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(06/04/2007 00:00:00)

Les enjeux de la gestion du cycle de vie de l'information, vers une approche intégrée de bout en bout - 15 mars 2007

Table Ronde : L'approche métier est-elle à l'origine et facteur d'accélération du développement de ce type de projets en entreprise ? (...)

(06/04/2007 00:00:00)

Les enjeux de la gestion du cycle de vie de l'information, vers une approche intégrée de bout en bout - 15 mars 2007

Table Ronde : Quelles solutions pour couvrir l'ensemble du cycle de traitement de l'information ? Les stratégies des spécialistes éditeurs et constructeurs (...)

(05/04/2007 17:57:38)

Les entreprises intègrent de plus en plus la mobilité

La deuxième édition du baromètre de la mobilité en entreprise, réalisé chaque semestre par IDC et Dell, montre que le marché de la mobilité est en train de passer d'une phase de croissance à une phase de maturité. L'étude montre également une dynamique forte autour de la 3G et une intégration de plus en plus fréquente entre les modes d'utilisation personnelle et professionnelle. Dans le détail, l'étude donne de nombreuses informations qui montrent une évolution en six mois, depuis le premier baromètre qui a été effectué au mois de septembre 2006. Aujourd'hui, 79% des deux cents entreprises de plus de deux cents salariés interrogées prévoient d'investir dans des micro-ordinateurs portables (contre 71% il y a six mois) et à brève échéance : 56% comptent le faire avant six mois, contre 50% lors de la précédente étude. Les prévisions d'investissement montrent également la maturité du marché. Les entreprises de moins de mille employés sont seulement 24% à envisager d'augmenter leurs investissements en micro-ordinateurs portables et 43% prévoient de maintenir leur investissement à leur niveau actuel. Les chiffres sont un peu différents dans les entreprises de plus de mille salariés : 28% d'entre elles pensent augmenter leurs investissements, et 54% les garder stable, preuve que les grandes entreprises sont en retard dans ce domaine par rapport aux PME. La majorité des projets sont liés au portage de solutions existantes (48%), le déploiement de nouveaux applicatifs ne concernant que 22% des projets. « La mobilité, ce n'est plus transporter un disque dur, explique Christophe Burckart, directeur marketing de Dell France, mais bien rester en contact avec l'informatique de l'entreprise. » 3G : 61% des entreprises sondées sont très satisfaites La prise en compte des technologies d'accès est devenue récemment un élément important au moment du choix. Pour 36% des entreprises, la présence d'une carte Edge, 3G et HSDA - HSPA est une condition indispensable, le WiFi étant exigé dans 70% des cas. Pour un certain nombre d'entreprises, cette exigence est surtout une sécurité pour l'avenir, mais pour un grand nombre, il s'agit bien d'utiliser ces réseaux à haut débit. Près d'une entreprise sur deux a déjà réalisé ses premiers déploiements (contre 33% il y a six mois), et 26% ont déjà commencé des tests (9% seulement il y a six mois). Ces premiers déploiements sont manifestement concluants, car plus d'une entreprise sur deux déjà équipée en 3G prévoit d'augmenter le nombre d'utilisateurs, avec cependant des disparités assez nettes selon la taille de l'entreprise (59% pour les entreprises de plus de mille employés, 47% pour celles qui en comptent moins de mille). Plus net encore, le degré de satisfaction : 61% sont très satisfaites et 26% plutôt satisfaites. Des chiffres soulignés par Marc Laporte, directeur général d'IDC, qui rappelle qu'un tel pourcentage de « très satisfaits » est particulièrement rare dans l'ensemble des enquêtes. Le seul point de faiblesse relative concerne la couverture, qui ne correspond que pour 59% aux attentes (à noter que 8% la juge supérieure aux attentes). Actuellement, seule une petite partie du parc peut se connecter en 3G (moins de 20% du parc dans près d'une entreprise sur deux), mais l'avenir appartient bien à la 3G, selon les entreprises interrogées : 42% d'entre elles posséderont dans deux ans un parc au sein duquel 80% des portables seront équipés de la 3G. [[page]] Flexibilité du travail et productivité L'intégration de la mobilité dans le système d'information a des conséquences dans la façon de travailler, car le bureau mobile s'installe d'abord au domicile des employés. 68% des utilisateurs de portables en ont un usage à la fois professionnel et personnel. 88% d'entre eux peuvent se connecter au réseau de leur entreprise depuis leur domicile et 68% à leur messagerie professionnelle. L'entreprise s'invite donc dans le salon de ses employés. 72% d'entre elles considèrent d'ailleurs qu'un micro-ordinateur portable favorise la flexibilité du travail, 62% qu'il augmente la productivité, 54% qu'il permet de renforcer la disponibilité vis-à-vis des clients et 48% qu'il renforce l'implication des salariés vis-à-vis de l'entreprise. On notera enfin que « la sécurité n'est pas un frein, c'est une obligation » pour reprendre l'expression de Christophe Burckart. 84% des entreprises estiment une politique de sécurité « indispensable » et 14% « recommandée ». Pour augmenter le niveau de sécurité, 70% des entreprises interdisent d'installer des logiciels personnels, 67% réglementent les usages (par exemple par une restriction d'accès aux sites Web) et 66% vérifient l'intégrité du portable avant de le connecter au réseau de l'entreprise. Mais 55% seulement des entreprises effectuent des sauvegardes régulières des données contenues sur le portable, et 26% uniquement ont poussé la logique de sécurité en partitionnant le disque du portable en deux espaces étanches, l'un pour l'usage professionnel, l'autre pour l'usage personnel. (...)

(05/04/2007 17:46:51)

Diverses propositions des chercheurs pour alimenter le débat électoral

« En cette saison de promesses, celle d'augmenter les moyens de la recherche publique semble bien acceptée ». Pour les responsables de FutuRIS (réflexion prospective sur la Recherche, l'Innovation et la Société, au sein de l'ANRT, association nationale de la recherche technique) qui entament ainsi leur « lettre ouverte aux candidats à la Présidence », l'amélioration de la situation de la recherche publique et privée en France passe par l'analyse d'une dizaine de propositions. De son côté, l'association nationale des docteurs es sciences (Andès), enfonce le clou de la remise en cause de la voie unique à l'accession à la responsabilité publique (via l'ENA) en proposant d'inscrire dans le débat pré-électoral sa contribution aux « questions liées à la formation et à la diversification des cadres de la haute fonction publique ». « Les dix commandements » soumis à la réflexion des états-majors politiques par le comité de prospective FutuRIS, piloté par Jacques Lesourne, vont des conditions du renforcement du pilotage stratégique par l'Etat, jusqu'à l'évaluation des résultats de la recherche, en passant par la concertation européenne, la gouvernance des universités, l'organisation modulée des activités des enseignants-chercheurs, l'orientation et l'insertion professionnelle des étudiants, l'utilisation de la commande publique pour le développement des sociétés innovantes, et la résorption de certains déséquilibres des dépenses (trop de chercheurs à certains endroits, pas assez ailleurs), faute de priorités clairement définies. Une des propositions de FutuRIS s'intéresse plus particulièrement au flux amont qui alimente les équipes de recherche, en proposant de développer plus avant la formation des cadres par la recherche, « en faisant en sorte que les programmes de master comportent (systématiquement) des stages recherche et que les doctorants soient traités et rémunérés comme de véritables salariés ». « La recherche est une excellente école de cadres, quels que soient les métiers ultérieurs. Encore faut-il qu'elle attire ces cadres, qu'ils l'aient un peu pratiquée, qu'ils ne l'estiment pas réservée à des savants, mal payés ». De même, aux yeux de l'Andès, la perspective d'une «école des services publics ouverte à des personnes riches d'expériences différentes » à laquelle il est fait allusion durant cette campagne renvoie à la réflexion engagée depuis deux ans avec la confédération des jeunes chercheurs et le collectif « Sauvons la recherche-Jeunes chercheurs » (SLC-JC) au sujet de la diversification des débouchés ouverts aux jeunes chercheurs. Et de proposer, notamment, une accession facilitée à l'ENA par des mesures appropriées au cas des chercheurs. « Habitués à travailler sur des problèmes complexes, à mobiliser des réseaux de collaborateurs par delà les frontières géographiques et disciplinaires, les professionnels de la recherche ont potentiellement les qualités nécessaires pour traiter des grands problèmes de nos sociétés ». Des qualités « indispensables », selon l'Andès, pour la modernisation de l'Etat. Sur le même sujet : Retrouvez notre dossier Présidentielles : le Web entre en campagne (...)

(05/04/2007 17:30:24)

Greenpeace publie son classement de la IT « verte »

Pour Greenpeace, le chinois Lenovo est désormais le plus "environnementalement" responsable des constructeurs high-tech. Pourtant, lors de la première publication de son classement « Guide to a Greener Electronics » en août dernier, l'association avait classé Lenovo 14e et bon dernier. Ce classement mesure les efforts des sociétés pour utiliser des matériaux non-polluants et recyclables, ainsi que pour réduire les déchets électroniques. Pour Zeina Alhajj, porte-parole de Greenpeace, cette bonne performance s'explique par un double effort. Premièrement, Lenovo est adepte du principe de précaution. Le constructeur a arrêté, ou largement diminué, son utilisation de produits chimiques potentiellement dangereux avant même que des études finales aient mis en évidence leur toxicité. Deuxièmement, la société s'est engagée à reprendre ses produits en fin de vie dans l'ensemble des pays où il a une offre commerciale. Pas de mesures concrètes chez Apple « Apple est notre grosse déception», affirme Zeina Alhajj. « Depuis la première version de notre rapport, la seule société qui n'a pas bougé d'un iota est Apple. » Elle se retrouve d'ailleurs bonne dernière avec la note de 2,5/10, contre 8/10 à Lenovo. « Ils ne se sont pas améliorés d'un pouce», précise Zeina Alhajj. « Ce qui est réellement choquant sachant qu'ils sont leaders en terme de design et ont une image "cool". Mais, quand il s'agit d'appliquer des mesures concrètes, il n'y a plus personne. » La seule réponse d'Apple a été de dénigrer les critères choisis par Greenpeace. Dans un courrier électronique la société précise que « les ordinateurs et écrans Apple ont chacun été désignés « meilleur de la classe » dans leur catégorie dans le nouveau classement EPEAT (Electronic Product Environmental Assement Tool) de l'EPA (agence américaine pour la protection de l'environnement), qui se base sur des standards internationaux définis par l'IEEE ». Outre Lenovo et Apple, ce classement comprenait Nokia en deuxième position, suivi de Sony Ericsson à égalité avec Dell. LG Electronics et Panasonic occupent les avant-dernières places. Greenpeace publiera désormais ce classement tous les trois mois, en se focalisant principalement sur les marques. « Si les leaders du marché changent, l'impact se fera sentir sur l'ensemble de l'industrie», explique Zeina Alhajj. (...)

(05/04/2007 17:29:58)

Les outils de gestion vPro pour les Intel Centrino butent sur la mobilité

Les Centrino Pro feront leur apparition dans les ordinateurs portables commercialisés dès le mois de juin. Mariage de la plateforme Centrino et des outils de gestion de parc vPro, la marque Centrino Pro est la nouvelle arme stratégique d'Intel pour imposer son architecture dans les ordinateurs portables destinés aux entreprises. Un mouvement essentiel, a annoncé Intel hier, alors que les ventes de portables montrent une croissance soutenue, contrairement aux machines de bureau. Intel avait lancé vPro en septembre dernier afin de faciliter la maintenance à distance des parcs de PC. vPro rend un ensemble de fonctions d'administration possibles pour l'administrateur depuis sa console, même lorsque les ordinateurs sont éteints. La déclinaison pour la plateforme mobile Centrino est censée « remplir presque toutes les fonctions que vPro remplit pour les PC », explique Gregory Bryant, vice-président d'Intel, et directeur général de l'entité 'Business client platform'. Un pare-feu programmable (par l'administrateur) est inclus dans la plateforme, mais les fonctions de sécurité ne vont pas encore jusqu'à l'identification de la machine et l'inspection de son état lors de la connexion au réseau local. La technologie AMT (Active management technology) v2.5 permet par ailleurs de découvrir un ordinateur sur le réseau quel que soit son état, et de procéder à des fonctions d'administration depuis la console d'un outil tiers (Altiris, LANDesk...). Sauf que si cela fonctionne dans les locaux de l'entreprise, cela devient plus problématique dès lors que l'utilisateur est hors des murs - ce qui est tout de même la vocation d'un utilisateur équipé d'un portable. Notamment parce qu'Intel ne veut pas être accusé de vider les batteries. « Si l'ordinateur est connecté en WiFi, résume Gregory Bryant, presque toutes les fonctions sont disponibles. Si la connexion s'effectue par un réseau privé virtuel, seules quelques fonctions sont encore possibles. » (...)

(05/04/2007 17:14:48)

Truffle 100 : Dassault, BO et Cegid gardent la tête des éditeurs en France

Rien de changé dans l'élite des éditeurs français de logiciels, nous indique le dernier Truffle 100, classement annuel réalisé par Truffle Venture en partenariat avec le Syntec Informatique et le cabinet d'analystes CXP. Comme dans la précédente édition du palmarès, Dassault Systèmes, Business Object, Cegid, GL Trade et Sopra Group (via sa filiale Axway) restent les cinq éditeurs français qui affichent les chiffres d'affaires les plus élevés dans leur activité d'édition. A eux seuls, ils totalisent plus de 64% des revenus de l'édition référencés, soit presque 2,7 Md€. Cumulés, le chiffres d'affaires des activités d'édition des 100 éditeurs référencés dans le classement s'élèvent à 4,2 Mds €, en progression de 16,5%, (pour un CA total, toute activité confondue, de 6,3 Md€, en hausse de 14% sur un an). Ilog (6e), GFI Informatique (7e), Cartesis (8e), Avanquest Software (9e) et ESI Group (10e), complètent le classement des dix premières sociétés. La tendance générale montre que la situation du logiciel en France en 2006 a progressé en valeur mais pas énormément dans sa structure. "Par rapport à 2005, il y a eu moins de consolidations visibles, commente Laurent Calot, président du CXP. En 2005, Adonix avait été avalé par Sage, BO avait racheté Crystal. Outre le rachat d'Influe par Generix, 2006 a été moins spectaculaire." Outre un chiffre d'affaires en hausse, le secteur affiche sa bonne santé dans la R&D, tant en termes d'investissements que d'emplois. En 2006, 1,1 Md€ a été investi et 69% des sociétés interrogées prévoient une augmentation de leurs investissements dans la recherche, soulignent les résultats du palmarès. Du coup, l'emploi dans le secteur a lui aussi progressé en 2006 : + 6 000 emplois, soit une croissance de 13% des effectifs. La R&D, quant à elle, a généré plus de 1 400 emplois, nous indique le Truffle 100. Un coup de projecteur sur les régions Cette troisième édition est marquée par un classement par région. Ainsi, on remarque que l'Ile-de-France truste 61 éditeurs présents dans le classement. Suivent les régions Rhône-Alpes avec 16 éditeurs, l'Alsace et Pays de Loire (5 chacun), Midi-Pyrénées (4), Nord Pas-de-Calais (3), Aquitaine et Languedoc-Roussillon (2) et enfin Bretagne et PACA (1 chacun). "Il est clair que le dynamisme se situe en Ile-de-France, mais nous voulions également montrer qu'il existe une vraie spécificité régionale, en parallèle à l'Europe". Un secteur sur le point d'évoluer "Pour autant, point de répit", souligne Bernard-Louis Roques de Truffle Venture, en introduction du palmarès, tout en pointant du doigt l'émergence de nouveaux modèles qui, à coup sûr, vont bouleverser la donne. "L'heure de la consolidation a sonné (Cegid -3e- a hier mercredi 4 avril, annoncé le rachat de AS Infor - 61e -, ndlr) [...] La traditionnelle trilogie licences-maintenance-services est ébranlée par des nouveaux modèles économiques : le SaaS, l'Open Source". Et d'ajouter dans la foulée que de nouveaux concurrents, tels que la Chine, "s'apprêtent également à débarquer". François Loos, ministre délégué à l'Industrie, qui signe également un édito de cette édition 2006 du Truffle, souligne, quant à lui que "certes nous n'avons pas encore rattrapé nos compétiteurs américains. Mais nous progressons rapidement". En effet. En 2006, Oracle a enregistré un chiffre d'affaires de plus de 4,7 Md$, uniquement pour sa zone EMEA. Dans le monde entier, l'éditeur a généré un CA de 14,4 Md$ (10,78 Md€). (...)

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