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(04/04/2007 17:53:51)
L'appel d'offres de l'hébergeur de référence du DMP est lancé
Le DMP de nouveau sur les rails. C'est aujourd'hui mercredi 4 avril 2007 que le GIP-DMP (groupement d'intérêt public) a publié au BOAMP (bulletin officiel des annonces de marchés publics) l'appel l'offres ouvert pour sélectionner "l'hébergeur de référence" du dossier médical personnel (DMP). Une procédure qui avait été deux fois annulée, retardant la mise en place du système de plusieurs mois. Le DMP doit désormais voir - et sans autre embûche - le jour en 2008. Les candidats ont jusqu'au 4 juin pour envoyer leur offres. "L'hébergeur de référence sera chargé, pour une durée de quatre ans, de la conception, du développement et de la maintenance des DMP, de leur exploitation dans des conditions d'hébergement sécurisé avec une disponibilité de 99,9%", indique le GIP-DMP. Comprendre ainsi que l'hébergeur ne sera pas cantonné au seul rôle de préserver, sécuriser et administrer les données du DMP. Mais sa tâche s'étend bien au delà. Cela s'adresse à des sociétés qui devront "concevoir l'ensemble du système, de l'applicatif, des services et de l'hébergement", commente Stéphane Duproz, directeur général France de TelecityRedbus, hébergeur d'infrastructure. Il explique qu'au final, le profil recherché est typiquement "un grand intégrateur". Mais que le terme hébergeur de référence se définit par le fait que "ce sera bien chez cette personne que seront hébergées les données". L'appel d'offres se destine alors à des grandes SSII, de type Atos, Capgemini, EDS ou Steria qui devront "aller chercher des ressources à l'extérieur". "On est typiquement dans l'outsourcing." Le GIP-DMP rappelle de son côté que "l'hébergeur de référence n'aura pas l'exclusivité de l'hébergement des DMP, mais à la différence des autres hébergeurs agréés, sera chargé d'une mission de service public : être en capacité d'hébergement de l'ensemble des 60 millions d'assurés. Il ne pourra fournir d'autres fonctionnalités ou services à destination des titulaires des DMP". (...)
(04/04/2007 17:49:08)Bouygues Telecom lancerait en catimini la 3G
D'ici la fin avril, Bouygues Télécom devrait ouvrir en catimini son réseau 3G à sa clientèle entreprises. A priori sans offre 3G spécifique, les clients disposant d'une carte PCMCIA Edge/3G basculeraient sur le réseau 3G lorsque celui-ci est disponible. Cela ressemble fort à du développement technique sporadique, sur certaines zones, en attendant la 3G+. En effet, Martin Bouygues a toujours martelé que l'UMTS n'apportait pas de réelle valeur ajoutée à l'Edge, et qu'il choisissait l'HSDPA, véritable haut débit mobile. Quoiqu'il en soit, Bouygues arrive sur la 3G/3G+ avec un sérieux train de retard face à SFR et Orange. (...)
(04/04/2007 17:47:01)Qualcomm poursuit de nouveau Nokia
Et deux de plus ! Qualcomm vient de déposer deux plaintes aux Etats-Unis contre Nokia. Le fabricant de téléphones mobiles violerait cinq brevets déposés par Qualcomm. La première plainte, déposée devant la Cour de justice du Western District de l'Etat du Wisconsin se rapporte à deux brevets. Ces derniers protègent des encodeurs de conversation vocale, utilisés dans certains portables GSM pour numériser les signaux audio, avant leur transmission. La seconde poursuite a quant à elle été déposée à la Cour de justice de l'Eastern District du Texas. Les trois brevets en cause concernent le téléchargement d'applications et autres contenus numériques via les réseaux GPRS ou Edge, et deux technologies d'accélération de transmission des paquets de données sur réseau GSM. Qualcomm indique s'être adressé à ces tribunaux car ils jugent rapidement les affaires de violation de brevets. Le fabricant de puces demande que Nokia cesse de vendre les téléphones utilisant ces brevets d'une part, et des dommages pour les terminaux déjà vendus d'autre part. Le mois dernier, Nokia a lancé un attaque contre Qualcomm, estimant que ce dernier n'a pas à monnayer l'accès à certains de ses brevets. (...)
(04/04/2007 17:28:19)Le W3C planche sur les prochaines générations de HTML et XHTML 2.0
Le World Wide Web Consortium a annoncé en mars une nouvelle charte pour le groupe de travail HTML Working Group. Le groupe de travail XHTML 2.0 voit également une nouvelle charte et travaille de manière plus indépendante. Le premier draft de travail public de la prochaine spécification HTML est prévu pour juin de cette année, mais ne sera pas finalisé avant 2010. Cet HTML classique, dérivé de HTML 4 aura une forme extensible et sérialisée en utilisant XML. Pour ce draft, un processus plus ouvert devrait se mettre en place afin de tenir compte des besoins de la communauté des développeurs. Chris Wilson, architecte plateforme de l'équipe Internet Explorer chez Microsoft, tient un des sièges de ce groupe de travail. Le groupe de travail XHTML2 Working Group, un sous-ensemble de l'activité HTML du W3C, a pour mission d'accomplir la promesse d'XML en appliquant XHTML à une large variété de plateformes, en prenant soin de l'internationalisation, de l'accessibilité, de l'indépendance vis des vis des matériels, de l'utilisabilité et de structurer les documents. Un premier draft a été publié en juillet 2006. La version finale est prévue pour fin 2009. XHTML 2.0 ne sera pas entièrement retro-compatible avec HTML. En effert, XForms et XML Events nécessitent des agents utilisateurs qui n'existent pas dans HTML. La spécification XHTML 1.0 avait été développée en 2000 en tant que formulation XML de HTML 4.01. La future spécification XHTML 2.0 risque de diviser la communauté, avec d'un côté les utilisateurs traditionnels d'HTML avec ses outils, ses bonnes pratiques, ses disciplines ; et de l'autre une communauté émergeante intéressée par l'approche plus rigoureuse et évolutive d'XHTML. (...)
(04/04/2007 17:27:01)MIX07 à Las Vegas et à Paris
Fort de son succès l'an dernier, Microsoft s'apprête à rééditer son événement à destination des développeurs et Web designers. La conférence MIX07 se tiendra du 30 avril au 2 mai à Las Vegas. MIX, c'est l'événement Web 2.0 selon Microsoft, l'occasion de découvrir les technologies proposent l'éditeur pour les applications Web nouvelle génération, mais également pour Vista et XBOX. Les développeurs Web pourront construire rapidement des applications Web AJAX avec ASP.NET, des gadgets pour les desktops Windows, des sites qui consument des services Windows Live, des jeux XBOX avec XNA. Ils découvriront de nouvelles expériences Web avec la « Technology X », encore tenue secrète. Les Web designers apprendront à utiliser WPF et WPF/E pour concevoir des interfaces riches, à étendre leur expérience Web au-delà du navigateur et vers la télévision et d'autres appareils. Ils découvriront la gamme Expression qui va changer leur manière de travailler avec les développeurs Web. Les opérationnels du Web apprendront comment faire du business avec la plate-forme Microsoft, comment améliorer l'expérience utilisateur. Cette année, l'accent sera mis sur WPF/E (Windows Presenaton Foundation/Everywhere), la technologie Rich Desktop Application cross-plateforme et cross-navigateur basée sur la couche graphique de Vista, avec peut-être l'annonce un nom définitif. Avec WPF/E, Microsoft entre en guerre contre Adobe avec sa technologie Flash et son lecteur universel Apollo annoncé récemment. WPF/E devrait être disponible dans le premier semestre 2007 et nécessitera un plugin dans le navigateur qui sera disponible gratuitement. Parmi les orateurs attendus, notons la présence de Ray Ozzie, architecte en chef de Microsoft et Scott Guthrie, General Manager Microsoft. Par ailleurs, Microsoft confirme qu'une version française de MIX07 se tiendra à Paris. Le choix de la date du 21 juin n'est pas innocent, il est probable que la fête se poursuivra en musique tout au long de la nuit. Visit MIX07 (...)
(04/04/2007 17:25:41)BEA lance WebLogic server 10
BEA annonce la disponibilité de WebLogic Server 10, son serveur d'application Java. Cette version supporte Java EE 5 (Java Platform Enterprise Edition 5), EJB 3.0 (Enterprise JavaBeans 3.0), JavaServer Faces, Eclipse et les annotations pour les Web Services. WebLogic Server 10 est la première implémentation commerciale supportant Java EE 5.EJB 3.0 permet aux développeurs d'annoter le code, ce qui réduit le nombre de fichiers XML externes nécessaires à une application. La nouvelle API de persistance s'appuie sur OpenJPA et sur la technologie de persistance Kodo. Les technologies de Web Services ont été améliorées dans le domaine de la sécurité et de l'interopérabilité. Le codage nécessaire pour implémenter des Web Services a été réduit dans cette version 10. Les outils de développement qui accompagnent WLS 10 s'appuient sur Eclipse 3.2 et WebTools 1.5. Workshop for WebLogic installe maintenant un plugin dans un Eclipse déjà installé. WebLogic Server 10 lui-même est construit en interne sur le framework Spring ce qui permet aux composants Spring d'être déployés nativement dans WebLogic. Les développeurs peuvent ainsi mixer aisément des modèles de composants Java EE 5 et Spring. WebLogic Server 10 est positionné comme la couche de fondation de la stratégie SOA 360 de BEA. (...)
(04/04/2007 18:13:54)[Vidéo] Richard Stallman porte la bonne parole à l'ENST
A l'occasion de son passage à Paris qui l'a notamment mené à l'Unesco, Richard Stallman, fondateur de la Free Software Foundation et gourou du Libre, s'est rendu à l'ENST le 3 avril pour présenter le logiciel libre aux étudiants et enseignants. Destiné à un public néophyte, son discours a été classique et basique. Mais il a manié l'humour avec sa dextérité habituelle et... en français. Il a tout d'abord présenté le logiciel libre en opposition au logiciel propriétaire sous un angle moral avant de se préoccuper des avantages concrets et seulement ensuite, de l'économie de ce modèle de développement. Parmi les avantages concrets mis en avant, Richard Stallman a rappelé qu'un logiciel libre étant ouvert et modifiable, les utilisateurs se sont pas soumis à un monopole d'un éditeur pour maintenir et faire évoluer leurs systèmes informatiques, s'ils reposent sur de tels logiciels. (...)
(04/04/2007 16:50:14)L'UE veut harmoniser les brevets en Europe
Faire breveter un produit dans 13 des 27 pays membres de l'Union européenne revient onze fois plus cher que le faire breveter pour l'ensemble des Etats-Unis, et treize fois plus cher qu'au Japon. Et pourtant, depuis près de vingt ans, les membres de l'UE ne peuvent s'accorder sur un brevet commun qui remplacerait les brevets nationaux. Bruxelles a fait hier un énième essai a minima, en proposant un brevet commun et surtout une cour de justice commune pour tous les problèmes liés à la propriété industrielle. Charlie MacCreevy, commissaire au marché intérieur et rapporteur du projet, prévient : « Les brevets sont le moteur pour promouvoir l'innovation, la croissance et la compétitivité, mais le marché unique des brevets reste incomplet. Dans l'économie actuelle toujours plus compétitive, l'Union européenne ne peut se permettre de perdre du terrain dans un domaine aussi crucial. » Son plan d'action prévoit donc des brevets européens meilleurs marchés et légalement plus sûrs, ainsi qu'une cour des brevets européenne, liée à la cour européenne de Justice, capable de trancher en premier appel des litiges concernant aussi bien des brevets nationaux, des futurs brevets européens ou des brevets émis par l'Office européen des brevets. En effet, malgré son nom, ce dernier organisme n'a aucune relation juridique avec l'Union européenne et compte d'ailleurs 32 pays membres en son sein. Ce projet doit désormais être examiné par les ministres de chaque pays et le Parlement européen, avant d'être, peut être, approuvé. Notons que la création d'une unique cour européenne pour juger les différends faisait également partie du très controversé l'EPLA, l'accord sur le règlement des litiges en matière de brevets européens proposé par l'OEB, et soutenu par Charlie MacCreevy. En octobre 2006, le Parlement européen avait recommandé à la Commission la prudence quant à ce même accord. (...)
(04/04/2007 16:28:51)Une Playstation en guise de serveur
Et si au lieu d'ajouter de nouveaux serveurs, votre société répartissait la charge de travail sur l'ensemble des appareils électroniques dans ses locaux : ordinateurs, assistants personnels, téléphones portables et même les consoles de jeux que les enfants des employés peuvent amener au bureau. Cette idée est derrière le nouveau service de Bulletproof Networks, un spécialiste australien de l'hébergement virtualisé. Baptisé Joint Infrastructure Virtualization Environment, celui-ci utilise les capacités de calcul non utilisées des processeurs contenus dans ces appareils pour y répartir une partie du travail des serveurs de l'entreprise. La liaison se faisant grâce aux connexions sans-fil que ces produits nomades recèlent. Pour Lorenzo Modesto, directeur des ventes de Bulletproof Networks, le seul inconvénient de cette solution « est peut être le raccourcissement de l'autonomie des téléphones et PDA. Avec cet outil, vous pouvez dépasser vos besoins en calcul sans acheter de matériel supplémentaire. » (...)
(04/04/2007 16:25:07)Open XML se rapproche de la normalisation ISO
L'organisme de normalisation Ecma a annoncé lundi 2 mars le passage d'Open XML dans le processus d'adoption rapide ("Fast-Track") de l'ISO. Une évolution qui rapproche un peu plus le format bureautique de la standardisation internationale et de son concurrent direct ODF. Cette étape intervient après la clôture de la session d'un mois pendant laquelle les instances internationales devaient commenter les spécifications d'Open XML (période appelée "Perceived contradiction"). L'Ecma en a par ailleurs publié les résultats sur son site. Dans un communiqué, l'Ecma annonce qu'"Open XML passe immédiatement à la prochaine phase de la normalisation ISO / IEC", à travers le mécanisme accéléré du Fast track qui doit ainsi durer cinq mois. Selon l'organisme, cette période arrivera à échéance le 2 septembre, date à laquelle Open XML deviendra ou non une norme ISO. Pendant ces cinq mois, les ébauches de la spécifications Ecma (Ecma-376) d'Open XML seront soumises aux critiques et pourront être amendées par les pays membres de l'ISO. Open XML est une norme Ecma depuis décembre 2006. (...)
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