d'une gestion de la consommation électrique améliorée, ainsi que de CPU fonctionnant à une fréquence plus élevée que les actuels Turion. Les fabricants ne seront toutefois pas tenus de monter leurs machines à partir du jeu de composants d'AMD mais pourront utiliser les chipsets d'autres équipementiers. Dans ce cas, plusieurs fonctionnalités propres à Puma resteront inutilisables. AMD espère qu'avec l'arrivée de Puma il parviendra à ravir des parts de marché à Intel sur le segment des PC portables, un juteux marché sur lequel les volumes écoulés dépassent depuis quelques trimestres ceux des desktops. Le 9 mai, Intel a frappé un grand coup en lançant Santa Rosa. Làs, la réponse d'AMD intervient tardivement : si l'annonce suit de près le lancement de Santa Rosa, les constructeurs de PC n'auront accès à Puma qu'à la fin 2007, et les premiers PC équipés de la plateforme ne verront pas le jour avant mi-2008. DirectX 10, HD et réduction de la consommation au menu Malgré ce délai, Puma dispose de plusieurs atouts lui permettant de rivaliser avec Santa Rosa. Ainsi, le chipset embarque un contrôleur graphique supportant l'API DirectX 10. Toujours sur le terrain multimédia, il sera possible de greffer un lecteur Blu Ray ou HD-DVD aux PC basés sur Puma, et d'y adjoindre une interface HDMI (pour la lecture de programmes haute définition et de contenus protégés). A l'instar des plateformes Centrino Duo et Pro et de leur technologie Turbo Memory, le projet d'AMD prévoit d'embarquer un module de mémoire flash, baptisé Hyperflash. Placée entre le disque dur et le chipset, la mémoire flash permet de limiter les accès au disque, de réduire le temps d'exécution de plusieurs tâches (démarrage, sortie de veille, etc.) et d'économiser la consommation électrique. L'économie d'énergie semble d'ailleurs être une constante chez les deux grands fabricants de microprocesseurs. A l'instar d'Intel, qui a beaucoup insisté sur la faible gourmandise de Santa Rosa lors de sa présentation, AMD met en avant les technologies énergétiquement économes développées pour Puma. Ainsi, avec PowerXPress, le système sera capable de basculer de la carte graphique dédiée vers le jeu de composants intégré lorsque le portable passe d'une alimentation secteur à la batterie. De même, les processeurs Griffin devraient voir leur tension régulée en fonction des besoins. Sur Santa Rosa, les Core 2 Duo bénéficient de ce type de fonctionnalité, et l'un des coeurs peut être overclocké d'environ 10% lorsque l'autre est inactif. Puma ne constitue pas un aboutissement des vues d'AMD mais une étape vers ce qui, en 2009, devrait aboutir à un jeu de composants fusionnant les processeurs traditionnels et les GPU (processeurs graphiques) issus de la récente acquisition d'ATI. (...)

(18/05/2007 11:19:22)

Dell redéfinit sa stratégie entreprise

Naguère florissant, Dell s'est fait tailler des croupières dans les entreprises par HP et IBM. Or, le marché professionnel représente 85% de son chiffre d'affaires, informe Kevin Kettler, directeur technique (CTO) de Dell. Le constructeur a donc annoncé hier un plan stratégique, « Project Hybrid », pour regagner le terrain perdu. Hybride, puisque Dell veut aller dans deux directions de façon simultanée : d'abord revitaliser son processus de vente directe, en le simplifiant, et ensuite proposer des services professionnels capables de concurrencer les offres d'IBM et de HP. Concernant la vente directe, Dell veut prendre en compte la complexité du choix et le manque de conseil technique lors de cette phase en proposant des solutions complètes plutôt que de simples serveurs. Kevin Kettler parle ainsi de serveurs préconfigurés pour la virtualisation. Jay Parker, qui supervise la ligne de serveurs PowerEdge, a de son côté critiqué sévèrement les offres de la compétition « qui demandent des armées de consultants pour les implémenter », mais n'a pas donné de détails précis sur les préconfigurations censées éviter ce type de dépenses. « Nous optimiserons les serveurs pour des environnements particuliers », a seulement indiqué Kevin Kettler. Et afin d'aider les entreprises à densifier leurs salles de serveurs, Dell inclura un logiciel pour gérer les économies d'énergie, et promet d'être de 10 à 15% plus efficace que la compétition dans ce domaine. D'où certaines rumeurs, démenties par Dell, sur le fait que le nom « Project Hybrid » aurait été choisi afin de jouer sur la popularité et le côté écologique des voitures hybrides. (...)

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