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(06/04/2007 16:41:13)

Le « contre-bilan social » du Munci

Le bilan du Syntec Informatique vient à peine de paraître que déjà des voix s'élèvent pour dénoncer un panorama trop optimiste dans le secteur des logiciels et services. Parmi les contestataires, le Munci qui revient sur quatre points principaux : taux de chômage de 2,5% dans la branche logiciels et services ; 42% des personnes ont plus de 40 ans ; 95% des personnes employées dans ce secteur sont en CDI et deux tiers des entreprises connaissent des difficultés pour recruter. Sur le premier point, la réaction est virulente : « Le Syntec triche ! Ce chiffre farfelu est calculé à partir du nombre d'informaticiens demandeurs d'emplois dont le dernier employeur était une SSII ou un éditeur (environ 8000) rapporté aux effectifs de la branche (environ 300 000 salariés) », indique le Munci. 6,4% étant, selon le Munci, « le vrai taux de chômage moyen des informaticiens fin 2006. » Et de le démontrer : « selon les chiffres de la Dares, on dénombre fin décembre 2006 entre 25 598 demandeurs d'emplois en informatique (catégorie 1) et 38 400 (toutes catégories), soit un taux de chômage de la profession compris entre 5,1% et 7,7%, l'estimation la plus objective (catégories 1+4+6) étant d'environ 32 000 demandeurs d'emplois en informatique, soit 6,4% des informaticiens en France, si l'on s'appuie sur une base de 500 000 informaticiens que donne l'Anpe. Ce taux reste encore supérieur au taux de chômage moyen des cadres en France qui se situe vers 4,5% puisque 75% des informaticiens sont cadres, le taux d'emploi cadre le plus élevé parmi tous les groupes de métiers. » Une inadéquation entre les chiffres du Syntec Informatique et le vécu de l'emploi sur les forums Autres sujet de discorde : l'emploi des seniors. Régis Granarolo, représentant du Munci indique : « je suis extrêmement méfiant. Je serais curieux de connaître la méthode de calcul du Syntec pour arriver à un taux de 42% ayant plus de 40 ans et étant en poste, car dans un document sur le site du ministère de l'Emploi intitulé « L'évolution des sorties d'emploi vers la retraite et la préretraite, une approche par métiers », le secteur informatique est celui où le taux d'activité des plus de 50 ans est de 10%. C'est même le plus faible de tous les secteurs étudiés. De plus, sur notre forum spécial demandeurs d'emploi, on peut lire des témoignages qui viennent du terrain et relativisent le bel optimisme du Syntec. Je vous cite l'un d'entre eux : « J'ai 45 ans. Bac+4 Cnam, anciennement développeur Delphi et SGBD (Oracle/SQL-Server). J'ai suivi une formation de 3 mois en 2005 à l'Afcepf sur J2EE. Très bonne formation avec les technologies satellites. La meilleure du marché et la plus longue. Mais les employeurs (SSII principalement) n'ont pas suivi (...) ». » « Le Syntec Informatique devrait se poser les vraies questions sur le manque d'attractivité dans notre secteur » Quant aux 95% de CDI dans le secteur, le Munci estime que ce chiffre est en légère baisse (il était de 97% précédemment) et qu'il serait utile de s'interroger sur la progression des contrats précaires dans la branche : selon le Munci, désormais 26% des recrutements se font en en intérim ou CDD, pour 74% de recrutements en CDI. Enfin, pour ce qui est du taux de 66% des entreprises « ayant eu des difficultés à recruter », là encore le Munci n'y croit pas dans de telles proportions et souligne la « bulle médiatique » qui accompagne ces chiffres. Et Régis Granarolo d'asséner un dernier coup en guise de conclusion : « Le Syntec mène des campagnes pour sensibiliser les jeunes aux métiers de l'informatique. C'est très bien, mais il faudrait peut-être se poser les vraies questions. Pourquoi les SSII ont-elles des problèmes de recrutement ? Pourquoi n'ont-elles pas une bonne image ? Et surtout, pourquoi les utilisateurs n'ont pas de problème de recrutement, en tous cas pas dans les mêmes proportions ? » Sur le même sujet : -Le Syntec Informatique table sur une croissance de 6% à 8% pour 2007 -Le Syntec Informatique propose un pacte au futur Président de la République -Les SSII proposent aux 15-24 ans de changer le monde (...)

(06/04/2007 16:20:20)

Verisign prévoit d'augmenter les tarifs des .com et .net

Verisign a annoncé hier jeudi 5 avril qu'il envisageait d'augmenter les prix d'enregistrement des .com et .net dès octobre, dans le but d'améliorer son infrastructure. Ces hausses tarifaires sont les premières que Verisign, société qui à la charge de gérer les extensions .com et .net, est autorisé à appliquer aux registrars (organismes accrédités pour l'enregistrement des noms de domaine), à travers l'accord qui le lie à l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers) jusqu'en 2012. Un accord passé en février 2006 qui, à l'époque, avait occasionné une levée de bouclier chez les registrars et chez certains membres du congrès américains. Une des clauses de l'accord doit notamment limiter à 7% par an la hausse des prix des extensions. Selon Verisign, le prix d'un .com passera de 6$ à 6,42$ - le maximum autorisé par l'accord avec l'Icann. Celui d'un .net, de 3,50$ à 3,85$ (+10%). Fin 2006, le nombre de .com et de .net s'élevait à 65 millions et augmentait de plus de 2 millions chaque mois, selon les chiffres de Verisign. (...)

(06/04/2007 15:10:51)

Bruxelles veut imposer à Microsoft la gratuité des informations techniques

Selon des documents confidentiels émanant de la Commission européenne que s'est procurés le Financial Times, l'organe exécutif voudrait imposer à Microsoft de fournir gratuitement - ou à faible coût - les informations techniques de Windows, à ses concurrents. Microsoft, de son côté, estime être en conformité avec la décision de justice prise en 2004 et ajoute, de plus, ne pas avoir reçu de la Commission une définition précise de ce que pourrait être le juste prix. Rappelons que Microsoft demande aux constructeurs 5,95% des recettes générées par les technologies développées à partir des informations techniques fournies. En mars dernier, la Commission avait envoyé à Microsoft une "communication de grief" dans laquelle elle accusait l'éditeur de surfacturer ces informations à ses rivaux. Selon le Financial Times qui cite le document en question, Neil Barrett, expert mandaté par la Commission, aurait déclaré que même 1% des recettes serait inacceptable et qu'aucune compensation serait bien mieux. Microsoft répondra le 23 avril prochain, date fixée par la Commission en mars dernier. (...)

(06/04/2007 12:35:29)

Les clients légers sont plus écolos que les PC

Selon les scientifiques du Fraunhofer Institute en Allemagne, mieux vaut utiliser des clients légers que des PC traditionnels si on veut réduire sa facture d'électricité et émettre moins de gaz carbonique. Et ce, même en tenant compte de la consommation des serveurs, en partant du principe qu'un serveur pilote vingt client légers. Selon le Dr Hartmut Pflaum, responsable de cette étude : « Alors que les PC consomment en moyenne 85 W, les clients légers et les serveurs associés n'ont besoin que de 40 à 50 W. » Mieux, après avoir analysé la fréquence d'utilisation (huit heures par jour et 220 jours par an), un PC coûte plus cher en électricité qu'un client léger : 22 € par an pour le premier, contre 10,70 € par an pour le second. Cette économie d'énergie correspondrait, selon le Fraunhofer Institute, à une réduction de 50 kilogrammes par poste de travail des émissions de CO2, sans compter les économies liées au transport de ces équipements, plus légers et souvent plus petits que des PC. (...)

(06/04/2007 12:24:10)

L'édition européenne de la conférence utilisateurs d'Oracle annulée

Le EMEA Oracle Usergroup Council (EOUC) a décidé sans autre explication d'annuler la conférence européenne des utilisateurs d'Oracle, qui devait avoir lieu à Amsterdam le mois prochain. EOUC2007, prévu du 3 au 4 mai, devait, outre le fait de faciliter les rencontres entre utilisateurs de plateformes PeopleSoft, JD Edwards et Siebel, permettre aux utilisateurs de comprendre un peu mieux les intentions d'Oracle en matière de développement. Un "sondage flash", organisé par lemondeinformatique.fr, mettait récemment en valeur le pessimisme des personnes sondées quant à la capacité d'Oracle à intégrer toutes les technologies issues de ses multiples rachats. Un trop faible taux de participation pourrait être la raison de cette annulation, indique un porte-parole du groupe d'utilisateurs français AUFO (Association des utilisateurs français d'Oracle). "Très peu de personnes se sont enregistrées, et à un mois de l'événement, ils ont préféré annuler." (...)

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