Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 2021 à 2030.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(20/10/2011 09:46:22)
Progress Software se dote d'un directeur général France : Frédéric Fuchs
L'éditeur de middleware d'intégration interapplicatif (ESB) a recruté Frédéric Fuchs pour le placer à la tête de son bureau français. Le nouveau directeur général prend en parallèle la vice-présidence régionale pour l'Europe du Sud de l'entreprise. Il remplace dans ces deux fonctions Didier Mamma. A ce titre, il est responsable de l'ensemble des forces de vente et des services dans l'Hexagone et assure également la gestion globale des filiales italiennes et espagnoles.
Avant de rejoindre Progress Software, Frédéric Fuchs était responsable pour la France et l'Italie chez Software AG. Auparavant, il était senior vice-président pour l'Europe du Sud chez Webmethods. Il dépend aujourd'hui directement de Dan Veiktus, le vice-président et directeur général de Progress Software en EMEA.
Genymobile veut accompagner la consumérisation de l'IT
L'essor de la mobilité créé des problématiques pour les responsables des systèmes d'informations. A eux, en effet, de gérer l'arrivée des smartphones et surtout des tablettes tactiles amenés dans l'entreprise par des salariés de plus en plus nombreux à venir travailler avec leur propre matériel. « Les DSI doivent notamment se demander comment sécuriser ces dispositifs mobiles eux-mêmes mais aussi réfléchir à la façon dont ils vont leur donner accès aux applications internes », explique Cédric Ravalec, le CEO de Genymobile. Cette jeune société créée en février dernier se spécialise dans l'accompagnement des grands comptes vers « l'intégration et l'adoption des technologies mobiles au coeur de leur services et produits ». Au-delà des entreprises, elle cible également les industriels pour les assister durant les phases de conception et de développement de leurs nouveaux produits et services.
Des compétences difficiles à trouver
Outre Cédric Ravalec, ancien directeur commercial de Linagora, la direction de Genymobile est assurée par trois autres associés dont certains aux profils très techniques. C'est le cas de Daniel Phages, le responsable de la R&D plus connu pour avoir fondé l'éditeur de solution de sécurité Arkoon. Arnaud Dupuis, son directeur technique, occupait quant à lui des fonctions similaires au sein du pôle mobilité de la SSII Devoteam. Enfin, Angélique Zetor, la responsable marketing de Genymobile, était ingénieur commercial chez Linagora. Avec eux, la société de services compte au total 13 collaborateurs aux compétences relativement rares. « Les développeur capables de programmer pour Android en Java sont nombreux. En revanche, il est plus compliqué de recruter des personnes qui maîtrisent le système d'exploitation en lui-même. Nous les trouvons dans le monde l'Open Source mais il est encore nécessaire de les former ensuite », explique Cédric Ravalec. En contrepartie des difficultés à la mettre en place, disposer d'une équipe de ce type est un trésor sur le marché. Les seuls à disposer d'un savoir-faire identique sur les OS mobiles (iOS, WebOS, MeeGo/Tizen... font aussi partie du champ d'action de Genymobile) seraient les fabricants de tablettes/smartphones et les opérateurs, selon le PDG de la société.
En tous cas, son savoir-faire permet à Genymobile d'opérer le démarrage de son activité sous les meilleurs auspices. Depuis sa création, la société dit avoir réalisé 700 K€ de chiffre d'affaires et s'autofinancer. Parmi ses clients figure par exemple JC-Decaux. A l'avenir, elle pourrait stimuler d'avantage sont développement en créant des applications maisons qui permettront aux DSI de disposer, par exemple, d'outils de gestion de socle et de télé déploiement pour les tablettes et les smartphones, comme il en existe déjà pour les PC.
IP Convergence se penche sur les budgets télécoms
L'édition 2011 du salon IP Convergence foisonne d'offres. Toutefois, c'est bien la demande qui est au centre des discussions. En période de crise, tout budget peut être remis en cause. Surtout en matière de télécoms où ces budgets ont un historique chargé. Ils sont isolés du reste de la dépense IT, souvent mal maîtrisés, peu contrôlés ou adaptés aux besoins réels. Bref, ils laissent des marges de réduction amples. Marges que les entreprises et leurs consultants veulent combler, l'essor des terminaux et des connexions mobiles aux applications métier, rendent cette maîtrise dépenses télécoms encore plus urgente.
Prestataires et intégrateurs présents sur le salon sont donc confrontés à cette contradiction : comment vendre plus (avec le foisonnement d'offres) à des clients qui doivent dépenser moins (pour mieux contrôler leurs dépenses) ? « La maitrise des dépenses est un champ d'investigation très large, analyse Christian Cor, Pdg de Consotel, il faut rationaliser les investissements, rechercher une meilleure productivité, intégrer les télécoms dans la problématique de sécurité et d'usage des clients ».
Les télécoms sont toujours à part
Dans ses prescriptions, Consotel peut préconiser : la suppression de certains abonnements, une meilleure adaptation des factures aux besoins réels des utilisateurs, le réajustement des forfaits suivant les usages des salariés (sans changer d'opérateurs), la valorisation des téléphones mobiles non exploitée (dans un placard ils perdent leur valeur en quelques mois). Simple ? Pas vraiment. « Les télécoms sont toujours à part dans l'entreprise, elles ne sont absolument pas intégrées dans la dépense IT globale » rappelle Guy Têtu, délégué général de la Ficome. Nombre d'entreprises n'ont même pas de politique télécoms. A cet historique, vient se greffer un développement exponentiel des appareils mobiles.
[[page]]
Le Syntec Numérique a donné quelques chiffres sur l'explosion des mobiles en France. 23% des entreprises ont équipé leurs salariés de terminaux mobiles, dont un tiers de smartphones. 400 à 600 000 tablettes seront vendues cette année, dont 100 000 en entreprises. A celles-ci, il faudrait ajouter celles achetées à titre personnel, et utilisées dans le cadre professionnel. Dans les deux prochaines années, les données échangées par ces terminaux mobiles seront multipliées de 2 à 5 fois.
Craintes en matière de sécurité
Autant de chiffres qui donnent une idée des prochains défis à relever pour la profession. Des chiffres à la fois prometteurs en termes de ventes et de développement d'applications, mais aussi sources de craintes. La sécurité n'est pas la moindre. La maîtrise des budgets télécoms va prendre une autre tournure avec le développement des connexions à distances aux applications bureautiques, voire aux applications métiers. La relation avec les salariés nomades change. « Songez simplement aux possibilités qu'offre une application de gestion de notes de frais pour les salariés à l'étranger, la simplification pour le salarié et pour l'entreprises , mais aussi le calcul des tarifs de roaming à bien opérer » remarque un représentant d'Octo Technology.
Les appareils sont là (smartphones, tablettes), les applications en cours de développement, manquent à l'appel des politiques télécoms depuis longtemps absentes. « Le budget télécoms c'était 3 à 4% du budget IT des entreprises, il y a dix ans, note pourtant Christian Cor, aujourd'hui c'est 20% et plus. » Comment accompagner cette explosion de manière pertinente, c'est tout le défi des prestataires télécoms.
Adobe et Samsung présents lors de l'hommage privé à Steve Jobs
Fortune Magazine vient de publier la liste des personnalités qui ont été conviées, dimanche dernier, à une cérémonie privée en hommage à Steve Jobs. L'évènement, qui s'est déroulé dans la chapelle de l'université de Stanford, a été organisé par Laurene Powell Jobs, veuve de Steve Jobs. Il a réuni des acteurs de l'IT, des politiques et également des artistes En parcourant le nom des personnes conviées, on ne peut que s'étonner de la présence de Chuck Geschke et de John Warnock, co-fondateurs d'Adobe ou de Lee Jae-yong, directeur général de Samsung.
Il a y a un peu plus d'un an, l'ancien PDG d'Apple avait annoncé son refus d'intégrer le lecteur Flash à ses terminaux mobiles au motif qu'il était trop lent, instable et obsolète. Adobe avait immédiatement répliqué, faisant remarquer que les correctifs pour Flash qu'Apple avait fourni avec sa mise à jour de Mac OS X étaient dépassés.
Marquées par un procès en cours, les relations entre le fondateur d'Apple et la direction de Samsung étaient plus que glaciales. Le premier accusant le second de s'être largement inspiré de l'iPad, de l'iPhone et de l'iPod pour concevoir ses tablettes et ses smartphones Galaxy. Le décès de Steve Jobs semble avoir dissipé les divergences. Tim Cook, a d'ailleurs eu, selon l'AFP, une discussion de 2 heures avec Lee Jae-yong, après la cérémonie.
Illustration : Steve Jobs, fondateur d'Apple. Crédit photo: Apple
(...)
RIM unifie ses OS tablette et smartphones autour de BBX
Après les évènements de la semaine dernière, RIM reprend la main sur le plan technologique en dévoilant un OS unifié. Le BBX OS est un hybride entre QNX, le système d'exploitation de la PlayBook et celui équipant les BlackBerry, qui se trouve actuellement sur les téléphones de RIM. Cet OS apportera aux développeurs la possibilité de travailler avec un grand nombre de librairies de développement Open Source. Le constructeur canadien n'a pas détaillé l'apparence ou les caractéristiques de BBX, sauf pour indiquer qu'il fonctionnerait avec Cloud Services BlackBerry, sur lequel les développeurs peuvent écrire des applications. Le dirigeant a simplement montré une démo d'une application Photo, qui imite le tri des piles de photos. Les photos se déplaçaient avec fluidité sur l'écran, avec même un peu d'effet 3D. RIM a également mis l'accent sur les jeux 3D et les applications HTML5 qui fonctionneront sur la prochaine plateforme.
Mais quand cet OS sera disponible ? Mike Lazaridis n'a pas donné de date sur la sortie des premiers terminaux équipés de BBX. Il n'a pas expliqué non plus si cet OS sera disponible sur la tablette actuelle ou les dernières générations de smartphones. Le Président de RIM a simplement déclaré « nous sommes déterminés sur la Playbook, il n'y a aucun doute sur ce sujet ». Preuve que le constructeur n'a pas l'intention d'abandonner sa tablette, malgré de faibles ventes.
Une annonce bien accueillie
Les développeurs présents à la conférence ont salué l'accent mis par RIM sur les outils Open Source. De plus en plus, les développeurs de BlackBerry peuvent partager des composants logiciels qu'ils créent, a déclaré Aaron Barnes, un développeur de jeu pour la société Motek Mobile.
« C'est un monde qui évolue rapidement », a déclaré Julian White, PDG de Solutions Seregon. Ce dernier propose DragonRAD, des outils multiplateformes pour les applications mobiles et d'ajouter « RIM a une vision plus cohérente aujourd'hui ». Il a été impressionné par les différentes démonstrations, notamment sur l'interface utilisateur Cascades. Il espère que le constucteur portera cette interface sur HTML5.
(...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |