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108538 documents trouvés, affichage des résultats 2011 à 2020.

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(20/10/2011 16:34:08)

IBM intègre de l'analytique dans les mainframes et les serveurs

IBM a décrit ses serveurs Smart Analytics System comme des packs comprenant du hardware et des logiciels analytiques, de la BI (business intelligence) et des systèmes de traitement d'importants volumes de transactions. Big Blue en a également profité pour annoncer une appliance de business analytics (BA) d'entrée de gamme capable de traiter des données à la volée, pour les transactions réalisées dans le cloud par exemple.

Le constructeur fait le choix de s'orienter vers une offre de serveurs conçus pour des charges de travail spécifiques, comme les bases de données et la gestion des processus d'entreprise (BPM). Les serveurs Smart Analytics sont basés sur des matériels IBM existants et tournent sur des puces x86 et sur des processeurs Power. Comme le fait valoir IBM, les solutions Smart Analytics 9700 et 9710, basées sur l'architecture zEnterprise, ont pour objectif de fournir une appliance analytique opérationnelle à un prix abordable. Ces serveurs peuvent tourner sur SUSE ou Red Hat Linux.

Le constructeur a également annoncé un Smart Analytics System 7710 basé sur le processeur Power, et le 5710, basé sur le processeur x86, deux solutions « que l'on peut déployer en quelques jours, et qui comprennent notamment des fonctions de reporting en BI, d'exploration de données et d'analyse des données non structurées, » a ajouté le constructeur dans sa présentation. « Basé sur le serveur P740, le Smart Analytics System 7710  tourne sous l'OS AIX et convient à l'entreposage de données en-dessous des 10To, » a encore détaillé IBM. Quant au 5710, basé sur une architecture System X, il tourne sous Linux et est livré avec InfoSphere Warehouse 10, ainsi que le logiciel de BI Cognos 10. Pour l'instant, on ne connaît ni le prix, ni la date de disponibilité de ces serveurs.

Une vue sur la concurrence et sur le cloud


Sur le marché du serveur unifié, IBM est en concurrence avec Oracle, lequel propose une Exadata Database Machine, un système préconfiguré conçu pour l'entreposage de données et le traitement des transactions. La solution Exadata associe un logiciel d'Oracle à du hardware et des solutions de stockage Sun.

IBM a également annoncé une technologie DB2 Analytics Accelerator, qui doit aider les clients à traiter beaucoup plus rapidement les quantités massives de données circulant à travers le cloud. « Au lieu d'attendre la sortie des rapports, les clients peuvent disposer d'une analyse approfondie et prendre des décisions alors que les transactions sont en cours de traitement dans le cloud, » a déclaré une porte-parole d'IBM. L'appliance analytique se branche sur le serveur d'entreprise zEnterprise 196 d'IBM, et l'accélérateur se connecte à la base de données DB2 pendant que les transactions sont traitées dans le cloud.

L'accélérateur intègre une technologie héritée de Netezza, un fournisseur de données analytiques basé aux Etats-Unis, acquis par IBM l'an dernier pour 1,7 milliard de dollars. « C'est la première fois que la technologie de Netezza est portée sur le cloud, » a indiqué la porte-parole d'IBM. L'appliance pour serveurs sera disponible en novembre, mais IBM n'a pour l'instant fourni aucune indication sur son prix.

Crédit Photo : IBM

(...)

(20/10/2011 12:53:47)

Entretien avec Jean Bernard Schroeder : il faut s'approprier la télémédecine

Qu'est-ce que la télémédecine concrètement, et qui l'utilise aujourd'hui ?

La téléconsultation est la forme la plus connue de la télémédecine. Elle est notamment utilisée dans les maisons de retraite. Le patient doit s'installer dans une salle spécialisée, accompagné d'un professionnel de santé qui n'intervient pas pendant la consultation. De l'autre côté de l'écran, il y a un médecin généraliste ou spécialiste qui interroge le patient sur ses symptômes comme dans un cabinet médical. Il peut également examiner une plaie à distance par exemple. C'est très naturel et cela permet au patient de rester dans son environnement.

Est-ce qu'un patient lambda peut utiliser cette pratique à son domicile ?

Cela existe, mais c'est exceptionnel. On y viendra certainement avec le temps, mais il faut que le patient sache utiliser ce type de technologie. On peut l'imaginer à terme. Peut-être plus avec le télésuivi. Pour certains patients en difficulté, cela pourra être un rendez-vous à distance, en complément des consultations traditionnelles. Mais il faut d'abord que les médecins s'approprient la télémédecine.

Le décret d'application de la télémédecine célèbre son premier anniversaire. Aujourd'hui, quels sont les freins au développement de cette pratique ?

Les médecins représentent un frein au déploiement de la télémédecine, car ils sont confrontés à des problèmes d'ordre technologique, mais également de coût, d'organisation et d'infrastructure. Un accompagnement important doit être fait auprès du corps médical. Pour eux, c'est une charge de travail conséquente en supplément de leurs consultations quotidiennes. Pour le moment, ils voient plus les inconvénients de la télémédecine que ses avantages. Il y a un gros travail pédagogique à faire.

Combien de patients et de médecins utilisent aujourd'hui la télémédecine ?

Aujourd'hui, il est impossible de donner des chiffres exacts. En télécardiologie, il y a environ 10 000 patients qui profitent de cette pratique pour quelques centaines de médecins, 300 maximum. Je peux vous dire cependant que la télémédecine se décline en plusieurs activités, comme la télérespiration, télédialyse ou téléradiologie.

Avez-vous eu des retours, qu'ils soient positifs ou négatifs, de patients et de professionnels de santé ?

D'une façon générale, les patients et les professionnels de santé qui ont testé la télémédecine considèrent que c'est une pratique sécurisante. Les retours sont globalement positifs, notamment dans le domaine du diabète. La télémédecine permet aux patients atteints de diabète d'améliorer considérablement leur qualité de vie, grâce à un suivi régulier de la pathologie. Cela sert énormément pour les maladies chroniques qui sont une priorité, notamment l'insuffisance respiratoire, l'hypertension ou l'apnée du sommeil, car cette pratique offre un suivi du patient à distance et en temps réel. Je ne vois pas comment on pourra se passer de la télémédecine dans l'avenir.

Les Français ne craignent-ils pas de perdre la relation privilégiée qu'ils ont aujourd'hui avec leur médecin ?

Je ne crois pas. Cela va forcément dépendre des personnes. Il y a tout de même des consultations physiques, même si celles-ci sont plus espacées. Tout est question d'apprentissage. La télémédecine permet au médecin de surveiller plusieurs patients en continu à travers son écran. C'est de la fatigue en moins pour les professionnels de santé, et une plus grande attention pour les patients. Le bilan est forcément positif pour les deux parties.

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(20/10/2011 12:50:53)

Des PC bientôt contrôlés par la pensée

En 1960, J.C.R. Licklider, informaticien américain, avait publié un document intitulé « Man-Computer Symbiosis » dans lequel il avait imaginé, bien avant sa naissance, l'informatique graphique. Cette semaine, lors d'une conférence du MIT sur les technologies émergentes, un autre scientifique a suggéré qu'il arriverait bientôt un moment où les utilisateurs n'auraient plus à  toucher un clavier et à une souris, ou même à parler pour    exécuter une application informatique.

Pour Gerwin Schalk, chercheur au Wadsworth Center, un laboratoire de santé public géré par le gouvernement de l'état de New York, une personne pourra penser une commande pour que l'ordinateur réagisse.  « Ceci n'est pas la science-fiction, », a déclaré  Gerwin Schalk. « Il s'agit bien d'une réalité émergente. » Le scientifique a ajouté que l'interaction homme machine était une connexion lente. D'après lui, les humains sont obligés de traduire ce qu'ils pensent en commandes numériques. Le processus crée alors des goulets d'étranglement en entrée/sortie, et ce, dès le début. »

Les neurotechnologies, qui représentent un marché de145 milliards de dollars, en croissance  de 9% par an, ont déjà franchi des étapes clés dans la symbiose entre l'homme et les ordinateurs.

Jouer aux jeux vidéos par la pensée

Gerwin Schalk a poursuivi en indiquant que des chercheurs utilisaient des ondes alpha du cerveau - des oscillations neuronales dans la gamme de fréquences de 8 et 12 Hz - pour créer des représentations syntaxiques riches. Celle-ci peuvent être utilisées pour communiquer directement avec les ordinateurs. Il a présenté aux participants une vidéo montrant comment des sujets étaient en mesure de contrôler les jeux d'ordinateur grâce à l'utilisation d'électrodes fixées à la surface de leur cerveau. Ces personnes était déjà connectées pour le traitement de maladies comme l'épilepsie.

Dans la vidéo, l'on pouvait également voir quelqu'un utiliser ses pensées pour tirer sur les monstres du jeu vidéo Doom. Il s'appuyait bien sur une manette pour déplacer le pistolet en avant et en arrière, mais ses pensées étaient utilisées pour pouvoir tirer avec précision. Gerwin Schalk a aussi montré comment un ordinateur pouvait faire la différence entre quelqu'un qui pensait  les sons «Ah» ou «Ooh». Une autre partie de la vidéo montrait un ordinateur détectant le niveau sonore de la musique écoutée par une personne en le traçant en temps réel. Le chercheur a montré comment un algorithme informatique pouvait suivre le volume de la musique écoutée par une personne via ses ondes cérébrales

L'ingénierie citée comme principal obstacle

Enfin, la vidéo montrait comment des scientifiques pouvaient suivre, en temps réel, quelle partie du cerveau réagissait aux mouvements physiques, comme tirer la langue  ou essayer de résoudre l'énigme du Rubik Cube. Pour le chercheur, une telle technologie pourrait permettre aux utilisateurs de commander un PC sans le toucher.

« Les principaux obstacles pour faire du temps réel et des PC contrôlés par la  pensée sont essentiellement des questions d'ingénierie », considère Gerwin Schalk. « Les scientifiques ont besoin de créer de meilleurs capteurs pour détecter les ondes alpha et trouver d'autres moyens pour identifier les signaux du cerveau (à savoir le langage).  Selon lui, au final, cela risque de prendre du temps et de coûter de l'argent.  Reste qu'il a conclu son intervention en affirmant que l'interaction directe de l'ordinateur avec le cerveau avait le potentiel de devenir une technologie prometteuse, à la même échelle que l'informatique et le téléphone.

Illustration: Crédit photo: D.R

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(20/10/2011 12:42:37)

Pascal Buffard devient président du Cigref

Le 19 octobre 2011, le Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises (Cigref) a élu son président en la personne de Pascal Buffard, pour un mandat de trois ans lors de son Assemblée Générale annuelle. L'actuel DG d'Axa Group Solutions, la DSI filialisée pour l'ensemble du groupe Axa, est en charge de l'IT au sein du groupe d'assurances depuis 1991, année où il était devenu DSI d'Axa France. Il est également Président d'Axa Technology Services et Directeur des opérations d'Axa France. Il était déjà vice-président du Cigref.

Il succède à Bruno Ménard, qui, lui, devient vice-président du Cigref. Le vice-président systèmes d'information du groupe Sanofi-Aventis a exercé un seul mandat à la tête du Cigref après avoir succédé en 2008 à Didier Lambert, qui quittait à la même époque les fonctions de DSI d'Essilor pour prendre sa retraite.

Pascal Buffard a été diplômé de l'ENSAE (Ecole Nationale Supérieure de la Statistique et de l'Administration Economique) en 1981. Cette école se vante d'être à la charnière des sciences pures (mathématiques surtout) et du monde des affaires. Pascal Buffard a débuté véritablement sa carrière professionnelle en entrant à l'informatique du Crédit du Nord, souhaitant avoir une carrière au delà des seules études économiques.

Il a rejoint le groupe Axa en 1989 pour s'occuper d'un projet d'architecture informatique sur une base client-serveur sous OS/2 d'IBM. En 1991, il a pris la responsabilité de l'informatique d'Axa Assurances. En 1997, il a notamment eu en charge le rapprochement entre Axa et l'UAP.

Il a mis en oeuvre la nouvelle organisation informatique du groupe Axa, avec notamment la création d'Axa Group Solutions et d'Axa Technology Services. Pascal Buffard a, pour cela, été lauréat du Trophée CIO Entreprises et Société de l'Information « conduite du changement » en 2009.

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(20/10/2011 12:46:49)

VMworld 2011 : vSphere au coeurs des solutions des partenaires

Sur le salon VMworld 2011, les solutions de sauvegarde par exemple étaient particulièrement mises en avant dans une allée. Suite au rachat de Pancetera en juin dernier, Quantum présentait sa gamme vmPro 4000 qui intègre le File System et la technologie de réduction des données de la firme fondée par des anciens de Data Domain à ses DXi. Appliquée à une machine virtuelle VMware, cette dernière permet d'éliminer les blocs superflus (fichiers dans la mémoire cache, espace non utilisé...) dans la VM avant de procéder à sa sauvegarde. Comme nous l'a indiqué Gabriel Chaher, vice-président EMEA chez Quantum, « avant la déduplication, on peut préparer la sauvegarde en retirant toutes les données inutiles et donc réduire l'impact sur les ressources lors de la sauvegarde. On réduit les I/O et la charge CPU. Et ce, sans installer d'agent sur les serveurs ». On sauvegarde les blocs utiles et ensuite on applique le Changed Block Traking (CBT), une des fonctions les plus intéressantes d'ESX qui permet de lister les changements de bloc dans un fichier "ctk" pour chaque vmdk.

La solution de Quantum ne fonctionne pour l'instant que pour la plate-forme VMware, la présence de Hyper-V n'étant pas encore assez significative sur le marché selon le dirigeant du constructeur. Les images sauvegardées dans le DXi restent à leur format natif et peuvent être restaurées directement sur le serveur hôte. La gamme vmPro 4000 se présente sous la forme d'une appliance compact 2U capable de sauvegarder toutes les VM sur un réseau. La vmPro 4601 (en illustration principale), à partir de 17 350 €, est livrée avec 12 To dont 4 sont activés par défaut. Un autre modèle, moins évolutif et moins cher, le 4510 est fourni avec 2 To. Pour les grands comptes, Quantum propose également une version entreprise, vmPro software facturée au socket.

Toujours dans le domaine de la sauvegarde dans l'environnement VMware, Acronis a mis en avant vmProtect 6 (400 euros par CPU), sa solution de backup sans agent pour machines virtuelles (vSphere 4.0, 4.1 et 5.0). On retrouve bien sûr la dédup et la compression, le cryptage 256-bit des images, et la migration des serveurs physiques vers un VM pour accélérer les mouvements de virtualisation. La prochaine mise à jour de cette solution est attendue courant janvier avec l'arrivée de la fonction vCenter Replication pour améliorer la granularité des sauvegardes de VM.

VDI et administration

Chez Veeam, on attend toujours les versions 6 des produits maison qui intégreront un support complet de l'environnement Hyper-V de Microsoft. Sur le salon VMworld, l'éditeur présentait toutefois le module Smart Plu-Ing 5.7 (SPI) destiné aux clients qui contrôlent et administrent de grandes infrastructures vSphere (jusqu'à 25 000 machines virtuelles et 1 500 hôtes ESX) à partir de HP Operations Manager. Le support de vSphere 5.0 est également de la partie avec la gestion des métriques et des événements introduits dans les bulles virtuelles. Veeam introduit à cette occasion la fonction DiskPressure qui analyse la configuration du stockage et lance des alertes en cas de sur-allocations, ce qui permet aux administrateurs d'éviter les ralentissements de production et pannes.

Enfin, Nexenta mettait en avant NexentaVDI sa solution de déploiement et d'allocation dynamique de ressources de stockage pour bureaux virtuels View 5. Associant les fonctions du système de fichier ZFS et VSA (Virtual Storage Appliance), NexentaVDI apporte une automatisation de bout en bout et une architecture de stockage multi-tiers. Avec cet outil, les utilisateurs créent un ensemble de bureaux virtuels et indiquent quelle quantité d'espace de stockage lui est attribuée. NexentaVDI ajuste ensuite ce volume en fonction des besoins et des limites définies.

 

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(20/10/2011 10:57:34)

Les ventes de Mac et d'iPad se portent très bien

Au cours du troisième trimestre 2011 (arrêté au 24 septembre), Apple a vendu 17,07 millions d'iPhone dans le monde, ce qui représente une progression de 21% en volume par rapport au même trimestre en 2010. Dans le même temps, 11,12 millions d'iPad ont été écoulés (+166% par rapport à 2010) ainsi que quelques 4,89 millions d'ordinateurs (+26%). Seul secteur en baisse, l'iPod, avec ses 6,62 millions de ventes (-27%).

La dynamique est bonne pour Apple, puisque le quatrième trimestre a plutôt bien commencé. La firme de Cupertino a en effet annoncé dans un communiqué avoir déjà vendu quatre millions d'iPhone 4S en trois jours seulement.

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(20/10/2011 10:48:23)

Le salon ITU Telecom World pourrait quitter Genève

Lors de la conférence de presse précédent l'ITU Telecom World 2011, qui s'est déroulée hier au siège genevois de l'Union internationale des télécommunications (UIT), Hamadoun Touré, Secrétaire général de l'organisation, a précisé que la manifestation deviendrait annuelle. Tous les deux ans, le salon se déroulera dans une ville permanente et sera itinérant l'année intermédiaire. Le lieu du prochain salon sera connu dès la semaine prochaine. Quant à l'emplacement permanent, il sera déterminé dans le courant de l'année prochaine. Genève sera-t-elle la ville choisie? Hamadoun Touré confie que c'est possible mais en aucun cas garanti: «Bien sûr il serait plus simple pour nous que le salon reste à Genève en raison de la proximité du siège de l'UIT. Mais nous examinerons tous les paramètres des villes candidates: l'emplacement, les équipements hôteliers...»

Un programme basé sur le réseautage

Au sujet du programme du prochain salon, Blaise Judja-Sato, Executive Director de l'ITU Telecom, a expliqué avoir voulu un événement qui facilite le networking en rassemblant les conférences et les expositions. Plus de 250 personnalités du monde politique et économique sont attendues. En outre, l'UIT entend faire participer environ 10 000 écoliers du monde. Ils devront imaginer des innovations qui pourraient changer le cours des choses.

ICTJournal.ch (...)

(20/10/2011 09:45:42)

IBM étend son datacenter genevois

Construit en 2005, le centre bénéficie désormais de 900 m2 supplémentaires pour atteindre une surface totale de 3100 m2. Des surfaces sont en outre encore disponibles pour d'éventuels futurs agrandissements supplémentaires.  Le nouveau centre, qui met en oeuvre des technologies issues des laboratoires de recherche IBM, est prêt à accueillir ses premiers clients dès le mois prochain.

Efficacité énergétique

L'agrandissement du centre répond aux besoins actuels des clients qui souhaitent par exemple pouvoir disposer de services de racks gérés ou d'espaces dédiés. Ces éléments permettent également une exploitation plus efficace de l'infrastructure, qui atteint désormais des performances vont désormais atteindre de 2 à 5 kilowatts (kW) par mètre carré. Par ailleurs, le système de refroidissement à la source permet une climatisation efficace et concentrée de l'ensemble de l'infrastructure.

Disponibilité et sécurité élevées

Les espaces clients dédiés sont protégés par des mesures de sécurité avancées associées à des contrôles d'accès électroniques et biométriques. Les locaux privés sont isolés physiquement par des parois en dur et par des systèmes d'accès individuels. Tous les espaces dédiés et les locaux privés disposent de plus d'une alimentation individuelle en électricité et en refroidissement, permettant, notamment une densité élevée avec 20 kW par rack. L'ensemble de l'infrastructure est conçu de manière redondante, permettant d'effectuer les travaux d'entretien sans immobiliser les systèmes.

ICTJournal.ch

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(20/10/2011 09:46:03)

Rebond pour les ventes mondiales de téléphones portables au 3ème trimestre

Même si les chiffres ne sont pas encore définitifs, le marché international du téléphone portable devrait rebondir au troisième trimestre, avec environ 380 millions d'appareils vendus, selon les projections d'ABI Research. Cela représente une augmentation de 5,5% par rapport à la même époque l'an dernier.

Les indicateurs de ventes de téléphones portables dans le monde sont au vert selon ABI Research. "Bien que tous les résultats de vente n'ont pas encore été enregistrés, le troisième trimestre montre des signes de reprise après un deuxième trimestre assez calme", selon Jake Saunders, vice-président en charge des prévisions. (...)

(20/10/2011 09:45:57)

Carrefour confie son application iPhone à Convertigo

Carrefour souhaitait adapter son site de commerce en ligne Ooshop à une utilisation sur appareils mobiles et notamment l'iPhone. Il fallait d'une part que le développement soit rapide et peu onéreux, d'autre part que la solution choisie puisse ensuite suivre les évolutions rapides du marché du smartphone. A cela s'ajoutait une complexité propre au groupe, quatre DSI de quatre divisions différentes étant sollicitées dans le projet.

Pour éviter de redévelopper tout un applicatif dédié et de gérer des modifications dans le SI du groupe, Carrefour a choisi de concevoir son application m-commerce pour iPhone par intégration mashup des outils d'Ooshop. Pour y parvenir, Carrefour a eu recours aux solutions de Convertigo.

En l'occurrence, quatre solutions ont été employées :

- C-EMS WEB Integrator convertit sans codage, transposant l'application Ooshop dans un service web avancé, capable d'exécuter des transactions simples et complexes orchestrées en temps réel (lecture et écriture).

- C-EMS XML/SQL Connector extrait et diffuse les informations à partir de bases de données spécifiques.

- C-EMS Sequencer combine et présente différentes sources dans un même service « intelligent ».

- C-EMS Legacy Integrator peut être utilisé à l'avenir pour interagir avec les mainframes des fournisseurs et partenaires.

Un serveur doté d'une licence du produit est capable de gérer une centaine de transactions simultanées. Aucune modification n'a été nécessaire sur le code back office d'Ooshop.

Le coût du projet n'a pas été dévoilé mais a été estimé de sept à huit fois inférieur à celui du développement d'une application spécifique. L'application iPhone a été livrée en sept semaines et se nomme "MesCourses"

Selon les commentaires des clients sur l'Apple AppStore, l'application MesCourses d'Ooshop elle-même est bien perçue mais le service rendu n'est pas forcément exemplaire.

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